DOSSIER DE PRESSE - Ville de Versailles
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DOSSIER DE PRESSE - Ville de Versailles
DOSSIER DE PRESSE SOMMAIRE Editorial Pierre-Antoine Demachy : biographie abrégée Pierre-Antoine Demachy et la ville, entre rêve et réalité Visite de l’exposition Autour de l’exposition Le catalogue Le musée Lambinet Liste des œuvres exposées Visuels disponibles pour la presse EDITORIAL C’est pour sa dimension de « témoin méconnu » que nous avons choisi cette année d’honorer le peintre Pierre-Antoine Demachy (1723-1807), en présentant sa première grande rétrospective au Musée Lambinet de Versailles. Témoin, il en fut un privilégié du temps des Lumières. Il assista aux métamorphoses urbaines qui caractérisèrent la France de cette époque et les représenta au travers d’architectures rêvées, issues des mythes de l’Antiquité mais aussi de son imagination, de sa vision d’une ville idéale. Il sut, grâce à sa très grande maîtrise des techniques picturales, composer des tableaux qui nous plongent dans la contemplation de villes sublimées, pétries à la fois des valeurs des Lumières et des idéaux romantiques. Alliant la rigueur des lignes de construction aux tourments mélancoliques des ciels d’orage, il est non seulement l’un des points de transition entre le classicisme et le romantisme, mais surtout l’un des premiers à avoir représenté une ville futuriste, préfigurant ce que nous appellerions aujourd’hui urbanisme. S’il fut méconnu, c’est qu’il fut éclipsé par de grandes figures, françaises et italiennes, qui surent s’emparer des codes sociaux de l’époque pour construire leur légende personnelle. C’est donc un juste hommage que nous lui rendons aujourd’hui, conformément à l’esprit de recherche scientifique et de diffusion culturelle qui anime l’ensemble de notre politique. Ainsi la Ville de Versailles contribue à l’enrichissement des connaissances et poursuit la grande entreprise dans laquelle elle s’est lancée : celle de créer une ville où nature et culture se conjuguent harmonieusement dans tous les instants du quotidien, une ville respectueuse de l’environnement et du bien-être de ses habitants, qui s’appuie sur son patrimoine pour s’ancrer dans la création la plus contemporaine. Grâce à Pierre-Antoine Demachy, nous poursuivons ainsi l’exploration, la plus large possible, des réalisations, du passé et du présent, et des projets, qui font dialoguer la nature et la culture dans un cadre urbain porteur d’infinies possibilités. C’est dans cette réflexion que nous insérons cette exposition. Elle est le fruit d’un travail de longue haleine portée par les équipes de la Ville ; qu’elles en soient ici chaleureusement remerciées. Et comme cela est maintenant devenu une habitude, nous proposerons pendant toute sa durée de nombreuses activités à destination de tous les publics, pour que chacun puisse s’approprier ces œuvres envoutantes que nous redécouvrons au Musée Lambinet. François de Mazières Député-maire de Versailles Pierre-Antoine Demachy 1723-1807 Biographie abrégée Pierre-Antoine Demachy, fils d'Antoine Demachy, compagnon menuisier, naît à Paris le 17 septembre 1723. Il acquiert de premiers rudiments de dessin auprès de son oncle paternel, maître menuisier, dit « Architecte ». En 1754 il est l'élève de Servandoni (1695-1766), architecte et peintre de grands décors, auteur notamment de la façade de l'Eglise Saint-Sulpice à Paris, qui l'initie au grand goût antiquisant, alors qu'il ne se rendra probablement jamais en Italie. Le 29 novembre 1755, il est agréé à l'Académie de peinture puis reçu le 30 septembre 1758, avec son Temple en ruine (Paris, musée du Louvre). A partir de 1757, Demachy participe régulièrement au Salon, jusqu'en 1802. Il s'illustre dans la réalisation de décors scéniques, pour le théâtre au collège Louis le Grand, puis à l'Opéra dans les décors de Dardanus de Rameau (1760) notamment, spécialité qu'il n'abandonnera jamais. En 1764, Pierre-Antoine Demachy est nommé peintre d'Architecture des décors de théâtre aux Menus Plaisirs du Roi, puis, le 1er décembre, il est désigné comme dessinateur du Cabinet du Roi. En 1768, il répond à la commande du Prince Galitzine, envoyé de Catherine II de Russie. A partir de 1770, Demachy travaille à la décoration de nombreux hôtels parisiens, en utilisant avec brio le décor en trompe l'oeil, comme il l'avait fait pour le duc d'Orléans au décor du grand escalier du Palais Royal en 1768. Il réalisera par exemple des toiles figurant des décors d'architecture, placées au – dessus des cheminées du foyer de l'Opéra Royal à Versailles. Le 25 novembre 1775, Demachy est élu au titre de Conseiller à l'Académie en remplacement de Drouais, décédé. En 1785 il est nommé Professeur à l'Académie, où il enseigne la perspective, et prend en charge de nombreux élèves comme Valenciennes ou Louis Moreau l'Ainé. Sous la Révolution, Pierre-Antoine Demachy occupe toujours son appartement au vieux Louvre. Dans la gêne, il participe aux travaux dites « d'encouragements ». Il répond au concours de l'An II avec des esquisses représentant le « Brulement des titres féodaux et des attributs de la tyrannie », et « la célébration de la fête de l'Etre suprême ». Il meurt le 10 septembre 1807, âgé de 84 ans. Pierre-Antoine Demachy et la ville, entre rêve et réalité Citations « Avant tout peintre d'architecture et de perspective, il trouva dans la représentation urbaine le moyen fort plaisant d'exercer son talent; sa formation de scénographe le distingue des autres peintres de vues parisiennes. Dans son œuvre, peu de représentations sont réellement topographiques. En effet, il ajoute toujours un élément imaginaire, transformant ainsi la ville en une scène de théâtre dont les Parisiens deviennent les acteurs. » Marie Petkowska-Le Roux, historienne de l’art, commissaire scientifique de l’exposition « Les amateurs, soucieux de posséder dans leurs collections des tableaux des peintres français modernes (moins souvent des peintres d’histoire en dépit des injonctions des critiques et de l’Académie royale), possédaient souvent une ou deux pièces de Pierre-Antoine de Machy. L’éloge du duc de Vaudreuil, qui introduit sa collection mise en vente en novembre 1787, présente de Machy comme un peintre moderne, emblématique du succès nouveau de l’École française de peinture : « quel pays peut se vanter d’avoir produit, en aussi peu de tems, un nombre d’habiles gens aussi considérable que ceux que je vais citer ? Le Brun, Poussin, Beaugni, le Sueur, Bourdon, La Hire,(…) &c. sans parler des modernes, parmi lesquels on compte MM. Pierre, Lagrenée, David, Vernet, Robert, Greuze, Fragonard, Spaendonck, Loutherbourg, Demachy, Hall & autres Maîtres célèbres, qui feroient la gloire d’une Nation (…) Il est bien à désirer que la vue de cette exposition convainque plusieurs Amateurs distingués, qui commencent à rassembler des Tableaux françois, de tout le plaisir qu’ils éprouveront à rechercher les productions de l’une des premieres Ecoles du monde : car, qui pourroit lui disputer ce rang[1] ? » Charlotte Guichard, CNRS « Loin d'être un simple vedutiste urbain, à l'égal d'un Raguenet, Pierre-Antoine de Machy s'inscrit plutôt dans le courant de ces artistes visionnaires qui, avec un regard neuf porté sur l'Antiquité, et imprégnés de la leçon piranésienne, surent magnifier l'Architecture des Anciens. (…) Tout concourt à exalter à exagérer la grandeur du bâtiment, au point de créer un léger sentiment de malaise. Le monde du théâtre n'est pas loin (...) » Jean-Marie Gruson, Conservateur en chef au Musée Carnavalet [1] Catalogue d’une très belle collection de tableaux d’Italie, de Flandres, de Hollande et de France (…) provenant du Cabinet de M**, 1787, avertissement. VISITE DE L’EXPOSITION L’exposition des peintures de l'œuvre de Pierre-Antoine Demachy se déploie suivant un cheminement thématique et permettra de découvrir la richesse des centres d'intérêt de l'artiste. Plus de 50 œuvres, souvent issues de collections prestigieuses, expriment ainsi une vision originale de la ville au XVIIIe siècle, selon 5 axes majeurs : Les vues de ruine, le Louvre, chroniques parisiennes, édifices religieux, le peintre urbaniste. En l’absence, jusqu’à aujourd’hui, d’une exposition monographique consacrée à ce peintre, et en l’absence d’ouvrages entièrement dédiés à cet artiste, qui n’a jusqu’à présent fait l’objet que d’articles, l’apport informatif de l’exposition et de son catalogue est indéniable. Ils constituent un jalon dans la connaissance de Demachy. L’inégalité de production de Demachy a parfois conduit à le négliger. Aussi, peut-on aujourd’hui reconsidérer la question : en quoi mérite-t-il d’être exposé, apprécié ? Il est certes difficile d’évaluer l’intérêt d’un artiste lorsqu’il n’est ni un génie, ni un mauvais peintre. En fait, chacun l’appréciera de manière variable selon ses attentes, selon son regard porté sur l’œuvre. Indépendamment de la valeur artistique de l’œuvre de Demachy, existe aussi sa dimension de témoignage. En raison du genre dont il s’est fait une spécialité, Demachy peint le cadre de vie de ses contemporains. Les sujets traités l’ont amené à coucher sur la toile des éléments qui appartiennent parfois au plan architectural, sous la forme de démolitions et de constructions d’édifices, et parfois au plan humain, sous la forme de scènes de rue ou de rassemblements de concitoyens. Par les yeux du peintre, le spectateur d’aujourd’hui voit l’évolution urbaine de la capitale, mais aussi des scènes de vie de tous ordres. On peut assister par exemple, parmi ces citadins du XVIIIe siècle, à une session de catéchisme, à une vente aux enchères, à un incendie, à une apparition publique de la reine, à un vol en ballon, à une fête révolutionnaire. Quant à la Seine, elle est le cadre de fourmillantes activités économiques et professionnelles. C’est à un voyage pittoresque dans le Paris du XVIIIe siècle que Demachy nous convie. Témoignant de son environnement urbain, Demachy en est donc le miroir. Comme tout artiste, il est non seulement un miroir, mais également un creuset. Creuset dans lequel fusionnent des influences stylistiques : celle de la peinture de ruines italienne, qui se mêle progressivement au renouveau du goût pour le Moyen-Age et aux applications des théories du comte de Caylus. Autre mélange d’influences, l’impact de la veduta vénitienne se trouve tempérée par la manière de voir et de sentir très française de Demachy. Se pencher sur l’œuvre de Demachy est une occasion et un moyen d’enrichir notre représentation de la peinture de l’époque. A l’aspect méconnu de l’artiste répondra, nous l’espérons, la bonne surprise d’une agréable découverte. Quant à son aspect de témoin, il pourrait bien fournir à notre imagination de fort plaisantes incursions dans sa ville. Françoise Roussel-Leriche Conservateur du Musée Lambinet AUTOUR DE L’EXPOSITION VISITES ADULTES Découverte de l’exposition avec les conférenciers du musée Les samedis 1er mars, 22 mars, 12 avril, 10 mai à 15h Durée : 1h30 /// Tarif : 6€ + 6€ droit d’entrée Le mercredi 12 mars à 14h30 Durée : 1h30 /// Tarif : 6€ + 6€ droit d’entrée VISITES EN FAMILLE Une visite adaptée, pour petits et grands Les dimanches 23 février, 30 mars, 27 avril à 15h Durée : 1h30 /// Tarif adultes : 6€ + 6€ droit d’entrée – Tarif enfants : 5€ VISITE POUR LES MALENTENDANTS En LANGUE DES SIGNES FRANCAISE (LSF) Le samedi 15 mars à 15h Durée : 1h30 /// Tarif : 6€ CONFERENCES Un cycle de conférences autour du thème du paysage urbain au XVIIIe siècle Le dimanche 9 mars, à 15h : « Pierre-Antoine Demachy un témoin méconnu » par Marie Petkowska-Le Roux, commissaire scientifique de l’exposition Le dimanche 6 avril, à 15h : « Peindre la ville au XVIIIe siècle » par Guillaume Glorieux, Professeur à l’Université de Rennes II « Paris au XVIIIe siècle, urbanisme et architecture modernes » - Date en attente Conférences dans l'auditorium du musée Lambinet Durée : 1h30 /// Tarif : 6€ VISITE EN MUSIQUE Animée par un violoniste et un conférencier, une visite qui permettra de sentir l'atmosphère changeante des toiles exposées et de montrer comment la musique, au XVIIIe siècle, connaît des bouleversements semblables à ceux que rencontre la peinture. Le dimanche 6 avril, à 15h30, et le samedi 17 mai, à 20h30 Durée : 1h30 /// Tarif : 6€ + 6€ de droit d'entrée POUR LES ENFANTS de 5 à 6 ans Les mercredis du musée : ateliers plastiques, « Colorier la ville » Un atelier pour les plus petits, qui créeront leur propre ville en couleur, autour de l'exposition. Les mercredis 5 mars, ou 26 mars ou 2 avril à 14h15 Durée : 1h30 /// Tarif : 5€ Les mercredis du musée : Contes - couleur, « petits contes mystérieux » « Devant les œuvres de Demachy, laissez vos enfants rêver au gré du conte. Une fois l’histoire terminée, ils prendront leur plume et dessineront les images qui les auront habitées pendant quelques minutes », Le mercredi 7 mai 2014 à 14h15 Durée : 1h30 /// Tarif : 5€ POUR LES ENFANTS de 7 à 10 ans Les mercredis du musée : stage-atelier Pierre-Antoine Demachy s'est passionné pour la ville. Mais celle-ci se fait tour à tour fantastique, étrange, ou magnifiquement construite : en 6 séances et 6 techniques différentes (de la gouache au montage en volume), voici tout un monde qui se dévoile : « croquis dans l'exposition », « la rue en perspective », « un caprice », « une ville étrange », « ces gens qui vivent dans la rue », « l'événement dans la ville ». Les mercredis 5, 12, 19, 26 mars, 2 et 9 avril à 14h15 Durée : 2h /// Tarif : 7€ Les vacances au musée : stage-atelier « Représenter la ville » Du plan au décor de théâtre, du Moyen-âge au XIXe siècle, la ville est traditionnellement représentée au travers de techniques bien établies. En complément de l'exposition consacrée à Pierre-Antoine Demachy, on pourra comprendre dans quel contexte l'artiste s'inscrit, et comment il se sert d'idées reconnues, pour ensuite s'en séparer. Du lundi 24 février au jeudi 27 février inclus, à 15h Durée : 2h chaque jour – Tarif : 7€ par séance LIVRETS - JEUX Mise à disposition gratuite d’un livret – jeu pour les enfants de 7-10 ans et de coloriages pour les plus petits SCOLAIRES La fabrique de la ville Une visite – atelier pour les scolaires du CP au CM2 Après la visite de l’exposition, qui permettra aux enfants de découvrir l’art du point de vue, le regard sur le détail en architecture, les effets d’atmosphère, mais aussi la recherche de l’onirisme et de la recomposition face au besoin d’exactitude topographique, nous irons dans l’atelier afin de recomposer notre propre ville. L’art du point de vue « Visiter en s’impliquant » pour les scolaires, du CM1 au CM2 et pour les collèges – lycées Tout en visitant l’exposition avec l’animateur, les élèves seront amenés à s’intéresser plus particulièrement au point de vue, et à expérimenter par exemple les techniques de la perspective, en travaillant au croquis d’architecture. CATALOGUE L’exposition Pierre-Antoine Demachy s’accompagne de la publication d’un catalogue illustré, réalisé en coédition avec l’éditeur d’art Magellan et Compagnie. L’ouvrage, qui compte 200 pages, comporte des essais couvrant l’œuvre et la personnalité du peintre, et la reproduction des œuvres présentées dans l’exposition. Le témoin méconnu Coédition Ville de Versailles Magellan et compagnie 200 pages Format 20,50 x 25cm Relié Prix de vente : 28€ Parution février 2014 LE MUSEE LAMBINET Installé dans l’hôtel particulier qu’un entrepreneur des bâtiments du Roi avait fait construire en 1751, le musée Lambinet déploie ses collections sur 35 salles. Tout en reconstituant l’atmosphère d’une élégante demeure du XVIIIe siècle dans l’appartement richement meublé du 1e étage, le musée présente un très beau fonds de peintures et sculptures du XVIe siècle au XXe siècle, avec notamment les œuvres de grands artistes versaillais, dont Jean-Antoine Houdon, ou Georges Lacombe. Avec une abondante iconographie, l’histoire de la ville est également évoquée, ponctuée par l’époque révolutionnaire dont les protagonistes apparaissent au fil d’une galerie de portraits contrastés. Musée Lambinet 54 boulevard de la Reine - 78000 Versailles Informations 01 39 50 30 32 Retrouvez le musée sur www.versailles.fr Moyens d’accès SNCF Versailles-Rive Droite (départ Paris Saint-Lazare) SNCF Versailles-Chantier (départ Paris Montparnasse) RER Versailles Château-Rive gauche (départ Paris RER Ligne C) Autobus 171 Versailles Place d’armes (départ Pont de Sèvres) Autoroute A13 sortie « Versailles centre » Horaires d’ouverture Le musée est ouvert tous les jours, sauf le vendredi, de 14h00 à 18h00 Tarifs - Tarif plein : 6€ - Tarif réduit : 4€ Familles nombreuses, + de 60 ans, carte 1 an à Versailles, Amis du château de Versailles, Etudiants 18-25 ans, membres de groupes de plus de 10 personnes - Gratuit pour les moins de 18 ans + Dernier dimanche du mois, Moins de 18 ans individuels, Enseignants, Journalistes, Conférenciers, Demandeurs d’emploi, Chauffeurs et accompagnateurs de groupe, Handicapés, Amis du musée Lambinet, Carte ICOM et conservateurs, Amis du Louvre, Agents de la ville (conjoint et enfants) Accès handicapés Le musée est partiellement accessible aux personnes à mobilité réduite LISTE DES ŒUVRES EXPOSEES RUINES, CAPRICES ARCHITECTURAUX ET VUES DE FANTAISIE 1 Un Temple en Ruines Huile sur Toile. H. 161 cm ; L. 129 cm. Signé en bas à gauche et daté: « De Machy » Paris, musée du Louvre Inv. 6409 2 Arc de Triomphe Huile sur Toile. H. 60.5 cm ; L. 79.5 cm. Signée Angers, musée des Beaux-arts Inv. MBA J45(J1881) P 3 Caprice architectural avec temple à rotonde Huile sur Toile. H. 46 cm ; L. 38 cm. Signée en b. à g. « De Machy » Rouen, musée des Beaux-arts, Inv. 1818.1.31 4 Intérieur d'église Huile sur Toile. H. 46 cm ; L. 38 cm. Signée en b. à d. « De Machy » Rouen, musée des Beaux-arts 5 Troupeau dans les ruines avec le Panthéon de Rome Gouache sur papier. H. 50 cm ; L. 38.6 cm. Signée Rouen, musée des Beaux-arts – Legs Mme George Chedanne, 1964 6 Vue de ruines Huile sur Toile. H. 38 cm ; L. 47 cm. Signée Collection Particulière. 7 Vue de Ruines Huile sur bois H. 49 cm ; L. 60 cm. Signée en b. à g. Courtesy Didier Aaron & Cie 8 Ruines antiques, personnages près d’un vase Medicis Huile sur bois d’acajou. H. 18 cm ; L. 13 cm. Signée et datée en b. à g. Collection Particulière. 9 Ruines animées Huile sur bois d’acajou. H. 18.5 cm ; L. 13 cm. Signée en b. à d. « DEMA… » Collection Particulière. 10 et 11 Ruines animées – Une paire Gouaches. H. 16.5 cm ; L. 12 cm chacune. Signée Collection Particulière 12 Soldats & Blanchisseuses dans des Ruines autour d’un feu Gouache. H. 54 cm ; L. 39 cm. Collection Particulière 13 Caprice architectural avec le château de Clagny, à Versailles Huile sur bois. H. 36 cm ; L. 53 cm. 1771, Signée en bas à gauche : « Demachy » Versailles Musée Lambinet, Inv. D92.2.1 LE LOUVRE Hors catalogue Alexander Roslin : Portrait du marquis de Marigny Huile sur toile H. 126cm ; L.112cm. 1783 Musée national du château de Versailles, Inv. MV 4447 14 Dégagement de la colonnade du Louvre, démolition du Petit - Bourbon. Crayon, plume et lavis (dessin mis au carreau). H. 347 mm ; L. 455 mm. En haut inscription récente : « dessin de Demachy représentant la démolition des restes de l’Hôtel du petit Bourbon ». Paris, musée Carnavalet (Inv. D. 508). 15 Vue de Fantaisie de la Colonnade du Louvre Huile sur Toile. H. 38,5 cm ; L. 59,5 cm. Signée Paris, Musée du Louvre Inv.RF 1947 – 22 16 Dégagement de la colonnade du Louvre, démolitions des restes de l’ancien hôtel du PetitBourbon. Lavis d’encre de chine H. 420 mm ; L. 860 mm. Au verso du dessin, en bas à droite et à gauche, cachet de la collection du comte Grégoire Strogonoff. Paris, musée Carnavalet (Inv. D. 3585). 17 Les ruines de la Poste du Louvre Plume, encre noire avec rehauts de gouache blanche et sanguine H. 33 mm ; L. 21.5 mm. Collection Privée Parisienne 18 Les vendeurs d’Estampes au Louvre Huile sur panneau H. 38,5 cm ; L. 58 cm. Signé à gauche sur le pilier de l’arc d’entrée : « De Machy 1791 ». Paris, musée Carnavalet (Inv. P. 1039) ; déposé au Louvre depuis 1989. 19 Le péristyle du Louvre, côté est. Lavis. H. 180 mm ; L. 192 mm. Papier en deux morceaux dans le sens de la largeur. Paris, musée Carnavalet (Inv. D. 514). 20 Le Louvre et le Pont - Neuf (l’Abreuvoir au premier plan). Huile sur Toile. H. 64 cm ; L. 79,5 cm. Signé à droite (très effacé, est illisible) : « Demachy » [ancienne attribution à Hubert Robert] Paris, Musée Carnavalet, Inv. P.174 CHRONIQUES PARISIENNES 21 La Foire Saint-Germain pendant l’incendie en 1762 Huile sur toile. H. 51 cm ; L. 46 cm. Signée en bas à gauche « P.A Demachy » Collection particulière. 22 Les Ruines de la Foire Saint-Germain Huile sur toile. H. 49.5 cm ; L. 76.5 cm. Signée en bas à gauche P.A Demachy Collection particulière. 23 Inauguration de la statue de Louis XV, place de la Concorde – le 19 février 1763 Eau forte H. 40,9 cm ; L. 65,4 cm. datée de 1787. Epreuve avant la lettre signée J. Deny, femme Demonchy gravée d’après le tableau de Pierre - Antoine Demachy appartenant à M. Laborde, valet de chambre du roi. Paris, musée Carnavalet (Inv. G. 17054). 24 L’arrive de la Reine à l’Hôtel de Ville – le 21 janvier 1782 – Fête donnée à l’occasion du Baptême du Dauphin Plume et lavis d’encre H. 26,5 cm ; L. 60,8 cm, signé en bas à gauche « Demachy ». Au dos du dessin inscription qui parait assez récente : « Vue perspective de la décoration et du feu d’artifice tiré à l’hôtel de ville de Paris en présence de leurs Majestés à l’occasion de la naissance de Monseigneur le Dauphin le 21 janvier 1782, par Demachy ». Paris, musée Carnavalet (Inv. I.E.D. 5200). 25 Vue de la place Louis XV et des Tuileries à l’instant du départ de MM. Robert et Hullin, le 19 septembre 1784 Plume et aquarelle. H. 42,3 cm ; L. 62,6 cm. Paris, musée Carnavalet (Inv. D. 5195).27 26 Vue intérieure du Panthéon français après les translations des cendres de Voltaire le 11juillet 1791 Huile sur papier marouflé sur toile. H. 54 cm ; L. 38 cm. Non daté Musée de la Révolution Française, Vizille – Inv. MFR – 1986-271 27 La Fête de l'Unité, le 10 août 1793, ou l'inauguration de la Constitution de la République française et le brûlement des emblèmes de la Royauté Papier entoilé, trace de signature au milieu et en bas du tableau. H. 48 cm ; L. 75 cm. Paris, musée Carnavalet (Inv. P. 82). LES EDIFICES RELIGIEUX 28 Le Chœur d’une Eglise animée de personnages Huile sur toile. H. 73 cm ; L. 93 cm. Signée Paris, Galerie Eric Coatalem 29 Sermon à l’Eglise Saint-Roch ou le Capucin prêchant Plume et lavis. H. 355 mm ; L. 258 mm. Le dessin est en deux morceaux dans le sens de la hauteur, signé en bas à droite « Demachy ». Paris, musée Carnavalet (Inv. I.E.D.511). 30 Vue intérieure de l’église Saint-Symphorien de Montreuil à Versailles Huile sur Toile, H.43 cm ; L. 36 cm. Signé et daté en bas à droite, sur le soubassement de la colonne : « Demachy 1772 ». Paris, musée Carnavalet (P. 956) (dépôt à Versailles, musée Lambinet en 1990 - Inv. D 90 - 1 1). 31 Vue intérieure de la chapelle des catéchismes plus tard dite de la Providence (annexe de la cathédrale), à l’église Saint-Louis de Versailles Huile sur Toile. H. 43 cm ; L. 36 cm. Paris, musée Carnavalet (P. 957) (dépôt à Versailles, musée Lambinet en 1990 - Inv. D 90 - 1 2). 32 La Démolition de l’église des Saints-Innocents Huile sur Bois. H. 51,7 cm ; L. 40,5 cm. Signé en bas à gauche : «De Machy 1787». Paris, musée Carnavalet (Inv. P. 2080). 33 Démolition de l’église Saint-Jean-en-Grève Huile sur bois H. 42,5 cm ; L. 53,5 cm. Signé en bas à gauche presque illisible : «Demachy». Paris, Musée Carnavalet (Inv. P. 78). 34 Démolition de l’église Saint-Jean-en-Grève Lavis d’encre de chine avec très légers rehauts de couleur. H. 33,3 cm ; L. 34,7 cm. Signé en bas à gauche : « Demachy ». Paris, musée Carnavalet (Inv. D. 3261). 35 Démolition du couvent des Cordeliers (vers 1802). Lavis rehaussé. H. 30,3 cm ; L. 47 cm. En bas au milieu: « Demachy ». Bordure ancienne. - En bas à droite, initiales: « F.R. ». Paris, musée Carnavalet (Inv. D. 507). LE PEINTRE URBANISTE 36 Le Garde-Meuble royal – vue de fantaisie Huile sur Toile. H. 87 cm ; L. 113 cm. Signée Paris, Musée du Louvre (Inv. 6415) 37 Vue de fantaisie du Garde-Meuble royal Huile sur bois. Collection Monsieur van Riel 38 Vue du Garde-Meuble, Place Louis XV et des Chevaux de Marly Huile sur Toile. H. 57 cm ; L. 38 cm. Signée Collection Particulière 39 Démolition de l’ancien vestibule du Palais Royal (1764-1770) Plume et lavis de bistre avec rehauts de gouache. Dessin collé sur une feuille de papier portant sur le recto : écriture ancienne « Démolition de l’ancien vestibule du palais Roialle. Au dos : un plan d’architecture. H. 25 cm ; L. 29 cm. Paris, musée Carnavalet (I.E.D. 5192). 40 Démolition de l’ancien vestibule du Palais Royal (1764-1770) Dessin signé à gauche : « de Machy ». H. 25 cm ; L. 29 cm. Paris, musée Carnavalet (Inv. I.E.D. 5197). 41 Vente publique de tableaux probablement à l’hôtel Bullion vers 1780 Huile sur toile. H. 22 cm ; L. 33 cm. Paris, musée Carnavalet (Inv. P. 1932). 42 Rotonde imaginaire avec la statue de Louis XIV de Desjardins Huile sur toile. H. 60 cm ; L. 48 cm. Non datée Collection Privée Parisienne 43 Vue du Parc de Saint-Cloud Huile sur panneau. H. 21cm ; L. 14 cm. Non datée Collection Particulière Monsieur van Riel 44 Vue de la Seine prise du Pont – Neuf Huile sur toile. H. 78 cm ; L. 134,5 cm. Signée 1783 Versailles, Musée National du Château – Inv. MV 785 45 L’hôtel des Monnaies et la Seine vus de la pointe de l’île de la Cité Huile sur Toile. H. 41,5 cm ; L. 64 cm. Porte une inscription au dos de la toile : « Demachy 1774 ». Paris, musée Carnavalet (Inv. P. 2507). 46 Vue du port Saint - Paul prise au bas du parapet. Gravure . H. 00 mm ; L. 00 mm. Charles - Melchior Descourtis (1753 - 1820) d’après Pierre - Antoine Demachy (1723 1807),aquatinte en couleur, en bas à gauche Paris chez l’auteur, Cour du Louvre et chez Descourtis,Graveur rue des Grands Degrés près de la Place Maubert, Mon d’un Md de vin en face de la rue Perdue, au centre imprimé par Gayant le jeune, en bas à droite par ses très humbles et très obéissants serviteurs de Machy Descourtis, au centre armoiries du Comte d’Angiviller.152 Paris, musée Carnavalet (Inv. G. 4174). 47 Vue du quai d’Orsay prise de la terrasse des Tuileries Crayon repassé à l’encre rouge (au trait). H. 39,5 cm ; L. 61,5 cm. Au dos inscription en partie illisible : « Joseph boufers à … ». Paris, musée Carnavalet (Inv. I.E.D. 3677). 48 LE PALAIS BOURBON Huile sur panneau. H. 40 cm ; L. 62 cm. Signée Assemblée Nationale, Paris 49 Le quai d’Orsay, l’hôtel de Lassay, le Palais Bourbon, vus du quai des Tuileries Plume et lavis. H. 20,5 cm ; L. 58,3 cm. Au dos inscription à l’encre : « par Demachy / au crayon vue du Palais Bourbon. » Paris, musée Carnavalet (Inv. I.E.D. 3324). 50 Vue panoramique de Tours Huile sur toile. H. 81.5 cm ; L. 154 cm. Signé et daté sur le tonneau en bas et vers le milieu : « Demachy / 1787 » Inscription sur le ballot, en bas vers le milieu : « MBD » Tours, Musée des Beaux-Arts, Inv. 1969.2.1 Personnages Deux personnages, un cochon, un âne Plume, encre brune, pierre noire sur papier H. 10.7 cm ; L. 16.6 cm. Signé : Demachy 1781 Huit personnages et un chien Plume, encre noire, pierre noire, lavis gris sur papier H. 12.6 cm ; L. 20 cm. Signé : Demachy 1781 Rouen, musée des Beaux-Arts, Inv. AG. 1975.4.1217 Personnages Plume, lavis gris et brun sur papier H. 12.6 cm ; L. 20 cm. Rouen, musée des Beaux-Arts, Inv. AG. 1975.4.1219 VISUELS PRESSE Libres de droit Vue de ruines, huile sur bois Courtesy Didier Aaron & Cie © Thomas Hennocque Caprice architectural avec le château de Clagny, à Versailles Huile sur bois, 1771 Musée Lambinet, Versailles © Ville de Versailles – Musée Lambinet Vue du Palais Bourbon, huile sur panneau, Paris Assemblée nationale Vue du garde meuble, Place Louis XV et chevaux de Marly Huile sur toile Collection particulière © Ville de Versailles Le chœur d’une église animée de personnages Huile sur toile © Galerie Eric Coatalem, Paris Vue intérieure de la chapelle des catéchismes plus tard dite de la Providence, à l’église Saint Louis de Versailles Huile sur toile, 1787, Paris Musée Carnavalet Vue de l'intérieur de l'église Saint- Symphorien Huile sur toile, Musée Lambinet, Versailles © Ville de Versailles – Musée Lambinet L'incendie de la foire Saint-Germain Huile sur toile, Collection particulière © Ville de Versailles