Dexia out of Israel – Divestment now!
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Dexia out of Israel – Divestment now!
Dexia out of Israel – Divestment now! Les désignent les colonies israéliennes illégalement construites en Territoires occupés palestiniens. En 1996, on en compte 246, uniquement pour la Cisjordanie Les désignent les colonies qui bénéficient d’un soutien financier de Dexia depuis au moins 2 ans. De tonen de nederzettingen die israël illegaal bouwt in de Palestijnse bezette gebieden In 1996 waren er 246, alleen al in de West Bank De tonen de nederzettingen die minstens 2 jaar financiële steun krijgen van Dexia Aujourd’hui, preuves à l’appui, on sait que Dexia soutient financièrement des colonies israéliennes illégalement construites dans les Territoires Occupés de Cisjordanie. Pour rappel… Depuis 1967, l’Etat d’Israel continue d’étendre ses colonies en Cisjordanie, au mépris des résolutions 446, 452, 465, 469 et 471 du Conseil de Sécurité des Nations Unies et de l'article 49 de la 4ème Convention de Genève : « (...) La Puissance occupante ne pourra procéder à la déportation ou au transfert d'une partie de sa propre population civile dans le territoire occupé par elle.(...) » Pour rappel… Réclamer le désinvestissement de Dexia en Israël signifie : Exiger de notre banque l’arrêt de tout investissement dans les colonies israéliennes érigées en Territoires Occupés tant qu'Israël continuera de traiter le droit et les instances internationales avec mépris ! Dexia est tenu de suivre cet appel, non seulement pour des raisons légales et juridiques contraignantes mais, aussi, par devoir éthique et moral à l’égard de ses employés et de ses clients qui lui accordent leur confiance. Pour rappel… «Colonie» signifie entre autre : - Vols de terres agricoles palestiniennes et restriction/interdiction d'accès à ces terres et leurs ressources Réduction de la mobilité des Palestiniens en général Expulsions arbitraires de familles palestiniennes, chassées par les colons qui prennent possessions des maisons et de leurs contenus Démolitions de maisons (111 structures démolies pour les seuls mois de janvier/février 2008, 381 citoyens palestiniens déplacés selon les Nations Unies) Insultes et attaques quotidiennes de colons israéliens à l’égard des paysans palestiniens dont les terres ont été accaparées par ces mêmes colons Photo : Hébron juillet 2008 Grilles aménagées par les habitants palestiniens pour se protéger des pierres et de détritus jetés par les colons israéliens installés de force dans les maisons de la vieille ville We hebben het bewijs: Dexia geeft geld aan illegale nederzettingen die Israël in de Westbank bouwt. Ter herinnering … Sinds 1967 bouwt Israël nederzettingen in de Westbank. Dit wordt veroordeeld door resoluties 446, 452, 465, 469 en 471 van de Veiligheidsraad van de Verenigde Naties en is in strijd met artikel 49 van de 4de Conventie van Genève die een bezettende mogendheid verbiedt om een gedeelte van haar eigen burgerbevolking over te brengen naar het door haar bezette gebied. Ter herinnering … Eisen dat Dexia 'desinvesteert', betekent: Eisen dat onze bank alle investeringen in Israëlische nederzettingen in de Bezette Gebieden stopzet, en dit zolang Israël het internationale recht en instanties met de voeten treedt. Dexia moet desinvesteren wegens wettelijke en gerechtelijke redenen, maar heeft natuurlijk ook een ethische en morele plicht ten aanzien van haar klanten en werknemers. Ter herinnering... ...”Nederzeting” betekent onder andere : - Diefstal van Palestijnse landbouwgrond en beperking van/verbod op toegang tot land en bronnen Beperking van de mobiliteit van de Palestijnen in het algemeen Arbitraire uitwijzing van Palestijnse gezinnen, weggejaagd door kolonisten die hun huizen en bezittingen in beslag nemen Afbraak van huizen (111 huizen afgebroken in de maanden januari/februari 2008, 381 Palestijnen 'verplaatst' volgens de Verenigde Naties Dagelijkse beledigingen en aanvallen door Israëlische kolonisten tegen Palestijnse landbouwers waarvan het land al in beslag werd genomen. Foto : Hebron juli 2008 Roosters aangebracht door Palestijnse inwoners om zich te beschermen tegen stenen en vuilnis dat door Israëlische kolonisten, die op de bovenste verdiepingen wonen, naar beneden wordt gesmeten. Ed. resp. M. Franssen, Chée de Haecht 53, 1210 Bruxelles LE SOIR Dexia finance des colonies juives BAUDOUIN LOOS Samedi 08 novembre 2008, 11:31 La banque franco-belge Dexia finance, via sa filiale israélienne, le développement des colonies israéliennes en territoires palestiniens occupés, et cela depuis des années. Ce constat, qui aurait en effet pu être fait depuis longtemps, est mis en lumière par plusieurs groupes de solidarité avec la Palestine, qui lancent la semaine prochaine une action de protestation. Depuis près de dix ans, Dexia s’intéresse au marché israélien. En plusieurs étapes, la banque francobelge a acheté une firme bancaire israélienne, Otzar Hashilton Hamekomi (« Trésor du pouvoir local »), spécialisée comme ce nom l’indique dans le financement des communes et des collectivités locales, à l’instar du bon vieux Crédit communal belge, ancêtre de Dexia. Depuis 2001, cette banque israélienne est contrôlée par Dexia qui détient 65,31 % du capital. La filiale Dexia Public Finance Israel est répertoriée sur le site de Dexia comme troisième en importance sur le marché israélien du financement des collectivités locales (avec un personnel de quarante personnes). La banque a pignon sur rue et est bien connue des Israéliens. Avec d’autres mouvements, Intal, qui travaille sur divers dossiers de solidarité dans des pays du tiersmonde – Amérique du Sud, Congo, Philippines, Cuba – dont les territoires palestiniens, a décidé de lancer une campagne pour dénoncer l’implication de Dexia dans le financement des colonies juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. « Nous voulons rappeler que la colonisation est contraire au droit international, nous dit Mario Franssen, d’Intal. La Quatrième Convention de Genève interdit l’installation de populations du pays occupant dans le territoire occupé. Avec d’autres groupes, nous sommes engagés par ailleurs dans une campagne de boycott des produits israéliens, pour dénoncer l’occupation, et certains nous reprochent, de manière absurde, d’agir ainsi pour rayer Israël de la carte ou par antisémitisme ! Mais ici nous ciblons une situation bien particulière : le financement, par une banque franco-belge, du développement des colonies israéliennes dans les territoires occupés, toutes illégales. » « Ce financement n’est guère contestable », dit encore Mario Franssen, dont le mouvement s’est procuré la retranscription d’une séance en commission des Finances de la Knesset (parlement israélien) qui date du 19 juin 2007. Les propos tenus par David Kapah, le directeur de Dexia Israel, ne laissent pas la place à l’ambiguïté : « Pour nous, la localisation géographique n’est pas pertinente. Si on parle de quelque chose au-delà de la Ligne verte (dans les territoires occupés, NDLR), nous, nous avons octroyé une aide financière ces deux dernières années et demie à Alfei Menasheh, Elkana, Beit-El, Ariel, Beit Aryeh, (le Conseil régional de) la Vallée du Jourdain, Givat Zeev, (le conseil régional de) Har Hevron, Kedumim, Beit Aryeh (…). Cela veut donc dire que, oui, c’est nous qui les soutenons financièrement et c’est encore vers nous que l’on vient pour recevoir du crédit. » Et à la question d’une députée, Esterina Tartman, rapporteur de la Commission des Finances, ellemême résidente d’une colonie (Givon Ha-Hadasha) et désirant « savoir si la dimension de la localisation géographique de la Judée et de la Samarie (la Cisjordanie occupée) complique le processus de décision au sein de la Banque Dexia Israel », la réponse de David Kapah, laconique, se révèle claire : « Négatif. Absolument pas… » Dexia, à Bruxelles, a été interpellé depuis 2001 par les mouvements belges de solidarité, sans grand succès, les réponses restant incomplètes ou imprécises, et la responsabilité globale de l’achat de la banque israélienne étant renvoyée à Dexia France. A partir de la semaine prochaine, des actions de protestation seront donc lancées.