CMN 3509 A Théories des communications

CMN 3509 A
Théories des communications
Session d’automne 2006
Cours, jeudi de 19h00 à 22h00
Salle MRT221 Pavillon Morisset
Professeur :
courriel :
téléphone :
Éric GEORGE
[email protected]
(613) 562-5800 poste 38-36 ou (514) 987-3000 poste 85-97
Disponibilité : jeudi de 16h00 à 18h45 sur rendez-vous
Bureau 203, Département de communication, 554, avenue King Edward, Ottawa, On. K1N 6N5
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Descripteur du cours
Étude des principaux paradigmes qui orientent la recherche contemporaine en communication :
systémisme, pragmatique, pensée critique, constructivisme et postmodernisme
Objectifs et présentation du cours
Le cours Théories des communications a pour objectifs de faire connaître aux étudiants et aux
étudiantes les principaux paradigmes et théories dans le champ des études en communication, de
leur faire découvrir les fondements des recherches qui sont développées à l’intérieur de notre
discipline, de les aider à comprendre que les contenus d’ordre théorique se retrouvent dans les
façons dont la communication est abordée par nous tous et toutes dans notre quotidien, et enfin
de pouvoir apporter un point de vue critique sur les différentes approches. Pour ce faire, nous
replacerons le développement de chaque paradigme ou théorie dans son contexte socio-historique
et géographique. Nous mentionnerons les auteurs et ouvrages principaux et aborderons les
concepts centraux qui nous apparaissent pertinents à des fins d’analyse. Nous mettrons aussi
l’accent sur les façons dont la communication, la société et l’être humain sont considérés au sein
des paradigmes et théories développés dans le cadre du cours. Enfin, nous ferons part des limites
de ceux-ci.
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Calendrier du cours
Début des cours
7 septembre 2006
Séance 1 (7 septembre)
Présentation du professeur, des étudiants-es et
du plan de cours. Introduction aux théories et
aux paradigmes
Séance 2 (14 septembre)
Le courant béhavioriste
DOMENACH Jean-Marie, (1962), « Introduction », « Le climat », « Les deux sources de la
propagande », dans La propagande politique, Paris : Presses Universitaires de France, coll. Que
sais-je ?, pp. 5-20.
Séance 3 (21 septembre)
Les approches fonctionnalistes
MARIET François, (1990), « Le marché télévisuel et la démocratie de l’audience »,
Communications, n° 51, pp. 57-70.
WURTZEL Alan H. et Colin TURNER, (1992), « Fonctions latentes du téléphone. Ce qui manque
lorsque la ligne est coupée », Réseaux, n° 92, 11 p. <http://www.enssib.fr/autres-sites/reseauxcnet/55/05-wurtz.pdf>.
Attention, il n’y a pas de cours le jeudi 28 septembre.
Séance 4 (5 octobre)
La pensée critique de l’École de Francfort
MARTIN Michèle, (1991), « La bande dessinée : une littérature enfantine ? » (Disney), dans
Communication et médias de masse, Culture, domination et opposition, Québec : Presses de
l’Université du Québec, Télé-Université, pp. 286-306.
Séance 5 (12 octobre)
De la cybernétique à la société de l’information
NEGROPONTE Nicholas, (1995), « Les légendes et les marottes du numérique », dans L’homme
numérique, Paris : Robert Laffont, pp. 254-269.
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Conférence de Bernard Miège
« L’information-communication, objet de connaissance »
Séance 6 (19 octobre)
Séance 7 (26 octobre)
Contrôle des connaissances en salle de cours
Séance 8 (2 novembre)
Économie politique de la communication et
évolution de la critique
TREMBLAY Gaëtan et Roch HARVEY, (1991), « Évolution des stratégies de programmation des
radiodiffuseurs conventionnels », Communication, vol. 12, n° 2, pp. 53-79.
Séance 9 (9 novembre)
De l’École de Palo Alto au pragmatisme
HALL Edward T., (1978), « Les distances chez l’homme » dans La dimension cachée, Paris : Le
Seuil, pp. 143-160.
WATZLAWICK Paul, (1986), « Le langage d’injonction. Les prescriptions de comportement »,
dans Le langage du changement : éléments de communication thérapeutique, Paris : Le Seuil,
pp. 133-143.
Séance 10 (16 novembre)
Contrôle des connaissances en salle de cours
Séance 11 (23 novembre)
Contenu,
analyses
poststructuraliste
structuraliste
et
ECO Umberto, (1985), « Le lecteur modèle », dans Lector in fabula ou la coopération
interprétative dans les textes narratifs, Paris : Grasset, pp. 64-86.
EDMOND Marc et Dominique PICARD, (1989), « Les rituels », dans L’interaction sociale, Paris :
Presses Universitaires de France, coll. Le psychologue, pp. 119-136.
Séance 12 (30 novembre)
Réception des médias, usages des TIC et
constructivisme
GLEVAREC Hervé, (2003), « Le moment radiophonique des adolescents. Rites de passage et
nouveaux agents de sollicitation », Réseaux, n° 119, pp. 29-61.
GOURNAY (de) Chantal, (1997), « C’est personnel.. . La communication privée hors de ses
murs », Réseaux, n° 82-83.
<http://www.enssib.fr/autres-sites/reseaux-cnet/82-83/01-gournay.pdf>.
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MARTIN Michèle et Serge PROULX, (1995), « Étude de cas : l’usage de la télévision en contexte
familial », dans Une télévision mise aux enchères : programmations, programmes, publics,
Québec : Télé-université, coll. Communication et société, pp. 255-284.
Fin des cours
4 décembre 2006
Remise du travail final
7 décembre 2006
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Pédagogie du cours
Les séances reposeront sur l’exposé du professeur mais aussi sur les interventions des étudiants et
des étudiantes qui seront invités à poser des questions ou à donner leur opinion. Par exemple, ils
et elles commenteront l’ensemble des textes dont la lecture est obligatoire en précisant ce qui les
a intéressé dans le texte, ce qui leur a semblé difficile, ce qui est éventuellement original dans le
texte et ce qu’ils et elles en ont pensé. L’établissement de liens entre des préoccupations d’ordre
théorique et des exemples pris dans le quotidien, éventuellement dans l’actualité, sera aussi
favorisé comme méthode pédagogique. Les étudiants et étudiantes pourront donner leur avis sur
les premières séances à la cinquième d’entre elles dans le cadre d’une évaluation informelle.
Cette dernière permettra au professeur d’intégrer éventuellement leurs remarques pour le reste de
la session. Quant à l’évaluation des étudiants et étudiantes, elle reposera sur les types de travaux
présentés ci-dessous.
Évaluation des connaissances
L’évaluation des connaissances reposera sur les quatre travaux suivants présentés ci-dessous. Les
trois premiers auront pour but de faire le point sur la matière du cours proprement dite. Le
quatrième permettra de mener une analyse et une réflexion allant au-delà de la matière mais
reposant sur celle-ci.
Types de travaux demandés
Travail en salle de cours pendant les séances 2, 3, 4, 5, 8, 9 et 11. Les étudiants et étudiantes
seront invités lors de la première séance à former des groupes de quatre, cinq ou six personnes. À
chaque séance, le professeur posera une ou deux questions sur les textes obligatoires. Chaque
groupe devra préparer une réponse et remettre la version écrite d’une longueur d’environ une
page au professeur. En conséquence, la présence aux cours est obligatoire. 25% de la note finale.
Travail en salle de cours le jeudi 26 octobre (séance 7) avec une question à traiter sur un choix
de trois pendant deux heures. Les questions seront choisies à partir du contenu abordé pendant les
séances et du contenu présents dans le recueil de textes. Il sera possible d’avoir recours aux notes
prises pendant le cours, aux textes dont la lecture est obligatoire et à tout autre document jugé
pertinent par les étudiants et étudiantes. Le travail rendu devra correspondre à un plan détaillé
présentant de façon ordonnée les idées importantes permettant de répondre à la question choisie.
Le travail devra faire entre quatre et six pages manuscrites. 25% de la note finale.
Travail en salle de cours le jeudi 16 novembre (séance 10) avec une question à traiter sur un
choix de trois pendant deux heures. Les questions seront choisies à partir du contenu abordé
pendant les séances et du contenu présents dans le recueil de textes. Il sera possible d’avoir
recours aux notes prises pendant le cours, aux textes dont la lecture est obligatoire et à tout autre
document jugé pertinent par les étudiants et étudiantes. Le travail rendu devra correspondre à un
plan détaillé présentant de façon ordonnée les idées importantes permettant de répondre à la
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question choisie. Le travail devra faire entre quatre et six pages manuscrites. 25% de la note
finale.
Remise du travail final le jeudi 7 décembre à 16h00 au plus tard dans le casier du professeur
au sous-sol du département de communication (554, avenue King Edward). Celui-ci portera sur
la lecture critique de livres qui constitue un exercice intellectuel des plus intéressants à des fins
d’analyse et de réflexion un tant soi peu approfondie. Le texte devra faire environ 12 500
caractères espaces compris, soit en times 12 – un interligne et demi – 5 pages s’il est effectué
seul, environ 20 000 caractères espaces compris, soit en times 12 – un interligne et demi – 8
pages s’il est effectué à deux et environ 27 500 caractères espaces compris, soit en times 12 – un
interligne et demi – 11 pages s’il est effectué à trois. En plus de déposer une copie papier du
travail dans le casier, il faudra envoyer une copie par courrier électronique en format doc
ou rtf (mais pas wpd) à l’adresse [email protected] en faisant une copie-conforme
(cc :) à sa propre adresse de courriel et garder une copie du travail sous la forme d’un
fichier informatique jusqu’à la réception des notes. 25% de la note finale.
Critères d’évaluation
Les travaux seront notamment notés sur les critères suivants.
1- La maîtrise de la matière vue en classe et des lectures obligatoires mentionnées dans le
syllabus. Il vous sera toujours nécessaire d’argumenter dans vos travaux et tout commentaire
devra reposer sur des connaissances acquises et pas uniquement sur des impressions plus ou
moins subjectives. Avant de faire vos travaux en classe, relisez l’ensemble de vos notes en
portant votre attention sur les liens et les oppositions entre les différentes approches théoriques
abordées pendant les cours. N’oubliez pas que certaines idées viennent parfois compléter d’autres
idées mais aussi parfois les remettre en cause. Intéressez-vous aussi aux contextes dans lesquelles
ces approches ont été développées. Des idées naissent et se répandent toujours dans un contexte
historique, politique, économique, social, culturel particulier, spécifique. Puis, une fois le travail
fait, en relisant celui-ci, demandez-vous si vous pouvez défendre votre point de vue devant un
public.
2- La pertinence de la démarche et la cohérence de l’argumentation. Mieux vaut écrire un peu
moins mais faire attention à l’ensemble des termes et expressions sélectionnés et à
l’enchaînement des idées. Posez-vous la question : l’ensemble du contenu s’enchaîne t-il
harmonieusement ? Voici un petit truc : lisez votre travail à haute voix et notez-le si vous vous
interrompez. Il y a alors de grandes chances que quelque chose que vous venez de lire n’est pas
clair. Sautez une ligne lorsque vous passez d’une idée à une autre. Utilisez les intertitres pour
séparer des sous-parties de votre travail. Il peut y en avoir un par page environ. Dans le cas des
travaux en classe, faites tout d’abord un brouillon dans lequel vous mentionnerez les principales
idées que vous souhaitez aborder. Puis ordonnez ces idées logiquement. Une fois ce travail
effectué, vous devriez pouvoir monter votre texte à partir de la construction de différents
paragraphes. N’oubliez pas non plus de commencer et de finir vos paragraphes en faisant des
liens entre les idées successives.
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3- La qualité du français à l’écrit. Faites toujours attention en vous demandant si vos écrits sont
facilement compréhensibles. Avez-vous vraiment écrit ce que vous avez pensé ? N’auriez-vous
pas écrit parfois l’inverse ? Là encore, une lecture à voix haute devrait vous permettre de voir si
votre expression écrite est au minimum correcte, voire limpide. À ce sujet, il est encore très
pertinent de faire un brouillon avant de se mettre à rédiger le texte final qui sera remis au
professeur. Dans le cas où vous devez remettre un travail saisi sur ordinateur, veillez à utiliser un
correcteur orthographique – éventuellement celui de votre logiciel de traitement de texte – mais
ne le faites pas sans vérifier vous-mêmes. Ce type d’aide peut être précieux pour supprimer les
fautes de frappe mais faites attention, il peut aussi favoriser la création de nouvelles fautes.
Et n’oubliez pas : les dates de remise des travaux à la maison sont impératives. Toute journée de
retard entraînera la baisse de la note de trois points sur cent (3/100). Les dates et heures de travail
en salle de classe sont aussi impératives. Seules des raisons de santé avec preuve médicale à
l’appui apportée au département de communication pourront justifier une absence. Dans le cas
contraire, la note sera un incomplet (INC.)
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Lectures (autres que les textes mentionnés ci-dessus)
Ouvrages généraux
ATTALLAH Paul, 1991, Théories de la communication : sens, sujets, savoirs, Québec : Presses de
l’Université du Québec.
ATTALLAH Paul, 1989, Théories de la communication : histoire, contexte, pouvoir, Québec :
Presses de l’Université du Québec.
BOUGNOUX Daniel, (1993), Sciences de l’information et de la communication, Paris : Larousse,
coll. Textes essentiels.
BRETON Philippe et Serge PROULX, (2002), L’explosion de la communication à l’aube du XXIe
siècle, Paris : La Découverte ; Montréal : Boréal Express, coll. Sciences et société.
MATTELART Armand et Michèle MATTELART, (1995), Histoire des théories de la communication,
Paris : La Découverte, coll. Repères.
MIÈGE Bernard, (1996), La pensée communicationnelle, Grenoble : Presses universitaires de
Grenoble.
NEVEU Érik, (1997), Une société de communication ?, Paris : Montchrestien, coll. Clefs
politique, 2e édition.
Revue CinémAction, (1992), Les théories de la communication, BOURE Robert et Isabelle
PAILLIART (textes réunis par), Paris : SFSIC, Corlet, Télérama.
Revue Réseaux, (1997), Sociologie de la communication, Paris : CNET, n° spécial.
Revue Réseaux, (2000), Communiquer à l’ère des réseaux, Paris : Hermès, n° 100.
WILLETT Gilles (sous la direction de), (1992), La communication modélisée : une introduction
aux concepts, aux modèles et aux théories, Montréal : Éditions du Renouveau pédagogique.
Ouvrages spécialisés
Voir la liste des ouvrages en lien avec le travail final.
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Aides à l’Université
Il est possible de faire appel au Centre de mentorat étudiant de la Faculté des arts, situé au
pavillon Simard, pièce 125-B. Six étudiants et étudiantes mentors travaillent au Centre et sont
prêts à vous rencontrer régulièrement du lundi au vendredi et cela, avec ou sans rendez-vous. Les
étudiants mentors sont là pour vous aider à développer des stratégies d’étude qui vous
permettront de réaliser votre plein potentiel. Les sujets traités sont entre autres : la gestion du
temps, la prise de notes, la lecture efficace, la mémorisation, la gestion du stress et la préparation
aux examens. De plus, les mentors aident à mieux définir des objectifs, à connaître les règles de
l’Université et à utiliser les services offerts par la Faculté et par l’Université pour se réaliser et
mieux
s’adapter
à
la
vie
universitaire.
Les
informations
sont
ici :
<http://www.arts.uottawa.ca/fra/centre_mentor.html>.
Conseils pour les recherches
La page principale d’accueil du site de la bibliothèque sur Internet est ici :
<http://www.biblio.uottawa.ca/index-f.php> avec recherche simple par auteur, titre, sujet, etc. et
recherche plus complexe par « mots-clés ».
Les ouvrages et les revues scientifiques portant sur la communication sont généralement présents
à la bibliothèque. Toutefois, en ce qui concerne les revues de recherche en communication, un
certain nombre d’entre elles en français, voire en anglais, sont répertoriées à cette adresse sous les
rubriques « revues électroniques » et « autres revues » : <http://commposite.org/transit.html>.
Vous aurez accès directement sur Internet au contenu des revues électroniques, du moins si elles
sont gratuites. Quant aux revues papier, il faut voir si elles sont disponibles à la bibliothèque.
Il est également possible de faire des recherches sur Internet à partir des outils. Le plus employé
est Google. Vous trouverez la version canadienne ici : <http://www.google.ca> en français et en
anglais. Vous pouvez aussi regarder du côté de Teoma (uniquement en anglais) :
<http://www.teoma.com> et du côté de Kartoo : <http://www.kartoo.com>.
Attention toutefois : de façon générale, ce qui est publié dans des ouvrages et dans des revues
scientifiques, voire dans des ouvrages et dans des revues de vulgarisation a été révisé par une ou
plusieurs personnes. Ce qui est écrit peut évidemment dépendre des opinions de chacun et de
chacune mais il y a souvent eu une validation de la part d’une personne ou d’un groupe de
personnes qui n’étaient pas l’auteur ou les auteurs. C’est souvent un gage de qualité.
En ce qui concerne maintenant Internet, il n'y a pas forcément de révision systématique. Chacun
et chacune peut écrire ce qu’il, ce qu’elle veut. Il faut donc faire attention au lieu – c’est-à-dire le
site Web de type http://www.xxxxxxx.yy -- où se trouve l’information que l’on est en train de
consulter. Par exemple, une lecture issue du site Web d’un groupe de recherche d’une université
est a priori plus vérifiable qu’une lecture d’un site Web personnel (attention : cela ne veut
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toutefois pas dire qu'il n’y a pas de sites Web personnels qui ont des contenus sérieux et très
intéressants). Cela signifie que l’on trouve de tout, du meilleur et du pire, sur Internet.
Les sources d’information
*Toutes* les sources d’information qui vous sont utiles dans votre travail doivent être
mentionnées à la fin du travail. Ces « références bibliographiques » et éventuellement
« électroniques » doivent *toutes* être utilisées explicitement dans le travail.
À noter aussi que cette partie du travail, « références », la dernière, n’est pas comprise dans le
nombre total de caractères demandés. À noter encore que ces sources d’information doivent être
présentées de la façon suivante.
Dans le texte, lorsque vous mentionnez une idée empruntée à quelqu'un mais dans vos propres
termes, il faut la présenter ainsi :
idée empruntée à quelqu’un (nom, date d’édition de la référence).
Mais s’il s’agit d'une citation « citation empruntée à quelqu’un », il ne faut pas oublier de
préciser en plus la page correspondant à la citation (nom, date d’édition de la référence, p.x) :
« citation empruntée à quelqu’un » ((nom, date d’édition de la référence, p.x).
Et il ne faut donc pas oublier de mentionner les références à la fin du travail.
Si vous oubliez de mentionner des sources d’information qui vous ont inspiré pour le travail,
vous risquez de vous trouver dans une situation de plagiat.
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À propos du travail final
Vous devez choisir un ou plusieurs ouvrage(s) et faire un résumé du ou des livre (s) et une
critique du contenu du ou des livre(s) sélectionné à partir de ce que nous avons étudié en classe.
Vous pouvez faire le résumé dans un premier temps puis la critique dans un deuxième temps.
Vous pouvez aussi faire les deux en même temps après avoir sélectionné un certain nombre de
sous-thèmes que vous aborderez l’un après l’autre. Une nouvelle fois, votre point de vue, votre
avis autrement dit, doit être argumenté.
Vous pouvez choisir un ouvrage dans la liste ci-dessous. Vous pouvez aussi sélectionner un
ouvrage qui n’est pas présent dans cette liste mais dans ce cas, il est nécessaire d’en parler au
professeur afin que celui-ci dise s’il est d’accord ou non avec ce choix.
Si vous travaillez seul-e, vous pouvez lire un ouvrage de 100 pages environ mais si vous êtes
deux ou trois, lisez plutôt 200 pages (pour deux) ou 300 pages (pour trois). Vous pouvez
sélectionner des ouvrages plus importants en nombre de pages mais préciser au début du travail
que vous n’avez travaillé que sur telle ou telle partie de l’ouvrage qui va de telle à telle page.
Références bibliographiques
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protectionnisme en matière culturelle : la circulation internationale des émissions de télévision à
la lumière de l’expérience canado-américaine, Sainte-Foy : Centre québécois de relations
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12
Chomsky Noam et / Edward S. Herman, 2003, La fabrique de l’opinion publique : la politique
économique des médias américains : essai ; traduit de l’anglais par Guy Ducornet, Paris : Serpent
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