le train à mouchard3

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le train à mouchard3
1. De 1914 à 1945 : les deux grandes guerres
La guerre de 1914 – 1918 :
Pendant la guerre, aucune ligne n’est agrandie ou créée. Les voies ferrées sont surtout
utilisées pour le transport des troupes militaires. Aucun dommage dû à la guerre n’est à
déplorer car, à cette époque, l’aviation militaire n’est pas très dangereuse (bombardements
peu efficaces).
Contrairement à la guerre de 1870, les voies ferrées ont été utilisées pour le transport des
soldats et ont permis de repousser les allemands à certains endroits.
Toutes les gares importantes disposent de moyens de secours pour les blessés (Besançon,
Lons, Mouchard).
La priorité étant donnée aux trains militaires, les attentes des voyageurs sont très longues.
La guerre de 1939 – 1945 :
Le 3 septembre 1939, la France et le Royaume Uni entrent en guerre contre l’Allemagne.
Il ne se passe rien avant le 10 mai 1940. Le 20 juin 1940, les allemands atteignant Lyon, la
voie ferrée Bourg – Besançon est entièrement sous contrôle allemand.
Fin mai et début juin 1940 furent les mois de l’exode. Une grande partie de la population
prenait le train pour fuir l’envahisseur. La voie ferrée a alors transporté des dizaines de
milliers de personnes.
La Résistance va s’organiser et les cheminots vont avoir un grand rôle à jouer en tant que
« passeurs » de la ligne de démarcation.
1941 n’apporte pas beaucoup de satisfaction aux usagers de la S.N.C.F.. En effet, les
allemands réquisitionnent ravitaillements, matières premières et produits industriels. Les
difficultés d’approvisionnement en combustibles et en lubrifiants sont telles que les parcours
des trains de voyageurs sont très réduits. Des trains sont supprimés.
En 1942, la S.N.C.F. ne dispose plus que de 45% de son parc d’avant-guerre.
En 1943, la guerre est à un tournant décisif. La Résistance s’organise. Les sabotages se
multiplient. Les voies ferres sont une cible privilégiée. L’autorité allemande installe un service
de garde des voies de nuit.
En juillet 1943, le maquis de Chamole détruit 13locomotives ainsi que la plaque tournante à
Mouchard. Le 5 décembre 1943, le train 9386 déraille aux environs de Mouchard, arrêtant
les transports allemands pendant deux jours.
L’année 1944 est cruciale. Le débarquement est attendu.
Le 27 janvier, à 22h30, à Mouchard, le groupe du Val d’Amour tente de saboter les
machines 240A76, 240A105, 240A72, 240A224 et 141C5. Seule la 141C sera abîmée.
Le 29 janvier, 12 hommes du maquis du Mont Poupet détruisent 7 machines en gare de
Mouchard. Elles seront immobilisées de nombreux mois. Le wagon de secours du dépôt a
été endommagé à la suite des explosions et n’a été utilisé qu’après la Libération.
Le 2 mars, vers 22h40, entre Arc et Senans et Mochard, le groupe du Val d’Amour fait
dérailler le train spécial 832 ayant des permissionnaires allemands à son bord. La
locomotive, le tender, 3 fourgons et 4 voitures sont hors des rails. Un allemand est tué et il y
a 8 blessés.
Le 15 mars, 7 hommes du maquis de la Vieille Loye font dérailler un train entre Mouchard et
Arc et Senans. La ligne est hors service pendant deux jours.
Le 7 avril, le même groupe sabote 3 machines à Mouchard.
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Le 3 mai, ils détruisent le pont dans le bois de Chanor, entre Arc et Senans et Mouchard.
L’arrêt de la circulation dure 15 jours.
Le 18 mai, les mêmes hommes détruisent des cœurs d’aiguillage à la gare de Mouchard,
provoquant un arrêt de circulation de 15 jours.
Le 6 juin 1944 « jour J » du débarquement, le « plan vert » est déclenché par la Résistance.
Il s’agit de couper toutes les voies ferrées, à partir du 8 juin à 22h, pour empêcher l’occupant
d’envoyer des renforts en Normandie.
Des cœurs d’aiguillage sont détruits à la gare de Mouchard, occasionnant un arrêt de
circulation d’un mois. Cette opération est mené par le fameux maquis de la Vieille Loye.
Le 8 juin, vers 0h50, le maquis du Val d’Amour détruit entièrement le poste 1 de la gare de
Mouchard, ainsi que 3 coeurs d’aiguillage, des poteaux et toutes les installations
téléphoniques.
Le 10 juin, ce même maquis détruit le pont de Cramans. La circulation ne sera rétablie que
le 15 juin.
Le 5 juillet, des poteaux téléphoniques sont coupés entre Mouchard et Arbois, ce qui
suspend les relations téléphoniques entre les deux localités.
Le 16 juillet, vers 0h10, les 5 grues hydrauliques de la gare de Mouchard sont détruites, ce
qui occasionne un retard de 30mn à tous les trains allemands.
Le même jour, vers 15h, une tentative de déraillement du train 1818, transportant du bois
pour les allemands, échoue. Ce train est ensuite attaqué et un soldat allemand est tué. Il est
de nouveau attaqué dans le bois de Mouchard vers 16h40.
Cette longue liste d’actions menées par les résistants (et elle ne concerne que les environs
proches de Mouchard) laisse deviner le courage et la ténacité de ces patriotes.
Le « plan vert » a réussi car l’axe ferroviaire concerné, capital pour les allemands, n’a pas
été souvent utilisable.
Après la guerre, le réseau ferré est dans un triste état. Les voies sont très endommagées.
De nombreux ponts ont sauté.
En 1945, les circulations principales qui devaient approvisionner la France en matières
premières devaient être rétablies. La voie Bourg – Besançon ne fut donc pas prioritaire. Par
contre, l’axe Dijon – Lausanne a été plus rapidement remis en état.
2. Electrification Dole – Vallorbe
L’électrification des sections de ligne Dole – Vallorbe et Frasne – Pontarlier comble
définitivement la lacune qui existait jusqu’à ce jour entre les parties électrifiées des grandes
voies d’accès du Simplon. Il n’est d’ailleurs pas sans intérêt de constater que les deux
itinéraires les plus courts parmi ceux joignant Paris à Milan sont précisément ceux qui
empruntent les nouveaux parcours électrifiés.
La traction électrique change profondément les conditions d’exploitation technique de la
ligne, surtout en ce qui concerne les charges des trains rapides et express et les vitesses à
la montée des longues rampes situées entre Mouchard et Frasne.
En rendant à peu près égaux les tonnages de trains rapides et express à ceux de la ligne
paris – Dijon, la traction électrique diminue très fortement le nombre important des trains
supplémentaires de voyageurs mis en marche pendant l’année et corrélativement les
mouvements de machines assurant les renforts ou la traction des trains supplémentaires.
En second lieu, l’amélioration des vitesses facilite l’établissement du graphique et la
circulation en général.
Ce sont ces considérations qui ont rendu possible l’étude de la voie unique des sections
Dole – Arc et Senans et Mouchard – Frasne, transformation qui permet de réaliser des
économies sensibles d’équipement électrique, de renouvellement de voies et d’entretien.
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Cependant, pour atténuer les incidences d’une exploitation à voie unique sur le graphique de
la marche des trains et sur la circulation réelle, il a été décidé :
- De maintenir à double voie les tronçons ne comportant pas de souterrains, c'est-àdire Pont d’Héry – Andelot et Boujailles – Frasne.
- D’installer sur toute l’étendue de la ligne Dole – Vallorbe :
1° Une signalisation automatique lumineuse de voie unique, chaque gare
intermédiaire de la voie unique étant pourvue d’un PRS (poste tous relais simplifié
permettant l’enregistrement automatique des itinéraires)
2° La régulation des trains : dans l’avenir, l’équipement technique de la
signalisation sera télécommandé depuis un poste de commande centralisée
installé à Dijon. L’exploitation classique des lignes à voie unique sera remplacée
par la télécommande de la circulation de trains. La commande centralisée
améliorera très sensiblement le débit de la ligne et réduira encore pour un train
l’incidence de son croisement par un train de sens contraire devant passer sans
arrêt.
Première étape : les travaux de signalisation :
Dans cette première étape, les postes PRS équipés avec destruction automatique des
itinéraires et enregistrement sont commandés localement par les gares. Leur télécommande
sera ensuite envisagée à partir d’un poste central situé à Mouchard et ultérieurement à
Dijon.
Chaque poste PRS comporte un tableau de contrôle optique et une série de boutons de
commande d’itinéraires. Un enclenchement spécial dit « de sens » ou de « voie unique »
s’oppose à l’ouverture des signaux de l’une des gares encadrantes lorsque l’intervalle est
occupé par une circulation de sens inverse, mais autorise la présence de plusieurs trains
successifs de même sens, leur espacement étant réalisé par les signaux automatiques.
L’enclenchement de sens s’oppose à l’ouverture du panneau de départ d’une gare B si la
gare A a elle-même établi un itinéraire vers B, et ce jusqu’au dégagement complet de
l’itinéraire.
Dans chaque gare, et pour chaque sens de circulation, le tableau de contrôle optique
présente deux flèches orientées de sens contraire ; celle qui est dirigée vers la gare voisine
peut s’éclairer en blanc et l’autre en rouge. Un même parcours AB intéresse donc 4 flèches,
2 dans la gare A et 2 dans la gare B.
Si aucun train ne se présente, l’enclenchement de sens n’est pas pris ; les flèches
blanches sont éclairées dans les deux gares, les flèches rouges sont éteintes.
Si un train se présente, l’enclenchement de sens est pris dans son sens de circulation, par
exemple de A vers B. En A, la flèche de A vers B reste blanche et la flèche de B vers A reste
éteinte ; en B, la flèche de A vers B s’éteint et la flèche de B vers A s’éclaire en rouge.
Deuxième étape : la régulation automatique de circulation des trains (situation d’avenir) :
1. Mise en place d’un système de télécommande des gares entre Mouchard et Frasne.
2. Installation à Mouchard d’un programmateur permettant d’emmagasiner le programme
d’une partie de la journée, les ordres étant envoyés aux postes des gares au fur et à
mesure du passage des trains. En fonction des résultats obtenus par ces deux derniers
dispositifs, on envisagera leur généralisation et le transfert ultérieur du programmateur à
Dijon. Ces dispositifs fonctionneront uniquement avec des organes statiques, à l’exclusion
de relais.
3. Parallèlement, on équipe les poteaux caténaires d’une ligne d’essai à deux fils grâce à
laquelle on envisage de réaliser une liaison directe entre le régulateur et le train en
marche . Ainsi, par étapes successives, on s’oriente vers une exploitation de Dole –
Vallorbe dirigée et surveillée depuis Dijon par un régulateur, celui-ci étant aidé dans sa
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tâche par un robot ou « programmateur » et disposant d’une possibilité de liaison directe
avec les mécaniciens circulant sur la ligne.
Travaux réalisés dans la gare de Mouchard suite à l’électrification :
Les travaux réalisés ont eu pour but principal la suppression de l’arrêt général (sur Vallorbe),
la transformation du Poste 2 en poste de manœuvre, les allongements de trottoirs à
voyageurs portés à 420m (sens impair) et 400m (sens pair), enfin la modification des
bifurcations pour porter le taux de vitesse aux valeurs suivantes :
Côté Dole : V1/Salins 85/30
V1/Bourg 85/30
V2/Bourg 120/30
Côté Frasne : Dédoublement de la voie unique 85/85
(avec allongement de V.18 garage à 750m à l’emplacement de l’ancienne V2)
Par ailleurs les liaisons des voies de débords V6/16 aux voies principales ont été modifiées,
ainsi qu’un certain nombre d’installations de l’ Annexe traction.
Dans cette dernière, il a été possible de trouver dans les bâtiments existants, les locaux
nouveaux pour les agents du service électrique (SE, SM et caténaires avec garage) et de
transformer le dortoir des agents de trains en chambrettes.
Enfin, ont été mises en place des installations de sonorisation sur les trottoirs, elles sont
particulièrement intéressantes dans cette gare voyageurs de bifurcation.
L’installation nouvelle d’un abri-parapluie dans la gare de Mouchard a été réalisée.
Améliorations apportées par l’utilisation des locomotives électrique BB 12000 :
L’utilisation des locomotives BB 12000 apportera des améliorations substantielles du point
de vue des horaires et des charges remorquées, qu’il s’agisse du service voyageurs ou du
service RO
Service voyageurs :
1. Sens impair :
Les trains, d’un tonnage maximum de 685 tonnes en hiver et 750 tonnes en été, étaient
remorqués en double traction vapeur de Mouchard à Frasne. Ils seront formés désormais à
750tonnes et remorqués en simple traction de bout en bout. La limite de résistance des
attelages sur les rampes de Mouchard – Frasne (20°/°°) passera de 800 à 900 tonnes.
Enfin, l’accélération apportée à la marche de certains trains sera de l’ordre de 20 minutes.
2. Sens pair :
Les trains d’un tonnage supérieur à 385 tonnes l’hiver et 425 tonnes l’été étaient remorqués
en double traction de Vallorbe à Frasne. La traction électrique va permettre, non seulement
de supprimer la double traction, mais encore de porter ce tonnage à 750 tonnes.
Simultanément, la charge limite acceptable au point de vue du freinage sur les fortes pentes
(20°/°°) passera de 800 à 900 tonnes. Cette mesure permettra de descendre en simple
traction des trains spéciaux à 900 tonnes remis par la gare de Vallorbe. L’accélération
apportée à la marche des trains réduira les temps de parcours de 7 minutes environ.
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Service RO :
La traction électrique entraînera une augmentation très sensible de la charge offerte.
Locomotive à vapeur
141R
(simple traction)
Locomotive électrique
BB12000
(simple traction)
Dole – Mouchard
1100 tonnes
1400 tonnes
Mouchard – Frasne
400 tonnes
700 tonnes
22 janvier 1984 : arrivée des TGV Paris – Lausanne
Le TGV relie à présent Paris et Lausanne en 3h36, alors qu’avec le Cisalpin, il fallait presque
5 heures.
Trains prestigieux sur Paris – Lausanne
Le Simplon Orient – Express : il effectuait l’aller-retour Paris – Constantinople (plus tard
Istanbul) en passant par Vienne. C’était le train le plus luxueux du monde.
Le Calais – Zagreb qui devint plus tard le Direct – Orient.
Le Lutecia qui effectuait la liaison Paris – Milan.
Le Jean-Jacques Rousseau qui effectuait la liaison Genève – Paris.
Le Trans – Europ – Express Cisalpin Paris – Milan : il était devenu le fleuron de la ligne
au cours des années 60.
Ouvertures et fermetures des sections de lignes qui passent à Mouchard
Sections
Ouverture
Electrification
Dole
Mouchard
16 05 1857
25 04 1958
Mouchard
Salins
16 05 1857
Mouchard
Pontarlier
15 11 1862
24 05 1958
Lons
Mouchard
15 11 1862
05 09 1995
Fermeture
Voyageurs
Fermeture
marchandises
18 05 1952
28 09 1975
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Mouchard
Besançon
01 08 1864
05 09 1995
6. Frise chronologique récapitulative
1815 :
Chute de Napoléon 1er
1827 :
Premier chemin de fer français (de Saint-Etienne à Andrézieux)
1830 :
Révolution française : les trois glorieuses
1845 :
Premières études d’un chemin de fer jurassien
1852 :
17 août 1853 :
Second empire : Napoléon III est proclamé empereur
Monsieur De Grimaldi obtient la concession de Dole – Salins
25 juin 1855 :
Février 1856 :
16 mai 1857 :
La ligne Dijon - Dole est inaugurée
Construction de la première gare de Mouchard (rudimentaire)
Inauguration de la ligne Dole – Salins
1859 :
Début des travaux de la ligne Bourg – Besançon
15 novembre 1862 :
Inauguration des lignes Mouchard – Pontarlier et Mouchard – Lons
1er août 1864 :
Inauguration de la ligne Lons – Bourg
1870 :
Napoléon III abdique et la troisième République est proclamée
1914 :
Première guerre mondiale
(les lignes ferroviaires ne sont pas touchées par ce conflit)
1945 :
Deuxième guerre mondiale
La gare de Mouchard est le théâtre de nombreux faits de Résistance et
subit de lourds dégâts matériels
18 mai 1952 :
Fermeture de la ligne Dole – Salins (voyageurs)
25 avril 1958 :
Electrification des lignes Dole – Mouchard et Mouchard –
Pontarlier
28 mai 1975 :
Fermeture complète de la ligne Dole – Salins
5 septembre 1995 :
Electrification de la ligne Bourg – Besançon
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7. INDEX
Annexe-traction :
Acqueduc :
Arcades :
Architecture :
Arpentage :
Arrondissement :
Bazar :
Buffet :
Caténaires :
Cœurs d’aiguillages :
Comité :
Concession :
Damer le pion :
Devis :
Doléances :
Double – traction :
Enclave :
Exode :
Faillite :
Forage :
Gare d’évitement :
Grande pompe (en) :
Guérite :
Hostilités :
Houille :
Inauguration :
Lacune :
Localité :
Maquis :
Messageries :
Obtention :
Ouvrages d’art :
Perdition (en) :
Propagande :
Régulation :
Rentable :
Résistance :
Rudimentaire :
Signalisation :
Sonorisation :
Soutènement (mur de) :
Station :
Statistiques :
Stratégique :
Viaduc :
Vinicole :
Bâtiment ajouté à la gare pour abriter des locomotives supplémentaires
Pont portant une conduite d’eau
Ouverture en forme d’arc dans sa partie haute
Style d’un bâtiment (façon dont il est construit)
Mesure des longueurs et surfaces des terrains nécessaires à la pose des
voies
Partie d’un département
Magasin où l’on vend toutes sortes d’objets
Salle d’une gare où l’on sert des repas et des boissons
Système de suspension (poteau) qui maintient le câble distribuant le
courant
Ensemble d’appareils permettant aux trains de changer de voie
Réunion de personnes pour étudier une affaire
Autorisation de gérer une ligne de chemin de fer (de l’exploiter)
L’emporter sur un adversaire, le battre, le dépasser, le devancer
Document qui donne une description détaillée des travaux à effectuer et
de leur coût
Plaintes, réclamations
Traction d’un train par deux locomotives
Territoire isolé, enfermé dans un autre
Fuite des populations
Situation d’une entreprise qui n’a pas pu payer ses dettes et que le tribunal
punit
Action de creuser
Endroit où la voie se dédouble pour permettre à deux trains de se croiser
En grande cérémonie, en présence de célébrités
Petite cabane qui sert d’abri
Opérations de guerre
Charbon
Cérémonie de mise en service d’un ouvrage
Vide, interruption, ce qui manque pour qu’une chose soit complète
Village, petite ville
Forêt où les résistants se cachaient ou groupe de résistants
Services de transport des marchandises
Fait d’obtenir, de recevoir
Travaux effectués pour le passage du chemin de fer (viaduc, pont, tunnel)
Fait d’être en danger
Activité pour répandre des idées et convaincre
Action de régler, de faire fonctionner
Qui rapporte de l’argent
Organisation qui lutta clandestinement contre l’occupant allemand dès
1940
Simple, peu développé
Ensemble des signaux qui règlent la circulation sur les voies ferrées
Action d’équiper un lieu d’appareils (haut-parleurs) qui diffusent un son
Mur pour soutenir la terre
Gare
Ensemble de données chiffrées (nombres) concernant, ici, le trafic routier
Qui est intéressant et utile pour les militaires en cas de conflit
Pont élevé permettant le franchissement d’une vallée par une voie ferrée
Qui concerne la culture de la vigne, la production du vin
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