Projet de casino à Sanary-sur-mer : les faits rien que les faits
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Projet de casino à Sanary-sur-mer : les faits rien que les faits
Communiqué de presse er Lyon, le 1 octobre 2009 Projet de casino à Sanary-sur-mer : Les faits rien que les faits JOAGROUPE a toujours étroitement collaboré avec la municipalité pour le projet de construction et d’exploitation du complexe Casino-Hôtel de Sanary-sur-mer et ce, malgré un processus long et difficile. Rappelons que la commune de Sanary-sur-mer a attendu près de 2 ans pour annuler la première procédure d’attribution de la délégation de service public, n’étant pas propriétaire du terrain qu’elle souhaitait mettre à disposition pour la construction. Face à l’impossibilité manifeste de mener ce projet à terme, JOAGROUPE et la commune de Sanary-sur-mer n’ont pu que renoncer à ce dossier cet été et permettre ainsi à la Commune de relancer un troisième appel d’offre reconfiguré. La décision incompréhensible du Conseil Municipal d’hier soir et la présentation partiale du contexte nous obligent à sortir de notre réserve habituelle. JOAGROUPE ne peut en effet pas laisser dire que l’abandon du projet est de sa responsabilité, alors que comme Monsieur le Maire le sait très bien, ce sont des difficultés majeures, indépendantes de la volonté de JOAGROUPE, qui ont rendu impossible le lancement du projet. Comment ne pas tenir compte du recours en annulation du permis de construire déposé par une association de riverains devant le Tribunal administratif de Toulon ? Quelle société sérieuse engagerait un investissement de plus de 30 millions d’euros : - avec le risque de se voir contrainte de tout détruire et de remettre le site en l’état, ou de se faire rembourser les travaux par la Commune et donc les contribuables ? - avec une autorisation ministérielle de jeux de seulement 50 machines à sous, alors que l’équilibre financier du projet en nécessitait 110 au minimum, - dans un contexte financier et un niveau de consommation des loisirs exceptionnellement difficiles. La suspension de construction de casinos dans la conjoncture économique actuelle ne nuit pas à l’image d’une ville, bien au contraire. Dans le contexte de crise financière et économique sans précédent que nous traversons, d’autres communes et opérateurs de casinos ont malheureusement dû renoncer à leur projet en 2008/2009, sans pour autant chercher à tout prix et en l’absence de tout comportement fautif avéré, un responsable. En conclusion, JOAGROUPE a déjà investi à perte plus de 2,5 millions d’euros dans ce projet où lors du premier appel d’offre, la ville ne possédait pas de terrain, où lors du second appel d’offre une plainte des riverains pouvait faire annuler le permis de construire. Le Groupe s’étonne donc, alors qu’un troisième appel d’offre est en cours, que le Conseil Municipal adopte une position incompréhensible et irrationnelle. JOAGROUPE ne peut être tenu responsable du flottement dans la gestion de ce projet par la ville et n’acceptera en aucun cas de devenir le leurre pour des enjeux de politique locale JOAGROUPE se réserve le droit de demander réparation de son préjudice notamment d'image, que cette polémique, infondée à son égard, pourrait entraîner. JOAGROUPE encourage donc Monsieur le Maire et le Conseil Municipal à ré-analyser la situation de façon plus objective et réaliste, dans l’intérêt même de la Commune et de ses administrés. Pour en savoir plus : www.joa-casino.com | www.joa-online.com | www.joa-groupe.com Communiqué de presse er Lyon, le 1 octobre 2009 JOAGROUPE 20 casinos ; 245 millions € de chiffre d’affaires brut ; 1 500 collaborateurs, 3ème opérateur national avec 10% de parts de marché, 4 millions d’entrées en 2008, 21 restaurants, et aussi des discothèques, cinémas, hôtels et bowling JOACASINOS Centre Est : Gerardmer ; Luxeuil ; Montrond-les-Bains ; Santenay ; Uriage Sud : Antibes ; Argelès-sur-Mer ; Ax-les-Thermes ; Canet-en-Roussillon ; Lamalou les Bains ; Le Boulou ; St Cyprien Sud Ouest : St-Jean-de-Luz ; St-Paul-lès-Dax, Ouest : Etretat ; Le Tréport ; Les Sables d’Olonne Les Pins ; Port Crouesty ; St-Aubin-sur-Mer ; St Pair-sur-mer, Contact presse : Solange Stricker | Finincom : Romain Sulpice 01 40 71 32 75 [email protected]