Koncert Koregraphique
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Koncert Koregraphique
ROOM 83 KONCERT KOREGRAPHIQUE SOMMAIRE GENÈSE DEMARCHE ARTISTIQUE SCENOGRAPHIE SYNOPSIS AUTEURS SENSIBILISATION BIOS PARTENAIRES CONTACT ROOM 83 « KONCERT KOREGRAPHIQUE » GENESE DU PROJET Point de départ de ce « Koncert Korégraphique », un album « ROOM 83 » entièrement composé, arrangé et écrit par Alvina Lanselle. Un voyage métisse entre les racines de l’Afrique, le velours du jazz et de la soul et les sirènes de la pop. Un pari fou ! Donner vie à ce qui pourrait exister sous forme cinématographique , mais qui est pensé et révélé sous forme de spectacle vivant. Accords et Corps s’unissent alors sur la même scène pour un spectacle musical tout public. Mise en scène et chorégraphie sont une résonance corporelle du livret musical, de ses couleurs et univers divers ; à la fois écho ou contrepoint. Mais la danse n’est pas une narration des textes. Elle ouvre les sens sur d’autres façons d’écouter, de sentir et percevoir la musique et de lire les textes. Ce spectacle est la suite logique d’une longue collaboration artistique entre les membres d’une même famille. Corinne LANSELLE (metteur en scène et chorégraphe du projet) avec son fils Marvin GOFIN, (danseur et chorégraphe hip hop) vont mettre en scène et en danse les compositions originales de l’album d’Alvina LANSELLE ( auteur, compositeur, arrangeur et chanteuse) soutenue par son père Hary GOFIN (bassiste, contrebassiste, improvisateur et arrangeur). Ils possèdent un sens commun pour l’art comme mode de vivre mais utilisent des moyens d’expression et de dire différents. Musique et danse. Un lien intime et sensible. Un défi ! 1 chanteuse, 5 musiciens, 9 danseurs. Du live ! Un concert, une scénographie, une création chorégraphique contemporaine et Hip-hop. Du spectacle vivant ! DEMARCHE ARTISTIQUE L’originalité de ce projet tient dans la collaboration de deux ensembles artistiques différents. Le groupe musical «! ALVINA!» qui apporte son univers au travers de l’album «! ROOM 83!» et la Compagnie Corinne Lanselle pour la mise en images des titres musicaux et les faire vivre par la danse. Comment ces artistes accomplis dont les territoires les uns pour les autres sont frontaliers, vont-ils s’harmoniser afin que chacun puisse accorder son regard sur l‘autre et faire vibrer cette corde sensible qui les réunit dans leurs inspirations ? À chacun son langage, sa particularité, tous soutenus par une impulsion commune, un respect de l’art, de l’autre et une volonté de se conformer et de s’harmoniser avec l’autre. Mêler son univers, jouer de son talent et de son intuition. Musique et danse se renvoient, se stimulent, s’intègrent et mettent en marche nos sens. Chacun pouvant être le miroir de l’autre, dévoilant sa vie cachée. Rendre un corps qui s’accorde à l’oreille, comme le son peut s’ajuster au corps. Chacun dans sa sphère émotionnelle ; texture voix et peau s’étirent et nous offrent un voyage dans le temps où l’imaginaire prend acte et l’alchimie de ces influences mutuelles s’équilibrent. Pour le metteur en scène du projet, l’essentiel est de communiquer, transmettre, laisser voir et transcender la compréhension du verbe et du langage chorégraphique. Alchimie des sens, de la charge poétique des paroles et mélodies et des images. Une invitation à entrer dans la nature propre de nos émotions, faisant naître dans notre imaginaire, le temps d’une rencontre, l’élargissement de nos perceptions. Permettre aux spectateurs de tous âges et horizons de flirter du regard et de l’oreille avec le corps dansant d’une chanteuse, caisse de résonance de la voix, ou avec le lien intime du musicien et de son instrument. Et dans le même temps, écouter le son d’un danseur en mouvement ; circulations corporelles créant leurs propres musicalités. Ces aller- retours permettent un choix délibéré pour le public de voir un son traverser l’intimité d’un corps dansant et sonore dans toute sa sensualité. Le regard posé par le public reste donc libre, subjectif et personnel en lien avec l’histoire et le vécu de chacun. Autre origialité de ce projet, danse et musique peuvent exister independamment l’un de l’autre. Moment de partage, de respect, d’ajustement, de création, de don et de réception. SCENOGRAPHIE La scénographie offre un territoire en mutation : • 5 PORTES en fond de scène qui peuvent s’ouvrir ou se fermer, inviter ou refuser. Portes ouvertes, entre-ouvertes, fermées, verrouillées, cadenacées sont les acteurs essentiels de cette pièce. L’espace ainsi décidé tout au long de lapièce est l’expression de l’intime. Derrière une porte, il y a des gens qui vivent, un monde particulier, intime et mystérieux pour celui qui passe devant ou qui attend d’ y être invité. La porte délimite un en- dehors et un en- dedans. Fermée, elle est mur. Ouverte, elle est issue, accès, passage vers l’imaginaire, les désirs, les tentations et rêveries. Elle se métamorphose, apparaissant solide, infranchissable, glissant sur ses gonds, elle s’efface et disparaît et devient pouvoir d’échanges ouverts sur l’ailleurs. Autant d’indices offrant l’intériorité, les non-dits, les non- sus ou non tus. La perception de cet entre deux tisse par nos sens le réel et une autre temporalité. Une invitation à franchir, un acte dynamique et parfois héroique. Portes concrètes ou symboliques, mystère, suspens, interdits, attente, libération autant de sentiments et d’impressions variés envahissent notre imaginaire que l’on soit d’un côté ou de l’autre d’un monde ordinaire ou de celui du mystère. Une conquête sur soi... qui y a t-il derrière la porte, ma porte….un espace sublimé par une pensée libre du dehors et du dedans. Comment cet objet aussi réel et présent dans notre quotidien peut-il suggérer autant de fantasmes entre deux mondes.? L’entrelacs de deux mondes rêves et réalité s’inscrit sur ces portes par le biais de la vidéo et de jeu d’ ombres, une poésie d’images insolites caressant leur surface ou disparaissant dans leur perspective, animant ainsi l’objet qui oscille entre apparition et disparition. Un souffle , un murmure , un froissement signalent l’apparition ténébreuse de silhouettes androgynes, créatures dans l’intime union, des opposés, des dualités ,des interdits et des tabous. Des corps déformés, sublimés, transformés, masqués, artificiels, prothèses . Mihomme, mi femme, ni homme, ni femme, créatures sorties d’un univers onirique… • Le tablier ( plus communément appelé DAMIER) , en dehors du jeu de clair obscur qui donne une illusion de relief, est un espace de jeu, de confrontation voire de combat. Ce jeu de lumière évolue tout au long du spectacle, prise totale de l’espace scénique ou délimitation de terrains de jeu plus petits, il suit les déplacements des danseurs, s’ obscurcit, s’efface, et réinvite plus tard les danseurs pour une nouvelle partie. Symboliquement, le damier traditionnel noir et blanc rappelle les forces antagonistes terrestres, la loi des contraires, avec lesquels l'homme a à se débattre. Lumière et obscurité, ciel et terre, hiver et été, homme et femme, savoir et ignorance. les opposés,une conciliation des contraires tel parait être le principe . Le blanc n'est pas une couleur nous dit-on, il est la somme de toutes les couleurs. Comme le blanc, le noir n'est pas une couleur non plus: il est l'absence de couleur. Le Tout et le Rien, le Tout en tout, voilà vraisemblablement d'où ces deux non couleurs tirent leur symbolisme. Cette alternance de carrés évoque un moment de la création du monde régi par le binaire. Est-il blanc sur fond noir ou noir sur fond blanc ? C'est un assemblage parfait en régularité et en alternance. Il donne une image unique, il n'y a pas de lutte entre les extrêmes, mais au contraire maîtrise et apprivoisement. Grâce à l’interpénétration du noir et du blanc dans le symbole du Yin et du Yang, on réalise que ce que l’on prenait pour une pure opposition peut également être interprété comme une complémentarité, un équilibrage constant. Est-ce que cela nous indique que le simple fait de se déplacer un peu nous permet de juger une situation sous un autre angle ? Sur scène, un échiquier avec l’opposition d’une armée blanche et d’une noire dans des costumes faits de plastiques. Ces pièces du jeu d’échec sont les atouts et les outils donnés à l' Homme pour qu'il se réalise plus ou moins habilement, plus ou moins savamment. Chemin de vie, il est également un chemin de connaissance. Le damier devient symbole par excellence pour exprimer le jeu conscient de l’existence. C'est l'enjeu : le dépassement des forces primitives, instinctuelles, par le développement et la maîtrise de son esprit, du mental, conjoint à la maîtrise de l'émotionnel. Etre conscient que chaque acte engendre une conséquence, que chaque pensée a une incidence.. Une réflexion sur l'organisation de sa vie, sur le sens de son existence, sur les relations de causes à effets s'impose. SYNOPSIS Multiple, plein, d’une rare puissance, autant concert que spectacle de danse ; moment suspendu pendant lequel on se laisse porter par nos sens. Les tableaux se succédent, la mécanique des rêves en est le fil conducteur ; une image, une idée, une émotion, un souvenir, nous propulse à chaque fois vers un nouvel ailleurs. Ils sont une métaphore visuelle des textes d’Alvina Lanselle et univers sonores à la fois résonance et/ou contrepoint. Savant mélange de danse contemporaine et hip-hop, les danseurs métissent, créent des passerelles, mixent les énergies de leurs disciplines, on ne cherche pas à imiter, on danse. Essentiel. On partage. Chacun investit son domaine pour mieux mettre en valeur l’énergie de l’autre, sa matière, sa texture de corps. La danse est aérienne, picturale, théâtrale, charnelle, volumineuse, plastique…Elle suggère et exhibe. Une danse d’envol, de souffles, d’élans, de vertiges, de prises de risque. Une danse exposée aux vents. Jouir du déséquilibre, se laisser chuter, s’élancer. `« Je toise alors le monde des sommets (…). Je chavire, patiente.(…) ». Le temps s’arrête sur ces moments envoûtants. Pendule perpétuel. Les danseuses s’envolent tenues par un fil, suspendues au-dessus de la terre, rattrapées, animées par des danseurs se fondant, glissant dans le sol. « (…) Le bourdonnement du silence, berce et fleurissent les graines déposées Rue du Paradis… ». Un travail sur le pictural qui crée de la profondeur. Ces moments photographiques, « j’étreint l’instant, inestimable rubis, je pose » comme consistance esthétique. Tenter de fixer dans la rétine du spectateur l’insaisissable et s’attarder sur la poésie provoquée. Jouer sur la durée, le passage du temps dans le silence des corps. « Et son corps marqué Chef d’œuvre du temps expire étiqueté, classé « Une ride à la bouche ». Une danseuse s’abandonnant dans un tissu de plumes aux prises avec des mains de fer. Une danse théâtrale, proche de la performance. Travail sur le personnage, le décalé, l’expressivité, le rythme des mots. Donner du sens par le corps sans entrer dans les codes dansés. « Il se dandine, elle trépigne, Impassible, hystérique, Face à face, Corps à Corps sur le ring ( …) D’un regard, elle l’assassine Et observe son crime .C‘est un manqué, toujours planté devant elle, il sourit. ». Un homme, perdu des années 70 dansant ce qui pourrait ressembler à un jerk , une femme oiseau se transformant en krumpeuse s’exposent l’un à l’autre et revendiquent chacun sa place. Danse à deux, échanges, fusions, déguisement, effeuillage de vêtement font le deuil d’une part de soi et consolident peu à peu le lieu de son identité. «Tout ce linge d’un autre été, se courber, et ramasser, ses souvenirs, sourires, et jeux d’enfants pour rattraper le temps » . Une mécanique festive, désinhibée, bien réglée, tournée en dérision .Jeu d’ entrées et sorties qui contamine les musiciens pour finir dans une orgie rock’n’roll. Une danse d’abandon sur des matelas aux draps blancs « Ou lorsque j’abandonne aux morsures mon buste, timide et libertine, et fragile et robuste, Que sur ces matelas qui se pâment d’émoi, Les anges impuissants se damneraient pour moi ! » (Baudelaire - Les Métamorphoses du vampire). Chutes, résistances, jouissance. Le Blanc est une couleur liée aux rites de passage, ces femmes se livrant à corps perdus dans la mémoire et l’odeur de leurs draps, comme suspendues entre présence et absence, entre Lune et Soleil, entre les deux faces du sacré. « L’écume du jour où nous étions enlacés, aujourd’hui caresse le lit de mes pensées.(…) ». Une danse percussive qui traverse les corps. Le rythme est crée par les danseurs qui jouent de percussions et s’affrontent dans un battle dansé. Un orchestre de bâtons (interaction musiciens et danseurs) soutient une phrase dansée par 3 danseurs hip-hop qui euxmême percutent le sol et scandent leurs mouvements. « (…)Tambours sonneront bientôt minuit (…) ». Un maître des cérémonies, frappe alternativement le blanc et le noir du pavé mosaïque avec son bâton comme pour en activer l’énergie vitale , et amplifier les énergies extérieures à l’Homme. Message sonore destiné à ceux qui ont des oreilles pour entendre. « (…) Traqué sans une échappée, quitter sans parler. (…) ». Il est lancé vers le ciel, masculin, qu'il invoque pour se charger en énergie spirituelle et frappe le sol pour se renvoyer à la terre, féminin. Un messager, animé par le mouvement, conduisant les voyageurs là où ils veulent, il concourt à la circulation des choses, des êtres et des idées. Le mouvement vertical de haut en bas se fait selon la direction de l’Axe du Monde ; axe qui délimite le temps et l’espace « (…) I need opening, I need crossing, I need preciousness behind ». Travail sur l’anonymat. Le masque objet. « (…) Masqué, comme le prince des fées marque le final, fatal. Naufragé de ma destinée, homme sans écaille, bataille (…) ». Alors que le visage est caché par un masque neutre blanc, chaque personnage va s’affirmer et se rendre identifiable par ses postures et finalement donner corps, vie et expression à cet anonymat. « (…)Indifférence menu du jour, Madame Le Monde (…) ». AUTEURS Corinne Lanselle – Chorégraphe & Metteur en scène "N!é!e! !d’!u!n! !p!é!r!e! !a!r!t!i!s!t!e! !p!e!i!n!t!r!e! !e!t! !d’u!n!e! !m!èr!e! !s!t!y!l!i!s!t!e! !e!t! !d!é!c!o!r!a!t!r!i!c!e!,! c!e!t! !h!é!r!i!t!a!g!e! !l’!a!m!è!n!e! !à! !t!r!a!v!a!i!l!le!r! !s!u!r! !d!i!f!f!ér!e!n!t!s! !t!e!r!r!a!i!n!s! !a!r!t!i!s!t!i!q!u!e!s!,! l!a! !d!a!n!s!e! !r!e!s!t!a!n!t! !s!o!n! !d!o!m!a!i!n!e! !d!e! !p!r!é!d!i!l!e!c!t!i!o!n!.! !E!l!l!e! !c!h!o!i!s!i!r!a! !d!e!s! p!r!o!j!e!t!s! !l!i!b!r!e!s! !d!e! !t!o!u!t!e!s! !c!o!n!v!e!n!t!i!o!n!s! !q!u!i! !l!u!i! !p!e!r!m!e!t!t!r!o!n!t! !d’!h!a!b!i!t!e!r! d!e!s! !e!s!p!a!c!e!s! !i!n!s!o!l!i!t!e!s!.! !I!m!a!g!i!n!e!r! !d!e!s! !s!c!é!n!o!g!r!a!p!h!i!e!s! !m!o!d!u!l!a!b!l!e!s! !e!n! !f!o!n!c!t!i!o!n!s! !d!e! !l!i!e!u!x! !p!a!r!t!i!c!u!l!i!e!r!s!:! !f!r!i!c!h!e!,! !g!a!l!e!r!i!e!,! !p!a!r!k!i!n!g!,! !é!g!l!i!s!e!,! !c!h!a!p!i!t!e!a!u!,! !v!i!t!r!i!n!e!s!,! !r!u!e!,! !t!h!éâ!t!r!e …! !S!a! !d!é!m!a!r!c!h!e! !a!r!t!i!s!t!i!q!u!e! !s!'!a!p!p!u!i!e! !s!u!r! !l!e!s! !m!o!y!e!n!s! !d!'! !e!x!p!r!e!s!s!i!o!n!s! !d!e! !d!i!f!f!é!r!e!n!t!e!s! !d!i!s!c!i!p!l!i!n!e!s! !p!r!ô!n!a!n!t! !l!e! !m!é!t!i!s!s!a!g!e! !d!e!s! !g!e!n!r!e!s!.! !E!l!l!e! !s!i!g!n!e! !p!o!u!r! !s!a! !C!o!m!p!a!g!n!i!e!,! !c!r!éé!e! !e!n! !1!9!8!6!,! !u!n!e! !v!i!n!g!t!a!i!n!e! !d!e! !p!i!èc!e!s!.! !I!n!v!i!t!é!e!s! !d!a!n!s! !d!e! !n!o!m!b!r!e!u!x! !F!e!s!t!i!v!a!l!s!,! !l!e!s! !r!e!p!r!é!s!e!n!t!a!t!i!o!n!s! !s!o!n!t! !c!o!u!p!l!é!e!s! !a!v!e!c! !d!e!s! !l!e!c!t!u!r!e!s! !e!t! !a!t!e!l!i!e!r!s! !c!h!o!r!é!g!r!a!p!h!i!q!u!e!s!,! !r!é!p!e!r!t!o!i!r!e! !e!t! !c!o!n!f!é!r!e!n!c!e!s! !a!u!t!o!u!r! !d!e! !l!a! !d!é!m!a!r!c!h!e! !a!r!t!i!s!t!i!q!u!e! !d!e! !s!a! !C!o!m!p!a!g!n!i!e!.! !C!e!l!l!e!-!c!i! !r!e!s!t!e!r!a! !q!u!e!l!q!u!e!s! !a!n!n!é!e!s! !e!n! !r!é!s!i!d!e!n!c!e! !a!u! !T!h!é!â!t!r!e! !d!e!s! !A!m!a!n!d!i!e!r!s! !d!e! !P!a!r!i!s!,! !a!v!a!n!t! !d!e! !m!u!l!t!i!p!l!i!e!r! !d!e!s! !t!e!m!p!s! !d!e! !c!r!é!a!t!i!o!n! !d!a!n!s! !d!i!f!f!ér!e!n!t!s! !t!h!é!ât!r!e!s! !e!t! !d!e! !r!e!j!o!i!n!d!r!e! !d’a!u!t!r!e!s! !s!t!r!u!c!t!u!r!e!s! !a!r!t!i!s!t!i!q!u!e!s! !(!C!i!r!q!u!e!,! !C!i!e! !d!e! !t!h!éât!r!e!,! !c!i!n!é!m!a!,! !G!a!l!e!r!i!e! !d!e! !p!e!i!n!t!u!r!e!.!.!.!)!.! !F!o!r!t!e!s! !d!e! !c!e!s! !e!x!p!é!r!i!e!n!c!e!s! !m!u!l!t!i!p!l!e!s!,! !s!e!s! !c!r!é!a!t!i!o!n!s! !r!e!v!e!n!d!i!q!u!e!n!t! !l!e! !n!o!n! !e!n!d!o!c!t!r!i!n!e!m!e!n!t! !d!u! !m!o!u!v!e!m!e!n!t!.! ! « R!e!c!o!n!n!u!e! !p!o!u!r! !s!o!n! !e!x!i!g!e!n!c!e! !a!r!t!i!s!t!i!q!u!e!,! !s!e!s! !c!r!é!a!t!i!o!n!s! !i!n!v!i!t!e!n!t! !l!e! !p!u!b!l!i!c! !à !p!é!n!ét!r!e!r! !d!a!n!s! !d!e!s! !u!n!i!v!e!r!s! !o!ù !m!é!t!i!ss! !a!g!e! !d!e!s! !g!e!n!r!e!s! !e!t! !e!x!p!r!e!s!s!i!o!n! !p!l!u!r!i!e!l!l!e! !c!h!a!r!p!e!n!t!e!n!t! !s!e!s! !c!r!é!a!t!i!o!n!s!.! !L!e!s! !r!a!p!p!o!r!t!s! !h!u!m!a!i!n!s! !p!a!s!s!é!s! !a!u! !s!c!a!n!n!e!r! !s!o!n!t! !l!e! !f!i!l! !c!o!n!d!u!c!t!e!u!r! !d!e! !s!e!s! !p!i!éc!e!s!.! !T!é!m!o!i!n! !d!e! !n!o!t!r!e! !é!p!o!q!u!e!,! !e!l!l!e! !p!r!o!d!u!i!t! !d!e!s! !i!m!a!g!e!s! !f!o!r!t!e!s!.! !S!p!e!c!t!a!c!u!l!a!i!r!e! !t!é!l!e!s!c!o!p!a!g!e! !e!n!t!r!e! !u!n!e! !r!é!a!l!i!t!é! !c!r!u!e! !e!t! !l!e!s! !f!a!n!t!a!s!m!e!s! !q!u’e!l!l!e! !g!én!ér!e!.! !E!l!l!e! !d!e!s!s!i!n!e!,! !g!u!i!d!é!e! !p!a!r! !u!n!e! !é!n!e!r!g!i!e! !b!r!u!t!e!,! !u!n!e! !d!a!n!s!e! !t!r!i!b!a!l!e!,! !s!e!n!s!u!e!l!l!e!,! !d!é!f!i!a!n!t! !l!e!s! !c!o!d!e!s!,! !m!a!i!s! !e!m!p!r!e!i!n!t!e! !d’!u!n!e! !g!r!a!n!d!e! !p!o!é!s!i!e! ». Une démarche artistique qui repose sur le mode de l’échange avant tout. S’approcher au plus près pour une découverte organique du corps, admettre les différences et savoir les utiliser. Radiographier l’énergie du mouvement pour en extraire de nouvelles substances. Ajuster des espaces de liberté afin que la chorégraphie soit source d’imaginaire. Laisser la place à chacun des interprètes de vivre des instants forts, leur donner la liberté d’être au plus près d’eux- mêmes pour partager en toute sincérité, car une pièce est un instant vécu en partage entre public, danseur et chorégraphe. Respecter cet espace de création d’expression vitale, pour se découvrir et dévoiler à l’insu de toute conscience une part de notre existence dont on ne possède pas encore le secret. Pour une danse où le corps et l’énergie se consument dans une spirale incessante. Une danse de réflexe, de relais, d’écoute, de segmentation où chaque axe du corps est autonome par rapport aux autres. Une danse où l’alternance de chutes, tensions et détentes, demande une disponibilité constante pendant laquelle le corps s’abandonne au déséquilibre, à l’extase et jouit d’une suspension . Une danse qui exige une connaissance de son centre de gravité et son déploiement vers l’extérieur, afin de contrôler la succession constante de positions qui oblige la verticalité passagère. " Collaboration artistique – invitée comme chorégraphe, metteur en scène & plasticienne. • Plasticienne pour le Madonna World Tour 2012: création originale de 10 masques pour les danseurs et une commande spéciale pour Madonna. • Mise en place d’un projet Franco-Suédois avec la chorégraphe Charlotta Overholm à Stockholm. Création « Léonce présentée au Moderntheater de Stockholm en Septembre 2010, tournée dans les Pays de Est en 2012. • Plasticienne pour le danseur et chorégraphe Marvin Gofin : création de 4 masques originaux pour sa création « La preuve par 4 » récompensé au Dance Delight 2008 et représentant la France l’année suivante au Japon. • Création du Festival Prétendanse en collaboration avec le Café de la Danse à Paris ayant pour ambition de promouvoir de jeunes compagnies. • Chorégraphie et mise en scène du Cirque Baroque (1993) - Création « Noir Baroque » - Tournée internationale. • Chorégraphie pour une pièce de Gabriel COUSIN (1991) « Le cycle du crabes » mise en scène: Agnès MICHEL présenté au Festival d’Avignon. • Masterclass au Théâtre de la Ville pour la Cie DV8 (1989). • Black Blanc Beur (1986) - mise en scène et chorégraphie (suivit et soutien pendant plusieurs années du travail de la compagnie) Tournée internationale. • Actrice principale et chorégraphe du film « Justocoeur » signé par Mary STEPHEN, présenté au Festival de Cannes. Film supervisé par Eric RHOMER. Danseurs ayant travaillés dans la Compagnie: Sandra Savin, Bruno Sajous, Bea Buffin, Youkiko, Sophie Davier, Nathalie Pubellier, Maxim Iannarelli, David Drouard, Stephane Jarny, Stephane Fratti, Manu Vignoule, Nam jim kin , Julien Desplantez, Sebastien Sfedj, Laurent Cotillard, Aurelie Horde, Stephanie Chatton, Marion Renoux, Alpha Sanneh, Thierry Verger, Hubert Petitphard, Marvin Gofin, Grichka Caruge, Tatiana Seguin, Alex Gbeblewoo, Andrea Bescond, Malika Benjelloun, Carine Noel, Mohamed Arbia, Cecile Gimonet, Veronique Ascencio, Saul Dovin, Patrice Usseglio, Eric Stieffatre, Edwige Chandelier. Alvina Lanselle – auteur, compositeur, arrangeur et interprète. Room 83, un studio parisien, le rendez-vous quotidien, son cocon. Bercée dès l’enfance entre musique et danse, c’est derrière un micro dès l’age de 6 ans qu’Alvina Lanselle fait ses premières armes. C’est donc tout naturellement qu’elle poursuit des études de musique (Licence de musicologie, American School of Modern Music, Aula de Musica Moderna i Jazz – partenaire de Berklee à Barcelone...). Aux côtés de musiciens aguerris comme Hary Gofin, Claude Vamur, Jean-Marc Bellon, Jean-philippe Fanfan, Harold Abraham, Alain Debiossat, Thomas Koenig, Alain Scheinder, Kohndo (…) elle foule les planches du New Morning, Sunset, Sunside, Chapelle des Lombards, Réservoir, Bellevilloise, Scène Bastille, Bus Palladium (…) et participe à l’enregistrement de plusieurs albums. Son affection pour la danse l’amène à accompagner des cours de danse contemporaine à la voix. Elle développe une pédagogie associant voix et corps et enseigne dans plusieurs écoles (Studio Harmonic, MJC de Colombes, Varium à Barcelone). La respiration, le rythme, la voix sous toutes ses formes entrent en résonance avec le corps dansant. Elle collabore avec plusieurs chorégraphes et compose leur musique original : La Cie Corinne Lanselle (Comme au fruit son noyau, Corps anonymes, Léonce, Des poissions dans les arbres), la Compagnie suédoise Jus de la Vie – chorégraphe Charlotta Overholm (4 feet under, YouwilldieandU2) , le chorégraphe américain Dwight Rhoden et le Modern Dance Theater de Stockholm (Antithesis). Elle signe également un duo « MeMo » avec la danseuse/ chorégraphe Stéphanie Chatton alliant le chant et la danse en direct qui remportera le 1er prix et le prix du jury au concours international de danse de Voiron (38). Elle chantera également dans la pièce « Les regards des autres » - chorégraphe Marie-Jo Chatton au « 3CL » Luxembourg. Elle crée également une collection de musique pour la danse (et l’image) appelé EKODANSE et sort son premier album en fév. 2011. Parallèlement, dans ses carnets et face à ses instruments Alvina écrit et compose. Besoin de dire, de susurrer, de chuchoter, d’explorer, d’étonner et de détonner. Ses textes transmettent une émotion implacable. Poésie sensible, humour décalé, ils évoquent avec parcimonie les affres du quotidien, les travers des couples en péril (Corps à corps, Nager dans tes bras), le bien être d’un cocon amoureux (S, Rue du Paradis), les bouleversements dus à des rencontres périlleuses, les tatouages et sillons laissés par le temps (Petite fille, Une ride à la bouche)…… Une vie, des vies, nos vies à tous. C’est aux côtés d’amis et musiciens de talent (François Robinson, Gaye Sidibé, Geoffrey Dugas et Swanny Elzingre), qu’elle décide de se livrer en scène. Forte de ses expériences, elle développe une musique riche empreinte de jazz, de tribalité, de pop où chacun peut s’exprimer au travers d’espaces d’improvisations. L’éclectisme de leurs parcours offre un rendez-vous haut en couleurs. Son instrument principal, sa voix, porte le tout vers un univers particulier, véhiculé par une émotion interne riche de sensible. Une voix avec un large spectre jouant avec les textures, capable d’improviser, de chuchoter des secrets, d’exploser, de raconter ; une voix qui transporte son public toujours plus loin et qui lui permet de survoler le monde, notre quotidien avec bienveillance. Marvin Gofin (RAF Crew) – danseur & chorégraphe Danseur Professionnel. Il danse et chorégraphie pour Le «!world tour!» de Madonna en 2012 avec laquelle il part en tournée internationale. Il continue à collaborer avec Madonna sur différents projets. Mar20 est également membre fondateur et chorégraphe du collectif « RAF Crew », champion du monde de hip-hop 2009 en résidence au Théâtre de Chaillot et en tournée internationale avec «!Citiz!». Il crée aussi le collectif « La preuve par 4 » dont il est chorégraphe et interprète (1e prix au Dance Delight 2008 et finaliste au Japon en 2009). Il ne cesse de participer aux plus grands battles internationaux et remporte à plusieurs reprises la première place (finaliste « Juste Debout » de Lille en 2006, 2007 et 2008, vainqueur de 2 battles freestyle en Allemagne en 2006 et 2007, de l’Express Your Style en 2007 avec RAF Crew, Co-chorégraphe et interprète vainqueur du concours international de Blackpoom avec le Nightilldown en 2007 et 2008. Actuellement, en collaboration avec la production Woow sur différents projets vidéo dont «!Me, myself and I!» qui a remporté le premier prix au festival….. C’ est à l’âge de 14 ans que Mar20 débute sa carrière de danseur professionnel. Il a notamment accompagné plusieurs artistes chanteurs interprètes dans leurs promotions et tournées internationales. Après une formation pluridisciplinaire en danse (classique, jazz et surtout en contemporain) au studio harmonic à Paris, il acquière en parallèle les bases de divers styles hip-hop: House, Jazz-Rock, Krump et perfectionne sa technique. Ceci l’amène à participer à de nombreuses représentations avec la Compagnie Corinne LANSELLE depuis 2007 avec les pièces « Comme au fruit son noyau », « Corps anonymes », « Des poissons dans les arbres » et aujourd’ hui «!Koncert Khorégraphic!».Danseur Professionnel. Hary Gofin – arrangeur & improvisateur Musicien jazz de talent jouant de la contrebasse et de la basse, Hary Gofin a joué pour beaucoup d’ artistes internationaux ( A.Schneider, C.Vamur, Neneh Cherry, Manu Dibango, Don Cherry, John Brecht, Manuel Wandji, Lavelle entre autres…). Il a également composé plusieurs titres de jazz, musiques des caraîbes et africaine ainsi que des compositions pour des créations chorégraphiques (Cie. black blanc beur, Cie C. Lanselle ). Hary participe également aux enregistrements de C. Vamur, Havana Delirio, Las Torres, Tété Espinola, Guem Guem, Les petits Loup du Jazz, Emilio Bissayo…) et on fait régulierement appel à lui pour des interventions pédagogiques. SENSIBILISATION Parallèlement à la création, la compagnie s’investie dans des projets d’ actions pédagogiques parce qu’ il lui paraît essentiel et nécessaire d’ ouvrir à tous un chemin vers la culture, de pouvoir rencontrer et partager avec les acteurs du projet. • Pour nous!: aller à la rencontre du monde amateur et relier le spectacle vivant, qui peut être une inconnue pour un public non - initié, à une action de sensibilisation et de dialogue. • Pour les volontaires!: vivre, expérimenter, toucher du doigt, se sensibiliser, se confronter à l‘acte de création, de recherche sur soi et avec les autres. La compagnie développe depuis des années en France et à l‘étranger, un travail de sensibilisation auprès du jeune public, (notamment au Mans, Franconville, Winterthur, Colombes, lvry, Nanterre, Paris); des jeunes en difficultés (dans les quartiers des Mureaux, de Saint- Quentin-en-Yveline,de Bordeaux et du Mans), des amateurs et des professionnels au travers d’ateliers, de lectures chorégraphiques, de cours techniques et de répétitions publiques (partenaires DRAC et ADIAM (92). Afin de favoriser les échanges artistiques, avec le concours de l’AFDAS, elle produit des stages “Danse Pluridisciplinaire” en collaboration avec le musicien -compositeur Gérard MARAIS, les comédiens metteurs en scène Paul BARGE et Paul SAIMBERT, l’école de cirque de Rosny et de Pol CHAROY, spécialiste de danse martiale. Elle y invite de nombreux chorégraphes: Jean GAUDIN, Hervé DIASNAS, François GUILBART, Rock & Lynchen, Mic GUILLAUME, Catherine ATIANI (voix). Aujourd’hui, l’ équipe artistique réunit metteur en scène, chanteuse, musiciens et danseurs contemporains et hip hop. Ce collectif pluridisciplinaire a la capacité de pouvoir cheminer avec un large public (scolaires, danseurs ou chanteurs initiés ou amateurs) mais aussi de pouvoir sensibiliser à la danse et au chant. Le choix du metteur en scène et chorégraphe Corinne Lanselle s’est volontairement porté sur des interprètes de forte personnalité ayant développés un travail qui ouvre des champs d’explorations pour un corps disponible, sensible, trouvant ses racines soit en danse contemporaine soit en hip-hop pour inventer une partition originale et revendiquant une liberté d’écriture Nous proposons différentes formes de sensibilisation!: • Interaction entre le monde amateur et le monde professionnel!: Figuration pour le premier tableau du spectacle!: 12 figurantes pour animer l’échiquier • Répétitions publiques!: Temps particulier ou le public invité est immergé dans le temps d’une répétition ou d’un filage. Il peut ainsi découvrir ce qui se passe en amont d’une représentation, comprendre les rôles et les liens entre les différents acteurs!: metteur en scène, interprètes, régisseur.. et avoir un moment de partage et de dialogue avec les artistes à l’ issue de la répétition. • Sensibilisation en milieu scolaire!: Faire découvrir aux enfants ce qui est mis en jeu dans la danse, l’espace, le rapport à la musique, les notions de sensation et de représentation • Sensibilisation en danse!: Cours technique sous forme de stages de danse contemporaine et hip-hop avec les chorégraphes Corinne Lanselle et Marvin Gofin!; Découvrir la diversité des techniques chorégraphiques qui sont en jeu dans ce spectacle. Forts de leur expérience, ces deux artistes et pédagogues signent, chacun dans leur domaine, une écriture très particulière. • Ateliers chorégraphique!: Travailler sur les processus de création que l’on retrouve dans le spectacle comme par exemple!: manipulation d’un bâton pour que la danse apparaisse au travers de cette relation objet/danseur, dialogue de mains!: mimétisme, répétition, accélération, démobilisation, musicalité, travail avec le masque!: développer une écoute auditive plus que visuelle.. Chaque atelier chorégraphique est pensé et adapté selon le public visé. • Atelier sur la voix et le corps!: Amener le danseur, grâce à la voix, à prendre conscience de l'espace, du volume, des textures, des vibrations et de la projection de soi. Travail sur les états de corps en allant chercher la justesse dans les expériences du quotidien. La respiration, le rythme, la voix sous toutes ses formes (parler, onomatopées, chanter...) entrent en résonance avec le corps dansant. Travail sur la respiration, détente et soutien. • Initiation au chant et chant choral BIOGRAPHIES MUSICIENS François Robinson – pianiste, guitariste Après une formation classique au solfège et au piano, François Robinson s'essaie en autodidacte à la guitare. En vrai boulimique de la musique, il accompagne de nombreux groupes aux claviers comme à la guitare, passant par tout les styles, de la pop au jazz. Ces formations lui permettent de jouer dans les clubs parisiens pendant plus de quatre ans, et lui font acquérir un véritable savoir faire dans les conditions difficiles du Live. Parallèlement, il compose et produit des musiques de films et de publicités diffusés sur le net, et s'essaie à la MAO -Musique Assistée par Ordinateur- créant des sons très électroniques et expérimentaux. Gaye Sidibé – bassiste Formé par Toroma Sika, il joue avec les groupes Suburband, et Laromoral avant d’ intégrer l’ équipe de musiciens du rappeur Beat Assaillant. S’en suit une tournée de plus de 300 dates ( dont Elysée Montmartre, Olympia, différents Zénith..) et plusieurs festivals (Jazz à Vienne, Les vieilles charrues..)! Gaye enregistre avec lui plusieurs albums. Il participe également à la tournée de la chanteuse Asa et plus récemment de Solia. Il intègre le groupe Alvina dès sa création. Swanny Elzingre – batteuse Un parcours atypique. Pas de longues études au conservatoire, mais des rencontres musicales déterminantes et beaucoup de scènes ont fait d'elle une jeune musicienne libre et aguérie. Aujourd'hui professeur de batterie, elle officie également dans plusieurs projets musicalement très variés. Son jeu, emprunt de finesse et de féminité, ne manque ni de puissance, ni de mordant. Influencée par des batteurs tels que Dave Grohl, John Bonham, Chris Dave, ou Adam Deitch, elle puise son inspiration chez les grooveurs." Geoffrey Dugas – Percussionniste, flûtiste Il se forme au percussion tout d’abord en Afrique de l’ouest puis en France avec Miguel Gomez et enfin il intègre le CIM où il complètera sa formation avec la flûte. Depuis 15 ans, il évolue comme musicien interprète dans diverses formations musicales mais également au sein du spectacle vivant ; le théâtre avec Henri Bauchau et Yukio Mishima) et la danse avec la cie Empartance. Il performe également avec des plasticiens. Compositeur pour l’image, il signe les bandes originales de 3 documentaires ((Dreamtime l’Exeption Camerounaise, les Cavaliers du Sahel) et 2 films de Victor Aznard et Charlotte Ricordeau. DANSEURS Stéphanie Chatton Danseuse contemporaine ayant collaboré avec plusieurs compagnies telles que la Cie Envol - chorégraphe Olivier Coste à Valence, la Cie Totum à Metz ou encore la Cie Corinne Lanselle depuis 2006 avec les pièces « Comme au fruit son noyau », « Corps anonymes » et « Des poissons dans les arbres ». Elle travaille également avec Pascal Couillaud à la mise en scène, pour un duo danse/ théâtre en tant qu’ interprète- chorégraphe . Chorégraphe et co-fondateur de la compagnie MéMO, elle signe la création du même nom « mémo » en 2010. Interprète au coté de Alvina Lanselle, chanteuse, partition mêlant voix et corps. Egalement pédagogue, elle enseigne au studio Harmonic à Paris et est invitée régulièrement en stage. Francesca Chiodi D’ origine italienne, Francesca se forme en danse contemporaine auprès de Daniela Paci, des sœurs Michele et Federica Pozzo et suit des stages en France, en Belgique et au Brésil. A 19 ans, elle déménage à Paris pour suivre l’ enseignement de Corinne Lanselle. «!Room 83, Koncert Korégraphique!» est sa première expérience professionnelle. Carole Dauvillier Danseuse issue du hip-hop et du contemporain, elle travaille pour plusieurs compagnies tel que la Cie Révolution, la Cie C'mouvoir, la Cie Amala Dianor, la Cie Trafic de Styles et le chorégraphe Angelin Prejlocaj. C’est à l’occasion de l’adaptation de « Des poissons dans les arbres » pour 3 danseurs en 2012 qu’elle collabore pour la première fois avec la Cie Corinne Lanselle. Tanya Lazebnik Après avoir obtenue une licence d'Art à la faculté de Nice,en partenariat avec l'école de danse Rosella Hightower a Cannes, Tanya poursuivit sa formation en danse contemporaine auprès de Corinne Lanselle à Paris; notamment dans une formation scène avec Alvina Lanselle en chant et Pascal Sual en théâtre.Elle assiste régulièrement aux workshops internationaux et processus de création avec des chorégraphes tel qu' Hofesh Schechter, Akram Khan, German Jauregui ou encore Jasmin Vardimon. Passionnée par le dessin au fusain, elle élargit récemment son apprentissage à la danse aérienne. Tanya intégra la Cie Corinne Lanselle en septembre 2013, en tant que danseuse dans la nouvelle création «!Room83 - Koncert Korégraphique!». Marion Renoux Danseuse contemporaine, Marion a travaillé dans la compagnie La Baraka d’ Abou Lagraa sur les pièces «! EL Djoudour!» et «!Un monde en soi!», avec la chorégraphe Corinne Lanselle sur «! Corps Anonymes!» et le dernier spectacle «! Room 83!» ainsi que pour Georges Momboye «!Entre ciel et terre!». Plusieurs fois primée au concours de Voiron, elle intervient également en tant que pédagogue dans les centres de formation «!Studio Harmonic!» à Paris et «! Adage!» à Bordeaux ainsi qu’au Ballet National d’Alger. Alex Gbeblewoo D'origine franco-togolaise, il se forme à la danse jazz puis contemporaine dans les centres Serge Alzetta à Nice, et aux Studios Harmonic et Choreia à Paris. Il est interprète au sein de plusieurs compagnies internationales comme la Cie Corinne Lanselle, Paul Les Oiseaux (Valérie Rivière) La Baraka (Abou Lagraa), la Compagnie Thor (Thierry Smits) , la halte garderie (Johan Amselem) ,la Cie Faizal Zeghoudi... Parallèlement, son intêret pour le théâtre, le mouvement , la photographie, la vidéo et les arts plastiques, le mène à créer son propre champ d'expérimentations. Il fonde en 2010 la Cie Lexanto, espace de création et de métissage des genres. Nicolas Medea (RAF Crew) Danseur hip-hop ayant également suivi une formation de danse classique, jazz et contemporaine, Nicolas ou Ace 974 a dansé dans plusieurs compagnies comme «!Trafic de styles!» ou «!IsmaelAboudou!»avec la création «!défi hip hop!». Il gagne de nombreux battles, danse pour de nombreux artistes ( Matt Pokora, Lorie, Willy Denzey, Lynsha, Kayliah..) Malgré ses activités professionnelles, Ace974 continue de se former à la danse Hip Hop, notamment au Broadway Dance Center à New-York, à la Millénium Dance School et à la Debbie Reynolds Dance School de Los Angeles. Après avoir sillonné de nombreuses scènes internationales, Ace974 rejoint le groupe de danse «!Outsiders!» dirigé par Malika Benjelloun, puis intègre en 2008 le groupe «!La Preuve Par 4!» dont le chorégraphe est Marvin Gofin (R.A.F. Crew). Vainqueur du «!Paris Dance Delight 2008!», Ace974 représente la France avec «!La Preuve Par 4!» lors de la finale du «!Dance Delight!» au Japon en 2009. La même année, le R.A.F. Crew est sacré Champion du monde au «!World Hip Hop International Championship!» à Las Vegas En récompense du titre international obtenu, Ace974 est sacré Citoyen d'honneur de la Région Réunion et de la ville de Saint Denis (chef-lieu de l'île de La Réunion). L'année de consécration 2009 est aussi pour lui l'année de son entrée dans la Compagnie de danse de Marie-Claude Pietragalla pour la création «!Marco Polo!», où il met à profit ses qualités de danseur contemporain et Hip Hop. CREATION COSTUMES: Plasticien, couturier, Alexandre Gbeblewoo travaille depuis quelques années sur le recyclage et détournement d'objets. Un bricolage artistique qui vise à sublimer le banal. Une passion créative inspirant et conditionnant l'esthétique des pièces chorégraphiques de la compagnie Lexanto dont il est directeur artistique. Il crée notamment une collection de vêtements 100% plastique, sans textile ni couture. Transfigurés de leur fonction première, le sac plastique, le scotch, le bouchon de bouteille deviennent vêtement. Il crée pour divers événements, qu'il s'agisse des spectacles chorégraphiques et défilés de la compagnie, d'expositions, ou d'événementiels. En 2012 il est invité à présenter ses créations à l'édition annuelle du défilé "Fashion ethical show" à Genève. (scène internationale de la mode éthique) En 2013 il réalise le visuel d'introduction du «!Koncert Khorégraphique "Room 83"»!: 12 tenues 100% plastique représentant les pions d'un échiquier. Sa technique se décline aussi bien sur des plissés que sur des modèles plus complexes issus de moulages, découpes et collages. Créer des personnages mi humain /mi synthétique. Deux tribus rendues intemporelles de par le contraste entre l'inspiration médiévale de leurs vêtements et une matière plastique résolument contemporaine. PARTENAIRES • • • • • Mjc Théâtre de Colombes (Hauts de Seine - 92): co-production CND de Pantin (Seine Saint Denis - 93) Scène 7 – Le Croiseur de Lyon (Rhône - 69) Association CIMEMO (Val de Marne - 94) Ekodanse – musique pour la danse. DIFFUSION 28 octobre 2013 : Théâtre de Colombes Calendrier prévisionnel!: • Biennal OFF de Lyon – Scène 7 Le Croiseur!: septembre 2014 • MJC TC de Colombes!: Octobre 2014 • Théâtre national de Calais!: novembre 2014 LIENS Cie Corinne Lanselle www.ciecorinnelanselle.com www.facebook.com/ciecorinnelanselle.com ALVINA www.alvinamusic.com www.facebook.com/alvinamusic CONTACT [email protected] [email protected]