Jean-Claude André
Transcription
Jean-Claude André
Jean-Claude André Issu d’une famille partagée par tradition entre la carrière militaire et l’industrie, Jean-Claude André transige et, après une jeunesse dans les grands services, il opte pour le civil et suit un cursus d’ingénieur à Toulouse, capitale européenne de l’aéronautique et du spatial. A la trentaine, dans les années 80, il est promu directeur de la Société Rebois, grande entreprise de traitement de surface des métaux et de travaux à hauts risques, au service de l’industrie internationale pétrolière, maritime, aéronautique, spatiale, nucléaire, de l’armement et des télécommunications. En 1985, il quitte l’entreprise pour participer aux programmes de recherche et de production de l’industrie de pointe française et européenne, avec des clients tels que le CEAT (Centre d’Essais Aéronautique Toulousain), la SNPE (Société Nationale des Poudres et Explosifs), Airbus, Aérospatiale, le CNES (Métropole et Kourou) et le groupe sidérurgique italien Nuova SIPRE. Dès lors, il participera à titre d’expert à l‘ingénierie de nombreuses réalisations dans ces domaines. Dans la même période, l’Université Paul Sabatier de Toulouse le convie à siéger à la « Commission polytechnique de formation des ingénieurs des techniques de production des matériaux à hautes performances ». Fin 1989, Jean-Claude André participe à l’expertise des dégâts causés par le cyclone Hugo en Guadeloupe. Il prend en charge et organise dans l’urgence, la reconstruction d’installations sensibles avec des clients comme TDF et Radio Caraïbes International. Dans le prolongement de cette mission, il part sur le continent Sud Américain pour conduire une mission d’expertise sur des ouvrages de télécommunications pour le compte de plusieurs opérateurs. En 1990, il est appelé à participer à la planification et la mise en place des moyens de soutien de télécommunications et de guerre électronique de l’opération Desert Storm. Dans la même période, il participe au déploiement de la télévision à Beyrouth, au Maroc et aux Comores. Il est également sollicité pour étudier et organiser divers déploiements permettant de densifier les installations de télévision en préparation de la Coupe du Monde de football en 1990. On le retrouve entre autres, à Cap Vert, dans les Caraïbes, dans les îles de l’Océan Indien, et en Espagne. A la suite de ces programmes, il part pour une longue tournée d’expertise internationale concernant les infrastructures de télécommunications de nombreux opérateurs et institutions étatiques, principalement pour le contrôle et le renforcement des ouvrages en condition cyclonique et sismique. En 1993, il crée à Tunis, un bureau d’études spécialisé dans la formation et la mise à niveau des entreprises. A la demande du Ministère de l’industrie, Jean-Claude André participe au développement des zones franches tunisiennes. Pour répondre à de nombreuses demandes, il ouvre en 1998 une filiale luxembourgeoise qui soutien des actions juridico-techniques de haut niveau. La même année, il intègre l’Institut de l’Expertise à Paris, ainsi que la Chambre des Experts Agréés - Communauté Européenne à Luxembourg. Jean-Claude André intervient depuis sur plusieurs continents en tant qu’expert en ingénierie, stratégie industrielle et management du risque pour l’industrie privée, diverses institutions, et le secteur militaire. On le retrouve actuellement sur les grands théâtres opérationnels de la Défense et de l’OTAN, en particulier en Afghanistan, où il est l’expert du groupe Thalès pour le déploiement tactique du réseau SATCOM de la Force Internationale d’Assistance à la Sécurité (ISAF). Ancien membre de la Chambre Française de Commerce et d'Industrie au Grand-duché de Luxembourg (CFCI), Jean-Claude André fait aujourd’hui partie du Conseil d’administration de la Chambre des Experts Agréés - Communauté Européenne (CEACE). Il participe à des événements et à des rencontres culturelles, diplomatiques, et politiques à Paris, y compris les dîners débats The Kitson, ainsi qu’à des conférences d’intérêt public et privé. En novembre 2008, il est invité par l’Institut Aspen et l’Université Américaine de Paris à leur série de conférences internationale, The Aspen Cultural Diplomacy Forum. Direction de la Division Stratégie Industrielle Mission : Identifier et résoudre la problématique industrielle et organisationnelle dans la totalité de ses composantes, des impératifs, et des risques. Problématique industrielle : Analyse, mise en phase et optimisation des composantes et des moyens en vue d’aboutir à un objectif technique ou opérationnel, conduire une opération et / ou réaliser une stratégie. Expertise : Elle consiste au recueil et constat factuel de l’état d’une composante industrielle, physique ou morale, dans un but spécifique. Déploiement opérationnel l’externalisation de l’opération en conditions complexes : Accompagnement de sous un environnement comprenant des conditions physiques, techniques, psychologiques, politiques, et économiques sous des contraintes comportant des risques hors gabarit. Logistique : Traitement détaillé de la problématique logistique dans sa globalité d’amont en aval. Résolution des conflits : COS favorise la résolution des conflits internes et externes à l’entreprise ou l’institution, par la conciliation, la médiation ou l’arbitrage. Modes d’intervention : Sur quatre niveaux, tous fondés sur le premier : • Niveau 1 – Audit COS, fondée sur l’expertise, aboutissant au Compte-rendu d’audit industriel (CRAI) contenant des recommandations et propositions traduisibles en : • Niveau 2 – Modélisation des stratégies, des solutions et accompagnement de la prise de décision • Niveau 3 – Accompagnement de la mise en œuvre et de la réalisation • Niveau 4 - Coaching / formation et/ou accompagnement de la Direction et des Cadres