Les 4 styles de vacances de l`expatrié
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Les 4 styles de vacances de l`expatrié
Les 4 styles de vacances de l’expatrié Publié sur Alceis (http://www.alceis.com) Les 4 styles de vacances de l’expatrié C’est le temps des vacances pour l’expatrié et sa famille comme pour tout un chacun. Mais comme, par définition, l’expat réside loin de son pays d’origine, ses vacances ne sont pas toujours celles de Monsieur Toulemonde. Vous allez sans doute vous reconnaître ou reconnaître vos amis expats : travaillomane, opportuniste, aventurier ou bon fils ? Le travaillomane Il vient de prendre son poste au 1er juillet. Ce n’est pas le moment pour lui de se reposer sur une plage. Il rencontre son équipe, prend connaissance des dossiers et profite de l’été pour s’asseoir à son poste. Son conjoint va pouvoir en profiter pour déballer les cartons pendant que les enfants sont (au choix) en séjour de vacances pour jeunes, chez les grands-parents, ou devant leur bureau fraichement installé dans leur nouvelle chambre avec leur cahier de vacances. La famille aurait préféré une station balnéaire ? Ce n’est vraiment pas le moment ! L’opportuniste Page 1 sur 2 Les 4 styles de vacances de l’expatrié Publié sur Alceis (http://www.alceis.com) Puisque la famille est installée à Shanghaï, c’est le point idéal pour visiter la Chine, ou partir au Népal, au Japon, en Malaisie, voire en Australie. Ce n’est pas de retour en Europe que l’on pourra se payer des vacances à Phuket après un voyage de quelques heures !. Il ne va pas aller cette année dans son pays : les grands-parents sont encore jeunes et peuvent bien venir lui rendre visite à Shanghaï (Mamie est passionnée par la civilisation chinoise et Papi affrontera sa phobie de l’avion) ; quant aux amis, ils sont toujours les bienvenus et tous en profiteront pour explorer la ville. L’aventurier Porche de l’opportuniste, l’aventurier va partir à la découverte d’un pays à un coup d’aile de son camp de base. Mais au contraire de l’opportuniste, il n’a pas réservé au Club Med de Phuket six mois à l’avance. Il a trouvé sur un moteur de recherche un vol à un prix défiant toute concurrence pour la Birmanie la veille du départ. Il remplit les sacs à dos (les valises à roulettes seront pour son grand âge) et hop ! C’est parti ! Pour le circuit et l’hébergement, il verra sur place avec son guide Lonely Planet acheté à l’aéroport. Le bon fils Il se sent le devoir (mais est-ce vraiment un devoir de faire une chose normale ?) de passer la totalité de ses congés chez ses parents. Ils vieillissent, et il ne les voit pas assez. Il est indispensable que ses enfants passent un peu de temps (jamais assez) avec leurs grands-parents, et son père lui a demandé de l’aider à s’occuper de rénover la véranda de la maison. Inutile de prévoir autre chose, quand on a le privilège de vivre à Singapour toute l’année. Ah oui, bien sûr, il passera aussi chez ses beaux-parents, des gens charmants. Page 2 sur 2