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Virtualisation
Sommaire
FI 4/2007
Fabien.Figueras@epfl.ch, Domaine IT
Première partie
Introduction
La virtualisation, un thème brillamment abordé par Laurent Kling [1] il
y a presque un an dans les colonnes
de Flash Informatique. Son article
présentait un exemple d’utilisation
du système d’exploitation VMware
ESX 2.5. Il concluait en affirmant que
lorsqu’on a goûté à la virtualisation on
ne peut plus revenir en arrière! Cependant, comme avec tous les outils il faut
choisir le bon modèle et rester dans les
limites d’utilisation optimale.
Dans ce premier article, nous
présenterons les problèmes que la
virtualisation cherche à résoudre puis
les différentes technologies de virtualisation. Ensuite nous détaillerons les
solutions offertes par VMware et nous
terminerons par quelques points à ne
pas négliger avant de se lancer dans un
projet de virtualisation.
Les problèmes
Même si la loi de Moore [2] est de
moins en moins vraie, ses conséquences
ont conduit à une multiplication des
machines de petite et moyenne puissance dans les centres de calcul. Les
parcs de machines ne sont pas homogènes, les applications évoluent rapi-
dement, ce qui implique de fréquentes
adaptations des ressources. Les mises à
jour des logiciels système (Microcode,
Pilotes,…) obligent les administrateurs à interrompre régulièrement les
services. Ces arrêts, beaucoup trop fréquents, sont un surcroît de travail pour
les administrateurs et sont ressentis, à
juste titre, par les utilisateurs comme
des perturbations inacceptables.
Mais avant que l’utilisateur ne soit
interrompu dans son travail, il doit
obtenir sa ou ses machines. Prenons
l’exemple d’un collaborateur de l’école
qui, pour un projet de 6 mois, souhaite
disposer de trois serveurs. Voilà les
tâches principales qui jalonnent son
processus d’acquisition:
z choix du matériel (nombre de
processeurs, mémoire, taille des
disques,…);
z demande de prix à un fournisseur;
z attente de la réponse;
z selon le budget demande de prix à
2 autres fournisseurs;
z négociation des prix;
z commande du matériel;
z attente de livraison;
z demande des câbles électriques et
réseau;
z réception et installation des machines;
z ajout des machines dans l’inventaire.
suite en page
4
1 Virtualisation
Fabien Figueras
2 Le nouvel anti-virus personnel
2007 est arrivé!
Christian Raemy
2 Quoi de neuf, accréditeur?
Laurence Denoreaz
3 Le service Backup du DIT
s’offre un nouveau site Web
Lucien Chaboudez
7 Offre d'emploi
8 Interfaces multimodales
Denis Lalanne, Omar
AbouKhaled & Jacques Bapst
9 X-Paint, une table de dessin
multimodale
Daniele Della Bruna, Luca
Zingg & Yannick Thiessoz
11 Le Service Counter System
Toolkit
Dominique Guinard, Pedro de
Almeida & Martin Ritz
16 Windows Internet Explorer 7.0
Jacqueline Frey
18 Programme des cours
22 Le Gatekeeper H.323 en test à
l’EPFL
Franck Perrot
Prochaines parutions
no
5
6
SP
7
8
9
10
délai
parution
rédaction
03.05.07
07.06.07
28.06.07
06.09.07
04.10.07
01.11.07
29.11.07
22.05.07
26.06.07
28.08.07
25.09.07
23.10.07
20.11.07
18.12.07
FI 4 – 24 avril 2007 – page Virtualisation
suite de la première page
À ce processus qui va durer en moyenne de 4 à 6 semaines
on pourrait ajouter des pertes de temps dues au collaborateur (mauvais dimensionnement des machines, problèmes
d’installation liés à des matériels peu ou pas connu…) ou
du fournisseur (erreur dans l’offre, la livraison, matériel partiellement défectueux, …). Une fois les machines installées
le projet pourra, enfin, commencer, en espérant qu’aucune
panne matérielle ne viendra l’interrompre et que les ressources prévues seront suffisantes.
Nous voilà à la fin du projet, que vont devenir ces machines maintenant? Avec de la chance, elles serviront pour un
autre projet! Sinon ne pourrait-on pas trouver un fournisseur
qui veuille les reprendre? Il ne faut pas rêver!
La virtualisation est une très bonne solution pour ce
type de problème. En effet, les ressources virtuelles sont
rapidement disponibles, peuvent être modifiées facilement
et peuvent être rendues !
Les différentes approches
La virtualisation consiste à partager les ressources d’une
machine physique pour les mettre à disposition de machines dites virtuelles. Les technologies sous-jacentes sont au
nombre de quatre: invité, hyperviseur, paravirtualisation
et matériel.
Architecture invitée (hosted architecture)
Ce type d’approche fournit les services de virtualisation à
l’intérieur d’un système d’exploitation. Le principal avantage
est le support d’autant de matériels que le système sous-jacent
le permet. Le gros défaut est que le système virtualisé reste
étroitement lié au matériel.
Utilisée par Microsoft Virtual PC, VMware Workstation et
Server (anciennement GSX).
Architecture à hyperviseur (Hypervisor)
L’hyperviseur est la première couche logicielle installée
sur le matériel. L’accès aux ressources est direct, la robustesse
et les performances sont donc meilleures. Mais la liste des
matériels supportés peut être plus restreinte.
Utilisée par VMware ESX.
Paravirtualisation (Para-virtualization)
Dans la paravirtualisation, la machine virtuelle utilise
un système d’exploitation qui est modifié. Chaque système
est conscient de partager le matériel avec d’autres. L’avantage est que le système a un accès direct aux ressources,
ce qui doit apporter un gain de performance, mais c’est
aussi un inconvénient, car on garde le lien entre système
et matériel.
Utilisée par Xen qui demande un OS avec noyau modifié.
Les VMware Tools sont aussi un ajout au système d’exploitation.
FI 4 – 24 avril 2007 – page Virtualisation matérielle
(Virtualization hardware assist)
Les fabricants de processeurs proposent des fonctions
de virtualisation de très bas niveau, il y a VT pour Intel et
Pacifica pour AMD [3].
Elles ne fournissent pas à elles seules une infrastructure
de virtualisation, mais elles pourront aider, surtout si les
fabricants de microprocesseurs se mettent d’accord pour
arriver à un certain degré de compatibilité.
Utilisée par VMware Workstation pour faire du 64 bits sur
les CPU Intel, par Xen pour utiliser des OS non modifiés et
annoncé par Microsoft pour Longhorn.
Aucune de ces architectures ne donne entière satisfaction
pour tous les types d’applications. Pour obtenir satisfaction
il faut combiner les technologies, mais en gardant des
possibilités de passage d’un type à un autre. Actuellement
VMware offre la plus grande gamme de produits. Du simple
outil gratuit pour essayer un logiciel préconfiguré dans une
machine virtuelle, à l’infrastructure complète avec système
d’exploitation dédié et logiciel d’administration.
La gamme VMware
VMware propose deux gammes, une gratuite et une
payante. Il existe en plus des programmes bêta, par exemple
Fusion qui propose un logiciel de virtualisation pour Mac
OSX.
Le choix du produit doit être guidé par les fonctionnalités
recherchées, les systèmes d’exploitation à virtualiser (en effet
tous les OS ne sont pas supportés sur toute la gamme [4]) et
le système d’exploitation de la machine hôte.
Un programme académique vient juste d’être lancé en
Europe, l’EPFL a été choisi par VMware pour inaugurer ce
programme. Celui-ci ne propose pas de nouveau produit,
mais permet d’utiliser gratuitement dans un cadre éducatif
universitaire des produits normalement payants. De nombreux détails restant à préciser, je reviendrai donc sur ce sujet
dans le prochain article.
Les produits gratuits
www.vmware.com/products/free_virtualization.html
Ces produits gratuits permettent de travailler avec des
systèmes d’exploitation Linux ou Windows. Les machines
obtenues peuvent être migrées par la suite vers les infrastructures de virtualisation.
Player
www.vmware.com/products/player/
z Permet de démarrer des machines virtuelles, de construire
avec d’autres produits VMware (ACE, Workstation,…).
z Existe pour Windows et Linux (rpm et tar).
Server
www.vmware.com/products/server/
z Logiciel de virtualisation permettant le partitionnement
d’une machine physique en de multiples machines virtuelles. Peut être géré par Virtual Center. Il est possible
Virtualisation
d’accéder aux machines virtuelles à distance avec une
console.
z Existe pour Windows 2000/2003 server et Linux (rpm
et tar).
z Le produit est gratuit, mais il existe du support payant.
léger qui supporte un protocole d’affichage distant (RDP,
X…).
z Nécessite une infrastructure Virtual Center et ESX Server!
Converter Starter
www.vmware.com/products/converter/
z Utilitaire de transformation d’une machine physique en
machine virtuelle et de copie d’image de machine virtuelle
entre environnements virtuels (VMware, Microsoft,
Ghost). À chaud ou à froid avec un CD de boot.
z Le logiciel est disponible seulement sous Windows pour
convertir des machines, physiques ou virtuelles, avec des
OS Windows ! Pour des machines avec des OS Linux
nous disposons d’autres solutions et VMware annonce
le support Linux pour la prochaine version.
Virtual Appliances Marketplace
www.vmware.com/vmtn/appliances/
z Une Virtual Appliance est une machine virtuelle qui
contient un logiciel préconfiguré prêt à être utilisé.
z Il suffit du VMware Player pour l’utiliser.
z La place du marché virtuelle compte plus de 400 Virtual
appliances dans des domaines qui vont du réseau à la messagerie (Zimbra, Exchange…) en passant par les systèmes
d’exploitation (Fedora, BSD, Knoppix, Windows…).
Les produits payants
La gamme des produits payants offre, heureusement, plus
de fonctionnalités et de support que la gamme des produits
gratuits. Les tarifs donnés sont les prix publics à ce jour.
Workstation ($189 en téléchargement, support en sus)
www.vmware.com/products/ws/
z Créer des machines virtuelles 32 et 64 bits (Windows,
Linux, NetWare, Solaris) pour faire des tests, démonstrations ou développements.
z Existe pour Linux et Windows (en bêta pour MAC).
Lab Manager (pas de prix public disponible)
www.vmware.com/products/labmanager/
z Pour la gestion de bibliothèques de serveurs de tests et de
développement. Les machines sont regroupées par projet
et sont démarrées par groupe à la demande.
z Nécessite Virtual Infrastructure (Virtual Center et ESX).
New Jersey Dev Facility
CIM Application
Developer
Image Storage Library
VMware Lab Manager
ACE ($795 Manager Server et $99 par Package)
http://www.vmware.com/products/ace/
Walldorf Dev Facility
LAN/SAN
FP&A Application
Developer
Bangalore Outsource Partner
VMware Insfrastucture
Virtualized Server Pool
QA Automation
Engineer
ESX Server 3 ($5'750 pour 2 cpu en version Enterprise)
z Destiné aux administrateurs de PC très sensibles à la
sécurité.
z Avec le Manager Server l’administrateur prépare des paquets ACE qui incluent un player et une image de PC. Le
paquet est ensuite distribuable (CD, DVD, Flash…) et
utilisable. L’image est cryptée et l’utilisation sécurisée.
z Les paquets sont utilisables avec Windows et en bêta pour
Linux.
z ACE Management Server existe pour Windows et
Linux.
Virtual Desktop Infrastructure ($18’000 pour
25 PC plus Virtual Infrastructure)
www.vmware.com/products/vdi/
z Hébergement et gestion centralisés de PC virtuels. Les
utilisateurs accèdent au bureau virtuel avec un client
www.vmware.com/products/vi/esx/
z ESX est la solution la plus industrielle de la gamme. L’impératif de robustesse et de performance limite le nombre
de systèmes d’exploitation clients supportés ainsi que le
nombre de machines hôtes.
z Système d'exploitation basé sur une distribution Linux,
spécialement conçu pour faire fonctionner le noyau du
système, le vmkernel. ESX permet de gérer et de hiérarchiser l'ensemble des ressources (mémoire, CPU, disques,
réseaux) en fonction de chaque machine, ou groupe de
machines.
z La gestion de chaque serveur ESX est possible avec un
navigateur ou par la console. Il existe aussi un outil optionnel de gestion centralisée, Virtual Center.
z Les fichiers disque des serveurs virtuels sont créés sur un
système de fichiers propriétaire appelé vmfs. Ce système
de fichiers a la particularité de pouvoir gérer des fichiers
de plusieurs Téraoctets (maxi 64 To pour vmfs3). Autre
particularité, si le système de fichiers est créé sur l’esFI 4 – 24 avril 2007 – page Virtualisation
pace-disque d’un SAN, il est possible d’y accéder depuis
plusieurs serveurs ESX simultanément, car le système de
fichier lui-même gère nativement les accès simultanés.
Chaque fichier n’est bien sûr accessible en écriture que
depuis un seul serveur à la fois.
z Virtual SMP: c’est une option qui permet d’avoir jusqu'à
4 cpu sur les machines virtuelles.
C’est un mécanisme de redémarrage automatique des
machines virtuelles d’un serveur ESX qui est tombé en
panne vers un autre serveur ESX. Il faut disposer d’un
SAN.
z Distribute Ressource Scheduler (DRS):
www.vmware.com/products/vi/vc/drs.html
Virtual Center
Permet de contrôler plusieurs serveurs VMware afin de
mieux gérer les ressources. Conçu pour le déploiement, le
contrôle et la gestion de machines virtuelles, ainsi que pour
la supervision de l’ensemble des ressources des serveurs hôtes.
Par exemple, on peut suivre l’utilisation des ressources au niveau des chaque machine virtuelle (CPU, mémoire, IO,…),
d’un groupe de machines ou d’un ou plusieurs serveurs ESX.
On peut aussi automatiser des tâches.
Il existe deux versions: l’une pour gérer des serveurs ESX,
l’autre pour gérer des serveurs VMware Server. Ce logiciel ne
fonctionne que sous Windows, il utilise une base de données
MS-SQL ou Oracle. L’interface utilisateur est un client
Windows, pour les linuxiens on peut utiliser un navigateur,
mais les fonctionnalités sont moins riches.
z Pour ESX Server (~$ 5000 + support 21% par an)
www.vmware.com/products/vi/vc/
Cette version permet de disposer de toutes les fonctionnalités d’ESX.
z VMotion:
www.vmware.com/products/vi/vc/vmotion.html
Permet de déplacer une machine virtuelle d’un serveur
ESX vers un autre sans l’arrêter. Cette opération est
possible lorsque les serveurs hôtes utilisent des microprocesseurs identiques et que l’espace-disque des serveurs
virtuels se trouve partagé sur un SAN.
z High Avalability (HA):
www.vmware.com/products/vi/vc/ha.html
Permet de faire aussi de la répartition de charges entre
différents serveurs et en fonction des besoins de chacune
des machines virtuelles de les migrer vers un autre serveur
moins chargé. On peut créer des règles qui permettent,
par exemple, d’avoir deux éléments sur le même serveur
ou inversement sur deux serveurs ESX différents. On peut
ainsi jouer sur le fait qu’un élément actif et son backup
ne soient pas sur le même serveur pour permettre qu’en
cas de grosse panne sur un des serveurs la fonction soit
toujours assurée par un des deux serveurs virtuels. Cette
option utilise VMotion.
z Pour VMware Server ($1'000 plus $400 par 2cpu):
www.vmware.com/products/server/vc.html
Même interface que pour ESX mais avec les limitations
qui découlent des fonctionnalités limitées de VMware
Server.
Converter Enterprise (Gratuit pour les utilisateurs de
Virtual Center)
www.vmware.com/products/converter/
z Mêmes fonctionnalités que la version starter avec en
plus la possibilité de planifier des tâches et d’obtenir du
support.
z Le logiciel est disponible seulement sous Windows pour
convertir des machines, physiques ou virtuelles, avec des
OS Windows ! Pour des machines avec des OS Linux
nous disposons d’autres solutions et VMware annonce
le support Linux pour la prochaine version.
Point important
Pour profiter pleinement des avantages de la virtualisation, il faut être conscient des limites.
z Si on souhaite virtualiser des machines physiques, il est
impératif qu’elles ne consomment pas intensivement une
ou plusieurs ressources (processeur, mémoire ou accès
disques).
z Les mécanismes de partages mis en œuvre par VMware
permettent de faire de la surréservation de ressources.
FI 4 – 24 avril 2007 – page Virtualisation
Tolérable pour des machines de tests, la surréservation
est à proscrire si on souhaite des performances correctes.
Le dimensionnement des serveurs a donc une grande
importance sur les performances futures. Nous avons
mis au point une méthode de calcul pour dimensionner
au plus juste les infrastructures.
z Le gain de temps pour l’administration quotidienne des
systèmes d’exploitation est relativement faible.
Conclusion
Dans ce premier article, nous avons commencé par
présenter le contexte de développement des technologies
de virtualisation ainsi que les différents modèles. Puis nous
avons détaillé les produits VMware et enfin les limites du
modèle.
Dans le prochain article, nous donnerons les caractéristiques du service d’hébergement des machines virtuelles que
le DIT va ouvrir cette année. En particulier nous décrirons
l’architecture, les logiciels, les ressources humaines, les services offerts ainsi que quelques exemples d’utilisation.
Références
[1]FI6/06, Laurent Kling, À la carte, ou la virtualisation
avec VMware ESX : ditwww.epfl.ch/SIC/SA/SPIP/
Publications/article.php3?id_article=1097
[2]Wikipédia, Loi de Moore: fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_
Moore
[3]Intel and AMD Harware Virtualization: en.wikipedia.
org/wiki/Virtualization_Technology
[4]Liste des OS supportés en fonction des produits et
spécificités d’installation: pubs.vmware.com/guestnotes/
wwhelp/wwhimpl/js/html/wwhelp.htm ou la version pdf:
www.vmware.com/pdf/GuestOS_guide.pdf n
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FI 4 – 24 avril 2007 – page 

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