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EXPOSITION
MEMOIRES DE VERRE
A la découverte des plaques photographiques des musées de Montbéliard
A MONTBELIARD
MUSEE D’ART ET D’HISTOIRE
HOTEL BEURNIER-ROSSEL
VERNISSAGE
Jeudi 16 mai 2013 à 18h
Contact presse : Brigitte LAMIELLE
Tél. 03 81 99 24 32
Email : [email protected]
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VILLE DE MONTBELIARD
Exposition « Mémoires de verre » - 17 mai 2013 au 5 janvier 2014
EXPOSITION
MEMOIRES DE VERRE
A la découverte des plaques photographiques des musées de Montbéliard
A MONTBELIARD
DU 17 MAI 2013 AU 5 JANVIER 2014
MUSEE D’ART ET D’HISTOIRE
HOTEL BEURNIER-ROSSEL
Communiqué de presse
A l’occasion d’une campagne d’inventaire et de numérisation des collections des musées de
Montbéliard, plus de 5 000 plaques de verre datées entre 1900 et 1940, ont été redécouvertes au
château, dans des réserves qui n’ont pas encore livré tous leurs secrets.
Cette exposition réunit plus de deux cents images, parmi lesquelles des vues inédites de
Montbéliard et de ses environs, des captures d’événements festifs et de saisissants portraits de
montbéliardais anonymes. Provenant de différents fonds de photographes amateurs locaux
collectés depuis 1960 par les musées, elles révèlent aujourd’hui au public un patrimoine
photographique, documentaire mais aussi sensible, emprunt d’histoires personnelles.
Dévoilant une vie quotidienne particulièrement animée dans une première moitié du 20ème siècle,
les photographies renseignent sur les aventures de la première course de côte au Ballon d’Alsace en
1906, remémorent la fête du Franc en 1926, abondent en souvenirs sur le centenaire de Georges
Cuvier en 1932 et font rêver avec de somptueux défilés fleuris, parmi lesquels un corso de 1936.
Des détails de rues, de places et de quartiers du centre ville font renaître Montbéliard dans sa
conception initiale, alors traversée par la Lizaine et autres cours d’eau, avec une place des Halles
agrémentée d’un parterre d’arbres.
Alors que les commerces et les premières voitures révèlent une vie trépidante, les Montbéliardais se
font tirer le portrait en ville, en studio, devant leur maison ou dans leur jardin. En famille, seuls,
attablés entre amis, ou posant en costume traditionnel, les générations se croisent et défilent d’une
photographie à l’autre, et livrent de précieux témoignages de la mémoire du Pays de Montbéliard.
Ainsi rassemblés, plaques de verre originales, tirages argentiques, projections et une tablette tactile
avec la collection complète des clichés, convoquent tous les supports photographiques existant
depuis 100 ans. Appareils photographiques et stéréoscopiques, procédés techniques et petites
boîtes cartonnées renfermant les fragiles plaques, viennent en sus pour livrer les derniers secrets de
cette pratique d’amateurs puis de professionnels.
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Exposition « Mémoires de verre » - 17 mai 2013 au 5 janvier 2014
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Valorisé et revisité par les outils actuels, ce patrimoine trouve ici une nouvelle vie. Dans l’obscurité
des salles du musée, tirages et plaques de verre rétroéclairées offrent une promenade dans la
mémoire des lieux et des visages.
La numérisation de ces plaques photographiques a été réalisée dans le cadre de la loi circulaire de
2004 émanant du Ministère de la Culture, demandant aux Musées de France d’achever le
récolement de leurs collections en 2014. Une collection est considérée comme « récolée » quand elle
a suivi les différentes étapes d’inscription à l’inventaire, de numérisation, d’informatisation et de
marquage, patiemment réalisées par les conservateurs des musées. Cette numérisation a été
financée par la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Franche-Comté, la région de
Franche-Comté et la ville de Montbéliard.
Commissaires de l’exposition : Aurélie Voltz et Bernard Goëtz
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Musée d’Art et d’Histoire
Hôtel Beurnier-Rossel
25200 Montbéliard - Tél. 03 81 99 24 93
[email protected]
www.montbeliard.fr
Ouverture tous les jours sauf le mardi de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Fermeture : 1er novembre et 25 décembre 2013 / 1er janvier 2014.
Tarifs
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Tarif normal : 4€ / 5€*
Tarif réduit (groupes + de 10 pers., étudiants) : 2€ / 4€*
Entrée gratuite : moins de 18 ans, personnes à mobilité réduite et le premier dimanche de
chaque mois.
* du 14 juin au 13 octobre 2013
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EXPOSITION
MEMOIRES DE VERRE
SALLE 1
Souvenirs d’événements
Première course de côte du ballon d’Alsace le 5 août 1906
La Coupe Lederlin, première course de côte du ballon d’Alsace, est organisée entre SaintMaurice-de-Moselle et le sommet du ballon, au niveau de la borne frontière du Haut-Rhin. D’une
longueur de neuf kilomètres, elle se déploie sur treize lacets, avec une montée de 6,83 % pour
un dénivelé de 678 m. Bénéficiant d’un temps superbe, cette première édition remporte un
grand succès.
Les 50 chauffeurs issus de différents Automobiles Clubs
alsaciens, belfortains, lorrains et vosgiens concourent avec
leur propre voiture, souvent en couple ou en famille, comme
en témoignent de nombreux clichés. Les véhicules sont
classés en diverses catégories : une Lorraine-Dietrich de 60
CV remporte ainsi l’épreuve dans la catégorie des châssis de
plus de 21 000 francs. Conduite par le baron de Turckheim, le
fondateur de l’entreprise Lorraine-Dietrich, elle achève sa
course en 12 min et 46 s et une vitesse de 45 km/heure.
Le jeune pilote Jules Goux, âgé de 19 ans, repéré et engagé
Coupe Paul Lederlin
par le directeur Robert Peugeot pour effectuer cette course,
remporte la finale toutes catégories sur une Lion Peugeot en 18 min et 29 s. Robert Peugeot décide
alors de créer une écurie de course dont Jules Goux sera le responsable.
Parmi les autres voitures inscrites, on note également les marques Berliet, Mathis, Rossel, Buire et
Corre.
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Fête du centenaire de la mort de Georges Cuvier les 9, 10,11 et 12 juillet 1932
« Cuvier fut un grand génie que la Ville et le Pays de Montbéliard peuvent être fiers d’avoir vu
sortir de leur sol » : tels sont les mots prononcés en hommage au grand savant et naturaliste, un
siècle après sa mort survenue le 13 mai 1832.
À l’appel de la municipalité et du comité d’organisation, tous
les habitants contribuent à la décoration de la cité pour
préparer cet événement.
D’après les plans de l’architecte Marcel Hézard, les peintres
Jules Vittini et Henri Sauldubois figurent sur des toiles
blanches les animaux les plus fabuleux de la préhistoire pour
orner et illuminer les rues de la gare à la mairie. Fossiles
grimaçants,
mégacéros,
ptérodactyles
et
autres
brontosaures prennent ainsi place devant les façades ou sur
Squelette du Mammouth conçu par Emile Blazer et installé sur
des
arcs de triomphe.
un camion Peugeot.
Émile Blazer et ses dévoués sapeurs-pompiers construisent
également un énorme mammouth, à partir de caisses d’emballage, de boites de conserves, de bois,
de douves de tonneau, de fil de fer et de plâtre. Installé sur un camion automobile Peugeot, l’animal
force l’admiration, avec ses défenses de plus de quatre mètres.
Le défilé dans les rues de la ville se déroule le dimanche 10 juillet 1932 après-midi. Le lundi, la
municipalité reçoit les savants et une délégation officielle. Le lendemain, les festivités se
poursuivent par un banquet de deux cent cinquante couverts au château et la visite de la « maison
Beurnier du Musée des souvenirs de Cuvier ». Un concert est ensuite donné par six cents choristes et
musiciens devant la mairie où des tribunes ont été construites, attirant une foule nombreuse.
Fêtes et corsos fleuris à Montbéliard
Très fréquentes entre la fin du 19e et le début du 20e
siècle, ces manifestations populaires sont organisées à
l’occasion d’un divertissement sportif, une kermesse de
bienséance, un hommage à une personnalité, la
célébration d’une saison… Ces défilés de chars,
cavalcades et autres corsos se composent de divers
véhicules tirés par des chevaux ou des bœufs, remplacés
peu à peu par des voitures ou camions. Ils sont animés
par les habitants, des corporations, voire des entreprises
pour qui le cortège constitue une vitrine commerciale
attractive.
Corso fleuri 11 juillet 1936
Décorations, fleurs, musique, costumes traditionnels ou déguisements participent de la bonne
humeur collective. Ces événements font l’objet d’articles de presse, de journaux humoristiques et de
nombreux reportages photographiques. Ces rendez-vous sont orchestrés et préparés par Émile
Blazer, historien et conservateur du musée, comme la célébration du Centenaire du rattachement
de Montbéliard à la France en 1893. En juin 1911, l’anniversaire du Collège Cuvier rassemble plus de
20 000 personnes et en 1932, le Centenaire de la mort de Georges Cuvier est l’occasion d’un nouveau
défilé. Outre ces cavalcades au cœur des rues, des fêtes nautiques viennent également investir
l’Allan.
Des références culturelles historiques à la Préhistoire, l’Antiquité, au Moyen âge… sont aisément
convoquées dans ces mises en scènes ou décors, de même que les traditions ou folklores locaux.
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Technologies, transports, industrie se trouvent aussi valorisés derrière l’apparat de la fête ; un
modèle de voiture maquillé de fleurs ou d’impressionnants chars publicitaires s’invitent lors de ces
défilés populaires.
Fête pour le franc du 18 juillet 1926
La fête du franc intervient en juillet 1926 dans un contexte politique et financier critique depuis
la fin la guerre. Raymond Poincaré, appelé pour créer un ministère d'Union nationale, tente de
sauver le franc qui subit des baisses historiques. Le Maréchal Joffre encourage ainsi les dons :
« Tout bon Français doit être prêt à sacrifier une partie de son argent ». Sous des allures de corso
fleuri festif et convivial, la manifestation a pour enjeu de collecter des fonds : 30 000 francs
seront ainsi recueillis et versés au Trésor.
Le cortège, savamment organisé par Émile Blazer, part du
faubourg de Besançon, rejoint le centre-ville et achève sa
course au Champ de foire où se déroule une grande fête
sportive et musicale. Les nombreuses automobiles fleuries,
très applaudies, avancent visiblement trop vite pour
permettre aux quêteurs de faire leur travail. Mais les
sollicitations sont multiples : le char de la tombola expose les
lots pour inciter les achats de billets tandis que le char de la
Monnaie tiré par des bœufs exhibe ses écussons et ses
reproductions de monnaies étrangères. Les notables et
Fête pour le franc du 18 juillet 1926
entreprises locales sont naturellement présents : Peugeot,
les carrossiers Holliger et Leloup qui exposent un énorme panier de roses tandis que le notaire Paul
Bloch conduit une barque à voiles. Participent aussi au défilé les musiciens du 35 e régiment
d'infanterie de Belfort, l’harmonie locale, la chorale de la Gauloise, la Société d'éducation
physique et tir ou encore les boy-scouts.
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SALLE 2
Promenades au fil des rues de
Montbéliard
Quelques pas dans le Montbéliard d’autrefois
e
La ville de Montbéliard a subi de nombreuses transformations, et plus particulièrement au cours des 19
e
et 20 siècle, dans le contexte de l’industrialisation puis du développement économique et
démographique du territoire.
L’arrivée du chemin de fer en 1852 engendre la création d’un
nouvel axe qui est devenu la colonne vertébrale de la ville : la rue
Cuvier prolongée alors vers la gare, la rue des Fèbvres, la place
Denfert-Rochereau devant les Halles et le Faubourg de Besançon.
La Mairie, le Temple Saint-Martin, la Caisse d’Épargne, l’Hôtel
Beurnier-Rossel sont déjà à cette époque le cœur de la ville. Entre
les années 1950 et 1970, le recouvrement des anciens canaux ou
des réaménagements tels que le percement du boulevard Wilson
viennent reconfigurer ces espaces et les circulations au sein de ce
territoire.
Scène de patinage sur l’Allan avant 1910
Capture d’un moment anecdotique, mémoire d’une rue ou d’un
événement marquant tel que les sévères inondations de 1910 ou
1913 : les photographies sélectionnées illustrent ces transformations urbaines et refont vivre ce qui n’est plus.
Inondations historiques de 1910 et 1913
Si de nombreux événements festifs font l’objet de reportages photographiques, les catastrophes sont
aussi le prétexte de nombreux clichés. Aussi les inondations historiques qui sévissent en ce début de
siècle ont-elles donné lieu à de multiples vues au sein des villes, venant documenter l’épisode, saisir un
sauvetage en cours et tout simplement révéler un paysage urbain transformé par la montée des eaux. Ni
tragédie ni panique ne surgissent de ces images, mais plutôt une beauté, entre fascination, douceur et
mélancolie, face à cette nature puissante ayant investi les lieux.
Le début de l’année 1910 est marqué partout en France par des crues historiques et le débordement de la
Seine, la Saône, le Rhône, le Doubs… Après une forte pluviosité de l’automne et des précipitations de pluies et
de neige importantes, les sols sont saturés et ne peuvent absorber les nouvelles pluies torrentielles.
L’événement a constitué un fantastique sujet de reportage un peu partout pour les photographes amateurs ou
professionnels.
Comme tant de villes, Montbéliard se retrouve sous les eaux les 20 et 21 janvier 1910. Depuis le 10 janvier, le
mauvais temps a envahi l’Est de la France. Le vent chaud du sud-ouest et les pluies abondantes permettent à
la neige tombée en abondance sur un sol déjà gelé de fondre et de ruisseler jusque dans les fonds de vallée. En
quelques heures, l’ensemble des cours d’eau de la région est en crue. Le niveau de l’eau reste gravé encore
aujourd’hui dans la pierre d’angle sud est du bâtiment des Halles. En 1913, une crue presque aussi élevée
submerge à nouveau les rues, mais elle est plus clémente et de courte durée.
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SALLE 3
De portrait en portrait
Le portrait photographié
Longtemps réservé à une élite aristocratique ou bourgeoise pouvant requérir les services d’un
peintre, le portrait trouve dans la photographie un nouveau public, inaugurant « l’âge
démocratique » de la représentation de soi. Il devient désormais un objet ordinaire affiché ou
inséré dans un cadre, un portefeuille ou un album. Portraits officiels ou de famille, individuels ou
collectifs… ils se déploient sous toutes les formes, saisis par des photographes ambulants ou en
studio.
Les portraits exposés révèlent tout un éventail de poses,
souvent très hiératiques et codifiées : mains jointes, dans le
dos ou posées sur un dossier, un pied en avant, le corps et le
visage déportés tandis que le regard reste de face… Parfois
la pose est plus décontractée, voire saisie sur le vif pour
capturer un moment : un repas convivial, un jeu ou une
danse partagée entre différents personnages. Le cadrage
montre sur nombre de plaques les tentures servant
d’arrière-plan ou d’autres détails qui disparaissaient au
moment du tirage. Décors intérieurs ou urbains, profil
simple ou endimanché, divers accessoires interviennent
dans ces mises en scène.
Portrait de femme au profil et de trois quart, sur une plaque
photographique cassée.
Tous ces portraits témoignent du rapport qu’entretiennent
les sujets photographiés avec la prise de vue. L’image vient fixer la mémoire physique de l’individu
mais aussi, dans son discours corporel et vestimentaire, comment il souhaite être perçu
socialement. La photographie vient ainsi conforter l’image d’un paysan dans ses origines rurales,
accroitre la solennité d’un notable ou d’un militaire, confirmer la sagesse d’un homme. La
photographie a le pouvoir de caricaturer ou mettre à nu une personnalité, traduire un état passager
ou l’inscrire dans l’histoire.
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SALLE 4
Vues d’ailleurs
Outre les retranscriptions d’événements, les vues
urbaines et les portraits, un certain nombre de
clichés sont issus d’excursions effectuées loin du
Pays de Montbéliard. En ce début de 20e siècle, le
tourisme en est à ses balbutiements, mais déjà,
amateurs et voyageurs fixent les paysages et les
monuments qu’ils découvrent, entre curiosité et
Vue panoramique dans le Massif Central,
admiration. Ces vues sont parfois juste le décor d’un
prise par Étienne Oehmichen au volant de sa voiture, années 30
souvenir
de
vacances
ou
un
exercice
photographique pour capter la lumière, les contrastes, un mouvement. Paysages marins, roches ou
montagnes désertiques, elles mettent souvent la nature et sa beauté à l’honneur.
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LES RENDEZ-VOUS DE
L’EXPOSITION
Nuit des musées - Samedi 18 mai 2013 de 19h à 23h
« Improvisations et récits », au cœur de l’exposition Mémoires de Verre
par Tamara Bounazou, comédienne.
Des récits imaginaires font parler et revivre le Montbéliard d’autrefois, au fil d’anciennes photographies.
Festival des Mômes - Du 22 au 25 août 2013
Le mystère du portrait volé, enquête au musée !
Visite-atelier 7-13 ans
Un portrait a été mystérieusement volé au musée il y a cent ans. D’anciennes photographies en noir et blanc
montrant d’étranges personnages ou des rues de Montbéliard nous mettent sur la trace de ce tableau…
L’œil attentif, viens décrypter les images, rassembler les indices pour résoudre cette énigme puis réaliser ton
carnet d’enquêteur.
Journées du patrimoine - Dimanche 15 septembre 2013
La caravane photographique de Daniel Novak, devenue camera obscura, ouvre à l’exploration de la formation
d’une image.
Visites et ateliers
Activités adultes, enfants, familles programmées le dimanche ou pendant les vacances.
Accueil des groupes sur rendez-vous.
Animations incluses dans le tarif d’entrée.
Renseignements / réservations :
Tél. 03 81 99 23 61 ou [email protected]
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