Une nouvelle version française pour OpenOffice.org Une nouvelle

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Une nouvelle version française pour OpenOffice.org Une nouvelle
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 07/4
07/41 8 Octobre 2007
La pensée de la semaine
«Quand on croit qu'on a tout compris, en un clin d'œil
d'œil,
œil, tout change.»
change.»
Wim Wenders
Une nouvelle version française pour OpenOffice.org
http://www.cnetfrance.fr/news/pc-peripheriques/39373757-3800004077t/une-nouvelle-version-francaise-pour-openofficeorg.htm
http://www.cnetfrance.fr/telecharger/windows/fiche/0,39035651,11009992s,00.htm
Une semaine après sa sortie en anglais, la suite bureautique OpenOffice.org 2.3 est disponible en français, pour Windows et Linux.
Il s'en passe des choses dans le petit monde des suites bureautiques. Après les annonces concernant Lotus Symphony, Google Apps et
Microsoft Office, c'est au tour d'OpenOffice.org de faire la Une de l'actualité, avec la sortie de la version 2.3. En français, totalement
gratuite et disponible pour Windows et Linux, cette suite bureautique n'a rien à envier à ses concurrents le plus souvent payants avec les
présences d'un traitement de texte, d'un tableur, d'un logiciel de présentation, d'un logiciel de bases de données et d'un éditeur de
dessin. Le seul reproche concerne l'absence d'un Outlook-like.
De cette nouvelle version, on retiendra essentiellement une meilleure compatibilité entre le tableur Calc et Excel. Ainsi que le support des
images au format PNG dans les graphiques ou les présentations.
Dommage que les développeurs ne se penchent pas plus sur l'interface qui reste tristounette par rapport à Office 2007.
Cinq grandes écoles françaises dans le top 10 de l'Ecole des Mines
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-cinq-grandes-ecoles-francaises-dans-le-top-10-de-l-ecole-des-mines-24118.html
Le palmarès international professionnel des établissements d'enseignement supérieur établi par l'Ecole des Mines de
Paris laisse apparaître une excellente position des écoles de l'Hexagone, et s'oppose au classement académique de
l'université de Shanghai.
Le palmarès mondial des établissements d'enseignement supérieur publié par l'Ecole des Mines de Paris devrait rassurer les dirigeants des
grandes écoles de l'Hexagone. Et gommer la mauvaise image de la France donnée par le classement de l'Université de Shanghai. En
effet, cinq grandes écoles françaises figurent désormais parmi les 10 établissements qu'ont fréquentés le plus grand nombre de dirigeants
des 500 plus grandes entreprises mondiales recensées par le "Fortune Global 500". L'Ecole Polytechnique s'octroie la 4e position du
palmarès, suivie par HEC (5e), Sciences Po Paris (8e), l'ENA (9e) et l'Ecole des Mines (10e).
Cinq autres établissements, l'INSEAD, L'université Paris Dauphine, l'Ecole centrale Paris, l'Ecole nationale supérieure des arts et métiers,
et l'Ecole nationale supérieure d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications apparaissent également dans la
liste des cent premiers mondiaux.
Alors que le classement de l'Université de Shanghai se fonde essentiellement sur les performances académiques des établissements de
l'enseignement supérieur, celui de l'Ecole des Mines évalue la formation des grandes écoles et universités mondiales, en établissant la
probabilité qu'ont les étudiants de devenir les dirigeants des entreprises de premier rang mondial. Ainsi, l'examen des parcours des
dirigeants dans les 500 plus grandes entreprises comptabilisées par le Fortune Global 500 a permis de noter 338 établissements.
Intel et Nokia développent des terminaux WiMax
http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/09/27/intel-nokia-developpent
Les deux firmes préparent leurs premiers terminaux sans fil 'compatibles Wi-Max'
Les téléphones WiMax ne devraient pas tarder à voir le jour. Suite à un accord, dont le volet financier n'a pas été révélé, l'américain Intel
et le finlandais Nokia vont concevoir un premier terminal WiMax. Suivront plusieurs modèles qui embarqueront une puce permettant de
tirer parti de ces nouvelles radio-communications.
Le futur semi-conducteur baptisé "Baxter peak" devrait uniquement se trouver dans les terminaux et autres produits dotés d'une
connexion Internet issus des usines Nokia.
"Le WiMax permettra aux gens de reproduire leurs expériences favorites d'Internet : regarder des vidéo, écouter de la musique en
streaming ou encore effectuer des recherches sur la Toile. Le tout, sans aucune déperdition de qualité", affirme Ari Virtanen VP de Nokia.
La firme finlandaise sait très bien tous les avantages qu'elle peut tirer de cette nouvelle connexion, capable de transporter des données
conséquentes. A l'heure où la vidéo sur mobile prend un lent essor et au moment où les mobiles deviennent des appareils convergents
aussi bien aptes à téléphoner qu'à écouter de la musique, Nokia n'a pas envie de rater le coche.
Pour mémoire, Nokia a a lancé récemment son portail de services Ovi qui englobe musique et jeux-vidéo. La manoeuvre démontre
l'appétit du géant pour un secteur qu'il investit peu à peu : l'Internet mobile.
Selon un communiqué publié par Intel, les deux sociétés ont déjà entamé des tests. Leur objectif: vérifier et confirmer le plus rapidement
l'interopérabilité des terminaux WiMax avec les autres appareils, et bien sûr, être opérationnel le plus vite possible.
Un porte-parole de Nokia a précisé à Reuters que les premières "tablettes Internet" devraient être disponibles en 2008.
Il reste une question : quelle attitude adopteront les opérateurs mobiles, qui ont fortement investi dans la 3G, et qui misent actuellement
sur l'évolution de cette technologie avec le HSDPA et le HSUPA. Ces standards permettent de dépasser (pour le moment) 3 Mbits/s. Le
WiMax est, de son côté, poussé par l'univers Intel et les évolutions de sa plate-forme Centrino.
Dans l'Internet mobile à haut débit, le WiMax et le HSxPA vont-ils s'affronter ou seront-ils complémentaires ?
Orange et BNP lancent une carte 'co'co-marquée'
http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/09/27/orange-bnp-lancent-une-carte-co
L'opérateur et la banque proposent une carte à mi-chemin entre les télécoms et les services bancaires
L'heure est à la convergence, y compris pour les moyens de paiement. Orange et la BNP, deux géants des secteurs des télécoms et de la
banque ont décidé de s'associer pour créer une carte de paiement 'co-brandée'.
Deux cartes devraient être disponibles. La première, destinée aux 12-18 ans, est une carte prépayée. Elle devrait donner accès à des
"services innovants". Contacté, Orange n'a pas précisé la nature des services accessibles. La seconde carte, destinée à un public adulte
devrait elle aussi permettre au détenteur d'accéder aux services d'Orange. Un système de fidélisation sous forme de points devrait être
mis en place. A priori, le propriétaire de la carte ne bénéficierait pas de services bancaires particuliers.
La sortie de ces deux nouveaux moyens de paiement est néanmoins suspendue à la levée de la limitation relative au co-marquage des
cartes instaurée par le GIE (Groupement des cartes bancaires). La fin de l'interdiction, programmée pour le 1er octobre, devrait donner à
Orange l'occasion de se montrer plus loquace sur le contenu de sa nouvelle offre.
Pour BNP Paribas, il ne s'agit pas d'un coup d'essai en matière de convergence. Grâce à un accord signé entre Paypal et Cetelem, la filiale
de BNP Paribas, les détenteurs de la carte Aurore se voyaient, au mois de juin dernier, accorder l'autorisation de faire leur course en ligne
et régler leurs achats avec leur carte.
Avec leur nouvelle carte, Orange et BNP n’entendent rien moins que devenir leader sur ce marché appelé à croître.
La reconnaissance
reconnaissance faciale sort de l'image
http://www.atelier.fr/medias-loisirs/10/28092007/IDIAP,Google,Portrait,Viewdle,reconnaissance,faciale-35286-.html
De nouveaux acteurs veulent régner sur la recherche d'images ciblée sur la Toile. Qu'il s'agisse de reconnaître un visage
sur une image ou sur une vidéo, le but est le même : aller plus loin que Google.
La recherche d'images fonctionne de façon simple : le moteur les affiche en fonction des tags ou du texte qui y sont associés. Cela
dépend donc de la bonne volonté des webmasters. Plusieurs équipes veulent minimiser ce facteur humain. Une équipe du pôle de
recherche national IM2 basé à la fondation IDIAP de Martigny lance Google Portrait, un système capable de reconnaître directement les
visages à partir d'une recherche sur une personne effectuée sur Google Image. Les moteurs traditionnels fournissent la totalité des
visuels attachés au mot-clé tapé, même si celui-ci concerne une personne. Google Portrait au contraire opère comme un filtre. Qui
permet ainsi de n'obtenir que des visages. Le dispositif recherche en effet au sein des images sélectionnées la présence de figures
humaines. D'abord selon un cadre virtuel de 19 pixels sur 19, puis sur un cadre de plus grande taille si aucun visage n'a été détecté.
Un système intuitif et précis Pour élaborer leur logiciel, les chercheurs ont procédé à des techniques d'apprentissage statistique par
ordinateur. Ainsi, ils ont mis au point une base de données comprenant d'un côté des dizaines de milliers de visages, et de l'autre des
images ne contenant aucun visage. Ce, afin d'apprendre au système à différencier les contenus qui lui sont présentés. Petits bémols à
cette nouvelle fonction de recherche ciblée : elle ne reconnaît pas encore l'identité de la personne, et le processus est parfois encore
long. Mais, souligne Gabriel Marcel, ses applications restent très prometteuses, notamment dans le domaine de la vidéoconférence, de la
biométrie ou de la vidéosurveillance. D'autant que l'algorithme est capable de "détecter des visages qui ne sont pas nécessairement de
face" ou qui ne sont pas bien éclairés.
Concurrencer Google sur l'image A terme, Google Portrait souhaite même concurrencer le géant du Net, qui, pour le moment, ne
propose pas de cibler la requête d'un internaute uniquement sur un visage. Cette situation ne devrait pas durer puisque selon Sébastien
Marcel, la firme de Mountain View teste actuellement un système équivalent. Google Portrait montre néanmoins la possibilité pour des
scientifiques disposant de fonds publics de réaliser des projets aptes à concurrencer des sociétés privées comme Google. Et cette
initiative n'est pas isolée. Ainsi, la société Viewdle lance un système de reconnaissance faciale capable de détecter la présence de visages
humains, mais au sein d'une vidéo cette fois. Le système, utilisé par Reuters pour fournir une indexation de ses contenus vidéo en temps
réel, devrait permettre aux fournisseurs de contenu et aux distributeurs de profiter d'une meilleure visibilité. A terme, il devrait mettre sur
pied des solutions de publicité ciblée et un site de recherche d'internautes.
Google rachète le réseau social mobile Zingku
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-high-tech/google-rachete-le-reseau-social-mobile-zingku_127228.html
Visiblement très intéressé par la mobilité et les réseaux sociaux, Google fait d'une pierre deux coups en rachetant officiellement Zingku,
une jeune pousse américaine éditant une sorte de réseau social mobile.
Avec pour ambition de "mobiliser la passion" de ses utilisateurs, Zingku propose de nombreux services tels que le partage de textes ou de
photos, l'envoi d'invitations ou de flyers "mobiles", la création de mini sondages ou même l'agrégation de flux RSS sur son mobile.
Cannibalisant partiellement Dodgeball, un autre mobile social software (MoSoSo) racheté en mai 2005, Zingku pourrait donc servir de
brique à un futur grand réseau social multi accès, apparemment en gestation chez Google.
"J'anticipe une fusion entre Orkut (en quête d'un second souffle), SocialStream (qui voudrait bien sortir au grand jour) et DodgeBall
(toujours en cours de digestion) pour ce service et la galaxie d'applications Google qui trouveraient bien leur place sur vos téléphones
mobiles et smartphones." prédit Fred Cavazza, un consultant spécialisé dans le web 2.0.
Orkut, SocialStream, DodgeBall, Zingku mais également Blogger, Picasa ou encore Shared Stuff .. Les services "communautaires" se sont
en tout cas multipliés ces deux dernières années chez Google. Reste sans doute à restructurer ce pôle afin de faire face à la croissance
explosive des MySpace, Bebeo et autres Facebook, des réseaux sociaux qui auraient attiré selon ComScore plus de 274 millions
d'internautes en juillet dernier.
Orange et Apple au bord de la rupture
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/medias/multimedia/20070927.OBS6896/orange_et_apple_au_bordde_la_rupture.html
Faute d'un accord sur le montant de la commission reversée par l'opérateur au fabricant, la distribution de l'iPhone en France pourrait
être reportée après les fêtes.
CHEZ ORANGE, services juridiques et équipes de communication se préparent pour un scénario de gestion de crise, avec Apple. L'enjeu:
le montant de la commission reversée par l'opérateur au fabricant californien. Si une solution n'est pas trouvée d'ici le milieu de la
semaine prochaine, la distribution de l'iPhone en France, avant les fêtes de Noël, pourrait être compromise. La discussion, houleuse,
entre les deux partenaires porte sur le montant de la commission perçue par Apple sur chaque abonnement commercialisé par Orange,
distributeur exclusif de l'iPhone dans l'Hexagone. Selon plusieurs sources, cette somme atteindrait le tiers de l'abonnement.
Au début du mois, le groupe de Cupertino aurait cependant décidé de revoir à la hausse ce pourcentage, en réalisant que la législation
française sur l'interdiction de la vente liée risquait de lui faire perdre une partie de ses revenus. La loi française se range en effet parmi
les plus contraignantes au monde en prohibant explicitement la vente d'un service avec un autre produit – d'un mobile avec un
abonnement téléphonique, par exemple. Le système des subventions permet aux opérateurs de contourner la loi: le client a donc le choix
entre des téléphones "nus", sans abonnement, au prix fort, et des mobiles avec abonnement à des prix fracassés.
Mais Apple ne veux pas entendre parler d'une subvention, considérant que son iPhone doit être commercialisé à un niveau premium.
Résultat, l'iPhone sans abonnement serait vendu au même prix qu'un iPhone chez Orange, et dans l'absolu, le consommateur pourrait
acheter un appareil dans une boutique Orange et activer la ligne chez un autre opérateur. Du coup, Apple ne toucherait pas sa
commission. Et le groupe de Steve Jobs estime que c'est à l'opérateur français de faire l'effort. Les hommes de Didier Lombard ne veulent
pas en entendre parler. Le dialogue de sourds dure depuis trois semaines. A terme, c'est la distribution pure et simple de l'iPhone qui
pourrait être mise en cause si aucun accord n'est trouvé dans les prochains jours.
ADSL : les box accusées de consommer trop d'électricité
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39373787,00.htm?xtor=EPR-102
L'Institut national de la consommation critique la conception même des modems et décodeurs TV fournis par les FAI à
leurs abonnés. Même en veille, ces appareils consomment trop d’électricité et alourdissent sensiblement la facture EDF.
Avec le déploiement de plus en plus large de l'ADSL, modems et décodeurs triple play sont désormais présents dans de nombreux foyers
français. Selon une enquête réalisée par le magazine 60 Millions de consommateurs, édité par l'Institut national de la consommation, ces
fameuses box développées par les fournisseurs d'accès à internet (Freebox, Livebox...) se révèlent très gourmandes en électricité. Et
récoltent donc un mauvais point dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Les tests réalisés par l'INC pointent des « performances d'un autre âge » en matière de consommation électrique. Il a passé à la loupe
les box des six principaux opérateurs en France, toutes fournies avec un décodeur TV pour gérer la diffusion de la télévision par ADSL.
« En cumulant la consommation en veille et en fonctionnement, [elles] engloutissent entre 143 et 263 kilowattheures (kW/h) sur un an,
selon les modèles », affirme le magazine dans son édition d'octobre. Une consommation qui a naturellement un coût sur la facture
d'électricité de l'abonné : de 16 à 29 euros par an supplémentaires, selon les calculs de l'INC. Au total, le parc de modems + décodeurs
installés en France consomme 1,51 milliard de kW/h par an, soit deux mois et demi de production d'un réacteur nucléaire.
Pas d'interrupteur sur les décodeurs
Alors que la protection de l'environnement est au coeur de toutes les préoccupations, l'association dénonce la façon même dont sont
conçus ces appareils : « Une partie de cette consommation serait évitable si les fabricants prenaient la peine d'optimiser leur matériel. »
Selon ses relevés, une box avale une dizaine de watts lorsque la connexion internet tourne à plein régime. Mais surtout, sa
consommation ne faiblit quasiment pas lorsque l'ordinateur de l'utilisateur est éteint. Il est vrai, reconnaît l'INC, qu'une box doit restée
allumée quoi qu'il arrive, car c'est elle qui gère la ligne de téléphonie par internet de l'abonné.
Ce n'est pas le cas du décodeur TV, mais seuls ceux fournis par Neuf et Cegetel et Tele2 disposent d'un interrupteur on/off. Et lorsqu'ils
sont en veille, ces décodeurs consomment de 7 à 21 watts, les plus gourmands étant les appareils équipés de disque dur.
L'INC s'étonne d'avoir pu relever de tels chiffres, « quand on sait que les industriels de l'électronique sont capables de fabriquer des
téléviseurs à écran plat de grande taille consommant moins de 1 watt en veille ». Mais pour les modems et les décodeurs, les fabricants
« sont plus préoccupés d'ajouter de nouvelles fonctions à leur box que d'en réduire la consommation », stigmatise l'association.
Selon le classement établi par l'INC, la Livebox d’Orange est celle qui consomme le moins, suivie par les appareils de Tele2, d'Alice et de
Neuf Cegetel. La Freebox et la Darty Box, dont les décodeurs intègrent tous deux un disque dur interne, arrivent en queue de peloton.
Facebook prépare des versions traduites de son service
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39373886,00.htm?xtor=EPR-100
Facebook s'emploie actuellement à combler l'une de ses faiblesses : le réseau social prépare des versions internationales et traduites de
son service. Son objectif : accentuer sa pénétration en dehors des Etats-Unis et des pays anglophones, révèle le Financial Times.
« La traduction fait complètement partie de nos plans. La croissance à l'international est l'un des objectifs sur lesquels nous sommes très
concentrés actuellement », a expliqué un porte-parole de la société au Financial Times. Il n'a toutefois pas souhaité donner de délai.
Parallèlement, la société est actuellement à la recherche de locaux pour ouvrir son premier bureau européen, à Londres.
La mise en place de versions internationalisées pourrait permettre à Facebook de rattraper ses rivaux sur des marchés tels que la France.
Car selon les dernières statistiques publiées par Comscore, le réseau social a encore des progrès à faire pour gagner ses lettres de
noblesse sur le vieux continent. S'il peut revendiquer 7,6 millions d'utilisateurs au Royaume-Uni au mois de juillet 2007, il ne compte que
331 000 visiteurs en France sur la même période. Dans l'Hexagone, Facebook se situe loin derrière Skyrock Network (9,1 millions de
visiteurs uniques), et MySpace (2,2 millions), qui dispose d'une version français depuis plus d'un an.
Nao: un petit robot
robot 'made in France'
http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/09/28/nao-un-petit-robot-made-in
L'innovation française n'est pas qu'un mythe, défendu par les plus chauvins des habitants de l'Hexagone...
Le meilleur exemple actuel de ce dynamisme et de cette passion pour les technologies est certainement le robot crée par la start-up
parisienne Aldebaran Robotics, fondée en juillet 2005 par notre Gepetto français, le charismatique Bruno Maisonnier.
Au départ, ils n'étaient que quatre personnes à travailler autour de cet ambitieux projet. Aujourd'hui, les locaux d'Aldebaran, situés à
Paris 5ème, sont véritablement un laboratoire d'expérimentation où les petites mains délicates des jeunes ingénieurs recrutés par
Maisonnier s'attellent à une tâche difficile, mais tellement enrichissante, donner la vie à un robot intelligent et autonome surnommé Nao.
L'ambiance est studieuse, les yeux ne décollent pas des écrans d'ordinateur, et l'on ressent presque la passion qui anime cette équipe de
précurseurs de ce que l'on nomme l'intelligence artificielle.
Premier constat, l'équipe est jeune. Elle se compose de salariés et de stagiaires qui se partagent les tâches, électronique d'un côté,
mécanique de l'autre, sans oublier les commerciaux qui recherchent des investisseurs, et un chargé des relations de presse, qui semble
lui aussi être tombé sous le charme du curieux regard malicieux de Nao.
Car le généreux Nao a deux cœurs : un centre névralgique pour exécuter les mouvements et un autre surnommé le moteur
psychologique qui confère à cet humanoïde sa si particulière sensibilité. Et il faut le concéder, lorsque Nao vous regarde avec ses grands
yeux bleus en hochant la tête, son côté 'humain' est pour le moins déconcertant.
Microsoft Office Live Workspace annoncé pour la fin d'année
http://www.atelier.fr/applications-it/10/01102007/Microsoft,Office,Live,Workspace,lancement,fin,2007-35296-.html
La firme de Redmond annonce le lancement de la version bêta de Microsoft Office Live Workspace pour la fin de l'année.
Cet espace de travail consacre la complémentarité de la suite bureautique Office et du service en ligne.
L'espace de travail de Microsoft, Office Live Workspace sera disponible dans sa version test d'ici la fin de l'année, annonce aujourd'hui la
firme de Redmond. Premièrement décliné en anglais, une version hexagonale devrait voir le jour au printemps 2008. Véritable service en
ligne complémentaire de la suite bureautique Office, Microsoft Office Live Workspace s'inscrit dans la nouvelle stratégie du géant
américain axée sur les deux piliers que sont les applications logicielles d'un côté, et le service en ligne de l'autre.
Office en ligne Ce service estampillé Office permettra ainsi aux utilisateurs de stocker leurs documents Word, Excel, et PowerPoint en
ligne et de les consulter depuis n'importe quel poste informatique. Atout majeur : les utilisateurs ne disposant pas de la suite bureautique
sur leur PC auront la possibilité de consulter ces documents grâce au lecteur intégré à l'espace en ligne. Les droits de modifications de
ces derniers seront toutefois réservés aux détenteurs de l'application. Du point de vue collaboratif, partage de fichiers en temps réel,
accès sécurisé et autres commentaires en ligne seront bien évidemment au programme.
"Un outil versatile" "Nous souhaitions une complémentarité très forte de ce nouveau service en ligne avec la suite Office. L'objectif est
ici de fournir le plus grand choix possible à l'utilisateur de la suite bureautique qui peut ainsi travailler en mode connecté comme
déconnecté et profiter d'un outil hybride, versatile et ubiquiste", a expliqué à L'Atelier Clotilde de Mersan, responsable marketing d'Office
Live chez Microsoft France. Avec le dernier né de ses services en ligne, la firme de Redmond entend donner une dimension interactive à
son application bureautique. Microsoft Office Live Workspace est notamment destiné à une utilisation professionnelle d'Office mais peut
également s'avérer utile dans le cadre de travaux étudiants, a précisé Clotilde de Mersan.
La Banque de France s'émeut du manque de sécurisation des ee--paiements
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-banque-de-france-s-emeut-du-manque-de-securisation-des-e-paiements-24133.html
Il reste beaucoup à faire pour sécuriser les e-transactions. Alors qu'elles ne représentent que 5% des transactions, elles
totalisent 41% de la fraude.
La Banque de France s'inquiète des risques inhérents aux paiements et aux transactions sur Internet. Lors de l'édition 2007 de Fraud
World, Marc Andries, chef du service de surveillance des moyens de paiement scripturaux, a décerné un satisfecit sur la sécurité qui
entoure désormais les paiements en face à face mais il s'inquiète des risques qui entourent les transactions en ligne. Selon lui, ces
transactions, qui ne représentent que 5% du nombre total des transactions "scripturales", contribuent à hauteur de 32% à la fraude
totale. En 2006, cette e-fraude a progressé de 41% à 33 M€ en France.
D'après la Banque de France, les systèmes d'assurance en cas de fraude fonctionnent suffisamment bien pour que les spoliés ne s'en
émeuvent pas. Du coup, c'est la collectivité qui supporte les pertes.
Toutefois, la situation doit être améliorée étant donné l'augmentation rapide du nombre des transactions sur Internet. La Banque de
France milite pour des transactions sécurisées sur un mode mutuel (avec SSL, par exemple) et dynamique grâce à des solutions
d'authentification utilisant, par exemple, des mots de passe à usage unique (One Time Pad, OTP).
Mais la banque centrale s'inquiète des obstacles à surmonter. La pléthore de techniques d'authentification sert d'excuse à l'immobilisme
des acteurs qui doivent aussi surmonter des difficultés d'ordre ergonomique et qui s'inquiètent déjà du coût de la mise en place de ces
techniques de sécurisation.
Pour contrer Google et Microsoft, Adobe se dote d'un
d'un traitement de texte en ligne
http://www.cnetfrance.fr/news/internet/39373907-3800004065t/pour-contrer-google-et-microsoft-adobe-se-dote-d-un-traitement-de-texte-en-ligne.htm
Créé par Virtual Ubiquity, le traitement de texte Buzzword est désormais la propriété d'Adobe qui souhaite ainsi s'attaquer au marché des
suites bureautiques en ligne. Hasard du calendrier, c'est le jour où Microsoft annonce la sortie d'Office Live Workspace qu'Adobe rachète
le traitement de texte en ligne Buzzword.
A l'instar de Microsoft, et surtout de Google, l'éditeur de Photoshop s'attaque donc au marché des suites bureautiques en ligne avec un
logiciel qui fonctionne grâce à sa technologie Flash, et qui permettra d'ouvrir n'importe quel document texte.
Disponible en version bêta, Buzzword joue la carte du partage de documents avec la possibilité pour plusieurs utilisateurs de modifier ou
annoter les textes créés. Par ailleurs, à terme, ce traitement de texte s'appuiera la technologie AIR (Adobe Integrated Runtime) qu'Adobe
entend mettre en avant, et intégrera ainsi la suite Share, mise en ligne ce même jour par Adobe.
Nokia jette son dévolu sur Navteq
http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39373922,00.htm?xtor=EPR-103
Nokia va lancer une OPA sur l'éditeur de cartographies numériques américain Navteq. Le fabricant de téléphones mobiles propose $78
par titre, ce qui porte le montant du rachat à $8,1 Bn.
« L'acquisition a été approuvée par le conseil d'administration des deux entreprises et doit encore faire l'objet de la validation des
autorités financières et de l'ensemble des actionnaires », indique le groupe finlandais. « Navteq continuera de proposer ses services à
l'industrie mobile ». Avec ce rachat, le fabricant entend se diversifier sur le marché à forte croissance des logiciels de navigation. Il sera
également en mesure de développer les fonctions de navigation dans ses propres smartphones.
Nokia avait déjà racheté l'an passée l'éditeur de logiciels allemand Gate5, qui utilise des données cartographiques provenant de Navteq.
Le principal concurrent de Navteq, Tele Atlas, est quant à lui en cours de rachat par le numéro un mondial des terminaux GPS : TomTom.
Vers une standardisation du CPL
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-vers-une-standardisation-du-cpl-24148.html
La HomePlug Powerline Alliance et Matsushita Electric Industrial, deux développeurs des technologies de CPL (Courant porteur en ligne),
ont enfin décidé de réunir leurs technologies respectives. L'objectif est de proposer conjointement au groupe de travail IEEE P1901 (IEEE
P1901 Work group for Broadband over powerline) une norme unique supportant les spécifications Homeplug AV et HD-PLC. Notons
qu'aucun consensus entre les deux parties n’avait pour l'heure été trouvé, freinant ainsi l'élaboration d'un standard.
Les deux groupes espèrent ainsi donner l'impulsion nécessaire à la technologie du CPL qui peine à trouver sa place dans les réseaux
domestiques et dans l'accès à Internet, face au câble ou au DSL. On reproche notamment au CPL d'être peu sécurisé et pas normalisé.
Le CPL utilise le courant électrique domestique pour faire transiter les données, et connecter entre eux les PC ou les appareils
numériques. Techniquement, on branche un adaptateur CPL de la taille d'un paquet de cigarette sur les prises de courant. Le réseau
électrique se transforme en réseau Ethernet.
D'ici à la fin de l'année, le groupe de travail devrait livrer les premiers fruits de cette collaboration.
L'X, Télécom Paris et Orange montent une chaire d'enseignement
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-x-telecom-paris-et-orange-montent-une-chaire-d-enseignement-24152.html
L'Ecole Polytechnique, GET/Télécom Paris et Orange se sont associés pour créer une chaire d'enseignement et de recherche sur le thème
« Innovation et régulation des services numériques ». Ouverte aux professeurs et chercheurs de haut niveau, aux doctorants et postdoctorants, cette chaire contribuera à élaborer une réflexion théorique sur la création, la production, le développement et la
consommation de services de l'immatériel du secteur des technologies de l'information et de la communication. Les enseignements
porteront sur les principes et outils de régulation, leurs effets économiques à moyen et long termes et leur influence sur l'innovation.
Des séminaires d'échanges interdisciplinaires participeront à l'enrichissement et à la diffusion d'une réflexion au sein de cette chaire qui
sera ouverte à des partenaires universitaires. Un site Internet dédié permettra aux différents acteurs de mutualiser leurs travaux.
IBM présente un Lotus à la sauce Web 2.0
http://www.vnunet.fr/fr/vnunet/news/2007/10/01/ibm-pr-sente-un-lotus-sauce-web
Outils de productivité embarqués, réseaux sociaux et mash-ups sont les mamelles du nouveau Lotus.
Quelques jours avant le lancement en France de la nouvelle offre de communication unifiée de Microsoft - prévue pour le 3 octobre -,
IBM a présenté à la presse ses produits existants "pour le poste de travail du futur ". Et plus précisément pour le poste de travail
professionnel. Au menu, les fonctionnalités Web 2.0 intégrées à sa suite de messagerie et de collaboration Lotus, dont une bonne partie
s'inspire de celles qui sont les plus "courues" actuellement sur le marché grand public. Pas un mot, en revanche, sur le possible intérêt
pour cette gamme des solutions de Web conference acquises auprès de WebDialogs fin août, pour $3,2 Bn.
Le groupe a, tout d'abord, présenté la version 8 du client de messagerie Lotus Notes, dont Joël Demay - responsable commercial et
technique - rappelle qu'elle embarque désormais nativement un lecteur de fils RSS et "la messagerie instantanée Sametime" (afin de
faciliter la communication par chat sans changer d'application). La gestion du carnet d'adresses se veut également plus dynamique avec
la possibilité de visualiser les photos des contacts en les survolant avec la souris ou encore avec le "maintien d'une liste de contacts avec
qui l'utilisateur correspond le plus" pour que ceux-ci soient privilégiés lors des opérations de pré-saisie automatique.
Quickr : Lotus à l'heure du wiki et des réseaux sociaux
Toujours dans la veine "Web 2.0", Lotus Quickr a été lancée commercialement fin juin. Cette solution permet de créer des "espaces
collaboratifs en 30 secondes" pour "partager des contenus entre salariés en mode projet ", sans passer par les e-mails, selon Pierre
Milcent, consultant chez IBM. Une fonctionnalité de "versioning" permet en outre de définir une version pour chaque document transmis,
et ce afin que les auteurs d'un document puissent facilement visualiser les différents ajouts.
Apparemment, l'identification des réseaux d'experts n'est pas en reste. Une nouvelle plateforme Lotus Connections - qui a elle aussi été
livrée fin juin -, est dédiée à la création de réseaux sociaux d'entreprise. A l'instar des réseaux grand public, chaque membre doit ici
enregistrer un profil et définir ensuite ses principaux centres d'intérêts en attachant des "tags" à son profil.
Communication "encore plus" unifiée
Enfin, Big Blue présente Sametime comme un outil de communication unifiée compatible avec trois messageries instantanées tierces :
AOL Messenger, Google Talk et Yahoo Messenger. Et avec plusieurs solutions de visioconférence, dont celles de Radvision et de
Tandberg. Un accord avec Skype serait également dans les tuyaux, selon Vincent Perrin, un ingénieur avant-vente du groupe.
Reste donc à voir si la conjugaison des nouveaux outils de productivité gratuits annoncés récemment par IBM (Lotus Symphony) et de
ses outils "historiques" de communication unifiée suffiront à faire de l'ombre aux velléités renforcées de Microsoft sur ce créneau...
600 000 Neuf box rejoignent la communauté FON
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-600-000-neuf-box-rejoignent-la-communaute-fon-17220.html
Dans les cartons depuis 2006, le partenariat entre le FAI Neuf et la communauté WiFi FON est désormais une réalité. L'association des
deux acteurs se traduit par la transformation des quelque 600 000 Neuf box installées dans l'Hexagone en autant de points d'accès
offerts aux Foneros, les membres de la communauté.
Concrètement, les box du FAI recevront une mise à jour permettant à leur utilisateur d'autoriser les internautes adeptes de FON à s'y
connecter en WiFi. En contrepartie, les abonnés Neuf - surnommés les Neuf Amigos - auront accès à l'ensemble des hotspots de la
communauté, répartis dans une soixantaine de pays. L'initiative, célébrée à l'occasion de la Fiesta FON, le2 octobre en présence,
notamment, de Jean-Paul Huchon, le président de la région Ile-de-France, et de Michel Paulin, le DG de Neuf Cegetel, donne un sérieux
coup d'accélérateur à FON, qui voit le nombre de ses points d'accès multiplié par deux.
Le site du Financial Times fait un pas vers la gratuité
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39373967,00.htm?xtor=EPR-102
Après le New York Times, le Financial Times renonce aussi à son modèle d'abonnement totalement payant pour son édition en ligne
FT.com, qui revendique 101 000 abonnés.
Propriété du groupe de médias Pearson (qui détient Les Echos en France), le quotidien britannique va, ce mois-ci, donner accès librement
à ses pages, ont indiqué ses dirigeants au New York Times.
Chaque internaute pourra ainsi consulter jusqu'à 30 articles par mois gratuitement. Dans le détail, dès que le seuil de 5 articles sera
franchi, il sera invité à s'enregistrer. Et une fois les 30 consultations effectuées, il devra s'abonner, ou attendre la fin de la période de 30
jours entamée pour remettre les compteurs à zéro.
Le Financial Times a préféré une formule intermédiaire, explique son éditeur Ien Cheng, plutôt que la gratuité totale car les lecteurs
réguliers sont toujours prêts à payer. Et dans le même temps, en ouvrant ses pages à des visiteurs occasionnels, le site profite du trafic
provenant de blogs et de moteurs de recherche.
Une hausse des investissements publicitaires sur le Net, depuis trois ans, a convaincu les éditeurs qu'il vaut mieux augmenter leur
audience en ligne, plutôt que tenter de générer de maigres revenus avec des accès payants.
The Wall Street Journal (WSJ), devrait prendre la même voie, comme l'a indiqué Rupert Murdoch, à la tête de News Corp.
La multimodalité est au cœur des appareils de demain
http://www.atelier.fr/recherche/17/03102007/multimodalite-coeur-appareils-demain-35321-.html
Le centre de R&D AT&T Labs a dévoilé des appareils multimodaux combinant notamment des fonctions tactiles et de
reconnaissance vocale. Ces prototypes pourraient préfigurer une nouvelle génération de systèmes et de services.
AT&T Labs, centre de recherche et développement américain, vient de dévoiler trois prototypes proposant des interfaces multimodaux.
Des appareils intégrant à la fois des fonctions tactiles, de reconnaissance vocale et de reconnaissance de l'écriture. Qu'il s'agisse du guide
urbain électronique MATCH (Multimodal Access To City Help), du système de TV sur IP domestique actuellement en développement, ou
encore du tableau de bord électronique de présentation, les inventions du AT&T Labs s'appuient sur des concepts de communication
avant-gardistes.
Ces derniers, s'ils venaient à se populariser pourraient transformer notre rapport aux machines qui nous entourent. Imaginez des services
urbains automatisés auxquels vous pourriez demander votre route de vive voix, sans presser de bouton ou taper le moindre code. Ce
centre de R&D américain dont les recherches sont centrées sur les technologies de l'information, Internet et les systèmes de réseau, ainsi
que les technologies IP et les services voix, travaille actuellement sur de nombreux projets de recherche autour des concepts
multimodaux. Avec en vue, le développement d'une nouvelle génération de services et d'outils de communication.
Les fonctions de géolocalisation du dispositif mobile MATCH (Multimodal Access To City Help) en font un véritable guide urbain personnel.
Ici, un simple stylet et la voix de l'utilisateur suffisent pour obtenir nombre d'informations pratiques.
Le réseau Internet est de plus en plus risqué
http://www.atelier.fr/securite/10/03102007/GTISC,rapport,cyber,criminalite,risques,eleves,technologie-35322-.html
Les menaces liées à la cyber-criminalité n'ont jamais été aussi élevées, selon un nouveau rapport sur la sécurité du
réseau Internet. Celles-ci s'étendraient également à d'autres technologies émergentes.
Un nouveau rapport autour de la cyber-criminalité indique que la menace n'a jamais été aussi élevée pour les utilisateurs de nouvelles
technologies, et notamment du web. Après la récente étude de Symantec sur les nouvelles menaces liées à Internet, le Georgia Tech
Information Center (GTISC) publie à son tour son Emerging Cyber Threats Report for 2008, étude prospective sur ces mêmes menaces.
D'après ses auteurs, les participants aux réseaux sociaux en ligne seraient particulièrement visés par les attaques. Plus globalement, les
habitués des sites estampillés web 2.0 seraient dans leur ensemble plus exposés aux actes de malveillances orchestrés par des individus
à même d'exploiter les failles de ce type de sites.
Une nécessaire protection "Au moment où de nouvelles applications, plus puissantes et rendues possibles par des technologies
comme le web 2.0, sont de plus en plus nombreuses, et que les applications de communication convergentes reposent toujours plus sur
des plates-formes basées sur l'IP, de nouveaux défis émergent pour la protection de ces nouvelles applications et des services sur
lesquels elles reposent", a déclaré Mustaque Ahamad, directeur du GTISC.
De nombreuses technologies seraient concernées Concernant le web, les applications d'Instant Messaging seront de plus en plus
la cible d'attaques ciblées sous couvert de messages personnels. Le partage de vidéo en ligne ne serait pas non plus épargné car il s'agit
d'un vecteur privilégié de la propagation des logiciels malveillants (malwares), selon l'étude américaine. Les botnets, ces réseaux de PC
manipulés à l'insu de leur propriétaire tendraient quant à eux à se répandre via les réseaux peer to peer. Même les technologies RFID, en
pleine émergence, ne seraient pas à l'abri de l'ingéniosité des cyber-criminels. La publication de ce rapport a été annoncée à l'occasion du
sommet GTISC sur la sécurité qui a réuni des centaines de professionnels de l'industrie et des nouvelles technologies.
IssyIssy-lesles-Moulineaux ouvre une mairie
mairie sur Second Life
http://www.journaldunet.com/breve/france/17065/issy-les-moulineaux-ouvre-une-mairie-sur-second-life.shtml
La mairie d'Issy-les-Moulineaux duplique son hôtel de ville dans le monde virtuel Second Life. Plus qu'une représentation symbolique,
cette mairie virtuelle permettra à ses visiteurs d'être mis en relation avec des agents de la ville, représentés par des avatars, et de leur
poser des questions en ligne. Des reportages d'Issy TV, la Web TV locale seront aussi accessibles.
TV en ligne: Joost s'ouvre au grand public
http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/10/03/l-iptv-joost-s-ouvre-grand
La télévision en ligne est désormais accessible sans invitation
Plus besoin d'invitation. Dorénavant, tout le monde aura accès à Joost. Annoncée sur un blog du site, la nouvelle ne manquera pas de
ravir les internautes. Les chaînes musicales, de sport et de divertissement sont désormais accessibles au plus grand nombre. Joost
s'apprête à en mettre plein les yeux : plus de 15.000 vidéos seront disponibles.
Par le biais d'un logiciel téléchargé sur le site, les internautes pourront regarder les nombreuses vidéos proposées en peer-to-peer.
Aujourd'hui, Joost compte parmi ses partenaires Sony Pictures Television, Viacom, Hasbro, TV5 monde etc... soit 150 chaînes prêtes à
être diffusées en ligne. Et à engranger les revenus publicitaires sans intenter de procès à quiconque.
Les concepteurs de la télévision en ligne sont parvenus à lui donner forme en quelques mois. Pour mémoire, le "Venice project" initié par
Janus Friis et Niklas Zennström (les créateurs de KaZaa et de Skype), le futur Joost, vise à proposer de la vidéo à la demande en
streaming. Le projet jouissait déjà d'un avantage de poids : un financement par la publicité.
La nouvelle mouture, pour l'instant en version bêta, devrait s'améliorer, des dires mêmes des concepteurs. Dans un avenir très proche,
Joost risque de faire très mal à la télévision classique mais aussi aux services d'IPTV des opérateurs.