Comparaison de la daurade royale \(Sparus aurata\) sauvage et d

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Comparaison de la daurade royale \(Sparus aurata\) sauvage et d
BIBLIOMER
Veille bibliographique et réglementaire à l’intention des professionnels de la filière produits de la mer
Bibliomer n° : 19 – Septembre 2002
Thème : 3 – Qualité
Sous-thème : 3 – 3 Critères de qualité
Notice n° : 2002-1919
Comparaison de la daurade royale (Sparus aurata) sauvage et d'élevage ; composition, apparence
externe et variations saisonnières
Comparison of wild and cultured gilthead sea bream (Sparus aurata) ; composition, appearance and
seasonal variations
Grigorakis K., Alexis M.N., Anthony Taylor K.D.*, Hole M.
* University of Lincoln, Food Research Centre, Brayford Pool, Lincoln LN6 7TS, UK ; E-Mail : [email protected]
International Journal of Food Science and Technology, 2002, 37, p. 477-484 – Texte en Anglais
z Résumé
Des paramètres de qualité tels que la composition du muscle, les dépôts lipidiques, la composition en acides gras
et l’apparence externe ont été étudiés pour la daurade royale sauvage et d’élevage. La teneur en lipides du
muscle et les dépôts lipidiques (péritonéaux et péri-viscéraux) varient selon la saison, avec un minimum observé
à la fin du printemps et un maximum à la fin de l’été. Les indices gonadosomatiques du poisson d’élevage sont
plus faibles que ceux mesurés chez le poisson sauvage. La teneur en lipides de la daurade d’élevage est
nettement plus forte que celle du poisson sauvage. Des différences sont également observées au niveau des
profils d’acides gras. Le poisson d’aquaculture est caractérisé par des teneurs élevées en acides gras monoinsaturés, en n-9 et en 18:2-6 tandis que le poisson sauvage présente des quantités importantes d’acides gras
saturés, de 20:4n-6, de n-3 et un rapport n-3/n-6 plus fort. Des différences sont également notées en ce qui
concerne l’apparence externe.

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