LES QUESTIONS DE LITTÉRATURE AU BAC – TERMINALE L mal
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LES QUESTIONS DE LITTÉRATURE AU BAC – TERMINALE L mal
LES QUESTIONS DE LITTÉRATURE AU BAC – TERMINALE L mal vu ! bien vu ! une copie pénible à déchiffrer, mal écrite, mal présentée, peu une copie agréable à lire, bien écrite, bien présentée, soignée, soignée (avec des ratures), sans alinéas, sans espace entre aérée, avec des alinéas, des sauts de ligne entre les parties (entre les parties du devoir l'introduction et le développement, entre la dernière partie et la conclusion) mais pas entre deux paragraphes une copie mal rédigée, avec des incorrections, beaucoup de fautes d'orthographe, une ponctuation anarchique, pas d'accents, des familiarités, des abréviations, des titres et des numéros pour les parties une langue correcte, sans (trop de) fautes d'orthographe, des termes bien choisis et variés pour traiter le sujet, des idées directrices claires en tête de paragraphe, des phrases de longueur raisonnable ; aucune abréviation (sauf « XXe s. » par exemple) une introduction bâclée, ne comportant par exemple que l'annonce du plan ou les références de l'oeuvre au programme, une introduction qui raconte la vie de l'auteur une introduction qui présente l'oeuvre dans son contexte (auteur, œuvre – le titre étant souligné et sans guillemets, avec majuscule : ex. Les Mains libres –, date, genre et courant littéraire), qui pose le sujet (la problématique) et qui annonce un plan pour le traiter des formules très scolaires et maladroites comme « dans une des formules claires et simples comme « nous nous demanderons première partie, je commencerai par... », « et enfin nous d'abord si..., puis... », « nous examinerons d'abord..., puis... » finirons par une conclusion »... (jamais de 1re personne du singulier), « la première partie abordera... », « la seconde... » des parties disproportionnées : par exemple, une 1re partie sur deux pages et la 2e sur une demi-page des parties équilibrées (même si ce n'est pas au nombre de lignes près), entre une page et une page et demie chacune ; il faut deux ou trois parties au total, ni plus, ni moins une seule partie dans le développement, avec des remarques un développement constitué de 2 ou 3 paragraphes, développant mises bout à bout, au kilomètre, sans liens logiques entre chacun une seule idée principale (une thèse) avec des liens elles logiques en tête de paragraphe (« d'abord », « ensuite », « enfin », « cependant », « au contraire »..., selon les cas) une partie qui développe une thèse qui n'est pas annoncée dans l'introduction, qui s'en éloigne ou qui est hors sujet le plan suivi est rigoureusement conforme à celui qui est annoncé dans l'introduction, bien conforme au sujet à traiter un seul point de vue défendu, sans nuance, ne traitant la question que sous un seul angle une réflexion qui confronte plusieurs points de vue (ex. thèse et antithèse), qui montre que l'on peut répondre différemment à la question posée selon l'angle étudié, selon la manière d'aborder le problème une réponse qui repose sur une connaissance superficielle de une réponse qui repose sur une bonne connaissance de l'oeuvre, de l'oeuvre, de son genre et de son courant littéraire, du son genre et de son courant littéraire, du contexte de sa création, de contexte de sa création, de sa réception sa réception des paragraphes très courts, sans exemples précis des paragraphes assez longs (une vingtaine de lignes chacun), développant chacun une thèse et illustrés d'arguments et d'exemples tirés (presque uniquement) de l'oeuvre au programme des paragraphes commençant par une citation, par un exemple chaque paragraphe commence par une idée directrice claire, correspondant à une thèse, formulée en une phrase, avant d'être étayée par des arguments et des exemples tirés de l'oeuvre au programme des citations longues (plus de trois lignes ou vers) ou en des exemples (introduits par « ainsi », « par exemple », « c'est le cascade (catalogue), des exemples nombreux qui ne sont pas cas de »...) qui correspondent bien à la thèse ou à l'argument reliés à un argument précis énoncé, des citations entre guillemets, limitées à quelques mots, expressions, lignes ou vers bien choisis ; il ne faut pas les multiplier pour prouver une seule et même chose. L'absence de citations n'est pas pénalisante mais leur présence sera valorisée. des exemples tirés d'une seule et même partie de l'oeuvre au des exemples variés, empruntés à l'ensemble de l'oeuvre au programme programme (à part les citations, seuls les titres de poèmes se mettent entre guillemets) pas de transition entre deux parties, artificiellement juxtaposées une phrase de transition entre deux parties (conclusion partielle), établissant un lien logique entre elles (ex. « si..., en revanche... », « si..., également... », « certes..., mais... ») une conclusion bâclée, rédigée à la va-vite une conclusion qui répond clairement à la question posée, qui fait le bilan de la réflexion menée et qui élargit (éventuellement) à une ou d'autres question(s) voisine(s) ou qui émet un avis personnel.