Expos sur les dessins de presse

Transcription

Expos sur les dessins de presse
Après les caricatures de Mahomet
Ce dessin de presse a été dessiné par Willem, un français. C’est
une caricature d’humour religieuse.
On y voit trois hommes assis à une table. Ils sont tout les trois
habillés différemment : le premier porte un chapeau et une veste
noire. Il a également une barbe et des lunettes. Il symbolise la
religion Juive. Le second, au milieu, porte un turban et symbolise la
religion Musulmane. Le dernier tout à droite porte une croix du
Christ et un chapeau pour représenter la religion Chrétienne.
On y aperçoit un texte associé dans des bulles pour exprimer le
dialogue. « Pas facile : faire un dessin pour se moquer des Athées »
par l’homme musulman et « Sans les blesser » par l’homme chrétien.
Ce dessin de presse fait référence au sujet d’actualité les
caricatures de Mahomet : en 2005, un journal Danois Jyllands-Posten
a publié des caricatures de Mahomet sous le titre Les visages de
Mahomet. La société islamique des Danois exige donc des excuses
malgré que le journal indique avoir reçu des menaces de mort. S’en
suit par la suite des manifestations de Musulmans en colères car dans
le Coran et donc la religion Musulmane, il est formellement interdit
de représenter le prophète Mahomet sous quelque soit la forme. En
2006, des journaux français publient des caricatures de l’histoire
engendrée par les publications danoises.
Ce dessin représente la « vengeance » que Mahomet pourrait
avoir. Sur cette illustration Mahomet, le Pape et le Rabbin essaient
de caricaturer et de se moquer de l’Athéisme. Ce qui le rend amusant
est que l’on ne peut pas se moquer ou caricaturer les Athées en les
blessant car ils n’appartiennent pas à des critères déterminés, ils
sont tous différents.
Cette illustration sert donc à parler de l’actualité d’un ton
sarcastique. Il fait référence à la liberté religieuse et la liberté
d’opinion.
Ce dessin nous a plu, nous a amusé car au lieu de critiquer la
religion des personnes, il se moque de l’Athéisme.
Marine T. et Adrien S.