DP Hommage à la forêt / PDF, 507.4 ko

Transcription

DP Hommage à la forêt / PDF, 507.4 ko
Hommage à la forêt
Exposition du 20 octobre 2012 au 28 janvier 2013
Dossier de presse
hommage à la forêt
exposition du 20 octobre 2012 au 28 janvier 2013
Le château de Fontainebleau est né de la forêt. Longtemps lieu de chasse, cette
forêt est devenue à partir des années 1820 un fantastique « atelier grandeur
nature » offrant aux artistes la possibilité de travailler parmi les rochers, les
gorges, les chaos ou bien encore les arbres les plus remarquables.
À faible distance de Paris, elle offrait une nature inviolée que les peintres aimèrent
à représenter et reconnaître comme le témoignage du chaos originel. Dans
leur volonté de développer la pratique de la peinture « d’après nature » et « sur
le motif », Théodore Rousseau, Jean-Baptiste Millet, ou bien encore Narcisse
Diaz de la Peña ne pouvaient trouver terrain plus favorable. Avec leurs amis,
leurs élèves, leurs émules, ils s’approprièrent les lieux et firent de Barbizon, de
Chailly, de Marlotte ou de Bourron le point de départ de leurs excursions. C’est
là qu’ils repensèrent l’art du paysage. Non pas de manière normée, mais avec
la diversité du tempérament de chacun. L’étude directe de la forêt, de ses
composantes naturelles, leur fournit de nouveaux sujets. La nature représentée
pour elle-même et non pas comme le cadre d’une histoire, la description des
phénomènes atmosphériques, celle de la lumière, cette volonté farouche de ne
figurer que le motif et seulement le motif, en reniant une pratique pourtant
séculaire de recomposition intellectuelle de la nature en atelier, sembla une
ineptie pour les partisans de la tradition. Mais peu à peu les œuvres de ces maîtres
trouvèrent place au Salon, lieu de la reconnaissance officielle. Le rocher, l’arbre,
le buisson, la mare, la bergère et ses moutons, ou bien encore la basse-cour, furent
choisis pour leur dimension pittoresque. Les larges paysages à l’horizon placé
si bas, les ciels d’orage, les incandescences de l’aube ou du soir témoignaient
aussi d’autres préoccupations, renouant avec la tradition du sublime, de la
toute-puissance de la nature, de l’éphémère de la vie humaine. Si le motif peint
d’après nature avait toutes les faveurs, il n’interdisait pas pour autant à chacun
de développer sa propre sensibilité artistique.
Cette omniprésence de la forêt de Fontainebleau dans la production picturale
du temps incita vite un plus grand nombre à venir découvrir les lieux mêmes.
De terrain réservé aux artistes, peintres, graveurs et photographes, les étendues
rocheuses et boisées devinrent but d’excursion. Avec l’essor du tourisme, le
public désira ajouter à la découverte du château et de ses merveilles historiques
et artistiques, celle de l’écrin naturel qui l’abritait. L’arrivée du chemin de fer
jusqu’à Avon en 1849 en facilita considérablement l’accès. Afin de permettre à
chacun, invité de la cour impériale ou promeneur du dimanche, de mieux
connaître ce patrimoine naturel placé sous les auspices de Némorosa, reine des
bois, Claude-François Denecourt (1788-1875) puis son successeur Charles Colinet
(1839-1905) développèrent l’édition de guides et aménagèrent des sentiers
pédestres. Ainsi guidé, le visiteur put pénétrer au plus profond de la forêt sans
crainte de se perdre afin d’en découvrir toutes ses curiosités jusqu’ici réservées
aux peintres.
Cette épopée artistique et touristique s’impose aujourd’hui en contexte de
l’exposition car il ne s’agissait pas de dédier un nouvel événement aux maîtres
qui s’installèrent à Barbizon, mais de rendre un hommage à la forêt en présentant
deux ensembles, l’un formé de tableaux méconnus car conservés dans la salle
des assemblées de l’hôtel de Ville de Fontainebleau et jusqu’à ce jour peu exposés
hors les murs, l’autre composé d’une centaine de dessins inédits normalement
placés à l’abri de la lumière dans les porte-folio du château. Peintures des
maîtres du XIXe siècle qui séjournèrent en forêt, surtout à Fontainebleau, parfois
ailleurs, ou bien dessins de l’architecte Louis Boitte, toutes ces œuvres témoignent
de l’attrait que put exercer la nature et d’un état qui n’est plus que souvenir.
2
3
1
Cette exposition est organisée
par le château de Fontainebleau
avec le soutien de la Ville
de Fontainebleau et du Comité
régional du tourisme d’Île de France
Commissaire de l’exposition
Xavier Salmon,
conservateur général, directeur
du patrimoine et des collections
du château de Fontainebleau
4
Exposition présentée dans
la salle de la Belle-Cheminée,
du 20 octobre 2012
au 28 janvier 2013
l’exposition
20 octobre 2012 – 28 janvier 2013
florilège sylvestre
Entre 1955 et 1959, la Ville de Fontainebleau fit peu à peu l’acquisition d’un bel
ensemble de tableaux illustrant pour l’essentiel des paysages de forêt. La décision en
avait été prise par le maire de l’époque, Hubert Pajot, et par son conseil municipal. Sous
sa mandature, Hubert Pajot s’était attaché à réunir des tableaux non seulement pour
orner les murs de l’Hôtel de ville et de certains bâtiments municipaux, mais aussi
afin de proposer à ses administrés des événements artistiques de qualité. Dès
1957, Fontainebleau présentait ainsi une exposition dédiée à « Cent ans de paysage
français » qui comptait certaines des œuvres acquises peu auparavant. Par sa charge
de commissaire-priseur, Hubert Pajot avait eu un accès privilégié aux œuvres. Tout
au long des années de son mandat, il s’était appliqué à réunir une cinquantaine de
5
tableaux. Son goût personnel et les opportunités du marché n’avaient sûrement pas
été étrangers aux choix qui avaient été faits. La thématique de la forêt, souvent
bellifontaine, mais pas uniquement, caractérisait une grande partie des peintures.
Si l’on excepte Lazare Bruandet né en 1755 qui fut un des tout premiers à travailler
en forêt de Fontainebleau et qui fait ainsi figure de précurseur, trois générations
d’artistes étaient représentées. Celle de 1800-1820 regroupait ceux qui avaient été
parmi les premiers à travailler en forêt d’après nature. On comptait parmi eux Barye,
Flers, Diaz de la Peña, Bodmer, Troyon, Dupré, Rousseau, Cicéri, Jacque et François.
Née entre 1820 et 1840, la seconde génération formée d’Harpignies, Lavieille, Latouche,
Trouillebert, Chaigneau, Deshayes, Chabry, Allongé, Dubouché et Guillemer avait
bénéficié de l’expérience des plus âgés et s’était ouverte à d’autres régions et à d’autres
types de paysages. Ceux des années 1840-1860, Delpy, Richet, Cuisinier, Kreutzer,
Armandi et Ruysscher manifestaient le même amour pour le motif d’après nature et
pour ses exigences et pouvaient avoir repris le chemin de la forêt de Fontainebleau.
Maîtres renommés ou moins célèbres réunis par le hasard du marché, tous avaient
trouvé une source d’inspiration commune en forêt et avaient traité le sujet de manière
6
personnelle, certains avec une grande liberté créatrice, d’autres sous influence.
L’ensemble des trente-huit œuvres retenues parmi le fonds de la ville de Fontainebleau
témoigne tout particulièrement de ces différentes sensibilités. C’est ce qui fait une
part de leur intérêt. Réunis en fonction des opportunités du marché et des moyens
financiers disponibles et non pas suivant une volonté « muséale » de représenter un
mouvement artistique, ces tableaux illustrent aussi le goût d’un homme, comme
s’ils avaient été destinés à faire partie d’un cabinet d’amateur. Ce n’est pas là, non
plus, le moindre de leur attrait.
promenades dominicales. louis boitte en forêt
Grâce à Alice Boitte et à ses héritiers, le château de Fontainebleau a pu, entre 1927 et
1959, s’enrichir par don et par achat de tout un ensemble de dessins, d’estampes, de
plans et de photographies qui avaient fait partie du fonds d’atelier de l’architecte
Boitte (1830-1906), le père d’Alice. Entré à l’école des Beaux-Arts de Paris en 1847,
Louis François Philippe Boitte avait obtenu le Premier Grand Prix de Rome en 1859.
7
Son séjour de quatre ans à la Villa Médicis avait été pour lui l’occasion de découvrir le
fabuleux patrimoine de la Ville Éternelle, de la péninsule italienne, et de la Grèce.
Multipliant les dessins, relevés, croquis ou compositions à caractère pittoresque, il
avait rapidement manifesté un vif intérêt pour la présence de la polychromie dans
l’architecture. De retour à Paris, et après avoir présenté ses dessins à plusieurs Salons
et à l’Exposition universelle de 1867, il obtenait en 1877 le poste d’architecte du
château de Fontainebleau où il engageait plusieurs grands chantiers, en particulier
celui de le reconstruction du lanternon de la chapelle Saint-Saturnin qui avait été
détruit sous le règne de Louis xv, et celui de la restauration du portique dit de Serlio
dans la cour Ovale. Parmi les ensembles de dessins et de calques entrés post-mortem
à Fontainebleau, on comptait deux albums réunissant des vues de la forêt de
Fontainebleau et de ses environs. N’offrant ni classement chronologique, ni classement
topographique, ces recueils n’avaient peut-être pas été constitués par Boitte, mais
plutôt par sa fille lorsqu’il avait été nécessaire de mettre un peu d’ordre dans le fonds
8
d’atelier après le décès de l’architecte. Contrairement aux dessins d’architecture,
les paysages ont été dessinés avec une plus grande liberté tout en veillant à scrupuleusement respecter la réalité. Ils ont été exécutés sur des feuilles de format standard
faciles à transporter, de couleurs variées, détachées de cahiers fabriqués par la
maison Montgolfier à Saint-Marcel-les-Annonay, et acquis dans la commerce.
Boitte avait essentiellement utilisé le crayon noir avec des rehauts de craie blanche,
plus aisés à utiliser sur le terrain, plus exceptionnellement la plume, le pinceau,
l’encre et le lavis, parfois les pastels de couleur. À ses heures de liberté, il était parti
9
à pied afin de découvrir les sites les moins éloignés, avec une vive prédilection pour
le rocher d’Avon et le Mont Ussy dont tout au long des années il avait multiplié les vues.
Boitte s’était appliqué à décrire la forêt dans ce qu’elle avait de plus pittoresque
mais, contrairement aux peintres de la première moitié du xixe siècle, il n’était pas
parti à l’aventure. Depuis les années 1840, la forêt avait été peu à peu domestiquée
par la création de routes, de chemins et de sentiers dont les « cicerone », en particulier
Denecourt, s’attachaient à vanter les beautés. Lorsqu’à son tour, Louis Boitte avait
pris à partir du début des années 1880 le chemin de la forêt, très certainement avait-il
mis ses pas dans ceux de Denecourt et de son émule Colinet. Plusieurs des dessins
montrent certains des aménagements voulus par Denecourt, telles que les volées
de marches facilitant l’ascension entre les rochers. Avec ses crayons et ses craies de
couleur, l’architecte avait patiemment décrit ce que Denecourt avait si vivement
souhaité montrer au plus grand nombre. Sans le savoir, il donnait ainsi aux nombreux
guides des « cicerone » de la forêt les images qui leur manquaient tant.
souvenirs de fontainebleau
10
À partir de la Monarchie de Juillet, Fontainebleau s’imposa en lieu de villégiature
artistique mondaine. Décrites avec toujours plus de précision par Claude-François
Denecourt, puis par son émule Charles Colinet, et rendues plus accessibles par les
aménagements réalisés, les différentes curiosités de la forêt devinrent des buts
d’excursion. Chacun souhaita conserver le souvenir de ces rochers aux formes
étranges, de ces gorges encaissées ou de ces arbres centenaires. Avec l’apparition
de la photographie, il fut plus facile de satisfaire cette demande. La carte postale
illustra dès la fin xixe siècle des centaines de vues différentes. En 1902, le libraire
Thibault, installé 18 rue de France à Fontainebleau, proposait cent quarante sept
modèles différents. D’après L’Abeille du 27 mai 1904, périodique bellifontain, la
seule journée de Pentecôte 1904, vingt cinq mille cartes postales avaient été vendues.
Pouvait-on espérer plus belle démocratisation par l’image des sites de la forêt ?
11
catalogue de l’exposition
Le château de Fontainebleau est né de la forêt.
Longtemps lieu de chasse, cette forêt devint aussi,
à partir du XIXe siècle, un lieu de promenade
et d’inspiration pour les peintres et les poètes.
Dès le début des années 1820, elle s’imposa
en un fantastique « atelier grandeur nature », offrant
aux peintres et aux dessinateurs, puis aux photographes,
la possibilité de travailler d’après le motif parmi
les rochers, les gorges, les chaos ou bien encore
les arbres les plus remarquables.
À la suite de Corot, Daubigny, Millet et Rousseau,
qui firent de Barbizon le point de départ de leurs
randonnées, des générations d’artistes vont sillonner
la forêt, en quête du sujet qui leur permettra de
manifester leur attachement à l’observation sensible
de la nature. Leurs œuvres ont suscité des vocations
et surtout l’envie de venir découvrir par soi-même
ces sites. Avec l’invention de ce nouveau tourisme,
il a été nécessaire de domestiquer la forêt, en l’ouvrant
au plus grand nombre, à l’aide de sentiers et de circuits.
Réunissant un ensemble de tableaux appartenant
aux collections de la Ville de Fontainebleau et de dessins
inédits réalisés à la fin du XIXe siècle par Louis Boitte,
architecte du château, cette publication invite
à reprendre le chemin de cette forêt si souvent
chantée par les artistes.
Sommaire
Préface
par Jean-François Hebert et Xavier Salmon
Hommage à la forêt
par Xavier Salmon
Fontainebleau. Une forêt très disputée
par Jean-Claude Polton
Louis Boitte, un grand serviteur du château
par Marguerite Guillaume
Catalogue par Xavier Salmon
19,50 euros
  
12
éditions
FATON
Hommage à la forêt
Le catalogue de l’exposition est édité
en partenariat avec les éditions Faton
192 pages, 19€
Hommage
à la forêt
autour
de l’exposition
Jours et horaires d’ouverture
du château de Fontainebleau
Du 20 octobre 2012 au 28 janvier 2013,
l’exposition est ouverte tous les jours,
sauf les mardis, le 25 décembre et le
1er janvier, de 9h30 à 17h
Dernier accès château 15h45
Visites
Visite exceptionnelle de l’exposition
Hommage à la forêt par Jean-Claude Polton
Samedi 27 octobre - 15h
Tarifs
Droit d’entrée pour le circuit principal
(musée Napoléon ier, appartement du Pape,
Grands Appartements et appartement
intérieur de Napoléon ier) et exposition : 10 €
Tarif réduit : 8 €
Plus de renseignements
Tél. 01 60 71 50 60 / 70
www.chateaudefontainebleau.fr
Accès
Par la route : Porte d’Orléans Porte
d’Italie, A6 sortie Fontainebleau
SNCF : Gare de Lyon (grandes lignes),
station Fontainebleau-Avon puis Bus
ligne 1 direction Les Lilas, arrêt
La Poste / Château
Le dézonage du pass navigo permet,
pour les détenteurs d’un abonnement,
de se rendre en train à Fontainebleau
et d’y prendre le bus le week-end
sans supplément
Salle de
la Belle-Cheminée
Entrée
du chateau
Le château de Fontainebleau et son
domaine sont inscrits sur la liste du
patrimoine mondial de l’UNESCO.
L’inscription sur cette liste consacre
la valeur universelle et exceptionnelle
d’un bien culturel ou naturel afin qu’il
soit protégé au bénéfice de l’humanité
Visites guidées de l’exposition
Dimanche 11, vendredi 16 et dimanche
25 novembre, vendredi 14 décembre
et jeudi 27 décembre, vendredi 11, jeudi
24 et dimanche 27 janvier : le matin, à 11h15
Vendredi 2 et jeudi 29 novembre,
dimanche 9 et dimanche 23 décembre,
dimanche 6, dimanche 20 et samedi
26 janvier : l’après-midi, à 15h
Visite guidée de l’exposition « à deux voix »
par Xavier Salmon et Jean-Claude Polton
Samedi 10 novembre, 11h15
Pour aller plus loin : Promenade en forêt
par l’Association des Amis de la Forêt
de Fontainebleau à 14h30
Journée-visite La forêt en représentation
Château de Fontainebleau / Musée
départemental des peintres de Barbizon
Dimanche 20 janvier, 11h à 16h
Spectacles et manifestations
La Saint-Hubert du château
Animations en partenariat avec
le Rallye Tempête
Dimanche 4 novembre, de 10h à 17h
Accès libre et gratuit
Spectacle de Noël : La forêt aux trois entrées...
par la Compagnie Passaros
Mercredi 26, jeudi 27 et vendredi
28 décembre, 14h et 16h
Par séance : Tarif plein 6,50 €. Tarif réduit 5 €
Forfait une séance + entrée du château +
entrée de l’exposition : Tarif plein 14,50 €,
Tarif réduit : 13 €
réservation sur www.paris-whatelse.com
ou au 01 60 70 50 60
Week-end La forêt en représentation
Samedi 12 janvier
Conférence Représenter et se représenter
la forêt, 15h
Projection au cinéma l’Ermitage, 20h
Visite « à deux voix » :
Les oiseaux dans les décors
Vendredi 30 novembre
et samedi 22 décembre, 14h
Dimanche 13 janvier
Spectacle Du vacarme et des arbres
par la Compagnie Speira, 15h
Accès avec le billet d’entrée du château
à la conférence et au spectacle.
Accès payant à la projection.
Visite Les matériaux et le château
Samedi 24 et dimanche 25 novembre, 15h
Renseignements et réservation
au 01 60 71 50 60
Visite des salles Rosa Bonheur par l’association
des Amis de Rosa Bonheur mercredi
21 novembre et lundi 10 décembre, 14h30
1. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Mare du Mont Ussy (1884)
En famille
Ateliers Fabrication d’un herbier
avec Les Maisons du Bornage
Lundi 29 et mercredi 31 octobre, 14h30
À partir de 6 ans
Ateliers Dessin et aquarelle :
un château parmi les arbres
par Véronique Frampas
Mercredi 7, jeudi 8 et vendredi
9 novembre, 14h30
À partir de 8 ans
Visites contées Forêt & légendes
Vendredi 2 et lundi 5 novembre,
jeudi 3 et vendredi 4 janvier, 14h30
À partir de 7 ans
Visites
Tarif plein 14,50 €. Tarifs réduits 13 € et 5 €
pour les adhérents de la Société des Amis
et Mécènes du Château de Fontainebleau
et les visiteurs bénéficiant de la gratuité
du droit d’entrée
Ateliers
Tarif plein 14,50 €. Tarifs réduits 13 € et 8 €
pour les adhérents de la Société des Amis
et Mécènes du Château de Fontainebleau
et les visiteurs bénéficiant de la gratuité
du droit d’entrée
Le billet comprend l’entrée du château
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
2. Dubouchet Henri-Joseph (1833-1909)
Personnages au bord d’une mare (1790)
© Gérard Blot, RMN
3. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Rocher d’Avon (1887)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
4. Sous les frondaisons (xixe siècle)
© Gérard Blot, RMN
5. Guillemer Ernest (1839-1913)
Paysage au fagot (xixe siècle)
© Gérard Blot, RMN
6. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Le jardin anglais (xixe siècle)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
7. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Sous-bois (xixe siècle)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
8. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Rocher d’Avon (1890)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
9. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Mont Ussy (xixe siècle)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
10. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Vallée des Deux Soeurs (1884)
© Gérard Blot, RMN
château de Fontainebleau
11. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album Rochers (1887)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
12. Boitte Louis-Philippe-François (1830-1906)
Album les poules (xixe siècle)
© Gérard Blot, RMN,
château de Fontainebleau
Couverture : Personnage avec ombrelle au pied d’un chêne, Fontainebleau, © RMN-Grand Palais / Gérard Blot - Graphisme : des Signes - 2012
renseignements
pratiques

Documents pareils