BEAUTE
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BEAUTE
BEAUTE Eugénisme par sélection naturelle : La fonction biologique de la beauté (dont le physique a un large succès dans la société) : Bien qu'étant subjective dans les détails, la beauté répond à des critères biologiques universels. • la belle femme a des traits "féminins", des courbes harmonieuses et développées (poitrine pour allaiter, hanches pour accoucher ...). Ce sont des signes de fécondité, de santé et d'aptitude à survivre, dus à une juste concentration d'hormones sexuelles. • le bel homme a la mâchoire développée, les épaules larges, une certaine pilosité, un physique viril... Ce sont des signes de fertilité, de santé et d'aptitude à survivre, dus à une juste concentration d'hormones sexuelles. La beauté est donc en général un signe de santé génétique. Les mâles sont instinctivement programmés pour ensemencer le plus de femelles possible, en choisissant les plus belles, et donc en général avec les meilleurs gènes. Les femelles sont instinctivement programmées pour transmettre les meilleurs gènes, et donc accepter la semence des plus beaux mâles. Par cette sélection esthétique naturelle, mâles et femelles les plus génétiquement sains se reproduisent plus. Ainsi, la santé génétique d'une population est assurée. La liberté sexuelle (relations multiples et inconditionnelles) est donc nécessaire pour préserver la santé génétique d'une population. Le matriarcat est uniquement régi par l'amour et l'attirance physique, et permet les relations multiples. Il permet donc un eugénisme naturel. Le patriarcat (droit du sang paternel) soumet les relations sexuelles à des critères financiers plutôt que génétiques. Celui qui ensemence le plus n'est pas le plus sain, mais le plus riche. Dans nos société patriarcales et libérales, les couples dotés d'un physique avantageux sont rarement stables : l'un et l'autre sont constamment soumis à des avances amoureuses multiples. La beauté exhibée déstabilise le couple (d'où l'intérêt du voile islamique). Ceux qui ont une vie sexuelle libérée grâce à leur beauté, sont ceux qui se reproduisent le moins, car conjugalement instables. De plus, puisque la beauté est l'ascenseur social de la femme dans le patriarcat libéral, celle-ci rechignera à une maternité qui pourrait déformer son corps, et qui lui ferait perdre ses avantages sociaux. Au final, ils n'enfantent pas ou peu, alors que ce sont eux qui le devraient. A l'inverse, les couples non gâtés par mère nature, sont plus stables et plus féconds. Peu d'avances extra-conjugales viennent menacer leur couple. ''Ce sont les moches qui font les gosses''. Hérésie biologique du couple Des études scientifiques (en 2011, université du Kansas, Pr Omri Gilliath) ont prouvé qu'en temps de crise, les hommes étaient plus infidèles. Lorsqu’ils se trouvent sous le coup d’une menace, d'un stress, d'une angoisse, la libido des hommes deviendrait incontrôlable. Ce phénomène tendrait à démontrer que lorsque les hommes sentent leur survie menacée, leur instinct les pousse à répandre aux maximum leur patrimoine génétique, afin de favoriser la perpétuation de l'espèce. L'ocytocine est, chez les mammifère, l'hormone de l'attachement. Elle a fortement contribué à la survie de l'espèce. Elle est impliquée lors de l'accouchement (contractions, rétraction, délivrance, allaitement). Elle favorise les interactions sociales amoureuses ou impliquant la coopération, l'altruisme, l'empathie, l'attachement, voire le sens du sacrifice pour autrui, même pour un autrui ne faisant pas partie du groupe auquel on appartient. Dans certaines situations, l'ocytocine peut aussi induire des comportements radicaux, voire violents pour la défense du groupe, par exemple face à un autrui refusant de coopérer. Elle devient alors une source d'agressivité défensive (et non offensive). L'ocytocine joue un rôle essentiel dans l'attachement entre la femelle mammifère et son nouveau-né. Ses effets physiologiques : moindre agressivité, augmentation de la sociabilité, plus grande résistance à la douleur, baisse de la tension artérielle, augmentation de l'appétit, majoration de la confiance vis-à-vis d'autrui et comportement maternel chez les femelles. Ces effets persistent en moyenne deux fois plus longtemps chez les femelles que chez les mâles. L'homme produit de l'ocytocine quand il cultive l'espoir d'avoir des relations sexuelles. ◦ L'homme est donc biologiquement programmé pour ensemencer puis quitter sa partenaire. La femme produit de l'ocytocine après plusieurs relations sexuelles (fonctionnement inverse). ◦ La femme est biologiquement programmée pour obtenir un maximum de semence du partenaire qu'elle a choisi. Le couple n'est donc pas naturel chez les mammifères. La vierge & la putain Si les hommes sont attirés par les filles de joie, faciles, sexuellement expertes et jouisseuses, ils rechignent cependant à construire avec elles une relation conjugale stable, par crainte d'adultère. Paradoxalement, ces hommes là préfèrent ''construire leur vie'' avec une fille difficile au lit, qui jouit peu, et qui a connu peu d'hommes (vierge). Ils déifient une sainte-mère-épouse asexuée, aux mains et à la bouche pures pour embrasser et cajoler leurs enfants, et qui saura sagement entretenir le foyer conjugal. Mais pour satisfaire leurs fantasmes, ils iront se soulager dans les bras d'une prostituée, ou d'une fille de joie (celle-ci essayant de ravir la place de la première). Chez les mammifères les plus évolués, on peut souvent distinguer 2 types de femelles différentes. Les reproductrices d'une part, mieux dotées au niveau des hormones (et donc physiquement), sexuellement précoces et impatientes; et les nourrices d'autre part, peu enclines aux ébats sexuels. Les reproductrices correspondraient donc aux filles de joie, et les nourrices aux saintes-vierges. Si dans le matriarcat, ces rôles sont respectés (les filles de joie se reproduisent, et les saintesvierges s'occupent du foyer), le patriarcat inverse les rôles : les hommes préfèrent se reproduire avec les nourrices, sexuellement stables (fidèles), mais génétiquement inadaptées, et avoir une sexualité épanouie mais stérile, avec les filles de joie, qui ont pourtant un meilleur patrimoine génétique. Si autrefois dans le patriarcat traditionnel, les reproductrices étaient épousées de force, leur fidélité assurée par une police des mœurs, et donc se reproduisaient tout de même; aujourd'hui dans le patriarcat libéral, elles sont libres et sans surveillance, et donc peu sollicitées par les hommes pour faire des enfants. L'espèce humaine risque donc à terme une décadence génétique. Le marché des femmes Les laiderons n'ont pas les moyens de marchander leurs conditions "amoureuses", elles sont donc plus faciles et plus sympathiques. La femme jeune et jolie fait partie d'une caste de privilégiées. Les hommes leur offrent tout pour tenter de les conquérir : contrats d'embauches, entrées, boissons, restaurants, hôtels, cadeaux, bijoux, vêtements, voyages, entretien pur et simple... Exemple : plus les lieux de consommation (bar, boîtes de nuit...) sont chers et cosmopolites, et plus les filles sont belles. C'est la surenchère entre les mâles prétendants. C'est ainsi que la femme jeune et jolie a tendance à se laisser corrompre par sa beauté. Elle devient vénale, exigeante, capricieuse, prétentieuse, égoïste, égocentrique, superficielle, matérialiste, cosmopolite, ultra individualiste, libérale... C'est pourquoi les moches sont souvent sexuellement plus libérées, n'ayant pas les moyens de marchander leur beauté, et compensant par des qualités d'amante afin de garder leur amant difficilement acquis. De manière générale, les femmes sont sexuellement plus libérées soit lorsqu'elles renoncent à leur maternité, soit lorsqu'elles ne peuvent plus, ou ont eut les enfants désirés. La beauté est donc un appât majeur pour attirer les hommes. C'est avec qu'elle marchande ses relations "amoureuses" suivant la loi de l'offre et de la demande. C'est pour cela qu'une femme doit être jeune et impeccablement belle. La laideur et la vieillesse ne pardonnent pas, et la rabaissent au banc de la société. Mais on dira d'un homme laid et vieux qu'il a du "charme" et de la "maturité" s'il paraît riche (frime pour affirmer son niveau social : vêtements, bijoux, voiture...). Ce qui compte, c'est qu'il soit "sécurisant"... Par contre, un homme laid, et surtout pauvre, devra se contenter de la masturbation, des prostituées (s'il en a les moyens), de l'homosexualité, des poupées gonflables, voir de la zoophilie. C'est pour cela que la culture de l'apparence est bien plus poussée chez la femme que chez l'homme : chirurgie esthétique, psychose anti-rides, quête maladive de la jeunesse éternelle... Exemples : dans la mode, il y a 4 saisons pour les femmes, et seulement 2 pour les hommes. Les produits cosmétiques sont beaucoup plus développés pour les femmes que pour les hommes. Les mannequins et actrices porno femmes sont beaucoup plus demandées et beaucoup mieux payées que les hommes. De même, il y a beaucoup plus de prostitution féminine que masculine. Cela s'explique aussi parce qu'on vend davantage et plus cher ce qui est plus rare. En l'occurrence, la femme s'offre beaucoup plus difficilement que l'homme à une relation sexuelle, car c'est elle, et non l'homme, qui prend le risque de tomber enceinte et de se retrouver seule, et c'est donc elle qui prend le risque de salir sa réputation vis à vis de la morale puritaine patriarcale. C'est donc elle qui contrôle l'offre en prestations sexuelles, et l'homme la demande. Beauté et culture : Les jeunes filles découvrent très tôt leur niveau de pouvoir de séduction. Leur mentalité se structure donc en conséquences : goûts culturels, niveau intellectuel... La laideron, nonsuperficialisée par les paillettes du patriarcat libéralisé, va être passionnée par les choses vraies : arts, sciences, cultures, Histoire, traditions, spiritualités... Le pseudo-féminisme parachève la prostitution de la femme. Alors qu'autrefois (patriarcat traditionnel) elle était vendue contre son gré lors de son mariage, aujourd'hui (patriarcat libéral) elle supervise elle-même sa propre vente (spéculation conjugale & ''croqueuses de diamants''). Elle ne se prostitue plus pour survivre ou nourrir sa famille, mais désormais pour vivre la vie de luxe et de fastes vantés par la presse (prostitution consentante des adolescentes pour s'acheter des produits de luxe). Elle se met désormais à son compte personnel, en tant que prostituée-auto-entrepreneuse, et devient individualiste et carriériste. On remerciera pour cela la contribution de la presse féminine qui se décline en 2 courants : Pour les belles, les magasines de mode : "Jeune & Jolie", "Glamour", "Cosmopolitan", "Elle" … La belle s'identifie facilement aux canons de beautés qui y sont présentées. C'est ainsi que le message de propagande pseudo-féministe-capitaliste-individualiste-consumériste-carriériste peut se transmettre. Pour les laiderons, les magasines "people" tels que "Closer" et autres torchons voyeuristes des "stars"... La moche ne peut pas s'identifier aux magasines féminins classiques. Elle ne vit pas la vie sexuelle, "amoureuse", et luxueuse de la belle. Elle compense cette frustration en ''voyeurisant'' dans les magasines ''people'' ce qu'elle ne peut obtenir. Non seulement elle vit ainsi ses rêves par procuration, mais en plus, elle peut se permettre par la même occasion de railler et mépriser cette vie de star qu'elle n'a pas pu obtenir, et ainsi de ne pas la regretter. En effet, les magasines "people" s'évertuent à décrire un triste tableau de la vie pathétique et dégénérée des "stars". La laideron se dit "voici donc la vie dont je rêvais, mais finalement je ne rate rien". Finalement, par un égo-trip narcissique, avec leurs tenues sexuellement harcelantes, les belles ne cherchent à plaire qu'à elles-même, afin d'être conformes au style de vie des magasines féminins, et s'offusquent des compliments et avances des hommes de basse condition, en prétextant qu'elles ne sont pas des putes, parce qu'elles ne couchent pas facilement. Bénies soient les saintes ''salopes'', qui se donnent généreusement par amour des hommes et du plaisir de la chair. Stupidement, en voulant copier les modèles féminins glorifiés par la presse, les belles saccagent la beauté de leur jeunesse, en fumant et buvant plus que de raisons, lors des nombreuses nuits blanches des fêtes modernes dégénérées. Elles vieillissent prématurément en prenant leurs premières rides à 27 ans. La psychose de la jeunesse éternelle commence : cosmétiques hors de prix, botox, chirurgie... Lutte des classes : Pendant que la femme jeune et jolie jouit des fastes de sa caste, la laideron est délaissée par la société : son ascension sociale est plus difficile, elle ne bénéficie d'aucuns privilèges, ni d'aucunes offres de la part des hommes. Cela engendre donc jalousies et rivalités de pouvoir entre les femmes, basées sur les différences de niveaux de beauté. Ainsi naît le phénomène de "pétasserie entre filles". Les filles s'organisent naturellement en cercles d'amies basés sur le niveau de beauté, et donc sur le niveau social : le gang des belles (riches), le gang des moches (pauvres). On a affaire ici à un nouveau type de lutte des classes. Beauté et pouvoir : La rébellion, c'est pour les ''loosers''. Pour elle et ses enfants, la femme recherche un ''winner'', donc bien inséré dans cette société patriarco-libérale. Elle va donc fréquenter les hommes du pouvoir, de la "majorité" politique, riches et vieux. Par ailleurs, la femme jeune et jolie n'a aucun intérêt à se rebeller contre une société qui la favorise. C'est pour cela que les belles défendent becs et ongles le patriarcat. D'autre part, en tant que winneuses, elles ne se rebellent pas, et ne s'intéressent pas ou peu à la politique. Elles laissent ce soin à leurs maris. La laideron, en tant que looseuse, se rebelle et s'intéresse d'avantage à la politique. Elle ira rejoindre les rangs des loosers mâles dans les partis politiques d'opposition (partis ouvriers : Front National, Parti Communiste, alter-mondialistes...). Les laiderons n'ont aucun intérêts dans une société patriarcale-libérale, car elles n'arrivent pas à marchander leur ascension sociale avec leur beauté. C'est pour cela qu'elles sont beaucoup plus enclines au matriarcat. Beauté et stabilité du couple : On remarquera aussi que les laiderons ont une vie amoureuse certes moins faste, mais plus stable. Les belles, mariées ou non, sont constamment soumises à la surenchère des avances des mâles. Il y a donc toujours possibilité pour la femme jeune et jolie de trouver ailleurs un mâle "meilleur", d'où l'intérêt du voile dans certaines cultures. De même, les beaux hommes sont sans cesse soumis aux avances féminines, et donc, à la tentation de l'adultère. La majorité des femmes sont attirées par une minorité d'hommes, beaux et riches. Une fois qu'elles ont réussi à séduire un tel homme, elles oublient que de nombreuses autres femmes vont essayer de leur ravir leur place. Elles croient naïvement que par la toute puissance de ''l'amour'', leur étalon va décliner vertueusement les avances de leurs concurrentes. Voir les affaires d'adultère des célébrités telles que Tiger Woods, ou David Beckham. Remarquons par ailleurs que ces étalons trompent leurs belles capricieuses et sexuellement compliquées pour des laiderons bonnes vivantes bien plus agréables à vivre. Remarquons aussi que si les hommes trompent occasionnellement pour pimenter leur vie sexuelle, les femmes trompent pour changer de conjoints, intérêts matérialistes obligent. Puisqu'elles naissent plus nombreuses et vivent plus longtemps que les hommes, les femmes sont plus nombreuses. Et les hommes de qualité étant étant forcément plus rares, les femmes vont devoir se les partager entre elles, sans jalousie, ni possessivité. Les laiderons n'ont pas cette tentation de l'adultère. Une fois leur conjoint (difficilement) trouvé, les avances extérieures de qualité étant rarissimes, la stabilité de leur couple est difficilement menacée. C'est ainsi que les laiderons font plus d'enfants que les belles, et ce malgré la différence de niveau social. De plus, elles ont moins peur de déformer leur corps avec les grossesses, contrairement aux belles qui ont peur d'y perdre le pouvoir vital et lucratif de leur beauté. Bien que plus stable, la vie amoureuse est plus difficilement accessible au laideron. Qui voudrait s'afficher avec un laideron dans la rue ? Problème que ne connaissent pas les laiderons des sociétés matriarcales, car chez elles, toute relation doit rester secrète. Bien que perpétuellement instable, la vie amoureuse est donc très accessible à la belle. Consciente de ses moyens de négociations, dans sa philosophie néo-libérale de winneuse workinggirl sur le marché conjugal, la belle est intransigeante, exigeant de la gente masculine l'impossible "prince charmant" winneur, puissant, glorieux, riche, beau et intelligent, père, ami et amant... L'homme de ses rêves n'existant pas, elle se retrouve finalement seule malgré elle, malheureuse, changeant sans cesse de petit copain, lui assez malin (hypocrite et fortuné) pour lui raconter ce qu'elle a envie d'entendre, afin d'assouvir ses besoins sexuels. Elle tentera en vain sa chance sur les sites internet de rencontre, ou aux ''speed dating'', organisations payantes de rencontres expresses à la chaîne, comme une DRH devant des candidats au poste de prince charmant. D'où la surconsommation névrotique du tabac chez ces femmes, l'explosion du marché des sex-toys et la mode du lesbianisme. Quand bien même une relation ''sérieuse'' se tisse entre la belle et son élu, celui-ci après avoir été ''tout-sucre-tout-miel'' deviens très vite jaloux, possessif et paranoïaque, pleinement conscient de la convoitise qu'elle suscite auprès des autres mâles. Mini jupes, décolletés, sorties entre amies deviennent le moindre sujet de dispute. Commencent alors les violences psychiques... puis physiques. C'est pour cela qu'après avoir fréquenté les belles, les hommes dégoûtés préfèrent souvent se caser avec un laideron : moins chère, moins exigeante, moins convoitée donc moins risquée. Égalité sociale entre belles et moches : Au final, le laideron pratique plus souvent un mariage de raison, stable et fécond, mais sans passion; alors que la belle enchaîne les histoires passionnées, voir violentes, mais éphémères, restant ainsi seule et sans enfants, ou mère seule. On comprend mieux l'engouement actuel des jeunes filles pour le voile islamique; afin de se valoriser autrement que par le physique, et de tenter de vivre une maternité sereine, non contrainte par les enjeux de pouvoir de la beauté, celui-ci n'intervenant qu'au début pour trouver un mari. Dans le matriarcat, la femme belle ou non, ainsi que tous ses enfants, sont pris en charge par la collectivité de son clan matrilinéaire (frères et cousins maternels). Belle ou non, sa sécurité familiale ne dépend pas de son amant. Un homme prend en charge toutes les femmes de son clan (sœurs et cousines maternelles) ainsi que leurs enfants, qu'elles soient belles ou non, car aucune sexualité n'est en jeux: consanguines, il ne couche pas avec elles. Les belles et les laiderons, puisque sœurs et cousines, sont ainsi sur le même pied d'égalité : la famille. Seule la famille matriarcale garanti l'égalité sociale entre les laiderons et les belles. Car il n'y a que dans la famille que nous sommes égaux.