BING plus rapide que GOOGLE En tous cas, pour ce qui concerne l
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BING plus rapide que GOOGLE En tous cas, pour ce qui concerne l
BING plus rapide que GOOGLE En tous cas, pour ce qui concerne l'intégration des messages Twitter. Démonstration faite notamment au moment des attentats de Bombay, des derniers évènements en Iran ou encore de la mort de Mickael Jackson. Attention, ce n'est pas pour autant que vos messages tweets seront indexés et mis sur en pâture sur le net illico. Pour le moment c'est réservé à une centaine de personnes du niveau Al Gore ou Kara Swisher, l'éditorialiste du Wall Street Journal. Pourquoi eux et pas vous ? Simplement parce qu'elles ont un nombre d'internautes abonnés suffisamment important. Cette nouvelle percée de Microsoft s'insère dans sa stratégie de comblement du retard pris sur Yahoo ou Google qui avait déjà été initiée avec Live Search. Et c'est plutôt réussi puisque entre avril et juin la firme a repris…. un point pour atteindre un peu plus de 8 % de part de marché aux USA. Elle est quand même encore loin de Google qui surfe à plus de 79 % et qui, bien sûr, s'apprête à faire de même avec les messages Twitter. Au fait, savez vous que vous pouvez twitter à partir de Firefox ? Il vous suffit d'utiliser l'extension Greasemonkey et d'y ajouter un des scripts dont on trouvera une liste détaillée là : http://userscripts.org/scripts/search?q=twitter&x=0&y=0. A noter qu'on peut faire la même manip pour Facebook d'ailleurs. Source : Le Mondeinformatique Un secteur qui ignore la crise : La publicité en ligne Avec plus de 10 % de croissance prévue en 2010 et pour parvenir à plus de 15 % des dépenses globales du secteur en 2011, c'est effectivement une réelle performance dans la situation actuelle. C'est le Cabinet ZenithOptimedia (Groupe Publicis) qui nous donne ces chiffres, en faisant d'ailleurs leur autocritique sur les précédents qui étaient, selon eux, "trop pessimistes". Quelle est l'origine de cette évolution alors que les dépenses publicitaires globales devraient baisser de près de 9 % cette année et que les investissements publicitaires dans les journaux sont prévus pour sombrer, eux, de près de 15 % pour stagner à à peine 100 milliards de $ en 2011 ? Réponse : les liens sponsorisés en ligne qui affichent une croissance de 20 % cette année, alors que les publicités traditionnelles n'en gagnent que 3 % et les petites annonces à peine 2. Source : Neteco Le MEDEF s'affirme de nouveau dans le domaine des TPE PME Plus souvent on associe cette organisation patronale aux grandes entreprises. Régulièrement, pourtant, elle s'affirme comme représentative de toutes les entreprises. Qu'on se rappelle la célèbre tirade du "Parti des Entreprises de France" du non moins bouillonnant Ernest Antoine Seillières, à l'époque président d'un MEDEF venant de s'édifier sur ce qui était auparavant le CNPF. Aussi régulièrement, cette ambition met également cette organisation en délicatesse avec la CGPME, l'autre organisation patronale, dont c'est le terrain de chasse privilégiée et qui le rappelle à chaque occasion, sans parler de l'UPA qui "tient" sa clientèle d'entreprises artisanales N'empêche, le MEDEF y revient. Il vient de mettre sur pied un Comité TPE PME composé d'une vingtaine de responsables de Medefs territoriaux et de Fédérations professionnelles patronales. L'objet de cette mise en place : rien de moins que "de promouvoir la PME attitude" selon Laurence Parisot, la patronne actuelle de l'organisation. Au-delà, il s'agit aussi de définir des programmes de mesures en faveur des TPE PME, de diffuser les bonnes pratiques ainsi que d'animer des cellules locales de soutien à ces petites et très petites entreprises. Et au final, d'organiser des débats sur le thème de la solidarité entre les grandes entreprises et les autres. Si la CGPME et l'UPA ne prennent pas cela comme une nouvelle intrusion dans leurs prés carrés, ce serait très étonnant. On attend donc la riposte dans la planète entrepreneuriale que doivent certainement suivre avec beaucoup d'intérêt les chefs d'entreprise locaux de France et de Navarre. Source : Decisionachats Taxe Carbone : Le Gouvernement est-il vraiment convaincu ? Ce n'est pas l'avis du responsable chargé de ce programme au sein du World Wide Fund (WWF) France. En effet, pour lui, cette taxe, qui devrait permettre d'augmenter considérablement la prise de conscience de la gravité du réchauffement climatique, accuse un retard de moins en moins supportable. Et de citer, par comparaison, la Suède qui l'a déjà mise en œuvre depuis 20 ans. Alors pourquoi tant de temps pour la mise en place en France ? Pour lui, plusieurs raisons à cette situation : • D'abord, les Français ont toujours été mauvais élèves en la matière. Cette évidence lui paraît indiscutable. Elle est une réalité culturelle que vient percuter directement ce qui est encore un projet. • En second lieu, l'expression de "taxe" est par elle-même suspecte, dans la mentalité française en la matière. Où vont aller exactement les fonds recueillis ? N'y aura-t-il pas de déviation vers les caisses de l'État ? Quel impact va-t-elle avoir sur notre pouvoir d'achat et que penser de l'engagement de Nicolas Sarkozy de sa "neutralité pour les contribuables" ? • D'autant plus que les options de cette neutralité sont loin d'être arrêtées. On parle d'une contrepartie en "chèque vert" de l'ordre de 130 € par an pour chaque ménage et d'une nouvelle baisse de charges sociales pour les entreprises. D'autres pistes évoquent des compensations via les primes pour l'emploi et autres aides au logement…. • Pour le responsable du WWF, côté utilisation de l'argent, rien n'est clarifié non plus. Le principe d'une Caisse d'Investissement pour les grands projets environnementaux a été avancé lors des travaux du Comité des Experts. Mais, fait-il remarquer, alors que le Grenelle de l'Environnement date maintenant de près de 2 ans, les propositions ne sont pas arrêtés et le calendrier de la suite des débats n'est pas publié. Au final il se pose donc la question de la conviction réelle du gouvernement sur sa volonté d'aboutir sur le sujet et, le cas échéant, dans quel délai, sachant que la date de 2010 lui paraît un maximum déjà critique. Source : L'Express Investissement de l'ISF dans des fonds : Délai réduit à 1 an Le rappel de ce qui existe dans la Loi de Finances : Les contribuables devant l'ISF (Impôt Sur la Fortune) peuvent réduire leur contribution de 75 % s'ils investissent directement dans le capital de PME. Ils peuvent également le faire par l'intermédiaire de holdings avec un plafond est de 50 000 €. Une troisième possibilité existe qui est de verser cet argent à des fonds d'investissement. Dans ce dernier cas, l'avantage fiscal est limité à 50 % et l'apport à 20 000 €. C'est ce dernier point qui vient de faire l'objet d'une évolution suite à un amendement du sénateur Arthuis et qui a été voté par le Sénat. Aux termes de du vote sénatorial, le déblocage des sommes placées dans des fonds devrait donc intervenir pour 50 % au bout de 6 mois et dans leur totalité dans un délai d'1 année. Par ailleurs le même Sénat a refusé l'extension du dispositif, proposé par le gouvernement, aux entreprises inférieures à 1000 salariés au motif que cette décision serait contraire aux règles du droit communautaire. A noter que l'AFIC (Association Française des Investisseurs en Capital), lobby parlementaire bien actif sur le sujet, a fait connaître son "incompréhension", face à ce qu'elle considère comme "une volonté de détruire le capital-risque en France" et affirme qu'elle compte bien combattre pour que ce texte lors de son passage à l'Assemblée prévue en octobre, n'en reste pas à cet état. Source : Les Echos Réforme de la Taxe Professionnelle : Le Gouvernement décide L'enjeu n'est pas triste : plus de 22 milliards d'€ à compenser pour les collectivités territoriales et plus de 8 pour l'État. Après de nombreuses concertations, le gouvernement rend sa copie : deux options se dessinent et c'est celle qui a été préparé par la Commission des Finances qui tient la corde face à celle qu'il présentait initialement. Et cela grâce au soutien des élus locaux. Quels sont les points essentiels qui ressortent des propositions en l'état actuel : • D'abord le fait d'avoir deux assiettes de calcul pour le nouvel impôt de remplacement. Ce serait le foncier et la valeur ajoutée. Avec des taux qui seraient de 1.5 % et un plafonnement de 3.5 % de l'impôt total sur la valeur ajoutée. • Ensuite des hausses de taxes sectorielles pour les entreprises de réseaux (EDF, France Télécom, etc…). • Enfin rétablissement d'une liaison entre l'évolution des impôts locaux payés par les ménages et ceux des entreprises. Reste à régler plusieurs points et pas des moindres : l'ajustement des curseurs sur les revalorisations d'impôts foncier, fixation du seul plancher de chiffres d'affaires des entreprises pour la taxation de la valeur ajoutée par exemple. Les discussions se poursuivent entre les élus et Bercy, avec au moins un autre point de consensus : la suppression de la part investissement de la TP, qui se fera en 3 à 5 ans, à partir de 2010. Au total, la Ministre de l'Économie a cependant assuré qu'il n'était pas question d'augmenter l'Impôt sur les Sociétés (IS). S'il faut boucler le budget de l'État, at-elle affirmé, ce sera la contribution "climat-énergie" qui devrait être appelée à la rescousse, comme Nicolas Sarkozy l'avait suggéré. Source : Le Figaro E-commerce : Mention "peut mieux faire" pour la France C'est un rapport EUROBRIEF, réalisé avec le soutien de eBay, qui souligne le potentiel de croissance du commerce en ligne encore inexploité en France. Comme on n'est jamais si bien servit que par soi-même, cette étude entend démontrer l'importance que peut avoir le développement de ce secteur, non seulement sur les chiffres d'affaires mais également -vous n'en serez pas étonné- sur l'emploi et le pouvoir d'achat. Pas moins que d'aider à la sortie de crise comme l'affirment ses auteurs. Alors que nous avons 80 000 emplois liés à ce secteur en 2008 (dont 60 000 indirects) et plus de 35 000 PME créées depuis 2000, nous pourrions viser plus haut car ce sont, selon l'étude, des milliards d'€ qui sont économisés grâce au raccourcissement des chaînes de transaction …..et qui peuvent ainsi être rendus de nouveau disponibles pour repartir dans le circuit des achats. Puisqu'on vous le dit…Bien que malgré toutes les recherches, il n'a été guère possible de se procurer l'étude intégrale qui visible que par la synthèse accessible par http://www.e-marketing.fr/xml/Breves/2009/07/06/30028/E-commerce-la-France-peut-mieux-faire/ Source : DecisionAchats La crise et son Stress : Le nouveau cocktail de l'Entreprise C'est évident : lorsque la crise est là, tout le monde souffre. Des chefs aux salariés des derniers échelons. Pour leur emploi, leurs échéances, leur statut, leur avenir. L'ANACT (Agence Nationale Pour l'Amélioration des Conditions de Travail) vient d'en faire l'objet de son magazine avec des enquêtes et des interviews d'entrepreneurs comme de salariés, de tous niveaux hiérarchiques. Ce sont, entre autres, près de 60 % des cadres qui s'y déclarent stressés et 64 % des salariés portent des traces physiques et psychiques de ce stress : fatigue, angoisse, tensions musculaires, dépression…. Les corrélations sont formelles : ce sont ceux qui tiennent les postes à responsabilité qui sont les plus touchés. Et les pressions s'accroissent….et s'aggravent. C'est ainsi qu'on relève de plus en plus de mise en cause et même de harcèlement sur les compétences, les origines, le sexe. L'étude relève également l'augmentation des tentatives de suicide et des "pétages de plomb". Source : L'Express et l'intégralité du magazine téléchargeable à http://www.lexpress.fr/actualite/societe/la-crise-augmente-t-elle-le-stress-dansvotre-entreprise_772372.html