IFP School online N.10 – Purely feminine... Edito

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IFP School online N.10 – Purely feminine... Edito
IFP School online N.10 – Purely feminine...
Edito
Pourquoi les femmes ingénieurs ne sont-elles pas plus nombreuses ?
C'est une question qui revient régulièrement et nous avons donc choisi
d'y dédier cette newsletter.
Alors que les jeunes filles représentent plus de la moitié des étudiants
dans l’enseignement supérieur, leur désamour pour les écoles
d’ingénieurs persiste. Et pourtant, comme en témoignent les différents
interviews qui suivent, le secteur de l'énergie offre aux femmes de
nombreuses possibilités et les femmes ingénieurs apparaissent positives
et confiantes pour leur carrière. Contrairement aux idées reçues,
l’appétence pour l’international semble guider les choix de nos étudiantes
et diplômées. En effet, la mobilité dans une carrière industrielle est rarement un obstacle, mais
davantage une source d'enrichissement dans la vie d'une femme.
IFP School, en formant des professionnels compétents, ouverts et responsables participe au
développement des entreprises et de la société. L’École a aussi pour mission d'attirer un maximum de
talents vers les métiers et les carrières d’ingénieurs. Elle est un des acteurs clefs de la diversité à son
échelle. La liste des admis à l’issue des premiers jurys donne dans ce sens un signal positif, avec une
légère augmentation du nombre de jeunes femmes dans la prochaine promotion IFP School,
reconnaissant ainsi les compétences dont les femmes font preuve.
Nadine Bret-Rouzaut et Christine Travers
Membres du Comité de direction IFP School
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Brief
Depuis 30 ans, deux grands changements sont advenus dans le domaine de l'emploi des femmes :
l'augmentation massive de l'activité féminine et celle du niveau de formation des femmes. Néanmoins,
aujourd'hui, la place des femmes dans l'économie et l'emploi ne reflète pas ces deux évolutions
importantes qui se sont produites dans beaucoup de pays.
Les hommes viennent peut-être de Mars et les femmes de Vénus, mais la science ne connaît pas de
genre. Et pourtant, dans les pays de l'OCDE, 53 % des diplômés du supérieur de 25/34 ans sont des
femmes et même 56 % en France ! Mais elles représentent seulement 26 % des diplômés dans les
écoles d'ingénieurs. Or, la Commission européenne alerte depuis 10 ans sur les risques de pénurie
d'ingénieurs. Que faire ?
Des pistes peuvent nous être suggérées par les initiatives suivantes, qui répondent à des objectifs
complémentaires :
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Renseigner au mieux les lycéennes afin d'attirer la gent féminine. En effet, une étude de
l'IPSOS de 2007 a mis en exergue un nombre important de clichés, une faible connaissance
des filières, peu de visibilité sur les domaines d'activités et une appréhension certaine pour
cet univers. Le projet de Centrale Paris et Total : Centrale Initiative for Women
(http://www.initiativeforwomen.com) va dans ce sens, en allant à la rencontre des lycéennes
du département du 93.
Se rassembler pour plus de visibilité, comme l'association "Elle bougent",
(http://www.ellesbougent.com/) qui regroupe plus d’une cinquantaine d’entreprises,
établissements d'enseignement supérieur et groupements professionnels. Elle participe ainsi
à faire découvrir les métiers passionnants d'ingénieures et techniciennes de l'automobile, de
l'aéronautique, du spatial, du transport ferroviaire, du maritime et de l'énergie.
Offrir des formations ou des bourses d’études comme le fait l'association américaine, Society
of women engineers (http://societyofwomenengineers.swe.org/).
La parité est un atout, une richesse et mérite d'être portée par des personnes convaincues, des
hommes comme des femmes.
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Focus
L'expatriation au féminin
Un réel enjeu pour l'entreprise, gérer la mobilité et l'expatriation de ses salariés. Afin d'illustrer au
mieux ce sujet, nous vous proposons deux témoignages d'Alumni. Attention départ, destination : le
monde !
Caroline Haquet, ancienne élève du programme Petroleum
Geosciences 2005
Poste actuel : Ingénieur géologue, Shell à Groningen, Pays-Bas
Votre parcours :
Après des études à l'École Nationale Supérieure de Géologie de
Nancy, j'ai intégré IFP School en apprentissage avec
CGGVeritas. Et depuis ma sortie, je travaille chez Shell.
Pourquoi l'expatriation ?
Encouragée par mes professeurs et déjà dans un environnement
interculturel à IFP School, j'ai voulu intégrer une équipe
internationale avec une culture d'entreprise anglo-saxonne, bien différente de ce que nous
connaissons en France. C'était sûrement le plus gros challenge, j'ai mis près de deux ans à
comprendre les rouages de cette culture, mais maintenant c'est une vraie valeur ajoutée à mon
parcours.
Il faut reconnaître que l'éloignement peut être pesant, mais ce sont des missions très enrichissantes :
beaucoup plus d'un point de vue humain que géographique.
Qu'est-ce que ça fait d'être La femme de la situation ?
Quelques situations cocasses... Pour n’en citer qu'une, mon arrivée en Sibérie orientale, où je me suis
retrouvée avec mon plateau repas au milieu de 5 000 russes qui n'avaient visiblement pas côtoyé de
présence féminine depuis longtemps. Cependant, paradoxalement, c'est en Hollande que ça a été le
plus dur. C'est une région très austère où tout signe de féminité est souvent mal perçu. Je me suis
adaptée, faite discrète et j’ai dû prouver mes compétences pour me faire respecter.
Quel souvenir d'IFP School ?
Je garde un excellent souvenir d'IFP School avec qui j'ai encore beaucoup de contacts. Je conseille
cette expérience à tout ceux qui dans leur carrière ont le désir de voyager, de connaître le terrain et
l'envie de s'impliquer à 100 % dans leur travail.
Laurence Potinet, ancienne élève du programme Énergie et
motorisations 2001
Poste actuel : Ingénieur calibration moteur,
d’échappement et véhicule Diesel, Bosch à Bari, Italie
système
Votre parcours :
J’ai intégré Bosch immédiatement à ma sortie d'IFP School. J’ai
travaillé quatre ans en Allemagne, trois ans en Chine, et depuis
deux ans je suis en Italie.
Pourquoi l'expatriation ?
En fait, j’ai toujours travaillé à l’étranger. C'est un excellent
moyen de relativiser d’un point de vue humain sur des questions telles que " quelle est la façon juste
de gérer tel problème ", " quelle est la façon juste de faire les choses ". Certaines cultures sont
extrêmement riches et différentes de la nôtre (comme celle de la Chine), et l’on peut apprendre
chaque jour quelque chose de nouveau, que ce soit du point de vue de l’écriture, de la façon de vivre
des collègues qui nous entourent…
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Cela implique aussi une séparation prolongée avec la famille, des amis. Il faut beaucoup d'énergie
pour changer d'adresse tous les trois ans et s'adapter rapidement. Heureusement, le groupe Bosch a
une procédure d’accompagnement des employés à l’étranger qui est complète et bien huilée.
Qu'est-ce que ça fait d'être La femme de la situation ?
Les domaines rattachés à la mécanique ou l’automobile sont traditionnellement masculins. La
collaboration avec mes interlocuteurs masculins se passe plutôt bien, dans le respect. Le fait que
nous ayons le même niveau hiérarchique favorise certainement cela.
Quel souvenir d'IFP School ?
J’en garde un bon souvenir, lié avant tout au fait que les enseignants venaient de l’industrie et avaient
donc un point de vue très pratique. Cela m’a permis d’acquérir des connaissances très spécialisées
dans le domaine moteur. Mon précédent diplôme était un diplôme d’Ingénieur Mécanique (INSA
Lyon), donc assez général. IFP School m'a donc facilité en ce sens l’accès au marché du travail.
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Live
Deux femmes parmi tant d'hommes...
Interview avec deux étudiantes IFP School, Anne-Sophie de Gouy du
programme Développement et exploitation des gisements et Marie
Mourigal du programme Énergie et marchés et présidente du Bureau
Des Élèves - BDE
Pourquoi avez-vous choisi cette spécialisation à IFP School ?
Anne-Sophie : J'avais déjà eu la chance d'assister à des cours
prodigués à IFP School par l'intermédiaire de mon école d'ingénieur
(Polytech Paris UPMC). J'ai pris goût à venir ici pendant deux mois,
l'environnement m'a plu, ça m’a confortée dans l’idée de travailler dans
le domaine des gisements, j'ai donc postulé. J'ai voulu mettre toutes les
chances de mon côté, en passant ma dernière année d'école d'ingénieur en échange en Norvège : les
six premiers mois à l'université, puis en stage dans une filiale de Total.
Le domaine de la géologie me plait depuis longtemps : l'étude du sol et en exploiter à bon escient les
ressources. Pourquoi choisir le domaine énergétique ? Je trouve que c'est une industrie qui nous
donne les moyens de mener à bien des projets de grandes envergures, et qui répond à un énorme
enjeu : fournir de l'énergie au quotidien de façon durable.
Promotion 2011, 77 % d'hommes à IFP School, comment s'est passée votre arrivée ?
Marie : Ancienne étudiante de l’ENSIC, beaucoup de visages m'étaient familiers. Je connaissais déjà
une quinzaine de personnes, certes pas dans mon programme, mais ça m'a sûrement permis de
mieux m'intégrer dans cette ambiance nouvelle et masculine. Tout de suite les cours m'ont plu et j'ai
beaucoup appris.
Anne-Sophie : Paradoxalement, je suis certes la seule femme du programme, mais en fait très
souvent mise en avant, ainsi je me sens un peu privilégiée. L'intégration s'est bien déroulée, je pense
que mes camarades me considèrent d'égal à égal. Étant données la multiculturalité et la diversité des
étudiants à l'École, je ne suis finalement pas la seule à représenter une minorité !
Petite question pour Marie, comment devient-on la première présidente du BDE d'IFP School ?
Marie : Je retourne la question, est-ce qu'une fille s'est déjà présentée ? J'étais décidée à m'engager,
être une fille était sûrement plus un point fort qu'un point faible, car plus facilement identifiable et
accessible ! Mais le réel atout de notre équipe c'est plus la diversité (programmes, nationalités) qu'une
présidente au féminin.
Parlons d'avenir : comment appréhendez-vous les prochaines années ?
Anne-Sophie : J'aspire à l'expatriation et souvent la question est posée en entretien, comment
pensez-vous gérer votre vie de famille ? Cependant, je ne me sens pas dépréciée pour autant.
Aujourd'hui, dans l’entreprise dans laquelle j’effectue mon apprentissage, la politique est plutôt de
favoriser l'intégration des femmes. L'entreprise travaille activement à augmenter leur proportion, y
compris à des hauts niveaux hiérarchiques.
Marie : Je pars bientôt dans le cadre de mon apprentissage faire une mission en Algérie chez Saipem
et ensuite, pourquoi pas partir sur base offshore ? Je me dis que c'est le moment de le faire et
qu'après ça sera forcément plus compliqué. J'ai tendance à croire qu'en tant que femme, il faut
certainement être un peu plus forte, même si l'entreprise fait visiblement de plus en plus attention à
nous.
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4 questions à…
Manoelle Lepoutre, Directeur Développement durable et Environnement de Total
Quelles sont les missions qui vous sont confiées ?
Ma mission vise à promouvoir les dimensions sociétales et
environnementales du Groupe, qui se découpent en trois grandes
responsabilités.
- Le climat et l’énergie, en intégrant à notre échelle un certain
nombre de grands défis planétaires comme limiter les
émissions de gaz à effet de serre et aller au devant des
énergies futures.
- L'environnement et l'hygiène : nous travaillons à améliorer
notre performance et maîtriser les risques. C’est par exemple
garantir la santé de nos salariés, des voisins de nos
installations et de nos clients.
- La dernière responsabilité est sociétale : nous prévenons les
effets négatifs sur les sociétés tout en favorisant l'impact
positif sur le développement social et économique.
Pour y parvenir, je dispose de deux outils complémentaires : l’investissement dans les Clean Tech et
un service de communication.
Dans votre carrière, le fait d'être une femme a-t-il été neutre ?
En 1982, ce n'était pas évident. À l'époque, quand un homme avait du caractère, une femme était
capricieuse. J'ai compris rapidement qu'il fallait faire ses preuves, être claire et résolue.
Heureusement, j'ai rencontré sur mon parcours plusieurs hommes bienveillants, attentifs aux
compétences. Ils m'ont certes bousculée, mais m'ont aussi permis de comprendre les différents
modes de fonctionnement.
Ensuite, à des postes plus élevés, être une femme est devenu un atout pour ma carrière et aussi pour
l'entreprise : j'étais de facto plus remarquée par nos interlocuteurs externes. En interne, je reste
sûrement particulièrement connue, car il y a encore peu de femmes à ce niveau de poste.
Que faire alors pour encourager les carrières féminines ?
C’est un des objectifs du réseau Twice, dont j’ai pris la présidence et que j’anime avec la direction de
la Diversité du Groupe. Ce réseau interne est un lieu de partage. Ainsi, nous proposons des outils aux
femmes afin qu’elles puissent se créer un réseau amical et professionnel. Un comité mixte organise
des rencontres, des formations et du mentoring. Aujourd'hui, ce réseau est fort de plus de 1000
adhérentes et nous sommes en train de le développer à l'international.
Quelle expérience retirez-vous de votre parcours à l'international ?
La mobilité est nécessaire dans nos métiers, mais les femmes ont les mêmes capacités à se déplacer
que les hommes ! Il est vrai qu'à l'époque c'était plus souvent les femmes qui suivaient leur mari que
le contraire. Je suis mariée, j'ai trois enfants et en couple nous avons réussi à nous organiser
autrement. Avec du recul, j'admets que les regards des autres étaient plus durs à gérer que l'emploi
du temps.
Il ne faut pas prétendre pouvoir tout faire, il faut savoir déléguer au bureau comme à la maison.
Parcours en quelques lignes...
2009 : Directeur Développement durable et Environnement de Total
2004 : Directeur Recherche et Développement de l’Exploration-Production de Total
2000 : Directeur Géosciences de Total aux États-Unis
1998 : Directeur Exploration en Norvège
1982 : Branche Exploration & Production, Elf, différents postes dans les domaines de la R&D et de
l'Exploration en France et aux Pays-Bas
Manoelle Lepoutre est diplômée de l'Ecole nationale supérieure de géologie de Nancy (ENSG) et
d'IFP School.
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Vie de l'association
« Garden Party » à Vert-Mont
Une journée familiale historique !
Samedi 14 mai 2011, l’Association a accueilli des anciens
élèves et leurs familles pour une journée conviviale dans le
domaine de Vert-Mont, un site historique et merveilleux en cette
période de printemps.
Dès leur arrivée, les adultes ont visité le domaine avec un guide,
alors que les enfants se lançaient dans les jardins à la
recherche de bonbons, de chocolats et du fameux trésor caché.
A l’heure du repas, quatre-vingt personnes étaient réunies pour
partager un déjeuner varié et copieux dans une excellente
ambiance. Après le repas, la voiture électrique Moebius était à
disposition, elle a connu un franc succès.
L’Association veut développer et diversifier les rencontres avec les anciens élèves. Cette journée
familiale a rassemblé des diplômés de 1947 à 2010.
L'Association remercie tous ceux qui ont rendu possible cette manifestation et notamment les
responsables de la Fondation Tuck, la direction d’IFP School, la Mairie et les commerçants de RueilMalmaison. Nous remercions tout particulièrement les intervenants : M. Chappat (RAF78), les
historiens Mme Gousset et M. Berthonnet, et M. Simons, directeur d’exploitation de Moebius pour
leurs prestations de qualité.
Commission Culturelle
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Brèves
5e Journées Entreprises Partenaires
Les 6 et 7 avril derniers, IFP School a organisé ses 5e Journées
Entreprises Partenaires.
Une vingtaine d'entreprises étaient représentées, parmi
lesquelles des partenaires de longue date : Arkema, Cepsa,
Delphi, Perenco, PSA Peugeot Citroën, Schlumberger, Technip,
Total, Valeo, etc. À destination exclusive des étudiants d'IFP
School, ces journées permettent aux entreprises participantes de
repérer des profils intéressants, que ce soit pour des stages ou
pour des embauches.
2e place pour l'équipe IFP School à l'Imperial Barrel Award program à Prague
L'équipe IFP School était constituée de cinq étudiants du programme Petroleum Geosciences : Miguel
Alfonzo, Nicolas Da Rocha Alves, Mostafa Khorshidi, María Carolina Maninat Ramirez et Anshuman
Tiwari.
Ils étaient en compétition contre 16 universités et écoles d'ingénieurs européennes prestigieuses,
comme par exemple Gubkin Russian State University of Oil and Gas, Heriot-Watt University, Royal
Holloway, University of London, Tyumen State Oil and Gas University, l'Université de Montpellier 2.
Le vainqueur est la School of Ocean and Earth Science, University of Southampton, qui a représenté
l'Europe au concours mondial, et l'équipe IFP School a été classée numéro 2.
L'AAPG (American Association of Petroleum Geologists) organise chaque année ce concours qui
porte sur l'évaluation d'un bassin géologique.
L'équipe IFP School gagne le 1er Prix du concours "Field Challenge" de l'EAGE !
La finale s'est déroulée à Vienne fin mai, lors de la 73e conférence annuelle de l'EAGE (European
Association of Geoscientists & Engineers).
26 écoles et universités étaient candidates au départ. Après la remise d'un premier rapport sur l'intérêt
de l'intégration de données dans l'étude des champs, 8 équipes ont été sélectionnées. Au côté d'IFP
School, on retrouvait des institutions prestigieuses comme Texas A&M at Qatar (Doha), le Petroleum
Institute d'Abu Dhabi, Gubkin University (Moscou) ou l'University of Calgary.
Pour la finale, chaque équipe a présenté l'analyse et le schéma de développement d'un champ
existant dont les données géologiques, géophysiques et d'ingénierie de réservoir avaient été fournies
par l'industrie. Ce travail d'environ 12 semaines a fait l'objet d'une présentation orale devant un jury
composé d'industriels de CGGVeritas, ENI, Exxon Mobil, Shell et Total.
Nous félicitons les six vainqueurs du concours : Jessica Barbagelata (Italie), Ange Diffo Kuete
(Cameroun), Clément Fabbri (France), Sebastian Hofmann (Allemagne), Emmanuel Mogbolu (Nigéria)
et Kirill Nagorskyi (Russie), issus des deux programmes Petroleum Geosciences et Reservoir
Geoscience and Engineering.
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Stages terrains
Parrainage promotion 2011
Le parrainage de la promotion 2011 d'IFP School par José Sergio Gabrielli, président-directeur
général de Petrobras, a donné lieu à une cérémonie qui s'est déroulée à Rueil-Malmaison le 23 mai
dernier.
À cette occasion, José Sergio Gabrielli a dressé un panorama des activités de Petrobras. Après cette
présentation, il a répondu aux questions des étudiants aux côtés d'Olivier Appert, Président IFP
Energies nouvelles et de Jean-Luc Karnik, Directeur IFP School. À l'issue de ces échanges, Jean-Luc
Karnik lui a remis une plaque commémorative.
Les moyens de transport s'exposent sur les grilles !
IFP School propose une exposition photo originale sur le thème des moyens de transport dans le
monde. Cet évènement vise à faire connaître au grand public l'École et ses activités à l'international,
en valorisant le travail de reportage de Loïc Violette. Cet ancien élève d'IFP School du programme
Énergies et motorisations a sillonné la planète pendant un an pour réaliser son projet baptisé E.motion
world tour : il témoigne de son aventure via de nombreuses et très belles photos. Une quinzaine
d'entre elles, tirées sur bâches, sont exposées sur les grilles de l'École le long de la nationale 13 et de
la rue Maurice Berteaux, à côté de panneaux présentant IFP School et informant sur ses activités.
Chaque photo de Loïc Violette précisera le moyen de transport auquel il est fait référence, le lieu de la
prise de vue et les différentes activités développées par IFP School dans la région concernée. Une
belle initiative, qui en inspirera sûrement d'autres !
Cérémonie de remise de diplôme et remerciement sponsors
Nous remercions les entreprises partenaires de la cérémonie de remise des diplômes de la promotion
2010 : Total, GDF Suez, Perenco, Axens, Cepsa, CGGVeritas, Prosernat, Schlumberger, Technip et
Valeo.
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