New Title - Rouillac

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2
h
vide vide
La Nouvelle République
Vendredi 26 avril 2013
loir-et-cher
billet
l’essentiel
> p. 4
> p. 20 et 21 Petites annonces
FAITS DIVERS Arrivé du Maroc avec un
visa étudiant, Ouali Younes ne peut plus
rentrer chez lui aujourd’hui… faute de
pouvoir franchir les frontières.
> p. 22 Avis d’obsèques
> p. 25
KARTING. Gros week-end karting dans le
Loir-et-Cher. Samedi se déroulera une
course d’endurance à Mer, les Six Heures
du Centre tandis que Salbris accueillera
dimanche, les National Series Karting.
> p. 7
MONTOIRE Le comité prépare la
41e édition de son festival qui se tiendra
du 11 au 18 août. Ouverture des
réservations ce samedi.
> p. 29 et 30 Courses hippiques
Des arrêtés contre l’alcool sont pris à Blois.
> p. 8 et 9 Cinéma
> p. 31 Jeux
> p. 10
> p. 32 Télévision
SORTIR La Fédération départementale
des chasseurs présente des trophées de
cerfs et de chevreuils avec explications,
films et animations à Mer. C’est ouvert à
tous.
> p. 33 Editorial
> p. 37 On en parle
> p. 38 Météo
> p. 39 Bourse
> p. 11
BLOIS Un arrêté municipal a défini trois
périmètres précis, mais pour des raisons
différentes. SDF, lycéens et
regroupements communautaires sont
ciblés.
[www.lanouvellerepublique.fr]
Salbris attend plus de 200 pilotes dimanche.
> VIDÉO. Le Tour auto 2013 Optic 2000
était de passage mercredi à Thésée, avec
ses 250 voitures, pour un grand nombre
de collections.
Sauvignon
royal
On ne les croisera pas
beaucoup en ville, et il y a peu
de chance qu’ils puissent
s’échapper pour jeter un coup
d’œil à Chambord ou aux
jardins de Chaumont-sur-Loire.
Dommage pour ces plumes
internationales, venues de tous
les coins du monde,
« enfermées » volontairement
dans les salles du château de
Blois aujourd’hui et demain,
face à 807 échantillons de vin,
tous issus du cépage sauvignon,
à déguster et à noter (lire en
page 6). Une visite viticole à
Oisly cet après-midi, et un tour
en hélicoptère jusqu’à Sancerre
en survolant la Loire demain
sont quand même à leur
programme. Juste de quoi leur
donner envie de revenir !
C.S.
que valent vos trésors ?
Miroir, mon beau miroir…
Aymeric Rouillac, commissaire-priseur, donne cette semaine son avis
sur la coiffeuse d’une de nos lectrices de Mont-près-Chambord.
Aymeric Rouillac.
L
a coiffeu se est le
meuble féminin par
excellence. Son ancêtre, la table de toilette, tient son nom de la fine
toile qui la recouvre et accueille le miroir. Au siècle des
Lumières, elle devient un
meuble à part entière et surtout, un meuble mondain.
Après la “ première toilette ”
qui consiste en un bain ou toilette du corps, la coiffeuse reçoit la “ seconde toilette ”. Les
précieuses y reçoivent même
leurs prétendants et l’on dit de
ces amoureux qu’ils sont des
“ piliers de toilette ” !
À la fin du XVIIIe siècle, la
coiffeuse est reléguée dans le
cabinet de toilette, espace plus
intime. Le plus souvent, le pla-
Un meuble à faire rêver les jeunes filles.
teau de la coiffeuse s’ouvre
pour découvrir un miroir et
deux caissons compartimentés. L’élégante peut y ranger
flacons, onguents et autres
poudres. La façade peut présenter des tiroirs ou de petites
tirettes augmentant la surface
du plateau. Les pieds sont
hauts et traduisent le style
d’une époque. Meubles raffinés, de nombreuses coiffeuses
affichent un placage de bois
exotique comme le bois de
rose ou de violette.
Comble du luxe, la table de toilette livrée en 1822 pour la du-
chesse du Berry, belle-fille de
Charles X. Un modèle unique
en cristal taillé sur une monture de bronze doré, conservé
au musée du Louvre. La coiffeuse de notre lectrice est en
placage de bois exotique, probablement du palissandre aux
vues de ces fortes veines
noires. Elle présente la forme
et la disposition classique des
coiffeuses anciennes avec son
miroir escamotable central et
ses différents tiroirs et caissons. Elle adopte le style Louis
XV avec ses pieds cambrés et
sa traverse mouvementée.
Mais qui dit style, ne veut pas
nécessairement dire époque !
L’ensemble manque de légèreté. La sculpture de la traverse est trop simple et symétrique. La jonction entre les
montants et les pieds est maladroite. Les boutons de tirage,
réduits à leur plus simple expression, n’apportent ni mouvement ni lumière au meuble.
Cette petite coiffeuse est une
création du XXe siècle. Les copi e s a nc i en n es s on t a ujourd’hui désuètes et leur cote
a baissé. Sous réserve d’un
examen physique, sa valeur
en vente aux enchères serait
d’environ 50 euros.
pratique
Vous avez un objet à
proposer à notre expert :
envoyez-nous ce que vous
connaissez sur celui-ci, ainsi
qu’une (ou plusieurs) photo
en format jpeg (d’un poids
compris entre 250 et 500 ko)
sur la boîte mail :
[email protected] (attention,
tresors sans accent). Vos
coordonnées sont
indispensables à la prise en
compte de votre demande,
mais vous pouvez réclamer
l’anonymat en cas de
publication.
Réagissez, écrivez-nous. Par courrier : La Nouvelle République, 1, place Jean-Jaurès, BP 119, 41004 / Par courriel : [email protected] /
Sur le site : www.lanouvellerepublique.fr
les articles
les plus vus sur
lanouvellerepublique.fr
Les cinq articles de l’édition du
Loir-et-Cher les plus vus, hier,
sur le site de La Nouvelle
République :
1
“ On me met des bâtons
dans les roues ”.
Un nouveau commerce a
ouvert à Saint-Gervaisla-Forêt, Troyes direct.
Depuis, les soucis pleuvent.
2
Les deux copines
écumaient
les supermarchés.
A Chissay-en-Touraine, deux
jeunes femmes ont été
interpellées pour vol.
3
Il a mis toute son
entreprise sur la paille.
Au Poislay, Cyril Natali
construit depuis six ans des
maisons isolées à la paille.
4
Et les broussailles
se remettent à brûler.
Cinq feux de broussailles ont
été éteints par les pompiers
du département.
5
La ronde des vieux
bolides s’arrête
à Thésée.
La 22e édition du Tour auto
Optic 2000 a traversé le
Loir-et-Cher.
sur la toile
La NR
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Un lien court pour retrouver
la NR du 41 sur Facebook :
http://on.fb.me/LiyCYR