La brochure

Transcription

La brochure
70
ème
Réunion Plénière
du
Comité Consultatif
International du Coton
CONGRES MONDIAL SUR LE COTON
4 au 11 septembre 2011
Le rôle de l’État et du secteur privé dans la filière cotonnière :
garantir l’efficacité et l’équité
(Traduction de la brochue en couleur)
Initiative
Découvrez
les fibres
naturelles
70ème Réunion Plénière de l’ICAC
3
INVITATION OFFICIELLE
M. le Ministre Julian Andrés Domínguez
C’est un honneur et une grande satisfaction de pouvoir
vous convier, au nom des Argentins et du gouvernement
d’Argentine, à la 70ème réunion plénière du Comité consultatif
international du coton, qui se tiendra dans la ville de Buenos
Aires, capitale de la Nation, et dans la ville de Presidencia
Roque Sáenz Peña, dans la province du Chaco, épicentre de la
production cotonnière argentine.
La culture, le filage et le tissage du coton dans notre pays
étaient déjà réalisés par les peuples indigènes avant la conquête
espagnole. Ce n’est pas par hasard que nous avons proposé
que la clôture se fasse à l’hôtel Guälok de la ville de Sáenz
Peña. « Guälok » en langue Toba, une des cultures indigènes
de la région, signifie précisément « coton ».
Dans l’histoire de l’agriculture argentine, le coton a été la
principale activité agricole des premières colonies à l’époque
de la conquête. La culture du coton a commencé sur nos terres
en 1556. L’industrie du filage et du tissage est rapidement
devenue l’activité caractéristique du nord-ouest argentin et a
représenté pendant de nombreuses années la principale source
de revenus de la population, tout particulièrement dans la
province de Catamarca. Dans le premier blason de la ville de
Catamarca fondée en 1683, le coton y est d’ailleurs représenté
comme un produit typique de la terre, et à, Tucumán, la toile
de coton servait parfois de monnaie, la branche de coton étant
généralement estimée à 4 real.
Le coton a également été le premier produit à être exporté par
l’Argentine. Le 2 septembre 1587, un lot de tissages de coton
provenant des ateliers qui opéraient dans le nord du pays quittait
le port de Buenos Aires, ville fondée sept ans auparavant, à
destination du Brésil. C’est en souvenir de cet événement que
le pays commémore le jour de l’Industrie Argentine à cette
date. À propos des thèmes qui seront abordés pendant les
journées à venir, il est opportun de signaler que les activités
de transformation à plus forte valeur ajoutée qui serviront de
base au développement compétitif des systèmes de production
et des régions, impliquent normalement la nécessité d’intégrer
de façon verticale les acteurs, en préservant un subtil équilibre
entre compétence et coopération parmi les intervenants
horizontaux d’un même maillon.
La compétitivité des systèmes dépend également d’une étroite
articulation entre le patronat, les milieux éducatifs et l’État.
En analysant la composition du premier maillon de la chaîne
textile du coton, d’un point de vue extrêmement simpliste, il
est fréquent de parler des producteurs, de façon générique.
Cette vision réductrice omet les différences qui existent entre
les différents systèmes de production et entre les différentes
régions, au sein de chaque maillon. Il convient de ne pas
oublier que l’Argentine est un des seuls pays producteurs
de coton dans lequel cohabitent des producteurs de petite,
moyenne et grande taille.
Ainsi, le processus d’égrenage utilise du coton brut des
producteurs de petites, moyennes et grandes exploitations. Et
les prix appliqués dépendent logiquement de la qualité fournie
–et éventuellement des volumes- et non du système productif
dont provient la récolte.
En outre, la compétitivité – qui détermine la substance de
chaque système – est liée, dans une large mesure, à l’efficacité
des processus de production de chacun des systèmes et au
facteur de production principal.
Nous connaissons l’asymétrie technologique qui existe entre
le coton – dont le maniement est complexe – et d’autres
cultures concurrentes, en particulier le soja, ainsi que la
difficulté relative pour les producteurs de petites et moyennes
exploitations, n’ayant que peu d’alternatives technologiques
pour faire face à la problématique décrite, en comparaison
avec les autres systèmes de production de haute technologie
déployés par les grands producteurs.
Aussi, ces dernières années, nous avons entamé une révolution
technologique au sein du secteur de production primaire,
en ayant recours au semis en rangs étroits, en utilisant des
cultivars génétiquement modifiés et en développant des petites
machines pour la cueillette mécanique.
L’Argentine et ses producteurs n’ont pas baissé les bras, et
en 2010, nous aurons semé du coton sur environ 600 mille
hectares et nous produirons environ 300 mille tonnes de fibre,
grâce aux investissements dans et à l’utilisation de nouvelles
technologies.
L’interaction des gouvernements national, provinciaux
et municipaux, avec le la participation du secteur privé
pour l’adoption de ce système de production, démontrent
l’importance capitale d’une articulation responsable de l’État
avec les différents acteurs de la filière, pas seulement dans le
cadre des discussions stratégiques du secteur, mais également
dans des cas plus ponctuels, par exemple l’importance de
mettre en place des systèmes qui considèrent la qualité comme
étant un attribut déterminant pour la compétitivité de la filière
et la vision d’équité territoriale et d’inclusion sociale pour les
habitants de la nation Argentine dans son ensemble.
Pour cela, la thématique de cette réunion ne pouvait être mieux
choisie : « Le rôle de l’État et du secteur privé dans la filière
cotonnière : garantir l’efficacité et l’équité ». Le traitement,
l’examen et l’étude menés conjointement par les représentants
de tous les pays membres, non membres et les invités,
permettront de consolider l’image du coton comme étant une
fibre naturelle favorable à l’homme et à l’environnement.
Je réitère donc mon invitation, en pensant au présent et à
l’avenir du coton ainsi qu’aux hommes et aux femmes dont
le destin lui sont liés, et au développement durable, équitable
4
et efficace de cette activité qui emploie des millions d’êtres
humains de par le monde.
Je suis également convaincu que vous apprécierez l’hospitalité
de l’Argentine. Vous aurez non seulement la possibilité de
visiter un pays aux décors naturels spectaculaires, comme les
chutes d’Iguazú au nord-est de notre pays et notre fameuse
Patagonie avec ses glaciers, mais vous aurez également
l’occasion de visiter une ville vibrante et cosmopolite, et de
vous confronter à des expériences sociales multiculturelles et
multiethniques dans l’intérieur du pays.
Julián Domínguez
Ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche
LE COTON EN ARGENTINE
La culture du coton depuis la fin du XIXe siècle et le début
du XXe a été en Argentine une culture colonisatrice et de
développement territorial. Une culture qui a permis l’utilisation
de notre main-d’œuvre, le développement d’une industrie qui,
partant de l’égrenage, a donné naissance à tout un secteur
textile, offrant de nombreux emplois à une population sans
cesse croissance et à des émigrants ayant choisi l’Argentine
pour y construire un avenir.
La filière agro-industrielle du coton, principalement implantée
dans les provinces du nord-est et du nord-ouest de notre pays,
a toujours été considérée comme étant socio-économiquement
importante pour les gouvernements national et locaux. Dans
ces régions, les activités ayant trait à la production textile
ont représenté historiquement une des principales sources de
revenus et d’emplois.
Le secteur du coton argentin a été jalonné par des périodes
d’extrême instabilité, ce qui a affecté la compétitivité de cette
filière agro-industrielle. Bien que les variations enregistrées
pendant les vingt dernières années reflètent une activité agroindustrielle instable et vulnérable, le coton, pour différentes
provinces d’Argentine – à l’instar de nombreux pays
développés ou en développement producteurs de coton – ne
représente pas uniquement une culture et une activité agroindustrielle, mais également une activité étroitement liée à
une stratégie de développement des territoires de l’intérieur du
pays, ayant d’importantes répercussions pour les économies
régionales.
Il existe une demande importante des autorités politiques
des territoires où cette matière première est cultivée et
transformée, ainsi que de la part des principaux acteurs de
la production des secteurs primaires et industriels en relation
avec la filière du coton, outre le développement et le transfert
de technologies qui améliorent l’efficience et l’efficacité des
unités de production, améliorant la compétitivité générale du
secteur cotonnier.
Malgré les fluctuations, les superficie des semis et la production
n’ont cessé de croître, mais en 2003, le pays a enregistré la
plus faible superficie cotonnière depuis 1934, conséquence de
la chute des cours internationaux et d’une volatilité continue,
générée par les programmes de subventions de certains pays
qui les pratiquent encore aujourd’hui.
C’est ainsi que le soja est venu remplacer le coton dans les terres
qui se prêtaient à cette culture, modifiant ainsi l’utilisation
des terres, l’occupation de la main-d’œuvre, la distribution
des revenus et stimulant un exode rural non désiré, sans
pouvoir planifier une politique de production qui permettrait
la préservation des ressources humaines et naturelles.
Lors de la compagne 2010/11, 600 000 hectares ont
été semés. Cette tendance à la hausse de la production
devrait se poursuivre, en essayant de minimiser les effets
des politiques de distorsion des échanges commerciaux
sur le marché mondial. Pour ce faire, le gouvernement
national, les gouvernements provinciaux et le secteur privé
développent actuellement des politiques agricoles axées sur
le développement de divers aspects du secteur du coton, avec
pour objectif d’approvisionner en matière première le secteur
agroindustriel et d’exportation de la fibre de coton, avec la
plus forte valeur ajoutée possible, ce pourquoi l’industrie
textile réalise d’importants investissements.
RADIOGRAPHIE DU SECTEUR
Le secteur de la production primaire. La région cotonnière
argentine comprend depuis toujours les provinces du
Chaco, de Santa Fe, de Formosa, de Santiago del Estero,
de Corrientes, de Catamarca, de Salta, d’Entre Ríos et de
Córdoba. Actuellement, de nouvelles régions se lancent dans
la culture du coton (San Luís, par exemple). Pour la campagne
2010/11, l’on estime que les surfaces consacrées à la culture
du coton atteindront près de 595 000 hectares, soit 21 % de
plus que la campagne précédente.
L’on dénombre environ 25 500 producteurs de coton dans le
pays, dont 83 % (21 100 environ) sont des petits producteurs,
le reste étant des producteurs à moyenne et grande échelle.
D’anciennes études montrent que ces derniers produisent
entre 85 et 90 % de la production totale de coton. En termes
de distribution de la production par province, Chaco arrive
en tête, avec 66 %, suivie de Santiago del Estero avec 17 %,
Santa Fe avec 12 % et Formosa avec 4 %.
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Le secteur de l’égrenage. Il existe actuellement dans le pays pas
moins de 86 usines d’égrenage en activité, avec une capacité de
production de 1 800 000 tonnes (100 jours par an et 20 heures
par jour), dont 70 % de cette capacité est concentrée dans la
province du Chaco. La structure du capital permet de classifier
les égreneuses en coopératives ou entreprises privées.
Le produit principal est la fibre et en deuxième lieu la
graine, destinées respectivement aux usines de filature et aux
distilleries d’huile/semis/fourrage.
Le secteur textile. Il comprend les processus de base de la
filature et du tissage, et parfois la teinturerie et la confection
; il utilise la fibre de coton d’origine nationale, de préférence,
mais également d’autres fibres naturelles et artificielles.
Après une décennie – celle des années 90 – de régression
industrielle et de destruction des capacités de production et
des sources d’emploi qui ont donné lieu à une des pires crises
de l’histoire du pays, l’industrie textile semblese rétablir
rapidement aujourd’hui.
Actuellement, elle poursuit cette voie en incorporant de
plus en plus de machines et d’équipements. Nonobstant, la
participation de la production textile et de la confection locale
dans la consommation intérieure n’a cessé de diminuer ces
cinq dernières années, malgré la reprise indiscutable et avérée
de la production au cours de cette même période.
Le secteur de la distribution. Il est principalement destiné
au marché intérieur par le biais des distributeurs majoritaires
et des vendeurs au détail ; et à l’exportation, soit directement
soit par l’intermédiaire d’agents internationaux. Ces différents
canaux approvisionnent le consommateur final, à savoir les
différents utilisateurs de produits textiles.
Exportations. L’Argentine est depuis toujours un exportateur
de fibre de coton, bien que les volumes n’aient atteint des
chiffres significatifs qu’en 1995. La moyenne des 34 dernières
années est d’environ 85 000 tonnes par an.
La baisse des cours internationaux (qui ont atteint en 2001
leur plus faible valeur de ces 31 dernières années), conjuguée
à des conditions climatiques défavorables, ont entraîné une
réduction de la superficie cultivée et de la production, ce qui a
engendré une baisse des exportations à leurs niveaux les plus
faibles.
Pendant l’année 2009, la tendance s’est inversée et les
exportations de fibre ont dépassé les 14 000 tonnes, pour une
valeur de 15,5 millions de dollars ; cependant, en 2010, elles
ont atteint les 40 000 tonnes (soit une augmentation de 267 %
par rapport à 2009), pour une valeur de 68 millions de dollars
(soit une augmentation de 440 % par rapport à 2009). Le sudest asiatique est la destination principale des exportations
argentines de fibres de coton.
Importations. Tout au long de son histoire cotonnière,
l’Argentine n’a pas importé de grands volumes de fibres de
coton. Le pays avait généralement recours aux importations
lorsque pour des raisons climatiques, la production locale
n’était pas en mesure de satisfaire aux besoins de l’industrie
nationale. Ces dernières années, elle est devenue un
importateur net de coton, du fait de la demande croissante
de matière première par l’industrie textile, des conditions
climatiques défavorables et de la baisse des prix. En 2010, les
importations de fibre de coton ont avoisiné les 14 000 tonnes,
soit une baisse significative par rapport à 2009, où 27 000
tonnes avaient été importées.
ÉVÉNEMENTS SOCIAUX
Dimanche 4 septembre :
Ville de Buenos Aires
Cocktail
VISITES TOURISTIQUES DANS
LA VILLE DE BUENOS AIRES
VISITE DE LA VILLE DE BUENOS AIRES
Heure de départ : Matin, Après-midi
Lundi 5 septembre :
Ville de Buenos Aires
Dîner de bienvenue
Vendredi 9 septembre :
Ville de Presidente Roque Sáenz Peña - Chaco
Dîner de Gala
Durée : 3 heures
Découvrez la beauté et la magie de Buenos Aires. En partant
du théâtre Colón, nous observerons l’Obélisque, véritable
symbole de la capitale. Visite de la PLAZA DE MAYO (Place
de Mai) : épicentre historique, politique et fondateur. La
cathédrale Metropolitana, la Casa de Gobierno, le Cabildo,
le conseil municipal. Nous poursuivrons vers le sud par les
anciennes ruelles de SAN TELMO : le quartier du Tango. Plus
au sud encore, La Boca et son stade de Boca Juniors, le plus
grand représentant de la passion argentine : le football. Nous
visiterons ensuite le célèbre CAMINITO : centre d’intérêt
touristique. En longeant le Riachuelo, nous nous dirigerons
6
vers le nord de la ville. En nous baladant dans le vieux port,
nous constaterons la métamorphose des lieux. PUERTO
MADERO : vue panoramique. À Retiro / Plaza San Martín,
nous rejoindrons la Avenida del Libertador, et nous entrerons
dans le quartier nord de Buenos Aires. Nous visiterons
Palermo, un quartier résidentiel doté de parcs et d’élégantes
constructions dont l’institut San Martiniano, les ambassades,
les musées et des monuments importants. Nous découvrirons
ensuite la région de los Bosques : le Rosedal, le monument
Carta Magna et les quatre régions de l’Argentine, ainsi que
le zoo. En circulant sur l’imposante Av. del Libertador, nous
atteindrons finalement le RECOLETA, un des quartiers les plus
chics de la ville où, entre autres attractions, nous trouvons le
célèbre cimetière juste à côté d’élégants cafés et restaurants.
dans le même immeuble que le « Chanta Cuatro » d’autrefois,
réunit ces deux histoires authentiques et nous propose une
expérience inégalée et inégalable en termes de restaurants
thématiques de Tango. Tous les ingrédients sont au rendezvous : une cuisine excellente, un cadre joliment décoré dans
le style Art Nouveau, recréant fidèlement la sophistication
des salons les plus luxueux de l’époque, des installations
techniques dernier cri, une sélection artistique de haut qualité
et une atmosphère mystique, qui vous feront passer une soirée
inoubliable. Il ne pouvait en être autrement … puisque Carlos
Gardel en personne vous attend à la porte.
C’est à présent la fin de notre balade, mais le début d’une
histoire d’amour avec Buenos Aires !!!!
Prix (dîner inclus) : 94 dollars US par personne
Prix : 16 dollars US par personne
SPECTACLE DE TANGO À L’ESQUINA CARLOS
GARDEL
Horaire : Dans la soirée
À un croisement de rue baptisé Esquina Carlos Gardel en
l’honneur de ce dernier, il existait jadis un restaurant qui
accueillait en ses murs les personnages pittoresques de
l’époque : le « Chanta Cuatro ». Vers 1893, ce restaurant fut le
témoin muet de moments uniques, et Carlitos Gardel y avait
l’habitude de rencontrer ses amis et acolytes pour dîner, faire
nuit blanche, chanter ou...simplement voir le jour se lever. Il
a vu naître et s’épanouir ses talents exceptionnels de chanteur
« criollo » (chanteur de folklore), mélangeant valses, airs,
tonalités, danses populaires et différents styles de l’époque.
Aujourd’hui, plus de 100 ans plus tard, cette histoire se répète
comme par magie. L’Esquina Carlos Gardel, située exactement
Les assistants et accompagnateurs pourront choisir d’autres
options touristiques, au stand de l’hôtel Panamericano, où se
déroulera la séance plénière.
Les participants ainsi que leurs invités pourront choisir d’autres
options touristiques au stand de l’hôtel Panamericano, où se
déroulera la réunion plénière.
POUR PLUS D’INFORMATIONS, VEUILLEZ
CONTACTER :
RICARDO GIARRIZO LOPEZ
PSICOTUR E.V.T.
TUCUMAN 1º Y 3º PISO
CIUDAD AUTONOMA DE BUENOS AIRES
ARGENTINE
CP C1049AAR
TEL.: (54) 11 5555 - 1000
EMAIL : [email protected]
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VILLE DE BUENOS AIRES
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70ª Reunión Plenaria del Comité Consultivo Internacional del Algodón. Congreso Mundial del Algodón
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SEDE
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70ème Réunion Plénière de l’ICAC
9
Jorge M. Capitanich, Gouverneur,
Province de Chaco
Chaco progresse vers un cycle complet de production et
d’industrialisation du coton, ce qui comporte un impact non
négligeable en termes d’emplois, grâce à des politiques effectives
qui nous permettent de nous développer.
permettront de satisfaire à la demande de textile de Chaco et
de l’Argentine. Pour atteindre cet objectif, il était primordial
d’intégrer de nouvelles technologies, aussi bien dans le domaine
de la cueillette du coton que de la génétique.
Nous sommes aujourd’hui face à un scénario idéal pour le
textile : un prix le plus élevé de toute l’histoire cotonnière, un
record en termes de superficie ensemencées et des tonnes de fibres
cueillies. Ajoutons à cela l’impulsion donnée au développement
des PME dans le domaine de la confection, donnant naissance au
design industriel et à ce que nous avons baptisé la Filière textile du
coton. Ce contexte laisse entrevoir une croissance vertigineuse de
l’industrie et de la confection textile, appuyée par des politiques
en faveur du développement et de la création d’emplois dans ce
secteur.
Ce présent favorable nous laisse présager un avenir meilleur.
Seules des politiques effectives et l’intervention du gouvernement,
aussi bien national que provincial, aux côtés des producteurs
de coton, pour répondre à leurs urgences et nécessités, pourront
consolider tout ce que nous avons entrepris à ce jour.
Nous avons créé le fonds fiduciaire «Chaco Produce Algodón»
(Chaco produit du coton), un instrument de crédit bénéficiant d’une
enveloppe de 265 millions de pesos et qui présente ne présente
aucun risque pour les producteurs de la province de Chaco.
Cette initiative est une première dans l’histoire du pays. Les
producteurs pouvent accéder à des facilités de crédit sans perdre
leurs terres ou s’endetter financièrement. Ceci implique une pré
et une post période dans l’histoire du financement du secteur
agricole, et en particulier du secteur du coton.
Le climat a été favorable cette campagne, et les producteurs de
la province de Chaco placent à nouveau tous leurs espoirs dans
le coton. Les 500 000 hectares ensemencés de coton en 2011
La question sanitaire est une de nos priorités. Le travail réalisé au
niveau des vecteurs de maladies au sein de la province, avec le
concours indispensable de l’État et d’institutions telles que INTA
et SENASA, nous permet d’avancer dans la bonne direction. Mais
pour que les résultats finaux se traduisent par le succès tant désiré,
il est également indispensable d’interagir et d’unifier les efforts
des différents gouvernements de la région MERCOSUR.
La dernière loi ayant institué la Commission provinciale
phytosanitaire (COPROSAVE), qui englobe toutes les parties
prenantes de la filière de production, s’impose également comme
un acte historique et un outil politico-sanitaire pour la prise de
décision. C’est là tout l’enjeu : continuer à se développer et à
renverser les indices négatifs qui pendant des années nous ont
porté préjudice en matière d’éducation, de santé, de sécurité et de
production.
Le coton se développe dans chaque village de la province de
Chaco. Et la population de Chaco se développe avec le coton.
Gildo Insfran, Gouverneur,
Province de Formosa
“Formosa, lorsque le développement fait place à l’inclusion”
La culture du coton est intimement liée à l’histoire de notre
province de Formosa et fait d’ailleurs partie de ses symboles
officiels, puisque le coton est au centre de son blason et qu’il est
mentionné dans l’hymne provincial en tant qu’emblème de notre
identité productrice et culturelle.
Le coton a été déterminant dans l’occupation du territoire et dans
le développement de nos populations. Il a signifié et signifie encore
progrès et prospérité pour de nombreux habitants de la province
qui se sont engagés dans la terre et dans le travail de celle-ci.
Néanmoins, Formosa, située dans la région sub-tropicale de
l’Argentine, est restée pendant des années exclue du développement
national, et très éloignée de l’image mondialement connue
de la Pampa argentine prospère. Cette région a été oubliée des
investissements publics nationaux, ses productions manquant dès
lors de compétitivité.
La province de Formosa dispose d’un stock important de
ressources naturelles extrêmement prisées : terres, eau,
ensoleillement généreux et chaleur. Ces dernières années, grâce
à l’instrumentalisation d’un modèle de développement sur
l’ensemble du territoire national, nous assistons à une véritable
transformation de notre province. L’investissement public dans
les routes et voies d’accès, dans l’énergie, dans les travaux de
distribution d’eau et dans l’infrastructure éducative et sociale
sont en train de renverser un retard qui a empêché cette terre et sa
population d’exprimer tout leur potentiel.
Dans ce scénario, le coton s’impose de nouveau comme la meilleure
opportunité de mener à bien ce processus de développement. Et
il convient ici de préciser que de notre point de vue, la croissance
quantitative de la production est très importante, mais il est
encore plus important de l’obtenir par l’inclusion. Contrairement
à d’autres pays, caractérisés soit par des producteurs à grande
échelle soit par des petits exploitants, sur notre territoire, il existe
10
autant de grands que de moyens et petits producteurs. Chacun
apporte sa contribution au système. Le producteur à grande
échelle génère des fournisseurs, permet à l’industrie de s’établir
et offre une capacité de négociation. Les producteurs à petite et
moyenne échelle génèrent une occupation du territoire, distribuent
les richesses et apportent leurs volumes de production à l’offre
agrégée. C’est pour cela que l’État s’est employé à encourager le
maintien des différents systèmes. C’est pour cette raison que nous
sommes constamment en train d’identifier les déséquilibres et les
asymétries pour intervenir et offrir une égalité des chances à tous
les acteurs, en mettant un accent particulier sur les producteurs à
petite et moyenne échelle.
Aussi, lorsque les dysfonctionnements de la chaîne commerciale
ont généré la spéculation ou la hausse des coûts de transfert, nous
nous sommes engagés activement dans le marché en achetant et
en établissant des prix de référence sur le marché, liés directement
aux cours internationaux. Lorsque des problèmes sanitaires et de
cueillette sont apparus, nous avons contribué au développement
et à la promotion de la technologie en rangs étroits adaptée à la
culture et la cueillette pour les petits producteurs. Lorsque le
charançon de la capsule du cotonnier s’est propagé, nous avons
constitué des commissions de lutte régionale pour faire front à
cette épidémie. Pendant tout ce temps, nous avons aidé nos petits
producteurs avec la meilleure génétique du monde et des intrants
de première qualité. Tout cela nous a permis de traverser la pire
crise internationale des prix du coton, et nos producteurs sont
aujourd’hui à même de profiter de la période de grâce que traverse
le marché mondial.
Soyez les bienvenus en Argentine et à Formosa, une terre
d’hommes et de femmes qui travaillent et qui sont ouverts à ce
que des nouveaux producteurs la choisissent pour y investir et
faire partie du magnifique défi d’un développement harmonieux,
en préservant notre environnemnt, en veillant à l’inclusion sociale,
à la paix, au travail et au bien-être de ses habitants.
Pour plus d’informations concernant la Reunion plénière, veuillez contacter:
www.icac.org
[email protected]
[email protected]

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