Rentrée littéraire 2015 - mediatheque-lavernose
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Rentrée littéraire 2015 - mediatheque-lavernose
Rentrée littéraire 2015 Dans ce roman aux allures de thriller psychologique, Delphine de Vigan s'aventure en équilibriste sur la ligne de crête qui sépare le réel de la fiction. Ce livre est aussi une plongée au cœur d'une époque fascinée par le Vrai. Yasmina Khadra imagine les derniers jours de Kadhafi, Bédouin frugal devenu le roi Lear de la Tripolitaine. Apocalyptique. (Le Point) Quête irrévérencieuse de la vérité intime de Louis XIV, irradiée de désir autant que de solitude, Animarex dépoussière avec une vitalité contagieuse les figures figées et convenues du monarque absolu le plus célèbre de l'Histoire. Un roman insolent, moderne, comme ce Grand Siècle dont il ranime toute la splendeur et la férocité. (Babelio) (Ed. Robert Lafffont) Fable d’amour, fable de l’enfance, fable initiatique, La Terre qui penche est un enchantement littéraire, une immersion dans les courbes et les boucles de la Loue, dans le cœur de Blanche, jeune enfant vulnérable et rebelle du Moyen Âge. En creusant les thèmes qui l'obsèdent, l'auteure dresse sans complaisance le portrait d'une mère, la sienne, méprisée et humiliée par son grand et impossible amour (...) Sans conteste un des 10 incontournables de cette rentrée littéraire. (Par BETTY DUVAL-HUBERT, Librairie La (L’Express) ssonnière, Yvetot) Dans son septième roman, Sorj Chalandon lève le voile sur son enfance. Intimiste, émouvant, sans jamais tomber dans le pathos, il se livre à l’exercice de l’écriture comme on dépose des fleurs sur une tombe. Une confession pour faire le deuil d’une enfance tyrannisée par la démence d’un père. Bouleversant. (Par BARBARA FERRARI, Librairie Majolire, Le temps d’une longue nuit, un musicologue viennois voit affleurer les souvenirs de ses voyages en Orient ainsi que les récits émerveillés des explorateurs, historiens, artistes et poètes qui ont sillonné le Levant et façonné en profondeur notre imaginaire. Jouant avec légèreté d’une érudition gourmande, Mathias Énard rêve « d’un monde où on réciterait Khayyam à Lisbonne et Pessoa à Téhéran ». Un texte majeur et inspiré. (Page des Libraires)