volver - Passeurs d`images
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VOLVER Fiction Couleur - 2h01 Espagnol - 2005 Sortie : 17/05/2006 VOST et VF de Pedro Almodovar distributeur : Pathé Distribution avec : Pénélope Cruz, Carmen Maura, Lola Duenas synopsis Il y a Raimunda, mariée à un ouvrier au chômage, et sa fille adolescente ; Sole, sa soeur, qui gagne sa vie comme coiffeuse ; et leur mère, morte dans un incendie aux côtés de son mari. Le personnage de la mère apparaît d'abord à sa soeur puis à Sole ; pourtant, c'était avec Raimunda et avec sa voisine du village, Agustina, qu'il lui restait des affaires importantes à régler… Ceci est le début d'une histoire complexe et simple, émouvante et atroce, qui affecte les femmes de la famille de Raimunda, ses voisines… et quelques hommes. presse Libération - Gérard Lefort “Volver” nous parle de transmission, d’amour plus fort que tout, de chansons tristes qui font pleurer, de plaisanteries populaires qui font rire. “Volver”, notre fureur de vivre. Ouest France - La rédaction (...) ce mélodrame (...) porte la belle signature d’un Pedro Almodovar inspiré. Un cinéaste de passion et de tempérament, avec ce qu’il faut de flamboyance, de déchirements et de jubilations pour nous emporter. Prix d’interprétation collectif pour l’ensemble de la distribution féminine & Prix du scénario - Cannes 2006 à propos du film Volver c’est Madrid et les quartiers bouillonnants de la classe ouvrière, où les immigrés des différentes provinces espagnoles partagent leurs rêves, leur vie et leur sort, avec une multitude d’ethnies et de races étrangères. Au sein de cette trame sociale, trois générations de femmes survivent au vent, au feu, et même à la mort, grâce à leur bonté, à leur audace et à une vitalité sans limites. “Je suppose que Volver est une comédie dramatique. Il y a des séquences amusantes et des séquences dramatiques. Son ton imite “la vie”, mais sans être une comédie de moeurs. C’est plutôt un naturalisme irréel, si ça pouvait exister. (...) J’ai toujours mélangé les genres et je continue à le faire. Pour moi c’est quelque chose de naturel. Le fait d’inclure un fantôme dans l’histoire est un élément comique, surtout si on le présente d’une façon réaliste.” Pedro Almodovar 28