Le Pouvoir de la Pensée - Sa Maîtrise et Sa Culture

Transcription

Le Pouvoir de la Pensée - Sa Maîtrise et Sa Culture
Je rencontre une personne dont l'activité vibratoire s'exprime sous un
mode complémentaire du mien. En nous rencontrant nous nous annulons
réciproquement ; il en résulte que nous ne nous plaisons pas, nous ne
découvrons rien l'une chez l'autr
mal défini et inorganisé ; et si l'on ne gagne pas en concentration – en
capacité de fixer la pensée sur un point défini – on ne peut pas exercer du
tout la puissance de la pensée.
Lorsque le corps mental s'organi
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Il faut se garder, dans un cas de ce genre, d'essayer en aucune manière
de dominer la volonté du patient ; l'effort doit tendre entièrement à placer
devant son mental des idées qui, s'adressant à son intelligence et à ses
émotions, l'amèneront à juger sainement et le stimuleront à faire un effort
pour traduire son jugement en action. Si l'on essaie d'imposer au malade
une ligne particulière de conduite, même si l'on réussit, on aura gagné bien
peu de chose. La tendance mentale qui nous pousse à nous laisser aller à
nos vices ne sera en rien modifié du fait qu'on aura mis un obstacle sur la
route que prenait telle forme particulière de cette tendance ; repoussé dans
une direction, elle en prendra une autre, et un vice nouveau supplantera
l'ancien. Un homme contraint à être tempérant par une force qui domine sa
volonté, ne sera pas plus guéri de son vice que si on l'enfermait en prison.
Même sans cela, aucun homme ne devrait essayer d'imposer sa volonté à
un autre, fût-ce dans le but de le faire bien agir. Le progrès n'est pas
favorisé par une pression extérieure de ce genre ; l'intelligence doit être
convaincue, les émotions éveillées et purifiées, sans quoi l'on n'obtient pas
de gain réel.
Si l'étudiant désire procurer, au moyen de sa pensée, n'importe quel
autre genre de secours, il devra procéder de la même façon, imaginant
suite, elle peut être aidée, réconfortée, conseillée, bien plus efficacement
que lorsqu'elle était sur terre.
Dans le monde qu'habitent les êtres délivrés [146] de leur corps
physique, une pensée affectueuse est aussi palpable aux sens que le sont,
ici-bas, une parole affectueuse ou une tendre caresse. Toute personne qui
meurt devrait donc être escortée par des pensées d'amour et de paix, par
notre désir de la voir s'avancer rapidement, à travers les vallées de la mort,
vers la brillante région qui est au-delà. Il n'y a que trop de personnes qui
demeurent dans la condition intermédiaire plus longtempscs 0 0 ellescn0 0 y
seraient restées, si leur mauvais karmacn0avait pas voulucs 0 0 ellescn0 0 eussent
pas d'amis sachant les aider de l'autre côté de la mort. Et si les vivants
savaient la consolation et le bonheur s 0éprouvent les voyageurs des