Arabica et robusta sont les noms courants des caféiers Coffea

Le saviez-vous ?
Coffea arabica,
Coffea canephora
Arabica et robusta sont les noms courants
des caféiers Coffea arabica et Coffea
canephora.
Les origines du café
Pays producteurs
(en pourcentage de la surface récoltée mondiale)
La culture du café arabica aurait commencé
vers le Ve siècle en Ethiopie. Seuls deux types
de variétés sont à l’origine des caféiers arabica
actuels : les Typica, issus d’un plant unique
apporté au jardin botanique d’Amsterdam en
1706, et les Bourbon qui proviennent de caféiers
introduits sur l’île de La Réunion en 1715.
Aire de culture actuelle
Un caféier produit 2,5 kg de fruits par an
- appelés cerises - qui donnent 400 g de café
torréfié. La production mondiale atteint
8,2 millions de tonnes.
Production faible ou nulle
Production élevée
Production très élevée
Aires d’origine
HISTOIRES DE CAFÉS
Où tout a commencé...
Une légende éthiopienne raconte
qu’un berger aurait eu l’idée
de consommer du café en voyant
ses chèvres « danser » après avoir
brouté des grains sur un caféier.
La première torréfaction :
un hasard
Deux moines yéménites, revenus un jour
avec leur récolte de café trempée
par la pluie, l’auraient mise à sécher dans
une cheminée avant de se rendre à la prière.
À leur retour, les grains auraient eu l’arôme
qu’on leur connait.
Le café comme médicament
Au XIe siècle, le médecin arabe
Avicenne fait l’éloge de ses qualités
thérapeutiques en tant que laxatif
ou comme remède contre la toux,
la variole et la rougeole.
LE CAFÉ DU FUTUR : QUE FAIT LA RECHERCHE ?
Le café ne nourrit pas...
… mais permet de nourrir
ceux qui le produisent.
Sa forte valeur marchande en fait
une source de revenus pour
les agriculteurs des pays du Sud.
En partenariat avec ces derniers,
des recherches sont menées pour
améliorer la qualité des grains.
La quête de l’excellence
Les équipes scientifiques étudient
la diversité génétique et le génome
du café pour identifier de nouveaux
caractères intéressants, notamment
pour la prévention durable
des maladies de la plante
ou l’amélioration de la qualité
du breuvage.
90 % du café
mondial provient
d’exploitations
familiales