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70 ème Réunion Plénière du Comité Consultatif International du Coton CONGRES MONDIAL SUR LE COTON 4 au 11 septembre 2011 Le rôle de l’État et du secteur privé dans la filière cotonnière : garantir l’efficacité et l’équité (Traduction de la brochue en couleur) Initiative Découvrez les fibres naturelles 70ème Réunion Plénière de l’ICAC 3 INVITATION OFFICIELLE M. le Ministre Julian Andrés Domínguez C’est un honneur et une grande satisfaction de pouvoir vous convier, au nom des Argentins et du gouvernement d’Argentine, à la 70ème réunion plénière du Comité consultatif international du coton, qui se tiendra dans la ville de Buenos Aires, capitale de la Nation, et dans la ville de Presidencia Roque Sáenz Peña, dans la province du Chaco, épicentre de la production cotonnière argentine. La culture, le filage et le tissage du coton dans notre pays étaient déjà réalisés par les peuples indigènes avant la conquête espagnole. Ce n’est pas par hasard que nous avons proposé que la clôture se fasse à l’hôtel Guälok de la ville de Sáenz Peña. « Guälok » en langue Toba, une des cultures indigènes de la région, signifie précisément « coton ». Dans l’histoire de l’agriculture argentine, le coton a été la principale activité agricole des premières colonies à l’époque de la conquête. La culture du coton a commencé sur nos terres en 1556. L’industrie du filage et du tissage est rapidement devenue l’activité caractéristique du nord-ouest argentin et a représenté pendant de nombreuses années la principale source de revenus de la population, tout particulièrement dans la province de Catamarca. Dans le premier blason de la ville de Catamarca fondée en 1683, le coton y est d’ailleurs représenté comme un produit typique de la terre, et à, Tucumán, la toile de coton servait parfois de monnaie, la branche de coton étant généralement estimée à 4 real. Le coton a également été le premier produit à être exporté par l’Argentine. Le 2 septembre 1587, un lot de tissages de coton provenant des ateliers qui opéraient dans le nord du pays quittait le port de Buenos Aires, ville fondée sept ans auparavant, à destination du Brésil. C’est en souvenir de cet événement que le pays commémore le jour de l’Industrie Argentine à cette date. À propos des thèmes qui seront abordés pendant les journées à venir, il est opportun de signaler que les activités de transformation à plus forte valeur ajoutée qui serviront de base au développement compétitif des systèmes de production et des régions, impliquent normalement la nécessité d’intégrer de façon verticale les acteurs, en préservant un subtil équilibre entre compétence et coopération parmi les intervenants horizontaux d’un même maillon. La compétitivité des systèmes dépend également d’une étroite articulation entre le patronat, les milieux éducatifs et l’État. En analysant la composition du premier maillon de la chaîne textile du coton, d’un point de vue extrêmement simpliste, il est fréquent de parler des producteurs, de façon générique. Cette vision réductrice omet les différences qui existent entre les différents systèmes de production et entre les différentes régions, au sein de chaque maillon. Il convient de ne pas oublier que l’Argentine est un des seuls pays producteurs de coton dans lequel cohabitent des producteurs de petite, moyenne et grande taille. Ainsi, le processus d’égrenage utilise du coton brut des producteurs de petites, moyennes et grandes exploitations. Et les prix appliqués dépendent logiquement de la qualité fournie –et éventuellement des volumes- et non du système productif dont provient la récolte. En outre, la compétitivité – qui détermine la substance de chaque système – est liée, dans une large mesure, à l’efficacité des processus de production de chacun des systèmes et au facteur de production principal. Nous connaissons l’asymétrie technologique qui existe entre le coton – dont le maniement est complexe – et d’autres cultures concurrentes, en particulier le soja, ainsi que la difficulté relative pour les producteurs de petites et moyennes exploitations, n’ayant que peu d’alternatives technologiques pour faire face à la problématique décrite, en comparaison avec les autres systèmes de production de haute technologie déployés par les grands producteurs. Aussi, ces dernières années, nous avons entamé une révolution technologique au sein du secteur de production primaire, en ayant recours au semis en rangs étroits, en utilisant des cultivars génétiquement modifiés et en développant des petites machines pour la cueillette mécanique. L’Argentine et ses producteurs n’ont pas baissé les bras, et en 2010, nous aurons semé du coton sur environ 600 mille hectares et nous produirons environ 300 mille tonnes de fibre, grâce aux investissements dans et à l’utilisation de nouvelles technologies. L’interaction des gouvernements national, provinciaux et municipaux, avec le la participation du secteur privé pour l’adoption de ce système de production, démontrent l’importance capitale d’une articulation responsable de l’État avec les différents acteurs de la filière, pas seulement dans le cadre des discussions stratégiques du secteur, mais également dans des cas plus ponctuels, par exemple l’importance de mettre en place des systèmes qui considèrent la qualité comme étant un attribut déterminant pour la compétitivité de la filière et la vision d’équité territoriale et d’inclusion sociale pour les habitants de la nation Argentine dans son ensemble. Pour cela, la thématique de cette réunion ne pouvait être mieux choisie : « Le rôle de l’État et du secteur privé dans la filière cotonnière : garantir l’efficacité et l’équité ». Le traitement, l’examen et l’étude menés conjointement par les représentants de tous les pays membres, non membres et les invités, permettront de consolider l’image du coton comme étant une fibre naturelle favorable à l’homme et à l’environnement. Je réitère donc mon invitation, en pensant au présent et à l’avenir du coton ainsi qu’aux hommes et aux femmes dont le destin lui sont liés, et au développement durable, équitable 4 et efficace de cette activité qui emploie des millions d’êtres humains de par le monde. Je suis également convaincu que vous apprécierez l’hospitalité de l’Argentine. Vous aurez non seulement la possibilité de visiter un pays aux décors naturels spectaculaires, comme les chutes d’Iguazú au nord-est de notre pays et notre fameuse Patagonie avec ses glaciers, mais vous aurez également l’occasion de visiter une ville vibrante et cosmopolite, et de vous confronter à des expériences sociales multiculturelles et multiethniques dans l’intérieur du pays. Julián Domínguez Ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche LE COTON EN ARGENTINE La culture du coton depuis la fin du XIXe siècle et le début du XXe a été en Argentine une culture colonisatrice et de développement territorial. Une culture qui a permis l’utilisation de notre main-d’œuvre, le développement d’une industrie qui, partant de l’égrenage, a donné naissance à tout un secteur textile, offrant de nombreux emplois à une population sans cesse croissance et à des émigrants ayant choisi l’Argentine pour y construire un avenir. La filière agro-industrielle du coton, principalement implantée dans les provinces du nord-est et du nord-ouest de notre pays, a toujours été considérée comme étant socio-économiquement importante pour les gouvernements national et locaux. Dans ces régions, les activités ayant trait à la production textile ont représenté historiquement une des principales sources de revenus et d’emplois. Le secteur du coton argentin a été jalonné par des périodes d’extrême instabilité, ce qui a affecté la compétitivité de cette filière agro-industrielle. Bien que les variations enregistrées pendant les vingt dernières années reflètent une activité agroindustrielle instable et vulnérable, le coton, pour différentes provinces d’Argentine – à l’instar de nombreux pays développés ou en développement producteurs de coton – ne représente pas uniquement une culture et une activité agroindustrielle, mais également une activité étroitement liée à une stratégie de développement des territoires de l’intérieur du pays, ayant d’importantes répercussions pour les économies régionales. Il existe une demande importante des autorités politiques des territoires où cette matière première est cultivée et transformée, ainsi que de la part des principaux acteurs de la production des secteurs primaires et industriels en relation avec la filière du coton, outre le développement et le transfert de technologies qui améliorent l’efficience et l’efficacité des unités de production, améliorant la compétitivité générale du secteur cotonnier. Malgré les fluctuations, les superficie des semis et la production n’ont cessé de croître, mais en 2003, le pays a enregistré la plus faible superficie cotonnière depuis 1934, conséquence de la chute des cours internationaux et d’une volatilité continue, générée par les programmes de subventions de certains pays qui les pratiquent encore aujourd’hui. C’est ainsi que le soja est venu remplacer le coton dans les terres qui se prêtaient à cette culture, modifiant ainsi l’utilisation des terres, l’occupation de la main-d’œuvre, la distribution des revenus et stimulant un exode rural non désiré, sans pouvoir planifier une politique de production qui permettrait la préservation des ressources humaines et naturelles. Lors de la compagne 2010/11, 600 000 hectares ont été semés. Cette tendance à la hausse de la production devrait se poursuivre, en essayant de minimiser les effets des politiques de distorsion des échanges commerciaux sur le marché mondial. Pour ce faire, le gouvernement national, les gouvernements provinciaux et le secteur privé développent actuellement des politiques agricoles axées sur le développement de divers aspects du secteur du coton, avec pour objectif d’approvisionner en matière première le secteur agroindustriel et d’exportation de la fibre de coton, avec la plus forte valeur ajoutée possible, ce pourquoi l’industrie textile réalise d’importants investissements. RADIOGRAPHIE DU SECTEUR Le secteur de la production primaire. La région cotonnière argentine comprend depuis toujours les provinces du Chaco, de Santa Fe, de Formosa, de Santiago del Estero, de Corrientes, de Catamarca, de Salta, d’Entre Ríos et de Córdoba. Actuellement, de nouvelles régions se lancent dans la culture du coton (San Luís, par exemple). Pour la campagne 2010/11, l’on estime que les surfaces consacrées à la culture du coton atteindront près de 595 000 hectares, soit 21 % de plus que la campagne précédente. L’on dénombre environ 25 500 producteurs de coton dans le pays, dont 83 % (21 100 environ) sont des petits producteurs, le reste étant des producteurs à moyenne et grande échelle. D’anciennes études montrent que ces derniers produisent entre 85 et 90 % de la production totale de coton. En termes de distribution de la production par province, Chaco arrive en tête, avec 66 %, suivie de Santiago del Estero avec 17 %, Santa Fe avec 12 % et Formosa avec 4 %. 70ème Réunion Plénière de l’ICAC 5 Le secteur de l’égrenage. Il existe actuellement dans le pays pas moins de 86 usines d’égrenage en activité, avec une capacité de production de 1 800 000 tonnes (100 jours par an et 20 heures par jour), dont 70 % de cette capacité est concentrée dans la province du Chaco. La structure du capital permet de classifier les égreneuses en coopératives ou entreprises privées. Le produit principal est la fibre et en deuxième lieu la graine, destinées respectivement aux usines de filature et aux distilleries d’huile/semis/fourrage. Le secteur textile. Il comprend les processus de base de la filature et du tissage, et parfois la teinturerie et la confection ; il utilise la fibre de coton d’origine nationale, de préférence, mais également d’autres fibres naturelles et artificielles. Après une décennie – celle des années 90 – de régression industrielle et de destruction des capacités de production et des sources d’emploi qui ont donné lieu à une des pires crises de l’histoire du pays, l’industrie textile semblese rétablir rapidement aujourd’hui. Actuellement, elle poursuit cette voie en incorporant de plus en plus de machines et d’équipements. Nonobstant, la participation de la production textile et de la confection locale dans la consommation intérieure n’a cessé de diminuer ces cinq dernières années, malgré la reprise indiscutable et avérée de la production au cours de cette même période. Le secteur de la distribution. Il est principalement destiné au marché intérieur par le biais des distributeurs majoritaires et des vendeurs au détail ; et à l’exportation, soit directement soit par l’intermédiaire d’agents internationaux. Ces différents canaux approvisionnent le consommateur final, à savoir les différents utilisateurs de produits textiles. Exportations. L’Argentine est depuis toujours un exportateur de fibre de coton, bien que les volumes n’aient atteint des chiffres significatifs qu’en 1995. La moyenne des 34 dernières années est d’environ 85 000 tonnes par an. La baisse des cours internationaux (qui ont atteint en 2001 leur plus faible valeur de ces 31 dernières années), conjuguée à des conditions climatiques défavorables, ont entraîné une réduction de la superficie cultivée et de la production, ce qui a engendré une baisse des exportations à leurs niveaux les plus faibles. Pendant l’année 2009, la tendance s’est inversée et les exportations de fibre ont dépassé les 14 000 tonnes, pour une valeur de 15,5 millions de dollars ; cependant, en 2010, elles ont atteint les 40 000 tonnes (soit une augmentation de 267 % par rapport à 2009), pour une valeur de 68 millions de dollars (soit une augmentation de 440 % par rapport à 2009). Le sudest asiatique est la destination principale des exportations argentines de fibres de coton. Importations. Tout au long de son histoire cotonnière, l’Argentine n’a pas importé de grands volumes de fibres de coton. Le pays avait généralement recours aux importations lorsque pour des raisons climatiques, la production locale n’était pas en mesure de satisfaire aux besoins de l’industrie nationale. Ces dernières années, elle est devenue un importateur net de coton, du fait de la demande croissante de matière première par l’industrie textile, des conditions climatiques défavorables et de la baisse des prix. En 2010, les importations de fibre de coton ont avoisiné les 14 000 tonnes, soit une baisse significative par rapport à 2009, où 27 000 tonnes avaient été importées. ÉVÉNEMENTS SOCIAUX Dimanche 4 septembre : Ville de Buenos Aires Cocktail VISITES TOURISTIQUES DANS LA VILLE DE BUENOS AIRES VISITE DE LA VILLE DE BUENOS AIRES Heure de départ : Matin, Après-midi Lundi 5 septembre : Ville de Buenos Aires Dîner de bienvenue Vendredi 9 septembre : Ville de Presidente Roque Sáenz Peña - Chaco Dîner de Gala Durée : 3 heures Découvrez la beauté et la magie de Buenos Aires. En partant du théâtre Colón, nous observerons l’Obélisque, véritable symbole de la capitale. Visite de la PLAZA DE MAYO (Place de Mai) : épicentre historique, politique et fondateur. La cathédrale Metropolitana, la Casa de Gobierno, le Cabildo, le conseil municipal. Nous poursuivrons vers le sud par les anciennes ruelles de SAN TELMO : le quartier du Tango. Plus au sud encore, La Boca et son stade de Boca Juniors, le plus grand représentant de la passion argentine : le football. Nous visiterons ensuite le célèbre CAMINITO : centre d’intérêt touristique. En longeant le Riachuelo, nous nous dirigerons 6 vers le nord de la ville. En nous baladant dans le vieux port, nous constaterons la métamorphose des lieux. PUERTO MADERO : vue panoramique. À Retiro / Plaza San Martín, nous rejoindrons la Avenida del Libertador, et nous entrerons dans le quartier nord de Buenos Aires. Nous visiterons Palermo, un quartier résidentiel doté de parcs et d’élégantes constructions dont l’institut San Martiniano, les ambassades, les musées et des monuments importants. Nous découvrirons ensuite la région de los Bosques : le Rosedal, le monument Carta Magna et les quatre régions de l’Argentine, ainsi que le zoo. En circulant sur l’imposante Av. del Libertador, nous atteindrons finalement le RECOLETA, un des quartiers les plus chics de la ville où, entre autres attractions, nous trouvons le célèbre cimetière juste à côté d’élégants cafés et restaurants. dans le même immeuble que le « Chanta Cuatro » d’autrefois, réunit ces deux histoires authentiques et nous propose une expérience inégalée et inégalable en termes de restaurants thématiques de Tango. Tous les ingrédients sont au rendezvous : une cuisine excellente, un cadre joliment décoré dans le style Art Nouveau, recréant fidèlement la sophistication des salons les plus luxueux de l’époque, des installations techniques dernier cri, une sélection artistique de haut qualité et une atmosphère mystique, qui vous feront passer une soirée inoubliable. Il ne pouvait en être autrement … puisque Carlos Gardel en personne vous attend à la porte. C’est à présent la fin de notre balade, mais le début d’une histoire d’amour avec Buenos Aires !!!! Prix (dîner inclus) : 94 dollars US par personne Prix : 16 dollars US par personne SPECTACLE DE TANGO À L’ESQUINA CARLOS GARDEL Horaire : Dans la soirée À un croisement de rue baptisé Esquina Carlos Gardel en l’honneur de ce dernier, il existait jadis un restaurant qui accueillait en ses murs les personnages pittoresques de l’époque : le « Chanta Cuatro ». Vers 1893, ce restaurant fut le témoin muet de moments uniques, et Carlitos Gardel y avait l’habitude de rencontrer ses amis et acolytes pour dîner, faire nuit blanche, chanter ou...simplement voir le jour se lever. Il a vu naître et s’épanouir ses talents exceptionnels de chanteur « criollo » (chanteur de folklore), mélangeant valses, airs, tonalités, danses populaires et différents styles de l’époque. Aujourd’hui, plus de 100 ans plus tard, cette histoire se répète comme par magie. L’Esquina Carlos Gardel, située exactement Les assistants et accompagnateurs pourront choisir d’autres options touristiques, au stand de l’hôtel Panamericano, où se déroulera la séance plénière. Les participants ainsi que leurs invités pourront choisir d’autres options touristiques au stand de l’hôtel Panamericano, où se déroulera la réunion plénière. POUR PLUS D’INFORMATIONS, VEUILLEZ CONTACTER : RICARDO GIARRIZO LOPEZ PSICOTUR E.V.T. TUCUMAN 1º Y 3º PISO CIUDAD AUTONOMA DE BUENOS AIRES ARGENTINE CP C1049AAR TEL.: (54) 11 5555 - 1000 EMAIL : [email protected] 70ème Réunion Plénière de l’ICAC 7 HOTELS VILLE DE BUENOS AIRES HOTEL VIASUI HOTEL PANAMERICANO -- LIEU DE LA REUNION http://www.viasuihotel.com.ar/ Adresse : Viamonte 960, CABA, Buenos Aires. A 200 METRES DE L’HOTEL PANAMERICANO Prix d’une chambre par nuit : Chambre double / simple : 96,00 USD Catégorie : 3 étoiles http://www.panamericano.us/index_esp.html Adresse : Carlos Pellegrini 551, Buenos Aires. Prix d’une chambre par nuit : Chambre double / simple : 280,00 USD Catégorie : 5 étoiles HOTEL NH TANGO http://www.nh-hoteles.es/nh/es/hoteles/argentina/buenosaires/nh-tango.html Adresse : Cerrito 550, Buenos Aires. EN FACE DE L’HOTEL PANAMERICANO, EN TRAVERSANT L’AVENIDA 9 DE JULIO Prix d’une nuit d’hôtel : Chambre double / simple : 170,00 USD Catégorie : 4 étoiles HOTEL RECONQUISTA GARDEN www.hotelesreconquista.com.ar Adresse: Esmeralda 675, Buenos Aires A 400 METRES DE L’HOTEL PANAMERICANO Prix d’une nuit d’hôtel : Chambre double / simple : 142,00 USD Catégorie : 4 étoiles HOTEL COLÓN http://www.colon-hotel.com.ar/ Adresse : Carlos Pellegrini 507, Buenos Aires. A QUELQUES METRES DE L’HOTEL PANAMERICANO Prix d’une nuit d’hôtel : Chambre double / simple : 115,00 USD Catégorie : 4 étoiles HOTEL DA VINCI www.davincihotel.com.ar Adresse : Tucumán 857, Buenos Aires A 200 METROS DE L’HOTEL PANAMERICANO Prix d’une nuit d’hôtel : Chambre double / simple : 115,00 USD Catégorie : 4 étoiles HOTEL REPÚBLICA http://www.hotelrepublica.com.ar/espanol/ Adresse : Cerrito 370, Buenos Aires. A 200 METROS DE L’HOTEL PANAMERICANO, EN TRAVERSANT L’AVENIDA 9 DE JULIO Prix d’une nuit d’hôtel : Chambre double / simple : 96,00 USD Catégorie : 4 étoiles Les prix incluent le petit déjeuner et les taxes. Les prix peuvent être modifiés à tout moment sous réserve des disponibilités lors de la réservation. Pour les réservations et/ou tout autre renseignement concernant un logement dans la ville de Buenos Aires, veuillez contacter : Ricardo Giarrizo Lopez Psicotur E.V.T. Tucumán 1º & 3º floor Buenos Aires - Argentine CP C1049AAR Tél. : (54-11) 5555 – 1000 Fax : (54-11) 5555-1011 Email: [email protected] PRESIDENTE ROQUE SÁENZ PEÑA – CHACO HOTEL ATRIUM GUALÖK http://www.atriumgualok.com.ar/ Adresse : San Martin 1198 Tél. : (54-03732) 430622/036 Email: [email protected] Catégorie : 4 étoiles HOTEL ACONCAGUA Adresse : Calle 14 esq. 3 del Ensanche Sur Tél. : (54-03732) 428111 Email: [email protected] Pour connaître les tarifs et pour les réservations dans la ville de Presidente Roque Saénz Penã, veuillez contacter : Mr. Luis Piedrabuena Nordestur EVT Donovan 352 Resistencia, Chaco Tél. : (54-03722) 445588/433429 Email: [email protected] 70ª Reunión Plenaria del Comité Consultivo Internacional del Algodón. Congreso Mundial del Algodón 8 CIUDAD DE BUENOS AIRES PLAN DE LA VILLE HOTEL DE BUENOS AIRES PANAMERICANO AVEC EMPLACEMENT DESDEL HÔTELS SEDE CONGRESO ET EN EXERGUE LE PANAMERICANO 70ème Réunion Plénière de l’ICAC 9 Jorge M. Capitanich, Gouverneur, Province de Chaco Chaco progresse vers un cycle complet de production et d’industrialisation du coton, ce qui comporte un impact non négligeable en termes d’emplois, grâce à des politiques effectives qui nous permettent de nous développer. permettront de satisfaire à la demande de textile de Chaco et de l’Argentine. Pour atteindre cet objectif, il était primordial d’intégrer de nouvelles technologies, aussi bien dans le domaine de la cueillette du coton que de la génétique. Nous sommes aujourd’hui face à un scénario idéal pour le textile : un prix le plus élevé de toute l’histoire cotonnière, un record en termes de superficie ensemencées et des tonnes de fibres cueillies. Ajoutons à cela l’impulsion donnée au développement des PME dans le domaine de la confection, donnant naissance au design industriel et à ce que nous avons baptisé la Filière textile du coton. Ce contexte laisse entrevoir une croissance vertigineuse de l’industrie et de la confection textile, appuyée par des politiques en faveur du développement et de la création d’emplois dans ce secteur. Ce présent favorable nous laisse présager un avenir meilleur. Seules des politiques effectives et l’intervention du gouvernement, aussi bien national que provincial, aux côtés des producteurs de coton, pour répondre à leurs urgences et nécessités, pourront consolider tout ce que nous avons entrepris à ce jour. Nous avons créé le fonds fiduciaire «Chaco Produce Algodón» (Chaco produit du coton), un instrument de crédit bénéficiant d’une enveloppe de 265 millions de pesos et qui présente ne présente aucun risque pour les producteurs de la province de Chaco. Cette initiative est une première dans l’histoire du pays. Les producteurs pouvent accéder à des facilités de crédit sans perdre leurs terres ou s’endetter financièrement. Ceci implique une pré et une post période dans l’histoire du financement du secteur agricole, et en particulier du secteur du coton. Le climat a été favorable cette campagne, et les producteurs de la province de Chaco placent à nouveau tous leurs espoirs dans le coton. Les 500 000 hectares ensemencés de coton en 2011 La question sanitaire est une de nos priorités. Le travail réalisé au niveau des vecteurs de maladies au sein de la province, avec le concours indispensable de l’État et d’institutions telles que INTA et SENASA, nous permet d’avancer dans la bonne direction. Mais pour que les résultats finaux se traduisent par le succès tant désiré, il est également indispensable d’interagir et d’unifier les efforts des différents gouvernements de la région MERCOSUR. La dernière loi ayant institué la Commission provinciale phytosanitaire (COPROSAVE), qui englobe toutes les parties prenantes de la filière de production, s’impose également comme un acte historique et un outil politico-sanitaire pour la prise de décision. C’est là tout l’enjeu : continuer à se développer et à renverser les indices négatifs qui pendant des années nous ont porté préjudice en matière d’éducation, de santé, de sécurité et de production. Le coton se développe dans chaque village de la province de Chaco. Et la population de Chaco se développe avec le coton. Gildo Insfran, Gouverneur, Province de Formosa “Formosa, lorsque le développement fait place à l’inclusion” La culture du coton est intimement liée à l’histoire de notre province de Formosa et fait d’ailleurs partie de ses symboles officiels, puisque le coton est au centre de son blason et qu’il est mentionné dans l’hymne provincial en tant qu’emblème de notre identité productrice et culturelle. Le coton a été déterminant dans l’occupation du territoire et dans le développement de nos populations. Il a signifié et signifie encore progrès et prospérité pour de nombreux habitants de la province qui se sont engagés dans la terre et dans le travail de celle-ci. Néanmoins, Formosa, située dans la région sub-tropicale de l’Argentine, est restée pendant des années exclue du développement national, et très éloignée de l’image mondialement connue de la Pampa argentine prospère. Cette région a été oubliée des investissements publics nationaux, ses productions manquant dès lors de compétitivité. La province de Formosa dispose d’un stock important de ressources naturelles extrêmement prisées : terres, eau, ensoleillement généreux et chaleur. Ces dernières années, grâce à l’instrumentalisation d’un modèle de développement sur l’ensemble du territoire national, nous assistons à une véritable transformation de notre province. L’investissement public dans les routes et voies d’accès, dans l’énergie, dans les travaux de distribution d’eau et dans l’infrastructure éducative et sociale sont en train de renverser un retard qui a empêché cette terre et sa population d’exprimer tout leur potentiel. Dans ce scénario, le coton s’impose de nouveau comme la meilleure opportunité de mener à bien ce processus de développement. Et il convient ici de préciser que de notre point de vue, la croissance quantitative de la production est très importante, mais il est encore plus important de l’obtenir par l’inclusion. Contrairement à d’autres pays, caractérisés soit par des producteurs à grande échelle soit par des petits exploitants, sur notre territoire, il existe 10 autant de grands que de moyens et petits producteurs. Chacun apporte sa contribution au système. Le producteur à grande échelle génère des fournisseurs, permet à l’industrie de s’établir et offre une capacité de négociation. Les producteurs à petite et moyenne échelle génèrent une occupation du territoire, distribuent les richesses et apportent leurs volumes de production à l’offre agrégée. C’est pour cela que l’État s’est employé à encourager le maintien des différents systèmes. C’est pour cette raison que nous sommes constamment en train d’identifier les déséquilibres et les asymétries pour intervenir et offrir une égalité des chances à tous les acteurs, en mettant un accent particulier sur les producteurs à petite et moyenne échelle. Aussi, lorsque les dysfonctionnements de la chaîne commerciale ont généré la spéculation ou la hausse des coûts de transfert, nous nous sommes engagés activement dans le marché en achetant et en établissant des prix de référence sur le marché, liés directement aux cours internationaux. Lorsque des problèmes sanitaires et de cueillette sont apparus, nous avons contribué au développement et à la promotion de la technologie en rangs étroits adaptée à la culture et la cueillette pour les petits producteurs. Lorsque le charançon de la capsule du cotonnier s’est propagé, nous avons constitué des commissions de lutte régionale pour faire front à cette épidémie. Pendant tout ce temps, nous avons aidé nos petits producteurs avec la meilleure génétique du monde et des intrants de première qualité. Tout cela nous a permis de traverser la pire crise internationale des prix du coton, et nos producteurs sont aujourd’hui à même de profiter de la période de grâce que traverse le marché mondial. Soyez les bienvenus en Argentine et à Formosa, une terre d’hommes et de femmes qui travaillent et qui sont ouverts à ce que des nouveaux producteurs la choisissent pour y investir et faire partie du magnifique défi d’un développement harmonieux, en préservant notre environnemnt, en veillant à l’inclusion sociale, à la paix, au travail et au bien-être de ses habitants. Pour plus d’informations concernant la Reunion plénière, veuillez contacter: www.icac.org [email protected] [email protected]