FICHE DE PRÉSENTATION DES CANDIDATURES AU BUREAU

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FICHE DE PRÉSENTATION DES CANDIDATURES AU BUREAU
FICHE DE PRÉSENTATION DES CANDIDATURES AU BUREAU
Montréal, AG du 7 juillet 2016
Vice-président
NOM :
MELLITI
Prénom : Imed
Age :
52
Genre : M
Domaine(s) de recherche :
1. Sociologie des religions
2. Sociologie de la jeunesse et de l’adolescence
3. Justice sociale et sentiments d’injustice
Responsabilités scientifiques :
Membre de la commission de doctorat et d’habilitation universitaire en sociologie
à l’université de Tunis
Membre du Comité de rédaction de la revue IBLA
Membre de plusieurs commissions de recrutement en sociologie
Statut, institution, responsabilités institutionnelles et académiques :
Professeur de sociologie à l’Université Tunis El Manar, actuellement
détachement à l’Institut de recherche sur le Maghreb contemporain (IRMC).
ne
Motivations de la candidature :
Secrétaire général au cours de la mandature qui prend fin et membre du Bureau
depuis 2004, ma participation à la vie de l’AISF n’a pas cessé de se renforcer
d’année en année. Mon engagement pour l’AISLF m’a permis de construire des
liens et de contribuer à l’animation des réseaux sociologiques francophones en
Tunisie et au Maghreb. Mon élection au poste de vice-président permettrait de
donner une nouvelle impulsion à cette action, à un moment particulier où la
Tunisie connaît une ouverture de l’espace public et un retour de l’enquête
sociologique. L’organisation du prochain Congrès de l’AISLF en Tunisie sera
l’occasion de consolider son ancrage dans les pays du Sud.
Projets pour l’AISLF dans les quatre ans :
L’organisation à Tunis du XXIème Congrès en 2020.
Publications significatives (trois au maximum)
1- La fabrique du sens. Écrire en sciences sociales, Paris, Riveneuve
Éditions/IRMV, 2016.
2- « Le rapport au religieux chez les jeunes », dans Lamloun O. et Ben Zina M.-A.
(dir.), Les jeunes de Douar Hicher et d’Ettadhamen. Enquête sociologique, Tunis,
Arabesques, 2015, pp. 147-168.
3- « L’indigénisation des sciences sociales en Tunisie : un malentendu ? »,
Maghreb et sciences sociales, 2011, pp. 129-140.