Dossier de presse - 28e Festival International de Colmar
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Dossier de presse - 28e Festival International de Colmar
Dossier de presse Directeur artistique : Vladimir Spivakov Du 5 au 14 juillet 2016, le Festival international de Colmar rendra hommage au violoniste Jascha Heifetz (1901-1987), l’un des plus grands musiciens du XXe siècle. Enfant prodige, il a connu ses premiers triomphes en Russie, avant de partir pour New York en 1917. Naturalisé américain, il a fait une carrière mondiale et représente, aux côtés de Menuhin ou Oistrakh, l’école de violon moderne. Autour de cette personnalité unique, Vladimir Spivakov, directeur artistique du festival, a construit un programme éclectique, mêlant grands concerts symphoniques, musique de chambre et récitals. Si le public pourra retrouver les grands concertos (Mendelssohn, Brahms) par les meilleurs archets d’aujourd’hui (Renaud Capuçon, Vadim Gluzman), il pourra également redécouvrir des œuvres rares comme l’enchanteur concerto de Korngold, créé par Heifetz en 1947. En ouverture, le festival accueillera l’Orchestre du Capitole de Toulouse sous la direction de son chef Tugan Sokhiev. Et, fidèle au festival, l’Orchestre philharmonique national de Russie jouera sous la direction de son directeur musical Vladimir Spivakov. Contacts presse nationale : Associés en communication I imagine William Chatrier 06 63 56 35 26 [email protected] Pierrette Chastel 06 33 55 29 88 [email protected] Contact presse : Office de tourisme de Colmar Camille Delacote 03 89 20 69 10 [email protected] 28ème Festival International de Colmar Le 28ème Festival International de Colmar / Hommage à Jascha Heifetz Du 5 au 14 juillet 2016, le Festival international de Colmar rendra hommage à Jascha Heifetz (1901-1987), violoniste virtuose et l’un des plus grands musiciens du XXe siècle. Né en Lituanie, il a connu ses premiers triomphes d’enfant prodige en Russie. Là, il a étudié avec Leopold Auer, célèbre pédagogue et dédicataire des concertos de Tchaikovski et Glazounov. A la révolution, Heifetz décida de partir pour l’Amérique et il y arriva précédé d’une réputation flatteuse. Fritz Kreisler et Misha Elman assistèrent à son premier récital à Carnegie Hall, cette même année 1917, et en ressortirent éblouis… et inquiets pour eux-mêmes ! Naturalisé américain en 1925, il a fait une carrière mondiale et représente, aux côtés de Menuhin ou Oistrakh, l’école de violon moderne. Il a joué sous la direction des plus grands chefs (Toscanini, Reiner, Szell, Munch…) et a cultivé quelques amitiés musicales légendaires avec Artur Rubinstein ou Gregor Piatigorsky. Son répertoire allait de Bach et Vivaldi à Poulenc et son ami Gershwin, et il a laissé un héritage discographique monumental. Autour de cette personnalité unique, Vladimir Spivakov, a construit un programme éclectique, mêlant grands concerts symphoniques, musique de chambre et récitals. Le public pourra retrouver avec bonheur les grands concertos du répertoire par les meilleurs archets d’aujourd’hui : Vadim Gluzman, qui joue le Stradivarius d’Auer, interprètera le concerto de Brahms et Renaud Capuçon celui de Mendelssohn. Les merveilleuses œuvres de Wieniawsky, Bruch ainsi que le répertoire français (Saint-Saëns, Chausson) revivront sous les doigts de jeunes violonistes exceptionnellement doués. Vladimir Spivakov retrouvera son archet pour Mozart et le Concerto funèbre de Hartmann, tandis que Philippe Quint interprètera l’enchanteur concerto de Korngold, créé par Heifetz en 1947. En ouverture, le festival accueillera l’Orchestre national du Capitole de Toulouse sous la direction de son chef Tugan Sokhiev pour deux concerts. Et l’Orchestre philharmonique national de Russie donnera sept concerts, avec un répertoire allant de Beethoven à Gershwin. Par amitié pour le festival, l’immense pianiste Grigory Sokolov donnera un récital consacré à Schumann et Chopin. En même temps, les récitals et concerts à 12h30 et 18h15 offriront l’occasion unique d’admirer ces grands solistes comme Vladimir Spivakov ou Vadim Gluzman s’adonner aux joies de la musique de chambre, comme aimait à le faire Heifetz. Ils permettront aussi d’entendre des étoiles montantes comme les deux jeunes violonistes américains William Hagen et Benjamin Beilman. à paraitre en Juin 2016, sous étiquette RCA Red Seal (Sony Classical) : Jascha Heifetz, « The Complete Stereo Collection » – Un coffret de 24 Cds (disponible en digital) « Son entièrement remastérisé d’après les bandes originales » 28ème Festival International de Colmar Jascha Heifetz (1901 - 1987) Du 5 au 14 juillet 2016, le Festival international de Colmar rend hommage à Jascha Heifetz (1901-1987), violoniste virtuose et l’un des plus grands musiciens de son temps. A la fois d’une précision diabolique et d’une intensité fascinante, son style a fondé, avec celui de ses collègues Menuhin ou Oistrakh, l’école de violon du XXe siècle. Né en Lituanie, formé très sévèrement par son père, il a connu ses premiers triomphes d’enfant prodige dans la Russie de Nicolas II. Là, il a étudié avec Leopold Auer, célèbre pédagogue et dédicataire des concertos de Tchaikovski et Glazounov. Vladimir Spivakov, directeur artistique du Festival, est d’ailleurs un des héritiers de cette riche tradition puisque ses professeurs avaient eux-mêmes étudié avec Auer ou ses premiers disciples. Après la Russie, Heifetz conquit l’Allemagne, où il fit l’admiration de Fritz Kreisler. A la révolution, il décida de partir pour l’Amérique et il y arriva précédé d’une réputation flatteuse. Son premier concert au Carnegie Hall de New York, le 27 octobre 1917, fit l’effet d’une bombe et le sacra d’emblée premier violoniste de l’époque. Avec le temps, les pièces virtuoses laissèrent la place aux chefs-d’œuvre du répertoire et Heifetz s’affirma comme un grand interprète de Bach, Beethoven, Brahms ou Franck. Naturalisé américain en 1925, il a fait une carrière mondiale et a joué sous la direction des plus grands chefs (Toscanini, Reiner, Szell, Munch…). Il aurait pu passer sa vie à briller seul mais il avait une passion pour la musique de chambre et il a cultivé quelques amitiés musicales légendaires avec Arthur Rubinstein ou Gregor Piatigorsky. Il eut également la passion de l’enseignement. Son répertoire allait de Vivaldi et Mozart à Prokofiev et Poulenc. Il a également créé les concertos de Korngold et Walton. Mais il était tout autant fasciné par le jazz et noua une belle amitié avec George Gershwin, trop tôt disparu, et qui lui avait promis un concerto. Cet éclectisme, son imposante discographie en porte la marque et Heifetz n’a pas cessé d’enregistrer, des premières années russes jusqu’aux années 1970. Un peu comme Rachmaninov, c’est un personnage apparemment austère et intimidant. Ses nombreux portraits révèlent un visage concentré et sombre, à l’opposé du sourire si lumineux d’un Menuhin. Mais il suffit d’entendre le son d’Heifetz, vibrant, intense, brûlant, pour que le marbre s’anime et que l’artiste apparaisse flamboyant. Place donc à l’esprit toujours neuf de Jascha Heifetz ! Pour (re)découvrir Heifetz Au fil des décennies, Heifetz a constitué une discographie monumentale. Il a enregistré plusieurs fois les grands concertos du répertoire avec les plus grands chefs… Voici un choix de dix enregistrements emblématiques pour se replonger dans l’univers d’un des plus grands instrumentistes du XXe siècle. Sauf indication contraire, ces enregistrements ont été publiés par la compagnie RCA (réédition Sony Music). Bach : Partita pour violon en ré mineur BWV 1004, 1953 Beethoven : Concerto pour violon op. 61, NBC Symphony Orchestra, dir. Arturo Toscanini, 1940 Mendelssohn : Concerto pour violon op. 64, Boston Symphony Orchestra, dir. Charles Munch, 1959 Brahms : Concerto pour violon op. 77, Chicago Symphony Orchestre, dir. Fritz Reiner, 1955 Tchaikovski : Concerto pour violon op. 35, Chicago Symphony Orchestre, dir. Fritz Reiner, 1957 Wieniaswki : Concerto pour violon n° 2 en ré mineur, op. 22, London Philharmonic Orchestra, dir. John Barbirolli, 1935, Warner Korngold : Concerto pour violon en ré majeur op. 35, Los Angeles Philharmonic, dir. Alfred Wallenstein, 1953 Franck : Sonate pour violon et piano en la majeur, Arthur Rubinstein (piano), 1937, Warner Ravel : Trio en la mineur, avec Arthur Rubinstein (piano) et Gregor Piatigorsky (violoncelle), 1950 Gershwin : Trois préludes & Suite Porgy and Bess (transcriptions Heifetz), Brooks Smith (piano), 1965 Par ailleurs, de nombreux témoignages audiovisuels peuvent être trouvés sur les chaines vidéo. Signalons tout particulièrement deux documents exceptionnels : « Portrait of an artist » de 1953 et « L’ORTF invite Jascha Heifetz » tourné à Paris en 1970. En français, il n’y a pas d’ouvrage consacré à Jascha Heifetz. Jean-Michel Molkhou lui consacre un chapitre dans son ouvrages Les grands violonistes du XXe siècle (éditions Buchet-Chastel, 2011). 28ème Festival International de Colmar Au programme Mardi 5 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE DU CAPITOLE DE TOULOUSE DIRECTION : TUGAN SOKHIEV PHILIPPE QUINT, VIOLON i F. Mendelssohn : Ouverture “Les Hébrides” op.26 E.W. Korngold : Concerto pour violon en ré majeur op.35 A. Dvorak : Symphonie n°8 en sol majeur op.88 Mercredi 6 juillet Chapelle Saint Pierre - 18h15 SOLISTES : DAVID BISMUTH, PIANO - SOLÈNE PAÏDASSI, VIOLON - CAMILLE THOMAS, VIOLONCELLE i F. Mendelssohn : Trio n°1 en ré mineur, op.49 L. Beethoven : Trio n°5 en ré majeur, op.70 Mercredi 6 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE DU CAPITOLE DE TOULOUSE DIRECTION : TUGAN SOKHIEV VLADIMIR SPIVAKOV, VIOLON i G. Fauré : Suite d’orchestre Pelléas et Mélisande K.A. Hartmann : Concerto pour violon (dit “Funèbre”) J. Brahms : Symphonie n°1 en ut mineur, op.68 Jeudi 7 juillet Koïfhus - 12h30 BENJAMIN BEILMAN, VIOLON - ANDREW TYSON, PIANO i W.A. Mozart : Sonate n°35 pour piano et violon en La majeur K 526 F. Schubert : Rondo Brillant en si mineur F. Kreisler : Tambourin Chinois G. Gershwin : 3 Préludes (transcription de Jascha Heifetz) H. Wieniawski : Polonaise Brillante n°1 Jeudi 7 juillet Chapelle Saint Pierre - 18h15 VLADIMIR SPIVAKOV, VIOLON - TIMUR PIRVERDIEV, VICTORIA BLAZHINA, VIOLONS - SVETLANA STEPCHENKO, ALTO - ANASTASIA KOBEKINA, VIOLONCELLE ANDREI MIKHAILOVSKI, CLARINETTE - ZOYA ABOLITS, PIANO i W. A. Mozart : Quintette pour clarinette et cordes en la majeur, K581 A.Pärt : Fratres pour violon et piano S. Prokofiev : Ouverture sur des thèmes juifs op.34 Jeudi 7 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 GRIGORY SOKOLOV, PIANO i R. Schumann : Arabeske op.18 / Fantaisie en do majeur op.17 F. Chopin : 2 Nocturnes op.32 / Sonata n°2 en si bémol mineur op.35 28ème Festival International de Colmar Vendredi 8 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : VLADIMIR SPIVAKOV ALEXANDRA CONUNOVA, VIOLON i H. Wieniawski / A. Povolotsky : “Viva Wieniawski” H. Wieniawski : Concerto n°2 en ré mineur op.22 E. Chausson : Poème pour violon op.25 M. Ravel : Tzigane / La Valse Samedi 9 juillet Koïfhus - 12h30 TRIO ATANASSOV > PIERRE ATANASSOV, PIANO - PERCEVAL GILLES, VIOLON - SARAH SULTAN, VIOLONCELLE i W.A. Mozart : Trio en si bémol majeur K502 F. Schubert : Trio n°1 pour violon, violoncelle et piano en sol bémol majeur D898 Samedi 9 juillet Chapelle Saint Pierre - 18h15 VADIM GLUZMAN, VIOLON - ALEXEY LUNDIN, VIOLON - QUATUOR À CORDES DU NPR > SVETLANA STEPCHENKO, ANDREI YAROVOI, ALTOS - ANNA PLETYUKHINA, NIKOLAÏ SOLONOVITCH, VIOLONCELLES i W.A. Mozart : Quintette à cordes en sol mineur n°4 K516 P. Tchaïkovski : Sextuor à cordes “Souvenir de Florence” op.70 Samedi 9 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : VLADIMIR SPIVAKOV RENAUD CAPUÇON, VIOLON i SOIRÉE MENDELSSOHN F. Mendelssohn : Ouverture de “Le Nozze di Camacho” / Concerto en mi mineur op.64 / Symphonie n°4, “Italienne” op.90 Dimanche 10 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : VLADIMIR SPIVAKOV RENAUD CAPUÇON, VIOLON - GAUTIER CAPUÇON, VIOLONCELLE i SOIRÉE BRAHMS J. Brahms : Double concerto pour violon, violoncelle et orchestre en la mineur op.102 / Symphonie n°4 en mi mineur op.98 Lundi 11 juillet Koïfhus - 12h30 SOFJA GULBADAMOVA, PIANO - JULIA IGONINA, VIOLON i T.A. Vitali : Chaconne pour violon et piano J. Brahms : Danses Hongroises n°1 & 17 P. Tchaïkovski : Souvenir d’un lieu cher pour violon op.42 A. Glazounov : Idylle pour piano seul op.103 G. Gershwin : Concert Etudes pour piano C. Debussy : Golliwog’s Cakewalk pour violon et piano extrait du Children’s corner / La plus que lente pour violon et piano (transcriptions de Jascha Heifetz) C. Saint-Saëns : Introduction et Rondo Capriccioso pour violon et piano, en la mineur, op.28 28ème Festival International de Colmar Lundi 11 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : VLADIMIR SPIVAKOV VADIM GLUZMAN, VIOLON i J. Brahms : Concerto pour violon en ré majeur op.77 A. Dvorak : Suite américaine pour orchestre en la majeur, op.98b P. Tchaïkovski : Capriccio italien pour orchestre op.45 Mardi 12 juillet Chapelle Saint Pierre - 18h15 WILLIAM HAGEN, VIOLON - LILIT GRIGORYAN, PIANO i De Falla / J. Heifetz : Canciones Populares Españolas (transcription de Jascha Heifetz) C. Franck : Sonate pour violon en la majeur F. Poulenc : Mouvements perpétuels (transcription de Jascha Heifetz) W.A. Mozart : Rondo extrait de la Serenade K250, “Haffner” (transcription de F. Kreisler) P. Tchaïkovski : Valse-Scherzo Mardi 12 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : MIHHAIL GERTS VLADIMIR SPIVAKOV, VIOLON i L. Beethoven : Ouverture Léonore n°3 en do majeur op.72b W.A. Mozart : Concerto pour Violon n°2 en ré majeur K211 E.W. Korngold : Sinfonietta en si majeur op.5 Mercredi 13 juillet Koïfhus - 12h30 QUATUOR HERMES > OMER BOUCHEZ, VIOLON - ELISE LIU, VIOLON - YUNG-HSIN, ALTO - LOU CHANG, ALTO - ANTHONY KONDO, VIOLONCELLE i A. Dvorak : Quatuor à cordes n°12 en fa majeur op.96 “Américain” F. Schubert : Quatuor à cordes en ré mineur D810 “La Jeune fille et la mort” Mercredi 13 juillet Eglise Saint Matthieu - 21h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : VLADIMIR SPIVAKOV DANIEL LOZAKOVITJ, VIOLON i L. Beethoven : Concerto pour violon en ré majeur op.61 R. Wagner : Prélude & mort d’Isolde pour orchestre R. Strauss : Suite orchestrale du Chevalier à la Rose Jeudi 14 juillet Eglise Saint Matthieu - 17h00 ORCHESTRE NATIONAL PHILHARMONIQUE DE RUSSIE (N.P.R.) DIRECTION : VLADIMIR SPIVAKOV CLARA-JUMI KANG VIOLON i M. Bruch : Concerto pour violon n°1 en sol mineur op.26 C. Saint-Saëns : Introduction et Rondo Capriccioso en la mineur, op.28 P. Sarasate : Airs bohémiens S. Barber : Adagio pour cordes G. Gershwin : Un Américain à Paris 28ème Festival International de Colmar De grands violonistes en hommage à Heifetz Autour de cette personnalité unique, Vladimir Spivakov, a réuni quelques grands virtuoses d’aujourd’hui, valeurs conformées ou étoiles montantes. Vadim Gluzman, qui joue le Stradivarius d’Auer, interprètera le concerto de Brahms. Ce violoniste est né en Union soviétique et a étudié avec Zakhar Bron avant que sa famille n’émigre en Israël. Là, il rencontre Isaac Stern qui devient son mentor. Vadim Gluzman rejoint ensuite la Juilliard School et s’impose rapidement comme l’un des virtuoses de notre époque. Le concerto de Mendelssohn, qui fut la carte de visite du jeune Heifetz, sera interprété par Renaud Capuçon. Et l’illustre violoniste français, ami fidèle du festival, interprètera également le Double concerto de Brahms avec son frère violoncelliste Gautier Capuçon. Il reviendra au russo-américain Philippe Quint d’interpréter l’enchanteur concerto de Korngold, créé par Heifetz en 1947. Né à Saint-Pétersbourg, il a étudié avec Andrei Korsakov et a fait ses débuts publics à l’âge de 9 ans. Il a ensuite émigré aux Etats-Unis et étudié à la Juilliard School. Il joue aujourd’hui sur les scènes du monde entier. Les merveilleuses œuvres de Wieniawsky, Bruch ainsi que le répertoire français (Saint-Saëns, Chausson) revivront sous les doigts de jeunes violonistes exceptionnellement doués. Citons notamment le tout jeune virtuose Daniel Lozakovitj. Né à Stockholm en 2001, il a commencé le violon en 2007 et fait ses débuts en concerto avec les Virtuoses de Moscou, sous la direction de Vladimir Spivakov, à l’âge de neuf ans. Depuis, il joue avec les plus grands orchestres et dans les plus grands festivals. Vladimir Spivakov retrouvera son archet pour Mozart et le Concerto funèbre de Hartmann, deux partitions qui lui tiennent particulièrement à cœur. Rappelons que par ses professeurs, Vladimir Spivakov est lui aussi relié à la tradition de Leopold Auer… En même temps, les récitals et concerts de 12h30 et 18h15 offriront l’occasion unique d’admirer ces grands solistes comme Vladimir Spivakov ou Vadim Gluzman s’adonner aux joies de la musique de chambre, comme aimait à le faire Heifetz. Comme toujours, ces rendez-vous feront entendre au public l’élite des jeunes musiciens d’aujourd’hui, comme le Quatuor Hermès, premier prix des concours internationaux de Lyon et Genève, ou le violoniste William Hagen. Né en 1992 dans l’Utah, il a commencé le violon à l’âge de quatre ans et étudié, adolescent, pendant deux ans avec Itzhak Perlman à la Juilliard School. Il est l’un des jeunes musiciens qui préfigurent la relève, tout comme le formidable Benjamin Beilman, né à Washington en 1989. S’il a terminé en 2012 ses études à l’institut Curtis de Philadelphie, il a déjà joué au Carnegie Hall de New York et au Wigmore Hall de Londres. Un tout récent enregistrement (Warner Classics) le voit se mesurer au plus pur de la musique de chambre, Schubert et Janacek… 28ème Festival International de Colmar Un Festival, deux histoires Sa première période, avec le grand chef d’orchestre allemand Karl Münchinger et son Orchestre de chambre de Stuttgart a duré dix ans, de 1979 à 1989. Cet événement musical créé dans le cadre de la réconciliation franco-allemande a fortement contribué à rassembler les mélomanes des deux pays. À la lumière de l’expérience acquise avec Karl Münchinger, la deuxième « mouture » du Festival de Colmar représente un véritable tournant. En choisissant Vladimir Spivakov, violoniste et chef d’orchestre russe de réputation internationale comme directeur artistique, le nouveau Festival International de Colmar se positionne d’emblée sur le terrain de la communication internationale, en termes d’image et de notoriété. Formidable outil de promotion de Colmar et de l’Alsace, le festival se fixe comme objectif de contribuer au rayonnement international de la région à travers une manifestation de musique classique du plus haut niveau. Un concept original Le choix d’un thème porteur est un concept particulièrement original qui assurent la pérennisation du Festival International de Colmar et l’hommage annuel à un grand musicien devient son fil conducteur. Ce concept permet au Festival d’aborder tous les répertoires et ouvre de nouveaux horizons : hommage à un instrument, à un pays, à une culture... Cette approche confère à l’ensemble de la programmation musicale du Festival une unité et une cohérence exceptionnelles. Découvreur de talents Depuis le début de son existence, le Festival International de Colmar, sous l’impulsion de son directeur artistique, s’est tout particulièrement attaché à soutenir et à promouvoir les jeunes musiciens. Chaque année, de jeunes artistes venus des quatre coins du monde ont la possibilité de se produire aux côtés d’artistes confirmés avec orchestre ou en récital. Ces concerts servent souvent de formidable tremplin à la carrière de ces interprètes talentueux, qui seront les grands noms de la musique classique de demain. Hommage aux plus grands Le choix d’un thème porteur assure au festival un concept pérenne. Ainsi l’hommage annuel rendu à un grand musicien devient le fil conducteur, permet d’aborder tous les répertoires et ouvre de nouveaux horizons : hommage à un instrument, à un pays, à une culture... Cette approche confère à l’ensemble de la programmation musicale une unité et une cohérence artistique, qui lui offre la possibilité d’accueillir les plus grands musiciens de la scène classique actuelle ainsi qu’un public fidèle. Le Festival a déjà rendu hommage à : 1989 - Glenn GOULD 1990 - David OÏSTRAKH et l’école russe du violon 1991 - Jacqueline Du PRE, le violoncelle et les artistes femmes 1992 - Vladimir HOROWITZ et le piano virtuose 1993 - Yehudi MENUHIN (en sa présence) 1994 - Andrés SEGOVIA, la guitare classique et l’Espagne 1995 - Arthur RUBINSTEIN et le piano 1996 - Ginette NEVEU, le violon et la musique française 1997 - Pablo CASALS, violoncelliste et compositeur 1998 - Fiodor CHALIAPINE, la voix et la musique russe 1999 - Leonard BERNSTEIN, l’art de la direction d’orchestre et la musique américaine 2000 - Arturo BENEDETTI MICHELANGELI, le piano et l’Italie 2001 - Joseph SZIGETI, le violon et la Hongrie 2002 - Jean-Pierre RAMPAL, la flûte et les instruments à vent 2003 - Krzysztof PENDERECKI et la musique polonaise (en sa présence) 2004 - Jessye NORMAN, le chant, les Etats-Unis d’Amérique, ses compositeurs et musiciens (en sa présence) 2005 - Dmitri CHOSTAKOVITCH et son univers musical 2006 - Emil GUILELS et l’école russe du piano 2007 - Charles MUNCH et le répertoire français 2008 - Mstislav ROSTROPOVITCH et le violoncelle 2009 - Sviatoslav RICHTER et le piano 2010 - Maurice RAVEL et Sergueï RACHMANINOV dans le cadre de l’année France-Russie 2011 - Marguerite LONG et Jacques THIBAUD, le piano et le violon 2012 - Karl MÜNCHINGER et le répertoire germanique, fondateur et premier directeur artistique du Festival 2013 - Edition anniversaire pour les 25 ans de direction artistique de Vladimir SPIVAKOV 2014 - Evgeny SVETLANOV 2015 - Maurice ANDRÉ Ces artistes, mis à l’honneur par le Festival International de Colmar, n’ont pas seulement été des interprètes ou des créateurs hors du commun... Leur dévouement absolu au service de la musique classique et de l’art, leur humanisme, leur sens du devoir envers les autres les a souvent menés à un engagement plus global. 28ème Festival International de Colmar Vladimir Spivakov : 28 ans de direction artistique Si la Russie est la terre de son cœur, Vladimir Spivakov n’en finit pas de rêver à un grand élan œcuménique entre les peuples et les artistes. C’est dans cet esprit qu’il assume depuis 1989 la direction artistique du Festival International de Colmar. Violoniste virtuose, chef d’orchestre invité des plus grandes formations, Directeur charismatique de son ensemble, les « Virtuoses de Moscou », Vladimir Spivakov est également, depuis janvier 2003, directeur musical et chef principal de l’Orchestre National Philharmonique de Russie, orchestre « résident » au Festival de Colmar. Un artiste de renom Après avoir remporté de nombreux prix aux concours internationaux de violon (Long-Thibaud à Paris, Tchaïkovski à Moscou, Paganini à Gênes...), Vladimir Spivakov entreprend une brillante carrière internationale. Il est lancé en Occident avec une tournée triomphale aux Etats-Unis en 1975 et de nombreux concerts en Europe. Les orchestres les plus renommés l’accueillent en tant que soliste : Chicago, New York, Londres, Amsterdam, Vienne, Berlin. Les plus grands chefs le dirigent : Bernstein, Solti, Ozawa, Maazel, Abbado, Giulini... En 1979, après ses débuts de chef d’orchestre au Ravinia Festival de Chicago, Vladimir Spivakov crée en Russie son propre orchestre, les « Virtuoses de Moscou ». Il réunit au sein de ce remarquable ensemble de chambre des musiciens solistes appartenant aux meilleures formations de son pays. Très rapidement, les Virtuoses de Moscou vont acquérir une solide réputation internationale, donnant plus de 120 concerts par an, dans le monde entier. En 2000, la France a officiellement reconnu sa contribution au rayon-nement de la musique et de la culture, en l’élevant au grade de Chevalier de la Légion d’honneur. Un homme de coeur Outre ses qualités artistiques reconnues, Vladimir Spivakov n’hésite pas à s’engager pour soutenir les causes humanitaires. Membre actif de plusieurs œuvres de bienfaisance, il a créé en 1994 sa propre Fondation qui aide depuis cette date des centaines de jeunes musiciens et artistes de talent dans l’exUnion Soviétique et en Occident. Plusieurs dizaines de ces jeunes virtuoses se sont déjà produits en concert, que ce soit en Russie, en Europe, aux Etats-Unis ou au Festival de Colmar. En 2006, Vladimir Spivakov a été désigné « artiste pour la paix » par l’UNESCO. En quelques dates : 1944 - Naissance à Oufa, dans la province de Bachkirie, ex-URSS, au sein d’une famille de musiciens 1967 - Prix au concours Paganini de Gênes 1969 - Premier prix au concours international de Montréal 1970 - Second prix au concours Tchaïkovski de Moscou 1976 - Débuts de chef d’orchestre avec l’Orchestre symphonique de Chicago 1979 - Création de son propre orchestre de chambre les « Virtuoses de Moscou » 1989 - Débuts du Festival International de Colmar, dont il assume la direction artistique 1990 - Membre de jury des grands concours internationaux de violon 1994 - Création de sa Fondation de bienfaisance pour venir en aide aux jeunes musiciens de talent 1997 - Président du Concours International de violon Pablo Sarasate en Espagne 1999 - Officier dans l’Ordre des Arts et des Lettres 2000 - Grade de Chevalier de la Légion d’honneur 2003 - Directeur artistique et chef principal de l’Orchestre National Philharmonique de Russie 2004 - Président du jury du concours Violin Masters à Monte Carlo 2004 - Président de la Maison de la musique de Moscou 2006 - «Artiste de la Paix» par l’UNESCO 2013 - Prix de citoyen d’honneur de la Ville de Colmar 28ème Festival International de Colmar Orchestre national Philharmonique de Russie Vladimir Spivakov : directeur musical Fondée par Vladimir Spivakov en 2003, cette remarquable formation est acclamée chaque année au Festival avec la même fougue qui caractérise son interprétation musicale flamboyante lors de ses tournées mondiales. Le National Philharmonique de Russie (N.P.R) est, en effet, unanimement considéré comme l’un des meilleurs orchestres russes du moment. Depuis 2004, il constitue l’orchestre résident du Festival. Cette année, le N.P.R donnera sept concerts au Festival. Orchestre national du Capitole de Toulouse Tugan Sokhiev : directeur musical Depuis le 1er septembre 2008, le chef ossète Tugan Sokhiev est directeur musical de l’Orchestre national du Capitole, après avoir été pendant 3 ans premier chef invité et conseiller musical de la formation toulousaine. En mai 2015, la Ville de Toulouse renouvelle son contrat de directeur musical pour trois années supplémentaires, jusqu’en août 2019. Sous l’impulsion de Tugan Sokhiev, l’orchestre entame en 2009 un processus de recrutement et compte aujourd’hui 125 musiciens. Michel Plasson dirigea l’Orchestre national du Capitole de 1968 à 2003 ; il en est aujourd’hui chef d’orchestre honoraire. Sous sa direction, la vocation symphonique de la phalange s’est considérablement développée. Il a entrepris de nombreuses tournées à l’étranger et a enregistré plus d’une soixantaine de disques avec EMI Classics. L’orchestre présente sa saison symphonique à la Halle aux grains de Toulouse, donne des concerts en région et assure la saison lyrique et chorégraphique du Théâtre du Capitole. Il est l’invité de nombreux festivals : Festival international George Enesco de Bucarest, Quincena musical de Saint-Sébastien, Chorégies d’Orange (Aïda de Verdi et deux concerts en 2011), Festival de Radio France et Montpellier (2013), Festival de Pâques d’Aix-en-Provence (2015), etc. Durant plusieurs saisons, il est l’invité de la Salle Pleyel à Paris. En 2014/2015, il participe à la saison inaugurale de la Philharmonie de Paris où il donne trois concerts. En 2011, il se produit à l’Opéra Comique dans Les Fiançailles au couvent de Prokofiev, coproduit par le Théâtre du Capitole. Parmi ses récentes tournées, citons le Royaume-Uni, le Brésil, l’Argentine, le Japon, la Pologne, les Pays baltes, l’Autriche, l’Allemagne, la Chine (sous la direction d’Alondra de la Parra), la Russie et l’Espagne. Tugan Sokhiev Tugan Sokhiev est directeur musical de l’Orchestre national du Capitole depuis 2008, après avoir été pendant trois ans premier chef invité et conseiller musical. En mai 2015, la Ville de Toulouse renouvelle son contrat de directeur musical pour trois années supplémentaires, jusqu’en août 2019. Il est directeur musical du Deutsches Symphonie-Orchester de Berlin depuis septembre 2012 ; son contrat s’achèvera en 2016. Il est également directeur musical et chef principal du Théâtre Bolchoï à Moscou depuis janvier 2014. Chef invité, il retourne en 2015/2016 au pupitre des orchestres philharmoniques de Berlin, Vienne, des orchestres symphoniques de la Radio finlandaise, de la NHK, et du Philharmonia Orchestra (qu’il dirige chaque saison). Parmi ses débuts importants, citons le London Symphony Orchestra (2014/2015), l’Orchestre de Philadelphie (2013/2014), l’Orchestre symphonique de Chicago et le Gewandhaus de Leipzig (2012/2013), les orchestres philharmoniques de Vienne et de Berlin (2009/2010). Tugan Sokhiev effectue de nombreuses tournées à la tête de l’Orchestre national du Capitole (Europe, Chine, Russie, Royaume-Uni, Amérique du Sud, Japon…). Sa discographie avec l’Orchestre du Capitole compte cinq enregistrements chez Naïve, le dernier étant un disque Stravinski avec L’Oiseau de feu et Le Sacre du Printemps. Son premier disque à la tête du Deutsches Symphonie-Orchester de Berlin, Ivan le Terrible de Prokofiev est paru au printemps 2014 (Sony Classical). À l’opéra, il dirige Boris Godounov au Staatsoper de Vienne (2012), La Dame de pique, Iolanta, Les Fiançailles au couvent, Tosca et Cavalleria Rusticana/Paillasse au Théâtre du Capitole. En 2015/2016, il dirige notamment deux nouvelles productions au Théâtre Bolshoï : Katerina Ismailova et La damnation de Faust. En 2014, le Syndicat de la critique Théâtre, Musique et Danse le nomme « Personnalité musicale » dans la catégorie instrumentale. 28ème Festival International de Colmar Colmar, ville Festival “Le nouveau musée Unterlinden” Le Musée Unterlinden prend une nouvelle dimension, au cœur de l’espace rhénan, en déployant une architecture à la mesure de ses collections encyclopédiques. Le couvent du 13e siècle, lieu fondateur du musée, est associé à une extension contemporaine, symbole d’une ambition renouvelée pour le siècle à venir. Plus que jamais, le Musée Unterlinden donne à voir ses œuvres. Lieu de découverte, il offre au visiteur connaissance et dialogue, émotion et plaisir. Le Musée Unterlinden propose un parcours de visite couvrant près de 7000 ans d’histoire, de la Préhistoire à l’art du 20e siècle. Ce cheminement dans le temps, au cœur de collections encyclopédiques, permet de découvrir les multiples facettes de l’architecture du musée, unifiées et magnifiées par les architectes Herzog & de Meuron. Dans le cloître médiéval est présenté l’art du Moyen-Age et de la Renaissance avec des œuvres de Martin Schongauer, Hans Holbein, Lucas Cranach … et le chef-d’œuvre incontournable, le Retable d’Issenheim (1512–1516) de Grünewald et Nicolas de Haguenau. Les anciens bains inaugurés en 1906 offrent un espace propice aux manifestations temporaires, et l’aile contemporaine constitue le nouvel écrin des artistes majeurs du 20e siècle tels que Monet, de Staël, Picasso, Dubuffet… Vue de la Place Unterlinden : la Maison, la Piscine, le nouveau bâtiment appelé l’Ackerhof, Musée Unterlinden. © Ruedi Walti “La plus alsacienne des villes d’Alsace” Ville d’Art et d’Histoire, c’est avant tout une ville où il fait bon vivre. Elle offre à ses visiteurs un patrimoine architectural, culturel, historique, gastronomique et musical d’une richesse exceptionnelle. En entrant dans Colmar, votre vue sera sollicitée devant la diversité et la beauté de son architecture, vos papilles en émoi face à la richesse de la gastronomie locale, votre ouïe séduite par les concerts exceptionnels du Festival et votre cœur emballé par l’art de vivre colmarien. Malgré les aléas d’une histoire mouvementée, Colmar affiche une exceptionnelle homogénéité en son centre historique. Classé secteur sauvegardé, il bénéficie d’une restauration et d’une mise en valeur permanente. Sa vaste zone piétonne permet d’admirer en toute liberté les innombrables richesses d’un patrimoine, allant du Moyen Age au XXe siècle. Au fil de la balade, découvrez les nombreux chefs-d’œuvre de la cité : les enseignes finement ciselées signées par l’illustrateur Hansi dont les différentes œuvres sont à découvrir au sein du musée qui porte son nom, les sculptures d’Auguste Bartholdi, natif de Colmar, parmi lesquelles la plus que célèbre statue de la liberté, les maisons à colombages aux couleurs chatoyantes, chacune ayant sa propre signification, les quartiers pittoresques de la Petite Venise à découvrir au fil de l’eau. Le Koïfhus, la Collégiale Saint-Martin, le cloitre des Dominicains, la maison des Têtes et la maison Pfister sont autant de belles découvertes architecturales, qui vous attendent entre deux concerts du Festival. 28ème Festival International de Colmar Informations pratiques Informations Site internet : www.festival-colmar.com E-Mail : [email protected] Téléphone : +33 (0)3 89 20 68 97 Accueil presse Accréditation et modalités de prise en charge sur demande auprès du service presse du Festival : - Office de Tourisme de Colmar : Camille Delacote - Tél : +33 (0)3 89 20 69 10 - E-mail : [email protected] - Associés en communication / Imagine : William Chatrier - Tél :+33 (0)6 63 56 35 26 - E-mail : [email protected] Comment venir au Festival ? Aisément accessible par tous les moyens de transport, Colmar est situé à : 45 km de Mulhouse 45 km de Freiburg (Allemagne) 70 km de Strasbourg 68 km de Bâle (Suisse) 375 km de Lyon 250 km de Luxembourg (Luxembourg) 450 km de Paris 280 km de Genève (Suisse) Liaison autouroutières-routières : accès rapide N/S et E/O à toutes les capitales d’Europe Liaison aériennes : EuroAirport de Bâle-Mulhouse- Freiburg — 65 km / Strasbourg-Entzheim — 65 km Liaison ferroviaires : TGV-Est Paris-Colmar — 2h50 / TGV Rhin-Rhône Lyon-Colmar — 3h20 Réservation et ventes de billets : Par correspondance : Festival International de Colmar - 8 rue Kléber - 68000 Colmar - France Sur internet : www.festival-colmar.com (paiement sécurisé) Par téléphone (début juin) : +33 (0) 3 89 41 05 36 Au Théâtre Municipal de Colmar (du 01 au 30 juin) Lundi : Fermé le matin -14h15 à 18h Mardi : 10h à 12h -14h15 à 18h Jeudi : 10h à 12h -14h15 à 18h Vendredi : 10h à 12h - 14h15 à 19h Au Koïfhus (du 1er et 14 juillet) : 29 Grand’ Rue - Du lundi au samedi de 10h à 18h Les dimanches et jour férié (Les 10 et 14 juillet) de 10h à 15h - fermé le dimanche 3 juillet Sur les lieux de concert : 1 heure avant le début du concert Mercredi : 10h à 18h Samedi : Fermé le matin -14h15 -18h Tarifs : Concerts Eglise Saint-Matthieu : de 15 à 60€ Concerts Koïfhus : de 8 à 20€ Concerts Chapelle Saint-Pierre : de 12 à 25€ Les partenaires du festival Le Festival International de Colmar est organisé par l’Office de Tourisme, par l’association du Festival International de Colmar et en partenariat avec la Ville de Colmar avec le précieux soutien de ses partenaires publics et privés. Partenaires publics et institutionnels Ville de Colmar —Région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine— Conseil Départemental du Haut Rhin — Direction Régionale des Affaires Culturelles — CCI de Colmar et du Centre Alsace-Caisse des Dépôts et des Consignations Partenaires privés majeurs LVMH, Société Colmarienne de Chauffage Urbain, Groupe Crédit Mutuel, Compagnie Industrielle de l’Oural du Sud (Russie) Parrainages de concert Les Soirées du festival Groupe Crédit Mutuel- CIC Est-Caisse d’Epargne d’Alsace -Dernières Nouvelles d’Alsace —SUEZ- Caisse des Dépôts et des Consignations- Ville de Colmar —Région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine— Conseil Départemental du Haut Rhin Les Après-midis du festival Banque Populaire d’Alsace-Lorraine-Champagne — Fondation Geert & Lore Blanken-Schlemper (Suisse)- CCI de Colmar et du Centre Alsace Abonnements de prestige Assurances Franck Spiesser — DS Smith Kaysersberg — Groupe HLB-Cofimé — Kermel — Scherberich — Société Colmarienne de Chauffage Urbain — Vialis — Weishaupt Médias Accent4, la radio du Festival — Dernières Nouvelles d’Alsace — Paris Première — TV7, télévision locale de Colmar Prestataires et autres participants FNAC — Monoprix de Colmar — Pianos Arpèges Armand Meyer — Brasserie des Tanneurs — Hôteliers de Colmar et sa région — Viticulteurs de Colmar- Sources Wattwiller 28ème Festival International de Colmar Direction Directeur Artistique : Vladimir Spivakov Président : Yves Muller Directeur : Hubert Niess Rédacteur musical : Christophe Ghristi Contacts Presse : Contact presse nationale : associés en communication / imagine William Chatrier +33 6 63 56 35 26 [email protected] Pierrette Chastel +33 6 33 55 29 88 [email protected] Contact presse et partenariat : Office de Tourisme de Colmar Camille Delacote +33 3 89 20 69 10 [email protected] Informations : +33 (0)3 89 20 68 97 Agence réceptive : +33 (0)3 89 20 69 08 www.festival-colmar.com