Hypnotic Wheels – ils en parlent

Hypnotic Wheels – ils en parlent...
Si des rencontres entre blues et musiques électroniques l’ont certes précédé (Amor, Nu-Blues,
voire Moby!), Hypnotic Wheels pousse quand-même le bouchon quelques crans plus avant.
Imaginez le Voodoo Child de qui-vous-savez transposé en gigue, où funk et accents celtes se
cambreraient de concert, ou encore le classique Sitting On Top of The World enfourchant
subitement des rythmes maliens pour aller se déhancher au fest-noz! L’incantatoire gospel
Sometimes de Bessie Jones conclut avec panache cette invitation à briser les barrières.
– Patrick Dallongeville, Blues Magazine
Derrière ce nom et cette pochette énigmatiques se cachent trois musiciens de talent et un
répertoire blues/soul revisité de manière terriblement originale. Une formation, une écriture, et
une relecture de l'idiome musical qui nous réunit et qui n'est pas sans rappeler par instants le
travail d'Otis Taylor qui, quant à lui, ne doit pas connaître la vielle à roue.
– Marcel Bénédit, ABS Magazine
Que celui qui a encore le moindre doute commence par cette relecture époustouflance de Voodoo
Child tellement habitée que l'on en finirait presque par penser que c'est le guitariste gaucher du
Club des 27 qui s'est mis à la vieille à roue ! Des albums de cette trempe, on en voudrait plus
souvent.
– Fred Delforge, Zicazine
Le blues a souvent cette image de genre figé, avec toujours les mêmes riffs de guitare, le même
rythme, et en plus c’est déprimant. Fallait venir voir Hypnotic Wheels […], un groupe prometteur,
qui sait donner une autre vision du blues, tout en restant authentique. Pari gagné ce soir à SaintAndré, et on leur souhaite tout le meilleur pour la suite […] d’autres dates dans le coin […] des
dates ailleurs pour propager la bonne musique, et le succès, parce qu’il est mérité! Un coup de
cœur pour moi. Bravo et merci !
– Maxime Lenglet, Ubikwit.net