ABO CHARM EL CHEIKH - Présidence de la République Gabonaise

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE GABONAISE
UNION–TRAVAIL–JUSTICE
Communiqué de presse
Charm el-Cheikh, le 20 février 2016 – Dans le cadre de la conférence internationale Afrique
2016 organisée par le Gouvernement égyptien, sous l’égide de la Commission de l’Union
africaine et sous le haut patronage de S.E. Abdel Fattah Al-Sissi, la Directrice générale de
l’Agence nationale de promotion des investissements du Gabon (ANPI-GABON), Nina Alida
Abouna, et le Directeur général de l’Autorité générale égyptienne de l’investissement et des
zones franches (GAFI), Alaa El Din Omar, ont signé un mémorandum d’entente afin de
renforcer la mise en œuvre des objectifs économiques réciproques.
Le document paraphé à Charm el-Cheikh ce samedi après-midi engage les deux parties à
coopérer dans l’objectif de mettre en avant un cadre pratique de promotion de
l’investissement bilatéral, l’échange d’expériences et d’informations pertinentes sur les
investisseurs respectifs.
Au partage des données sur les flux d’investissements s’ajoute la nécessité pour l’ANPIGABON et la GAFI de faciliter l’entrée dans leurs pays aux acteurs économiques pour
accroître ainsi l’accessibilité des marchés. « Cet accord va permettre aux hommes d’affaires
égyptiens de saisir les opportunités immenses qu’offre le Gabon. Il favorisera également le
renforcement de nos capacités grâce à l’expérience de ce grand pays qu’est l’Égypte », a
commenté Mme Abouna. Au cours de sa mission, la Directrice générale l’ANPI s’est rendue
au ‘guichet unique’ (OneStop Shop) du Caire afin de s’imprégner du fonctionnement d’un
service qui rassemble une quarantaine d’administrations pour une meilleure prise en charge
des entrepreneurs.
Ce mémorandum d’entente a été signé à l’issue d’une visite officielle en Égypte du Président
de la République au cours de laquelle il s’est notamment attaché à promouvoir le commerce
bilatéral et à défendre la nécessité de développer les investissements intra-africains. « Le futur
de l’Afrique est le nôtre et c’est à nous de l’écrire », a-t-il souligné.
FIN