35-ddp-UbuRoi - Lycée Marseilleveyre

LaCriée
Théâtre national de Marseille Direction Macha Makeïeff
UbuRoi
35
D’AlfredJarry
Mise en scène de DeclanDonnellan
Scénographie de NickOrmerod
Grand Théâtre
du 3 au 6 avril
UbuRoi
D’AlfredJarry Mise en scène de DeclanDonnellan
Scénographie de NickOrmerod
conception et mise en scène Declan Donnellan
Scénographie Nick Ormerod assistants à la mise en scène
Michelangelo Marchese et Bertrand Lesca costumes
Angie Burns compositeur Davy Sladek lumière Pascal Noël
vidéo Benoit Simon et Quentin Vigier direction corporelle
Jane Gibson coach voix Valérie Bezançon
Avec
Christophe Grégoire Père Ubu,
Camille Cayol Mère Ubu,
Xavier Boiffier Bordure,
Vincent de Boüard Le Roi Wenceslas,
Cécile Leterme La Reine Rosemonde,
Sylvain Levitte Bougrelas
tarif B
Grand Théâtre
durée 1h40
Mer 19h
Jeu-Ven-Sam 20h
Création : Janvier 2013, La Haye
Coproducteurs : Cheek by Jowl avec Barbican à Londres ; Les Gémeaux/Sceaux/
Scène Nationale et Comédie de Béthune, Centre Dramatique National Nord/Pasde-Calais.
du 3 au 6 avril
presse
& Communication
Renseignements
réservations
Contacts
Relations avec le public
Pierre Collet 01 40 26 35 26 / 06 80 84 87 71
[email protected]
Aux guichets du mardi au samedi
de 12h à 18h ou par téléphone
au 04 91 54 70 54
vente et abonnement en ligne.
Laura Abecassis 04 96 17 80 21
[email protected]
Béatrice Duprat 04 96 17 80 34
[email protected]
>> Photos libres de droits, biographies et
autres informations sur le spectacle sont
disponibles sur www.theatre-lacriee.com
>> Codes accès espace pro :
identifiant : presse / mot de passe : saisonlacriee
Tarifs
Tarif A : de 6 à 12 e
Tarif B : de 9 à 24 e
Tarif C : de 12 à 34 e
Catherine Loegel 04 96 17 80 30
[email protected]
Billetterie groupes - Anne Pirone
04 96 17 80 20
[email protected]
Réservations 04 91 54 70 54 www.theatre-lacriee.com
UbuRoi
L’inventeur de la Pataphysique, science des solutions imaginaires, revisité par l’esprit British :
un « must » ! Par Declan Donnellan, un maître de la direction d’acteurs à l’anglaise.
Première pièce du cycle « Ubu » d’Alfred Jarry, Ubu Roi (1896)est avant tout une farce satirique
et provocatrice annonçant le surréalisme et le théâtre de l’absurde, une fable parodique
sur le pouvoir et la fascination qu’il exerce : le Père Ubu, poussé par sa femme, assassine
le roi Venceslas et s’empare du trône. Multipliant les assassinats, les festins, les couardises
et les caprices, Le Père Ubu doit finalement prendre la fuite vers la France. D’inspiration
grotesque, du Moyen-Âge à Rabelais, ce texte truculent est une véritable réécriture du grand
répertoire tragique occidental : le titre est une allusion directe à l’Œdipe Roi de Sophocle,
et les péripéties des deux héros de l’intrigue ne sont pas sans faire penser à certains chefsd’œuvre de Shakespeare, comme Macbeth ou Hamlet. De la vulgarité affichée de son « merdre
» inaugural à son ambition finale et saugrenue de devenir « Maître des Phynances » en France,
Ubu s’impose comme le type même de la bassesse humaine, glouton, bête et brutal. Le
célèbre duo anglais Declan Donnellan et Nick Ormerod s’attaque à cette écriture potache
de génie pour en révéler l’énergie et le dynamisme fulgurants.
!
Ubu Roi - 25/05/2012
Veillée des enfants > Samedi 6 avril à 20h
atelier pendant la représentation.
page 3
Notes on Ubu Roi
Nous sommes une espèce qui préfère évoquer l’innocence de l’enfance plutôt que se souvenir
de sa cruauté potentielle. Certains théoriciens ont même attribué l’absence de souvenirs d’enfance à un désir de protection contre des sentiments bouleversants, tellement négatifs que
nous avons honte de les avoir en nous.
Ma et Père Ubu – excessifs, antisociaux, d’un dynamisme foudroyant mais sans autre but que
l’accumulation du pouvoir – nous effraient peut-être autant qu’ils nous font rire. Nous rappellent-ils l’égoïsme et la violence de notre propre enfance ? Voilà ce que cette pièce met en
scène avant tout, un infantilisme menaçant, aussi vicieux qu’il est puéril. Ubu exprime ainsi le
potentiel de violence qui existe au fond de nous tous.
L’historien affirme souvent que le meilleur moyen de répéter les désastres d’antan est de les
occulter. Peut-être en va-t-il de même pour notre propre passé individuel.
Ouvrage de génie ou travail de potache, produit d’un fin-de-siècle qui avait soif de nouvelles
formes, Ubu fait preuve d’une simplicité inouïe en nous renvoyant à nos instincts les plus primitifs.
Ubu Roi - 25/05/2012
page 4
AlfredJarry
Alfred Jarry (1873-1907) n’a que treize ans lorsqu’il compose sa première comédie en vers :
Les Brigands de Calabre. Il est alors élève au lycée de St Brieuc. Au cours des trois années qui
suivent, il continue de rédiger pièces et poèmes.
Pendant ce temps, au lycée de Rennes, d’autres lycéens chahutent leur professeur de physique, M. Hébert, surnommé le P.H. ou Père Eb, Ébé, Ébane, Ébouille. À son entrée en première au lycée de Rennes, en 1888, Jarry rencontre Charles Morin, coauteur des pochades
consacrées à P.H., dont l’une relate les aventures de P.H. devenu roi de Pologne (Les Polonais).
La première version d’Ubu Roi, aujourd’hui disparue, est représentée au domicile des Morin,
puis chez les Jarry, par les Marionnettes du théâtre des phynances en 1888. S’il n’est pas l’inventeur du personnage, ni le seul auteur du premier Ubu Roi, Jarry est bien le seul créateur des
Cornes du P.H., puis d’Ubu cocu. De retouches en remaniements, le P.H. prend définitivement
le nom d’Ubu en 1891. Chez lui, pour amuser ses condisciples du lycée Henri IV, Jarry met en
scène à de nombreuses reprises Ubu Roi et Ubu cocu.
La première représentation d’Ubu Roi dans un authentique théâtre n’a lieu que le 10 décembre
1896, au théâtre de l’Œuvre à Paris. Malgré le prestige des décorateurs (Bonnard, ToulouseLautrec, Vuillard), du metteur en scène (Lugné-Poe), de l’acteur principal (Firmin Gémier),
du musicien (Claude Terrasse), la représentation fait scandale. Le public, indigné, refuse les
outrances de la caricature et les invraisemblances de l’action dramatique.
Jarry répond aux critiques en publiant son « drame en cinq actes, en prose, restitué en son intégrité tel qu’il a été représenté ». Ce texte est accompagné d’un article, Questions de théâtre,
dans lequel l’auteur tire leçon de l’échec d’Ubu Roi et justifie ses choix. Le cycle s’enrichit,
en 1899, d’un Ubu enchaîné, d’un Almanach illustré du Père Ubu et, en 1901, d’un Ubu sur la
butte.
En dix ans, la pochade des lycéens rennais a pris les dimensions d’un mythe universel. Son
créateur, vampirisé par sa créature, signe Ubu certains de ses dessins et parle de lui-même
sous ce nom.
Jarry meurt le 1er novembre 1907 des suites d’une méningite tuberculeuse. Il allait avoir 34 ans.
Ubu Roi - 25/05/2012
page 5
DeclanDonnellan
Declan Donnellan, metteur en scène britannique d’origine irlandaise, a fondé à Londres en
1981 la compagnie Cheek by jowl. Il a été également, de 1989 à 1997, directeur associé du
Royal National Theatre de Londres.
Il est nommé Directeur Général de l’Académie Royale de la Shakespeare Company.
Il a monté notamment des textes de Shakespeare, Racine, Ostrovski, Sophocle, Lessing…
mais aussi l’écrivain américain contemporain Tony Kushner. Il a reçu plusieurs prix
internationaux dont le prix Laurence Olivier pour l’ensemble de son travail.
Le Cid de Corneille, produit par le festival d’Avignon, a connu un grand succès au festival 1998
et fut présenté à Paris, dans les grandes villes françaises, ainsi qu’à Almagro, à Rome, Londres,
Moscou, Novossibirsk, et à New York, où il a reçu le prix Obie pour la mise en Scène (premier
spectacle en français à recevoir ce prix depuis le Mahabharata de Peter Brook).
Et la Russie… Declan Donnellan a une longue histoire avec la Russie. Il a présenté nombre de
ses spectacles à Moscou et Saint Petersbourg : Mesure pour mesure, Comme il vous plaira,
La Duchesse de Malfi, Beaucoup de bruit pour rien, Le Conte d’hiver. Il a aussi créé Boris
Godounov et La Nuit des rois et Les Trois Sœurs avec l’International Theatre Chekhov
Festival
à Moscou. Son travail a été unanimement salué par le public et la critique.
Declan Donnellan est en Résidence de Production et de Création Internationale aux
Gémeaux / Scène Nationale depuis 1998.
Ses dernières créations :
La Tempête, William Shakespeare, Janvier 2011
Boris Godounov, Alexandre Pouchkine, février 2002 et novembre 2010
Macbeth, William Shakespeare, février 2010
Troïlus et Cressida, William Shakespeare, mars 2008
Andromaque, Jean Racine, octobre 2008
Cymbeline, William Shakespeare, mars 2007
The Changeling, T. Middleton et W. Rowley, mars 2006
Les Trois Sœurs, Anton Tchekhov, avril 2005
Ubu Roi - 25/05/2012
page 6
Lescomédiens
Christophe Grégoire Père Ubu
Il se forme à l’Institut Européen de l’Acteur avec Radu Pensciulescu et au Roy Hart Théâtre
Sylvie Chenus.
Au Théâtre : Il joue dans des mises en scène de Eric Lacascade : Le Tartuffe de Molière, Les Estivants de Gorki, Les Barbares » de Gorki (festival d’Avignon), Hedda Gabler de Ibsen, Platonov
de Tchékhov (Cour d’Honneur festival d’Avignon), La Mouette de Tchékhov (Festival d’Avignon). Avec Paul Desveaux, il a joué dans La Cerisaie de Tchékhov, Vraie Blonde et autres…
textes de Kérouac. Avec Patrice Bigel, dans Le cocu magnifique de Crommelynck, Dramen
d’après Kaiser.
On l’a vu également dans Andromaque de Racine, mise en scène de Declan Donnellan ; Méphisto de Bertholet, mise en scène de Anne Bisang ; La maladie d’être mouche de Steininger,
réalisation collective ; Villes Invisibles de Calvino, mise en scène de Hervé Lelardoux ; Polyeucte de Corneille, mise en scène de Dominique Terrier ; Sallinger de Koltès, mise en scène
de Kamel Abdelli ; Le songe d’une nuit d’été de Shakespeare, mise en scène de Michel Pierre ;
Triptyque Balkanique, 3 pièces de Kis, Plevnes, Kovac, et Compétition de Lenoir, dans des
mises en scène de Patrick Verschueren.
Au cinéma il a joué dans La mer à boire réalisé par Jacques Maillot, Hopecity réalisé par Léa
Jamet, Jean-jean d’après Oncle Vania réalisé par Robin Renucci, L’esclave de Magellan réalisé
par Thomas Wallon.
Pour la télévision, il a joué avec Rodolphe Tissot, Jérôme Navarro, Laurence Katrian, Philippe
Berenger, Christophe Barraud et Christophe Barbier.
Camille Cayol Mère Ubu
Après une formation au Conservatoire National d’Art Dramatique de Moscou (MKHAT), elle est
comédienne permanente du Théâtre Tabakov Moscou de 1994 à 2002, où elle joue dans L’Idiot
de Dostoïevski, mise en scène A. Marin ; Les Confessions de Felix Krull, mise en scène A.
Gitinkin ; Camera Obscura de Nabokov, mise en scène A. Kouzntssov ; Biloxi Blues de Simon,
mise en scène O. Tabakov ; Une Histoire ordinaire de I.Gontcharov, mise en scène O. Tabakov ;
Nous autres de I. Zamiatine, mise en scène A. Marin ; Névrose de A. Minchin , mise en scène
A. Gitinkin ; Rêve prémonitoire de et mise en scène P. Gladilin ; La Prière de F. Arrabal, mise
en scène L. Rochkavan ; Veilles de Bonnaventura, mise en scène L. Rochkavan ; Le Toit de A.
Galin, mise en scène O. Tabakov. Elle obtient le prix d’interprétation pour Camera Obscura du
Fonds Tabakov et le prix du meilleur espoir féminin de la saison théâtrale Kommerssant.
En France elle joue dans Jubilé Théâtre Tabakov (en russe, en 2012) ; Les Trois Sœurs de
Tchékhov (en russe, en 2011), mise en scène Declan Donnellan ; Andromaque de Racine, mise
en scène Declan Donnellan ; Fantôme d’Isabelle Catalan (danse) ; Travail sur la Guerre Froide,
mise en scène Declan Donnellan ; L’Orage d’Ostrovski, mise en scène de Macha Makéïeff, en
2000 aux Laboratoires d’Aubervilliers.
On l’a vue au cinéma dans Le Rêve de Frédérique réalisé par F. Henry et M. Gerin, en 2010 La
guerre est déclarée réalisé par Valérie Donzelli, Cap Nord réalisé par S. Rinaldi, Longtemps
après la dernière note réalisé par M. Fanfani, Étoile violette réalisé par Axelle Roppert, Mystification réalisé par S. Rinaldi et L’éclaireur réalisé par D. Glissant.
Ubu Roi - 25/05/2012
page 7
UbuRoi
Xavier Boiffier Bordure
Il suit l’enseignement du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de 2002 à 2005.
Au théâtre, il a joué dans La Nuit des Rois de Shakespeare mise en scène par Andrzej Seweryn
à la Comédie-Française, La Chèvre ou Qui est Sylvia ? de Edward Albee mise en scène de
Frédéric Bélier-Garcia, Le Songe d’August Strindberg mise en scène de Jacques Osinski,
Andromaque de Racine mise en scène de Declan Donnellan, et Ithaque de Botho Strauss
mise en scène de Jean-Louis Martinelli.
Au cinéma, on a pu le voir dans Brice de Nice réalisé par James Huth, et dans plusieurs
courts-métrages, notamment Manon sur le bitume réalisé par Elizabeth Marre et Olivier Pont,
nominé dans la catégorie Meilleur Court-Métrage aux Oscars 2009, et joue également pour la
télévision dans la série Ainsi-soient-ils produite par Arte.
Vincent de Boüard Le Roi Wenceslas
Au Théâtre, il a joué récemment dans Dealing vith Claire de Martin Crimp, mise en scène
Sylvain Maurice ; Andromaque mise en scène Declan Donnelan ; Trois années D’après Anton
Tchekhov mise en scène Roger Grenier. On l’a vu également dans Le Regard mise en scène
Laurent Terzieff ; Hamlet mise en scène Sarah Sarrabezolles ; En Route d’apres Hermann Hesse
mise en scène Laurent Gutmann ; Amadeus de P. Scaffer mise en scène Léonard Cobiant ;
Nathan le Sage de G.E. Lessing mise en scène A. Lang à la Comédie-Française ; Le Libertin
d’Eric-Emmanuel Schmitt mise en scène Bernard Murat ; Hélène De Jean Audureau mise en
scène Jean-Louis Thamin ; Comme un rêve de Sarah Sarrabezolles mise en scène de l’auteur,
au Festival d’Avignon ; Temps contre temps de R. Harwood mise en scène Laurent Terzieff ; Poil
de Carotte de Jules Renard mise en scène Marcel Guignard ; Richard II de William Shakespeare
mise en scène Yves Gasc ; L’oiseau Bleu de Maurice Maeterlinck mise en scène d’Alfredo Arias ;
A Pied de S. Mrosek mise en scène Laurent Terzieff ; Mensonge de Jean Cocteau mise en scène
S. Sarrabezolles ; Chant pour une planète De E. Rebaudengo mise en scène Jean Rougerie.
Au cinéma, il a joué, en 2012, dans L’homme qui rit de Jean Pierre Ameris, puis dans Irene de
Ivan Calberac, Tout va mâle de Laurent Bouhnik, Les Caprices d’un fleuve de Bernard Giraudeau,
Fortune Express d’Olivier Schatsky, Chouans ! de Philippe De Broca, Oppressions de Jean Cauchy.
Il a également beaucoup tourné pour la télévision, et dans quelques courts-métrages.
Ubu Roi - 25/05/2012
page 8
UbuRoi
Cécile Leterme La Reine Rosemonde
Cécile Leterme, née à Angers, a reçu une formation en langues vivantes, musique et théâtre. Sa
rencontre avec Laurent Serrano, avec qui elle travaille toujours régulièrement, marque le début
de sa carrière.
Avec lui elle jouera notamment dans Il Campiello de Goldoni, Le Chaperon rouge et Le Dragon
de E. Schwartz, ou plus récemment La Cagnotte de Labiche. Ces spectacles émaillés de
chansons composées par Benoit Urbain lui vaudront d’autres rencontres : avec J.M. Machado
et J.J. Fdida par exemple, avec qui elle a chanté l’opéra jazz la fille du diable, ou la compagnie
Bafduska avec qui elle a chanté la Périchole de Barbarie d’après Offenbach ou Le roi qui n’avait
pas d’oreilles de A. Paré et B. Urbain. Parmi les autres metteurs en scène avec qui elle a travaillé
au théâtre, il faut citer Declan Donnellan, Didier Ruiz, François Ha Van, Anouch Paré, Bruno
Cochet, Cendre Chassanne.
Elle a enregistré un CD, l’Arbre sans lumière, conte en chansons de Benoit Urbain et Olivier
Prou. Actuellement en tournée avec le Bourgeois gentilhomme de Molière mis en scène par
Laurent Serrano, elle retrouvera Declan Donnellan la saison prochaine.
Sylvain Levitte Bougrelas
Sylvain Levitte se forme au Studio Théâtre d’Asnières-sur-Seine, dirigé par Jean-Louis MartinBarbaz et Hervé Van der Meulen, puis au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique
de Paris. Il a également pratiqué le chant comme choriste, puis soliste au sein de la Maîtrise
des Hauts de Seine (Chœur d’Enfants de l’Opéra National de Paris)
Au Théâtre, il a joué dans Le Cadavre vivant, de Tolstoï, mise en scène Julie Brochen – 2003 ;
Hygiène de l’assassin, adaptée du roman d’Amélie Nothomb par Alice Boucherit - 2006 ; L’Augmentation, de Georges Perec, mise en scène collective - 2007 ; Andromaque, de Jean Racine,
mise en scène Declan Donnellan – 2008 ; Le Garçon du dernier rang, de Juan Mayorga, mise
en scène Jorge Lavelli – 2009-2010 ; Cérémonies, de Dominique Paquet, mise en scène Patrick
Simon – 2009-2011 ; La Nuit des Rois, de Shakespeare, mise en scène Jacques Vincey – 2009.
Au cinéma, il a joué dans Nos 18 ans, réalisation F. Berthe - 2007 ; Mary’s Ride, réalisation Thomas Imbach - 2011, et à la télévision dans Les Faux Monnayeurs, réalisation Benoit Jacquot
et Alice Never, réalisation René Manzor.
Il a également mis en scène Hygiène de l’assassin, adapté du roman d’Amélie Nothomb
par Alice Boucherit ; L’Augmentation, de Georges Perec, mise en scène collective ; L’île des
esclaves, de Marivaux ; Fâcheux et Fâcheux, d’après Les Fâcheux de Molière ; Lulu(s), de Frank
Wedekind (atelier au CNSAD 2012).
Ubu Roi - 25/05/2012
page 9