Point Commun n°21

Transcription

Point Commun n°21

Po nt commun
n°21
octobre 2012
é
s
i
l
a
i
c
é
p
s
r
e
i
l
a
t
i
Le Centre hosp
x
u
e
n
r
e
i
L
e
d
»
l
i
«L’Accue
L
S
o
S
’I
d
n
i
e
s
u
a
t
bientô
yarn bombing aux orchidées
Aujourd’hui, le tricot n’est plus
ringard !
Quand le graffiti et le tricot se
mélangent, ça donne le « street
tricot » (le tricot de rue), ou le
« yarnbombing » (« yarn »
signifie fil à tricoter en anglais) ou
comment tapisser la ville et le
mobilier urbain de mille couleurs.
Le mouvement est né en 2005 lorsqu’une américaine a eu l’idée de
recouvrir de laine la poignée de la porte de sa boutique à Houston.
La pratique s’est ensuite largement diffusée notamment
en Europe de l’Est et en Angleterre. Puis à Paris, Bruxelles
et Grivegnée...
Dans le cadre de notre «café tricot», nous avons lancé un
projet de Yarn Bombing pour le jardin !
Objectif: recouvrir le tronc de notre grand bouleau,
donner de la couleur au jardin, créer l’émulation et ouvrir
le projet vers l’extérieur.
Les tricoteuses des Orchidées n’ont pas manqué de
motivation !
Et les familles, amis et collègues ont apporté leur
contribution: pelotes et carrés de laine, aiguilles,
crochets, encouragements...
Les résidentes sont fières du résultat !
Les visiteurs sont intrigués, amusés mais félicitent les tricoteuses
pour cette réalisation haute en couleur !
Merci donc à toutes les personnes qui ont participé à ce projet un
peu fou !
Kyung Caroline DOCHAIN, ergothérapeute
de vue
mars 2012
Ils sont bidon !
Sommaire
couverture: Yarn bombing aux Orchidées
Pas possible que vous ne soyez pas au courant !
Les mannequins sur les affiches...
page 1: Ils sont bidon !
Les stars dans les magazines...
page 2: Reprise du CHS l’Accueil
Les politiques sur les placards électoraux...
page 4: Le Valdor, une histoire, un avenir
Ben... ce sont eux sans être réellement eux !!!!
page 9: Symposium des Cliniques de Soins spécialisés
Non, je ne fais pas un délire «Twillight Zone» !
page 10: Panique à l’internat
Ce que je veux dire, c’est qu’ils sont bidon. Si, si je vous assure !
page 11: Les uns et les autres
Les Sharon, Angelina et autres Claudia des photos sont physiquement différentes
page 12: Trucs et astuces informatiques
dans la vraie vie.
Rajeunissement, lifting, gommage de cellulite, gonflage des pectos ou des lolos,
page 13: Olé ! Olé !
tout est bon pour paraître mieux que ce que l’on est !
page14: Programme de formations internes
Et ça grâce à quoi ? Au coup de baguette magique de Photoshop !
page 16: Vous avez dit reiki ?
Vous ne me croyez pas !
page 17: Bien-être aux saules & kermesse aux Orchidées
Allez sur http://www.youtube.com/watch?v=SxjimHOj5ik et découvrez en
page 18: Documentation
accéléré les différentes étapes pour rendre une jeune femme «bien en chair» en
page
19:
Job
étudiant & journal d’1 joggeuse
mannequin top niveau.
page 20: Un peu de tout
Plus amusant, certains artistes se sont appropriés le programme et
Lady Gaga
revisitent, ici, avec Planet Hiltron, l’aspect qu’auraient les stars si elles avaient une vie
avant dernière de couverture: expo déco
aussi banale que la nôtre (http://golem13.fr/si-les-stars-etaient-des-personDernière de couverture: La Brasserie ouvre ses portes
nes-normales-elles-ressembleraient-a-ca/); ou là, avec Anna
Utopia Giordano, les vénus des tableaux de maîtres en les adaptant aux canons actuels (http://www.annautopiagiordano.it/
venus-ita.html).
Point commun:
Je dois vous faire un aveu; toutes les photos de Point
Journal d’entreprise d’ISoSL
Intercommunale de Soins Spécialisés de Liège,
commun sont photoshopées: recadrage, quadrichromie,
rue Basse-Wez, 301 à 4020 Liège
dessins
contraste et parfois montage... l’outil est extraordinaire.
www.isosl.be
Benjamin Parent,
redacteur en chef
Une qui aurait dû s’en servir, c’est Cecilia Gimenez, l’octogéThierry Schommers.
Michel Vigand
naire espagnole qui a «restauré» dernièrement une peinture
04 225 87 11
comite de redaction
[email protected] impression
murale du Christ à Borja et qui a fait un sacré liftage !
Maria Calderon,
Johnny Depp
[email protected]
David Collard,
AZ Print
Un carnage pour certains, une oeuvre d’art pour d’autres.
Sabine Déom,
rue de l’Informatique
Certes, avec Photoshop, sa peinture aurait été bidon mais cela n’aurait
Isabelle Doyen,
4460 Grâce-Hollogne
editeur
responsable
Marcel
Horion,
occasionné aucun dommage.
Michel Vigand
04 227 83 85
Isabelle Lavennes,
On rigole, on trouve ces idées géniales ou saugrenues, mais ce qui me déplait
ISoSL, Clinique le Pèrî,
Antoinette Liébecq,
Vénus d’Urbino, Titien
Montagne Ste-Walburge, 4B
Jeanine Malchaire,
dans ce programme, ce sont les mensonges visuels, les tromperies insidieuses
4000 Liège
Véronique Pirotton,
Point commun
(parfois réfutées à grands cris) des publicités, des magazines, des vedettes...
Éliane Prenot,
est membre de l’Association Belge
Et les dégats qu’ils provoquent chez les personnes crédules... Ça, c’est pas du bidon !!!
Bernard Rinaldi,
de la Communication Interne
Marie-Jeanne Vanderweckene,
Annick Vanwelkenhysen,
Michel Vigand
Anne-Marie Virzi,
1
Point commun
Joëlle Wauthier,
Chantal Yerna.
Ecce home, Elias Garcia Martinez
Lierneux
La presse en a longuement parlé.
Lierneux comme on dit à Liège ou plus précisément le Centre Hospitalier
Spécialisé «L’Accueil» va rejoindre ISoSL dès 2013.
M. Eric Fiévez, notre Directeur général, nous a accordé une interview
exclusive.
Michel Vigand
Point commun: Quelles sont les raisons pour lesquelles nous avons acquis le
Centre Hospitalier Spécialisé L’Accueil de Lierneux ?
Eric Fiévez: Le Centre Hospitalier l’Accueil de Lierneux est un établissement provincial spécialisé en santé mentale. Il s’agit de la dernière institution hospitalière gérée
par une Province.
Les autorités provinciales, conscientes des difficultés de poursuivre sous la même
forme juridique l’exploitation d’une structure ayant un agrément, un financement
et des règles spécifiques notamment en matière de personnel et de comptabilité,
ont recherché le meilleur moyen de garantir l’avenir de l’institution.
Après plusieurs mois d’études et d’analyses de solutions concrètes pour garantir
cet avenir, leur conclusion a été de proposer à notre institution d’envisager cette
reprise d’activité.
Leur choix s’est porté sur ISoSL au vu du caractère public de notre institution,
de notre objet social et de notre compétence en la matière. Nous pouvions,
surtout, garantir la poursuite de l’exploitation de l’hôpital et de la MSP sur le site de
Lierneux.
L’accord d’ISoSL a été donné après notre propre analyse de la situation.
Si des efforts importants devront être faits dans les prochains mois et années pour
«moderniser l’outil» et le doter d’infrastructures correspondant à la patientèle
prise en charge, nous avons été convaincus de la complémentarité du site avec nos
autres établissements (Petit-Bourgogne, Agora et autres
services extra-hospitaliers du secteur Santé mentale).
Il nous semblait donc utile qu’une institution publique,
spécialisée en santé mentale, intègre ces lits gérés jusqu’à
ce jour par un pouvoir public et ayant de nombreuses
autres compétences.
Le personnel occupé à Lierneux, dans une région
offrant peu d’autres possibilités d’emploi dans ce secteur
d’activité, était, en outre, particulièrement motivé pour
développer avec nous de nouveaux projets porteurs
d’avenir en matière de santé mentale.
2
Point commun
reprise du centre
P.c.: C’est une entreprise en difficulté
financière.
Quels accords ISoSL a-t-il obtenus pour ne
pas mettre notre Intercommunale en péril ?
E.F.: Le CHSA de Lierneux n’est pas en
«difficulté financière». Il s’agit d’un établissement provincial et son déficit financier
actuel est intégré dans le budget de la
Province sans que des mesures d’assainissement particulier n’aient été mises en place.
La Province souhaitant qu’un avenir puisse
être garanti au site et à ses travailleurs a
donc accepté de poursuivre son effort financier. Une contribution annuelle a été prévue
jusqu’en 2022. Le déficit du CHSA sera
couvert dans la limite de plafonds dégressifs
calculés pour permettre à notre intercommunale de ne faire subir aucun impact négatif aux autres activités.
Une des contraintes de la reprise était que
cela soit neutre financièrement, à court,
moyen et long terme pour ISoSL.
P.c.: Le C.H.S. L’Accueil va-t-il faire partie du secteur A ou sera-t-il une branche
supplémentaire de l’entreprise ?
E.F.: Statutairement le CHSA sera une activité relevant du
secteur A puisqu’il s’agit d’un établissement de santé mentale.
Une relative autonomie, identique à celle de nos autres
établissements hospitaliers, lui est néanmoins garantie
(direction d’établissement, direction médicale, direction du
département infirmier…).
Le CHSA conservera effectivement ses numéros d’agrément
actuels (hôpital et MSP). Il ne s’agit pas d’une « fusion » au sens
de la législation hospitalière.
L’établissement aura donc son propre projet médical en
cohérence et complémentarité avec les projets des autres
services du secteur A.
hospitalier spécialisé «l’accueil»
P.c.: Dans le temps, comment va se dérouler cette reprise ?
E.F.: La reprise est fixée au 1er janvier 2013, date à partir de laquelle nous gèrerons
l’institution.
Les membres du personnel travaillant sur le site, à cette date, deviendront
(à l’exception de quelques personnes mises à disposition en fonction de l’accord)
agent de l’intercommunale.
Avant cette date, de nombreux contacts sont pris par les responsables de nos
départements avec leurs homologues de la Province et du CHSA pour préparer au
mieux la reprise et assurer la continuité.
Il est évident qu’il faudra plusieurs mois, après la date effective de la reprise,
pour harmoniser totalement le fonctionnement avec notre propre modèle
institutionnel.
P.c.: Quel sera l’organigramme du C.H. S. L’Accueil ?
E.F.: Cette question est prématurée. L’essentiel de l’organigramme est évidemment
connu puisque la plupart des agents présents actuellement conserveront leur
poste de travail.
Quelques changements interviendront à la suite de la sortie de l’Accueil de la
structure provinciale et de leurs services centralisés mais également suite
aux choix individuels de certains agents sans oublier les adaptations à nos
départements transversaux.
Nous communiquerons à ce sujet lorsque l’organigramme pourra être considéré
comme définitif.
P.c.: Nous sommes une
Intercommunale
avec
différents
partenaires.
Cette reprise va-t-elle faire
de la Province de Liège un
nouveau partenaire ?
E.F.: Effectivement !
La Province apporte à ISoSL le patrimoine dont elle est propriétaire à Lierneux.
Sa participation au capital de notre institution lui confèrera la qualité d’associé
et à ce titre, elle aura des représentants à l’Assemblée générale. Elle disposera
également de deux sièges au Conseil d’administration et d’un siège au Comité de
gestion du Secteur A.
P.c.: Le personnel du C.H.S. L’Accueil a d’autres conditions de travail (temps de
travail, barèmes, …) que les agents d’ISoSL.
Que va-t-il se passer pour eux et pour nos agents ?
E.F.: Dans la convention signée avec la Province, l’article relatif aux ressources
humaines est celui qui a fait l’objet du plus d’attention et qui est le plus détaillé afin
que la situation de chaque agent concerné par la reprise puisse y faire référence.
La garantie d’emploi y est inscrite dans le premier paragraphe.
Le second paragraphe est rédigé comme suit : « Les agents concernés relèveront
des statuts administratifs, pécuniaires et de pension ainsi que du règlement de
travail en vigueur à ISoSL ».
Certains « avantages » dont disposent les agents par leur statut ou contrat provincial seront « compensés » par la province en fonction d’un protocole d’accord signé
par les organisations représentatives des travailleurs de la Province.
Quelques mesures transitoires et individuelles ont également été prévues dans la
convention entre ISoSL et la Province de façon à éviter que les agents ne subissent
une perte de rémunération.
Je le répète cependant, la règle de base est l’application des mêmes statuts et
règlements en vigueur que les autres membres du personnel de l’intercommunale.
Quant au personnel en fonction au sein d’ISoSL avant la reprise, ils ne subiront
aucun impact négatif à la suite de la reprise.
Il ne va donc rien « se passer » pour nos agents.
L’institution n’est pas fragilisée par cette opération qui est strictement «encadrée».
Il s’agit au contraire d’un développement supplémentaire dans un domaine que
nous maîtrisons.
3
Point commun
Nouvel
hôpital
le valdor, une histoire, un avenir
Septembre, le mois des festivités pour une pré-inauguration du
nouvel hôpital Valdor !
Une exposition historique, les Journées du Patrimoine, des conférences, un jogging et une balade, voilà le programme qui était
proposé.
Michel Vigand
le vernissage
Le vendredi 7 septembre, c’était la grande foule dans
le hall d’entrée du nouvel hôpital pour le vernissage de
l’exposition historique.
Plus de 400 personnes dont M. le Ministre Jean-Claude
Marcours et Mme Maggy Yerna, Échevine de la Ville de
Liège, avaient répondu à l’invitation.
C’est devant cette assemblée que M. Pierre
Stassart, Président d’ISoSL; M. Alain Dejace, Directeur du
secteur B et une représentente de Mme la Ministre
Eliane Tillieux ont discouru sur l’avancée des travaux,
sur l’exposition et sur le soutien de la Région wallone à
ce projet grandiose.
l’exposition historique
De Pierre-Paul de Valdor (hé oui !, ça ne s’écrit
pas Val d’Or...) le chanoine créateur des hospices
de la vieillesse à Liège jusqu’à la construction du
nouveau bâtiment en passant par les bienfaiteurs,
les soeurs de St Charles Borromée et l’évolution de
la médecine et des soins; Arlette Joiris, la conceptrice de l’exposition nous a fait voyager dans le
temps et découvrir notre passé hospitalier.
Exposition remarquable qui a déjà attiré
1502 persones lors des journées du Patrimoine des Le Prince-Evêque Jean-Louis d’Elderen
autorise Pierre-Paul de Valdor à créer un
8 et 9 septembre.
La gestion des différents visiteurs qui voulaient les
explications avec guide n’a pas été chose aisée, mais
chacun a pu découvrir des oeuvres ou des objets
peu connus et parfois très rares.
hospice des incurables à Liège
début XVIIIe s. Anonyme
Le livre d’or reflète bien l’opinion générale: comme
d’habitude à ISoSL, l’accueil a été remarquable et
efficace et l’exposition était intéressante et
instructive.
Au moment du discours de M. Stassart
4
Point commun
Arlette Joiris, conceptrice de l’exposition historique
et auteure du livre sur le Valdor
Objets particuliers: des cannes de médecin avec matériel
médical intégré (cornet accoustique, seringues, lorgnon...)
La future nouvelle entrée du Valdor
Les guides ont été fortement sollicités
tout au long du week-end
Vieille femme italienne
Léon MIGNON, 1900
Le «poumon d’acier»
Les rafraîchissements étaient servis
dans la nouvelle cafétéria
Au détour des vitrines,
quelques objets très rares
Une chambre style 1950
Tête de vieillard
J-L. OURY, 1877
5
Point commun
Nouvel
hôpital
les conférences
Malheureusement, à l’heure où nous mettons sous
presse, une seule des conférences a eu lieu.
C’était celle de M. Jean-Marc Onkelinx, musicologue
liégeois.
C’est devant une septentaine de personnes que ce
mélomane nous a parlé avec brio de Chopin.
Sa vie, ses révoltes, ses amours, le tout ponctué
d’extraits musicaux expliqués de manière très
professionnelle.
Le public a été conquis.
6
Point commun
l’évolution des travaux
Nous avons rencontré Mme Evelyne
Meessen, Directrice technique et M. Alain
Dejace, Directeur du secteur B pour faire le
point sur cet énorme chantier.
Point commun: Où en est-on dans
l’évolution des travaux ?
Evelyne Meessen et Alain Dejace:
La rénovation du bâtiment 1, celui de
façade, est terminée. Nous y trouvons
l’entrée «monumentale», des bureaux pour
l’administration et des salles de réunion.
Le bâtiment 2 est aussi fini, il y a le hall
d’entrée, le service social, le service admissions, la cafétéria et la cuisine de celle-ci.
Derrière les panneaux qui barrent l’accès au
chantier, le cloisonnement des pièces est en phase
de finition.
Nous avons réalisé deux chambres test.
Dans la première, une équipe pluridisciplinaire a
pu la tester pendant plusieurs jours (ergonomie,
lève-personne intégré, portes, armoires, cabinet de
toilette...) et 80% des demandes de changement
ont pu être rencontrées. Les 20% des demandes
restantes étaient impossibles à réaliser pour
des raisons techniques.
Puis une deuxième chambre a été
réalisée (celle prise en photo page 8) avec les
adaptations pour pouvoir programmer les
réglages fins.
Les bureaux
des assistantes sociales
Le futur local «caisse»
P.c.: Pour quand est prévue la fin des travaux ?
E.M. & A.D.: Dans le courant de 2014.
On doit se mettre d’accord pour une date ferme
et définitive avec l’entrepreneur. Nous sommes
actuellement en concertation avec lui pour fixer
cette date.
Les «admissions»
Les cloisons sont en cours de placement
La cuisine self-service de la nouvelle cafétéria
7
Point commun
Les installations de chauffage
P.c.: Pourquoi y a-t-il eu des retards dans
l’évolution des travaux ,
E.V. & A.D.: Plusieurs raisons.
La lourdeur des contraintes des marchés publics
liées à notre hôpital.
Il a fallu attendre les accords pour le financement
des différentes phases.
La complexité des différentes techniques spéciales
en concertation avec des partenaires extérieurs,
par exemple, entre autre, pour l’autodialyse ou
l’imagerie médicale.
Les techniques novatrices mises en place pour le
chauffage à induction et le peu de maîtrise de ces
techniques chez les entrepreneurs.
Et la complexité du réseau électrique et des
données informatiques, cela étant dû à l’évolution
technologique et normative dans ce domaine.
P.c.: Fera-t-on une inauguration avec visite du
public en 2014 ?
E.M. & A.D.: Bien sûr ! Mais ce sera exclusivement
centré sur l’avenir.
Cette année, la pré-inauguration était basée
sur l’histoire et nos origines; en 2014, nous
dévoilerons notre projet médical au sens large.
7
Point commun
Nouvel
hôpital
P.c.: Quand démolit-on la chapelle, l’atelier et
le bâtiment administratif ?
E.M. & A.D.: La chapelle et l’atelier, dans les jours
qui viennent.
Le bâtiment administratif, le dossier est toujours
en discussion.
un livre
P.c.: Quand fait-on le transfert de
l’administration ?
E.M. & A.D.: Soit maintenant s’il y a une possibilité
de disposer rapidement de moyens informatiques dans le nouveau bâtiment; mais la contrainte
informatique est importante.
Où alors ce sera un déménagement «big bang»
tout en même temps (administration, unités de
soins, polycliniques...)
P.c.: Où iront les ateliers ?
E.M. & A.D.: L’atelier définitif se trouvera à l’arrière
du site près de la maison de soeurs vers l’entrée des
Prébendiers.
Dans l’attente de ce nouvel atelier, les ouvriers et la
morgue seront déplacés dans l’hôpital actuel.
8
P.c.:
Lorsque
ces
bâtiments
démolis,
que
deviendra
cet
emplacement ?
E.M. & A.D.: Un parking. Ce sera celui
des visiteurs lorsque tout le site sera
terminé.
Lorsque nous aménagerons les abords
devant le nouveau bâtiment, il y
aura des suppressions de parkings.
Le plan de circulation sera revu et
réaménagé avec bien sûr une
priorité aux ambulances mais il y aura des
difficultés pour se parquer.
Point commun
La 2ème chambre test (chambre à 1 lit)
seront
Le livre
«Le Valdor, une histoire, un avenir»
d’Arlette Joiris est en vente auprès du
secrétariat de la Direction générale sur
le site Valdor ou auprès de M. Michel
Flamand sur le site Pèrî.
Prix de vente: 20,00 €
174 pages sur l’évolutions de la gériatrie à
travers les siècles à Liège + le catalogue
de l’exposition.
Une chambre à 2 lits
Symposium des Cliniques
nouvelles perspectives
de Soins spécialisés
en gériatrie et psychogériatrie
Valdor-Pèrî 2012
Jeudi 25 octobre 2012
Palais des Congrès de Liège
Esplanade de l’Europe, 2
4020 LIEGE
Cette édition 2012 de notre symposium s’inscrit comme l’un des points d’orgue de la pré-inauguration de notre nouvel hôpital, sur le site du Valdor
Le fil rouge de la journée sera tissé par les docteurs P. THOMAS (Limoges) et C. DE LANDSHEERE (Directeur médical des Cliniques de Soins Spécialisés Valdor-Pèrî)
8h00 Accueil.
8h30 Allocution d’accueil: Pierre Stassart, Président d’ISoSL.
8h45 ARCHITECTURE ET ENVIRONNEMENT, SOURCES DE BIENTRAITANCE EN GERIATRIE
Présidé par le Pr. J. PETERMANS, gériatre, chef de service de gériatrie au CHU de Liège, professeur de gériatrie à
l’ULg, président en exercice de la SBGG.
Modéré par le Dr S. DE BREUCKER, gériatre, responsable de l’hôpital de jour gériatrique au CHU ERASME.
« Site Valdor, vers un nouvel hôpital »; E.MEESEN, directrice technique, et J.L. HENRY, ingénieur architecte,
département technique d’ISoSL.
« Le résident gériatrique « habite » la maison de repos: expériences architecturales »; N.VAN OOST, ingénieur
civil et architecte, maître de conférence à la Faculté des Sciences appliquées de l’UCL, administrateur du bureau
Verhaegen.
10h30 Pause café.
10h50 IL N’Y A POINT NATURELLEMENT POUR L’HOMME DE MEDECIN PLUS SÛR QUE SON PROPRE
APPETIT...
Présidé par le Dr N. BERG, gériatre, chef de service de gériatrie au CHR de la Citadelle de Liège.
Modéré par le Dr A. COENEN, gériatre, chef de service de gériatrie au CHBAH.
« Perspectives de prise en charge de la dénutrition du patient âgé »; Dr C. GAZZOTI, gériatre, responsable de
l’hôpital gériatrique et de la commission nutrition clinique du CHR de la Citadelle de Liège.
« Nutrition et fin de vie: aspects éthiques »; Prof. T. PEPERSACK, gériatre, chef de service de gériatrie au
CHU ERASME, professeur de gériatrie à l’ULB.
12h30 Lunch.
13h30 SYMPOSIUMS THEMATIQUES
15h15 REGARDS CROISES SUR TROIS PROBLEMATIQUES GERIATRIQUES COMPLEXES:
LES HALLUCINATIONS, LES TROUBLES DU SOMMEIL ET LA DOULEUR
Présidé par le Dr P. THOMAS, gériatre-psychogériatre au Centre hospitalier Esquirol de Limoges, FRANCE.
Modéré par B. LERUSTE, infirmière coordinatrice du Programme de Soins pour le Patient Gériatrique au
CHU ERASME.
INTERVENANTS:
Dr M. SCHUERCH, psychiatre, chef de service de psychogériatrie aux Cliniques de Soins Spécialisés Valdor-Pèrî.
Dr M.P LECART, rhumatogériatre, chef de service de gériatrie ambulatoire aux Cliniques de Soins Spécialisés ValdorPèrî.
Dr B.GUILLAUME, neurologue, responsable des consultations mémoire au CHBAH, consultante aux Cliniques de
Soins Spécialisés Valdor-Pèrî.
16H45 Le message de la Ministre de Tutelle: E. TILLIEUX, Ministre de la Santé, de l’Action sociale et de l’Egalité des
chances en Région Wallonne.
17H00 Clôture.
LES SYMPOSIUMS THEMATIQUES:
« GERONTOTECHNOLOGIE »: UN MOT A INTRODUIRE DANS LA PROCHAINE EDITION DU PETIT
ROBERT
Présidé par le Dr N. NOEL, gériatre, chef de service de gériatrie à la Clinique André Renard.
Modéré par D. GILLAIN, chercheur au service d’informatique médicale et de biostatistiques de l’ULg.
« Place de la lumière dans le traitement des maladies démentielles »; Pof. S.ADAM, docteur en psychologie,
responsable de l’Unité de Psychologie de la Sénescence de l’ULg.; L. FARAG, logopède spécialisé en psychogériatrie aux Cliniques de Soins Spécialisés Valdor-Pèrî.
« L’informatique au service du bien-être des seniors à domicile » S.ROUSSEAU, ingénieur civil, directeur de
Caresquare.
« Intégration de la dispensation automatisée des médicaments dans la prise en charge des patients »;
E. COUSEIN, pharmacien, praticien hospitalier, chef de service «médicament», hôpital de Valenciennes,
FRANCE.
« Aperçu des objectifs et résultats de deux projets de recherche en cours visant le suivi et
l’assistance de personnes âgées à domicile» V.RAMON , docteur en sciences appliquées;, responsable de
département adjoint au CETIC.
GERIATRIE; MEDECINE GLOBALE OU MEDECINE SPECIALISEE ?
Présidé par le Dr T. GUILLAUME, gériatre, chef de service de gériatrie au CHC de Liège.
Modéré par A. MAGNETTE, infirmière coordinatrice du Programme de Soins pour le Patient Gériatrique à Vivalia.
« Des hospices à la gériatrie moderne, vers plus de cohérence? »; Prof. C.SWINE, gériatre, chef de service de
gériatrie au CHU de Mont-Godinne, professeur à l’UCL. ; Prof. J.PETERMANS, gériatre, chef de service de gériatrie
au CHU de Liège, professeur de gériatrie à l’ULg, président en exercice de la SBGG.
« Gériatrie et psychogériatrie ou le juste équilibre entre le corps et l’esprit »; Dr L.KIEHM, gériatre
responsable des hôpitaux de jour aux Cliniques de Soins Spécialisés Valdor-Pèrî. ; Dr G. RAPAGNANI, psychiatre,
chef d’unité de psychogériatrie et chef d’unité de soins palliatifs aux Cliniques de Soins Spécialisés Valdor-Pèrî.
LES STEREOTYPES ? CHASSEZ-LES PAR LA PORTE, ILS REVIENNENT PAR LA FENETRE
Présidé par E.LECHANTEUR, infirmier de liaison au CHU Saint-Luc.
Modéré par D.LANGHENDRIES, président du Respect Senior.
« Je suis toujours la même personne »; B.GOMBAULT, responsable de projets à la Fondation Roi Baudouin.
« Représentation de soi, représentation de l’autre: étayage du couple aidant-aidé »; Dr M-P.PANCRAZI,
psychiatre, psychothérapeute et gériatre, spécialiste en éducation thérapeutique, Paris, FRANCE.
« Crèmes anti-rides et confitures Bonne-Maman: le vieillissement à travers la publicité » M-C.MIETKIEWICZ,
docteur en psychologie clinique, maître de conférences à l’Université de Lorraine, FRANCE.
« Maladie d’Alzheimer et troubles apparentés: des représentations sociales et médicales à interroger »
N.RIGAUX, docteur en santé publique et professeur aux Facultés Universitaires Notre Dame de la Paix à Namur.
RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS: Participation à la journée d’études (documentation, pause santé et lunch compris): 65 €/participant, 30 € /étudiant, à verser sur le n° de compte 340-0238924-51 avec la mention
Inscription en ligne: www.isosl.be
Renseignements: www.isosl.be, Michel Flamand-ISoSL, Site Pèrî, 4b, rue Montagne ste Walburge, 4000 Liège,
« Symposium » et les nom et prénom du participant.
BELGIQUE, 04-2258729
9
Point commun
10
Si le Valdor
m’était conté
1970
En ce temps-là, il y avait un internat au Valdor.
Pas un internat scolaire bien sûr, mais plutôt un genre de kot
pour les jeunes infirmières qui habitaient trop loin de Liège.
Il se situait au 4ème étage du tout nouveau bâtiment et
comprenait des chambres individuelles mais aussi deux
appartements pour 3 personnes avec living, kitchenette, salle
de bain et chambre.
Christiane, jeune diplômée de l’école d’infirmières avait
emménagé fin juillet. Elle avait été rapidement rejointe par
Micheline et Josiane.
Si elles étaient toutes trois ardennaises et fières de l’être,
elles étaient on ne peut plus dissemblables. Micheline, solide
sportive aux cheveux courts, Josiane brune et timide et la
rieuse Christiane aux mèches blondes toujours prête à faire
les 400 coups.
Un matin alors que Josiane et Micheline prenaient tranquillement leur petit déjeuner, Christiane entra en coup de vent,
claqua la porte et s’affala sur le divan en envoyant promener
sa coiffe à l’autre bout de la pièce.
« J’en ai marre de cet hôpital ! Elle a osé, tu te rends compte,
elle a osé me renvoyer aux vestiaires sous prétexte que ma
jupe était trop courte et qu’on voyait mes genoux. Je lui ai
répondu du tac au tac que j’avais mon tablier par-dessus et
que si elle voyait mes genoux c’est qu’elle le faisait exprès.
Elle est devenue toute rouge et elle m’a ordonné de sortir…
les patients rigolaient bien sûr ! Tu me donnes une tasse de
café?»
Ses deux amies avaient tout de suite compris de qui il
s’agissait : la sœur Angélique (qui n’avait d’angélique que le
nom), redoutable chef de salle qui ne badinait pas avec la
discipline.
Mais Christiane passant d’un sujet à l’autre comme à son
habitude, se leva brusquement et demanda d’une voix
inquiète «Et alors j’ai reçu la réponse ?».
En voyant les mines déconfites des deux autres, elle eut les
larmes aux yeux : tout son beau projet allait s’écrouler…
Il y a deux mois, elle avait reçu pour son anniversaire, une
place pour le concert de Claude François au Forum.
Claude François, son idole… le plus beau de tous les
chanteurs, celui qui chantait et dansait comme un dieu…
Point commun
panique à l’internat
Mais voilà, si les internes pouvaient sortir comme elles
voulaient, elles devaient être rentrées avant 10 heures, à
moins d’avoir une dérogation de la direction. Elle avait donc
envoyé sa demande en bonne et due forme. Mais les mystères
de l’administration avaient fait qu’elle n’avait toujours aucune
réponse.
Et le spectacle avait lieu aujourd’hui !
Quand elle entendit la petite voix de Josiane lui demander ce
qu’elle allait faire, Christiane éclata de rire et répondit «Ben, je
vais y aller quand même, tiens ! Pas un mot à personne bien
sûr»
Cloclo jette sa chemise en pâture à ses fans hystériques au Forum
C’est ainsi qu’en début de soirée, elle avait quitté le Valdor,
coiffée, maquillée, vêtue de sa mini la plus courte, d’un petit
pull rose fuchsia et d‘un trench tout aussi réduit.
La soirée se passa comme un rêve. Clo -Clo était déchaîné. À un
certain moment, il se déshabilla et envoya sa chemise (rose)
dans le public en délire, et c’est Christiane qui l’attrapa ! Elle ne
résista pas au plaisir d’aller à la sortie des artistes rue du Mouton
Blanc pour tenter d’apercevoir une dernière fois le chanteur et
ses Clodettes.
Elle n’avait pas vu le temps passer : il était déjà minuit !
Pas de bus à l’horizon…il lui restait juste de quoi prendre
un taxi, mais pas question d’essayer de rentrer au Valdor, les
grilles étaient fermées jusqu’à 6 heures quand les équipes du
matin arrivaient. À tout hasard, elle demanda au chauffeur de
la déposer rue d’Amercoeur à la cour des Prébendiers. Mais là
aussi, les portes étaient fermées.
Christiane était une intrépide mais elle commençait
quand même à paniquer dans cette rue déserte. C’est alors
qu’elle aperçut le clocher de St Remacle. Elle poussa la lourde
porte de l’église et se faufila à l’intérieur. Quelques bougies
éclairaient la nef. Elle se souvenait d’y avoir chanté l’an
passé avec la chorale de la Croix- Rouge et sourit en repensant
au jeune organiste aux yeux verts avec qui elle était sortie
quelques temps… Prise d’une soudaine inspiration, elle
grimpa l’escalier qui conduisait au jubé. Là au moins elle serait
un peu à l’abri. Et parmi les vieux coussins de prie-Dieu, elle
s’endormit d’un coup.
Au Valdor, c’était la panique. Non seulement pour les copines
de Christiane qui ne la voyaient pas revenir mais ne pouvaient
en parler à personne, mais aussi dans le service de sœur
Angélique où on n’avait aucune nouvelle d’Augusta, une
pensionnaire qui avait disparu depuis la veille au soir.
À Saint Remacle, Christiane fut réveillée par le prêtre de la
paroisse qui venait dire sa messe. Elle dégringola les marches
et se précipita vers la sortie.
Il était sept heures ! C’était raté pour une rentrée discrète,
cachée parmi les soignants du matin. Tant pis ! Soudain, son
attention fut attirée par une sorte de mélopée qui venait du
trottoir d’en face. C’était une vieille dame assise devant une
porte cochère qui se balançait en gémissant. Elle la reconnut
immédiatement, c’était une malade de son service. «Augusta
qu’est-ce que vous faites là ?».
«Il fallait que je vienne hein, m’fèye, Louis m’attend pour ouvrir
le garage…», Christiane entoura de ses bras la vieille dame, la
rassura et parvint à la décider à regagner le Valdor.
Il fallut une bonne demi-heure pour parcourir la rue St Remacle et la rue Basse-Wez mais plus question de passer en douce:
elle était devenue l’héroïne du jour, celle qui avait retrouvé la
grand-mère perdue !
Et le lendemain dans La Meuse, en première page, on voyait
Clo-Clo lançant sa chemise au public et juste en dessous, un
entrefilet annonçait : «Une jeune infirmière sauve une des ses
malades égarée dans Liège».
Jeanine Malchaire
ISoSL
les uns
et les autres...
les mariages
LE PETIT BOURGOGNE ET LE TILLEUL D’EDOUARD
Marie PETIT avec Sébastien Louis le 1er septembre
Flora GUERRIERI, psychologue
Sandrine KILESSE, infirmière brevetée
Fabienne BOUQUET, infirmière psychiatrique
LE VALDOR
Julien PAULUS, moniteur d’éducation physique
LE TILLEUL D’EDOUARD
Valérie ANCION, ouvrière
LE PÈRÎ
Gaëlle, le 12 juin chez Fabienne KERKHOFS
Elodie BRICO, diététicienne
Josiane DE OLIVEIRA, infirmière brevetée
LE CHEMIN DE LONCIN
LE DOUX SEJOUR
Deborah AZZOLINI, ergothérapeute
Ummugulsun MERT, infirmière brevetée
Simon chez Véronique GERARD
Irène KALANGA, aide-soignante
Martine GRUN, infirmière brevetée
Thierry DEGANS, ouvrier
Jérémie chez Françoise SILEKI
Blakissa KABORE, aide-soignante
Mickaël DORET, infirmier bachelier
Sophie FONTAINE, diététicienne
Fati BOLA, aide-soignante
Elodie CHRISTIANE, infirmière brevetée
Maureen FRAITURE, logopède
LES BLES DORES
Stéphanie MALI, logopède
Julie GRETRY, ergothérapeute
Geneviève VERMEYLEN, infirmière bachelière
Caroline NGO NGANG, infirmière brevetée
Valérie PELISSIER, infirmière brevetée
Mélissa D’ALOIA, ouvrière
Dominique WASSON, ouvrière
Dave WEBER, ergothérapeute
Mercédes TELESFORO FE, aide-soignante
Martien THEATE, infirmière bachelière
AGORA
Francisca MARTINEZ CASTILLO, ouvrière
Nadine BONFOND, aide-soignante
René BODSON, aide-soignant
LE CHEMIN DE LONCIN
Fabienne MUHLEIS, aide-soignante
LE VALDOR
Christelle GUSTIN, ouvrière
Leîla NAJI, infirmière brevetée
Euphrasie MBAZOA, infirmière bachelière
Josiane BERTEN, le 31 juillet
Elodie POTVIN, éducatrice
Domicilia SEGURA, infirmière brevetée
Jennifer BLAVIER, infirmière brevetée
Nicole HAGELSTEIN, le 31 août
Emeline LEJEUNE, éducatrice
Audrey PRESSIA, ouvrière
Christophe COUNSON, architecte
Michel ARNOULD, le 31 août
Virginie SMETS, psychologue
Euphrasie KOUADIO, ouvrière
Julie MOENS, infirmière brevetée
LE PÈRÎ
Jessie RUBBENS, infirmière brevetée
LE PETIT BOURGOGNE
Geneviève VALLEM, le 7 juin
François-Joseph GUILLAUME, infirmier psychiatrique
Christine DEJARDIN, infirmière bachelière
Blanche VRANCKEN, le 1er août
Gaëlle BOUHON, logopède
Nawel EL GHABRI, aide-soignante
Colette CAPART, le 1er août
LES SAULES
Jennifer QUERTAINMONT, infirmière brevetée
Jeanine MALCHAIRE, le 1er octobre
Bénédicte BARE, infirmière brevetée
Céline MARECHAL, éducatrice
AGORA
Laura VINCENT, aide-soignante
Chou MWINDA MONA, ouvrier
Charles DEMATHIEU, le 30 juin
LES TROIS ROIS
Sabrina BORDONARO, infirmière brevetée
LE PETIT BOURGOGNE
Aurélie VAN OOST, aide-soignante
Laurence KOPETTI, employée d’administration
Marie-Ange MEURICE, le 30 juin
LEONARDO DA VINCI
Virginie COOLEN, psychologue
Francine SIMON, le 31 août
Patricia BELLEFLAMME, assistante logistique
LE VALDOR
Virginie GRAINDORGE, aide-soignante
Paulette DELMOTTE, le 31 août
LES CHARMILLES
Joseph D’JOOS, le 17 juillet
Xavier CONSTANT, aide-soignant
LES CHARMILLES
Imre LAMBILLION, aide-soignant
Dimitri GUSTIN, infirmier breveté
Juliette PIETTE, le 31 août
LES ORCHIDEES
Anne VANDEPOEL, infirmière bachelière
Elkana BAHASSI, aide-soignant
Nathalie LARBUISSON, assistante sociale
Anthony PARIS, infirmier breveté
Danielle EVRARD, infirmière brevetée
Elodie ROTIEL, logopède
Laurence GILLET, infirmière brevetée
les embauches
les naissances
les retraites
in memoriam
11
Point commun
Informatique
trucs et astuces
Technique pour renommer rapidement plusieurs photos
Lorsque vous enregistrez des photos, sur votre ordinateur, provenant de votre
appareil photo numérique, leurs noms sont loin d’être très descriptifs.
Vous pouvez certes les renommer un par un, mais cela prendra du temps, surtout si
vous avez envie de donner des noms originaux à chaque fois.
Le mieux est de trouver un nom générique, relatif à la journée lors de laquelle ont
été prises toutes ces photos.
Voici donc la technique pour leur attribuer rapidement des noms :
Ouvrez tout d’abord le dossier qui les contient.
Allez ensuite à la dernière photo et sélectionnez-la en maintenant la touche Maj.
Revenez à la toute première photo et cliquez sur le bouton droit de la souris.
Puis, optez pour la commande Renommer en cliquant dessus.
Écrivez le nom que vous souhaitez faire porter à la série de photos comme mariage,
anniversaire ou autres.
Appuyez sur la touche entrée pour valider ce nom pour toutes les autres photos.
Celles-ci seront nommées par exemple mariage(1).JPG, mariage(2).JPG et ainsi de
suite...
par Isabelle Doyen
RTF : Rich Text Format - Texte avec un
peu de mise en forme
ODC : OpenDocument - Diaporama
de présentation
TXT : Text - Fichier texte
WRI : Fichier texte
XLS : Fichier Microsoft Excel
XML : eXtended Makup Language - Language de texte et balise
Pour ne plus taper : www et .com ou .be
Quand vous taper une adresse internet, par ex www.isosl.be, vous pouvez taper
seulement : isosl et appuyer sur les 2 touches : «ctrl» et «entrée» en même temps ;
cela vous mettra automatiquement le reste. Ce sera plus rapide …
Rechercher très vite la définition d’un mot dans Google
Les extensions de fichiers courants
En informatique, une extension de nom de fichier (ou simplement extension de
fichier, voire extension) est un suffixe ajouté au nom d’un fichier pour identifier son
format. Ainsi, on dira qu’un fichier nommé truc.txt a l’extension txt ou .txt.
Voici les plus courants :
12
BAT : Série de commandes MS-DOS pouvant exécuter des EXE ou des COM
DOC : Document - Fichier de Microsoft Word
HLP : Fichier Help de Microsoft
HTML/HTM ou XHTML/XHT : HyperText Markup Language ou eXtended HyperText
Markup Language - Page internet
PDF : Portable Document Format - Format d’Adobe
PPS/PPT : Fichier Power Point - Animation multimedia de Power Point
Point commun
Tapez l’expression « define » suivi du mot ou de
l’expression dont vous souhaitez rechercher la
définition dans le champ de recherche Google.
Exemple : « define psychiatrie »
Obtenir la conversion rapide des devises dans Google
Tapez seulement le nom de la devise (au singulier) dans le champ de recherche
Google (dollar, livre, etc...) et vous aurez directement le taux de change qui
correspond.
MR/MRS
olé ! olé ! tapas y cocina española
Les rencontres interculturelles aux Murlais ont pour objectif général de permettre
aux résidents et leur famille de visiter, de découvrir le pays dont d’autres pensionnaires sont originaires.
Ceci à travers l’histoire, les traditions, le folklore et surtout la cuisine.
En ce jour de fin d’été, l’ambiance espagnole illuminait la salle à manger.
Quels sont les autres objectifs ?
•
•
•
•
Permettre aux résidents de passer un moment convivial avec leur famille et leurs
congénères;
Maintenir l’autonomie de chacun en lui proposant de participer, selon ses
capacités, aux préparatifs culinaires et décoratifs;
Maintenir la communication avec le monde extérieur;
Échapper un instant aux problèmes, s’évader psychologiquement .
Cette fois-ci encore, nos pensionnaires n’ont pas eu assez d’une seule bouche pour
se délecter des spécialités extrèmement variées.
Chantal Yerna
13
Point commun
Formations
internes
progamme des 4 prochains mois
octobre / novembre
14
Point commun
SUJET DE LA FORMATION
PUBLIC CIBLE
Socle de base
EPI (Ecole du feu)
Tout public 18 pers. max.
Socle de maintien
Prise en charge optimale du patient chuteur
Personnel infirmier, soignant et paramédical
Secteur B, 24 pers. max.
Socle de base
Les droits du patient et la médiation des plaintes
Socle de base
REFERENCES LEGALES
LIEU, DATE(S) et HEURE(S)
FORMATEUR(S)
Brasserie, salle des Drêches (Agora),
1/10 ou 2/10 ou 3/10, 9h00 à 16h00
Formateurs incendie
Aide-soignants, Titre en qualification en gériatrie
Personnel Soins palliatifs
Site Agora, salle Athena
2/10, 8h30 à 16h30
N. Renier
Secteurs B et C, 20 pers. max.
Personnel Soins palliatifs, Personnel MR/MRS
Site Pèrî, salle A
9/10, 14h00 à 17h00
C. De Preter
L. Faeck
Sensibilisation à l’écoute active
Secteurs A, B et C, 16 pers. max.
11/10 et 12/10, 9h00 à 16h00
A-M. Virzi
K. Mouvet
Socle de maintien
Prise en charge optimale du patient dénutri
Secteur B, 24 pers. max.
16/10 et 17/10, 9h00 à 16h00
N. Renier
Socle de base
Aide face aux situations de soins d’urgence
Secteurs A, B, C, 6 personnes max.
Site Agora, salle Héra
23/10/2012, 8h30 – 16h30
M. Porr
K. Nachit
Socle de base
Gestes et Activation de la Personne Agée
(GAPA)
Résidence Trois Rois, Visé
23, 24 et 25/10/2012, 8h30 – 16h06
Formateurs GAPA
Thématique
Symposium des Cliniques ISoSL
« Nouvelles perspectives en gériatrie et psychogériatrie »
Tout public
Personnel infirmier d’encadrement
Palais des Congrès de Liège
25/10/2012, 8h00 – 17h00
Cfr. Invitation
Socle de base
La responsabilité du soignant
Secteurs B, C, 20 personnes max.
Site Valdor, 5e étage
30/10/2012, 14h00 – 17h00
C. De Preter
L. Faeck
Socle de base
Manutention Manuelle des Malades (MMM)
06, 07 et 08/11/2012, 8h30 – 16h06
Formateurs MMM
Socle de maintien
Approfondissement à l’écoute active
(Il faut obligatoirement avoir participé à la
« Sensibilisation à l’écoute active »)
Site Agora, salles Gaïa et Héra
07 et 08/11/2012, 9h00 – 16h00
A.-M. Virzi
K. Mouvet
Socle de maintien
Prise en charge optimale
du patient chuteur
Secteur B, 24 personnes max.
13/11/2012, 9h00 – 16h00
N. Renier
Thématique
Chorée de Huntington
Tout public
Site Agora, salles Athena et Gaïa
15/11/2012, 8h00 – 17h00
M. Gonce
Thématique
Communiquer autour de la violence et
de la souffrance en soins palliatifs
Secteurs B, C, (Concertation MR/MRS)
15 personnes max.
Personnel réactivation MR/MRS
Site Agora, Salles Gaïa et Héra
20/11/2012, 9h00 – 13h00
A.-M. Virzi
K. Mouvet
Socle de maintien
Gestion des conflits
22/11 et 23/11/2012, 9h00 – 16h00
A.-M. Virzi
K. Mouvet
Socle de base
EPI (Ecole du Feu)
Tout public
18 personnes max.
Site Valdor, Chapelle
26/11 ou 27/11 ou 28/11/2012, 9h00 – 16h00
Formateurs incendie
Socle de maintien
La communication non violente
Brasserie, Salle des Fûts (Agora)
27/11/2012, 9h00 – 16h15
A.-M. Virzi
K. Mouvet
Aide-soignants,Titre en qualification en gériatrie
ensemble, permettons à nos agents de renforcer leurs compétences
décembre / janvier 2013
SUJET DE LA FORMATION
PUBLIC CIBLE
REFERENCES LEGALES
LIEU, DATE(S) et HEURE(S)
FORMATEUR(S)
Maintien, compétences
Prise en charge optimale
du patient dénutri
04 et 05/12/2012, 9h00 – 16h00
N. Renier et
toute l’équipe nutritionnelle
Socle de base
Gestes et Activation de la Personne Agée
(GAPA)
04, 05 et 06/12/2012, 8h30 – 16h06
Formateurs GAPA
Manutention Manuelle des Charges (MMC)
Personnel technique, entretien, cuisine,
assistants en logistique et vigiles
17, 18 et 19/12/2012, 8h30 – 16h06
Formateurs MMC
Thématique
La multiculturalité et le travail
Tout public
Pers. encadrement hospitalier, Personnel administratif MR/MRS
Site Agora, Brasserie « Les Fûts» - 2ème étage
14/12/2012, 9h00 – 16h00
A.-M. Virzi
K. Mouvet
Socle de base
Manutention Manuelle des Malades (MMM)
08, 09 et 10/01/2013, 8h30 – 16h06
Formateurs MMM
Relais
Relais Incontinence
Relais Incontinence
Site Valdor, 5e étage
09/01/2013, 13h00 - 15h30
A. Legentil
Firme ONTEX
Relais
Relais MMM - GAPA
Relais Manutention
08, 09 et 10/01/2013, 8h30 – 16h06
A. Sauveur
Thématique
Approche globale de la problématique de la démence
« Aspects médicaux et répercussions fonctionnelles »
(Volet 1)
Secteurs A, B, 30 pers. max.
Agora, Salles Athena et Gaïa
16/01/2013, 8h30 – 11h30
M. Schuerch
S. Deom
L. Farag
Relais
Relais Incontinence
Relais Incontinence
Site Pèrî, salle B
16/01/2013, 13h00 - 15h30
A. Legentil
Firme ONTEX
Socle de base
Hygiène « Précautions générales »
Valdor, 5e étage
17/01/2013, 13h00 - 15h00
D. Serwy
Maintien compétence
Prise en charge optimale du patient dénutri
Site Pèrî, salles A et B
21 et 22/01/2013, 9h00 – 16h00
N. Renier
et toute l’équipe nutritionnelle
Manutention Manuelle des Charges (MMC)
Personnel technique, entretien, cuisine,
assistants en logistique et vigiles
23, 24 et 25/01/2013, 8h30 – 16h06
Formateurs MMC
Socle de base
Sensibilisation à l’écoute active (Volet 1)
Site Agora, Brasserie « Les Fûts» - 2ème étage
24 et 25/01/2013, 9h00 – 16h00
A.-M. Virzi
K. Mouvet
Relais
Relais gériatriques
Relais en Gériatrie
Pèrî, salle A
16/01/2013, 13h00 - 15h30
G. Uwizeye
Socle de base
Aide face aux situations d’urgence
Site Agora, Athena et Gaïa
29/01/2013, 9h00 – 16h00
Formateurs AMU
Thématique
Formation Réseau Aide-soignants
« La souffrance du soignant »
Aide-soignants
Aide-soignants
Agora, Brasserie
31/01/2013, 9h00 - 13h00
Réseau
CHR – CHBAH - ISoSL
Inscriptions: Michel FLAMAND, [email protected]
Pour de plus amples informations, voir le «Calendrier de formations» via INTRANET
15
Point commun
MR/MRS Vous avez dit Reiki ???
Mais c’est quoi ça ???
Plus qu’une méthode de soins, le Reiki est surtout un art de
vivre, une philosophie, un outil d’éveil et de développement
personnel.
Le Reiki nous permet de nous détendre, de nous centrer sur
notre énergie…
Sabine Déom
Le mot Reiki se divise en deux mots : Rei et
Ki qui peuvent se traduisent de la manière
suivante :
•
Rei : âme ou esprit. Il désigne l’énergie
céleste, sacrée, spirituelle, universelle, subtile
et invisible. L’influence ou l’énergie de vie qui
s’anime dans le cosmos ;
•
Ki : vapeur, fluide, influx, souffle,
énergie ou force interne.
Le Reiki nous relie donc au Rei de l’univers
(céleste, spirituel) et au Ki interne (énergie de
vie interne à tous les êtres vivants).
16
Il faut bien avoir à l’esprit que le Reiki n’est
pas une thérapie dans le sens commun et ne
relève pas d’un acte médical. Il a pour vocation
de s’inscrire parmi les techniques énergétiques
pour la personne désireuse de se recentrer sur
soi même. Ce n’est pas non plus un dogme et il
peut être pratiqué quelque soit la croyance de
Point commun
celui qui l’exerce et de celui qui le reçoit. Il n’a
de près ou de loin aucune appartenance à un
ordre religieux ou à une secte.
Le Reiki est un art de santé non médical, une
méthode de soins manuelle… En résumé, c’est
le « touché présence ». Pour en savoir plus, nous
avons rencontré Sabine Arnone, éducatrice
spécialisée et référent en démence travaillant
à la Résidence ‘Le Chemin de Loncin’. Elle a
suivi une formation en Reiki et utilise progressivement cette technique avec des personnes
âgées résidant au Chemin de Loncin en accord
et en concertation avec la direction et l’équipe
de soins.
Point commun : Pourquoi t’es-tu intéressée au
Reiki ?
Sabine Arnone: Parce je m’intéresse depuis
longtemps aux médecines parallèles et que le
Reiki était celle qui m’attirait le plus.
P.c. : As-tu suivi une formation ?
S.A.: Oui, j’ai suivi une formation de premier
degré. Il existe en tout trois niveaux de soins et
un quatrième niveau pour l’enseignement. Je
désire bien sûr passer les autres degrés mais il
est nécessaire de pratiquer avant de progesser
P.c. : Peux-tu nous expliquer succinctement les
techniques utilisées ?
S.A.: Le Reiki est une méthode de soins par
impositions des mains sur différentes zones
du corps (Chakra). Le soignant est un canal et
transmet l’énergie universelle (le Ki) par ses
mains. On compte en moyenne 2 à 3 minutes
par position.
Il y a trois types de traitement:
Tout d’abord il y a l’auto-traitement : il dure
environ une demi-heure souvent en position
assise et permet de se soigner soi-même.
Il y a aussi le traitement rapide : il dure
environ une demi-heure. Il est réalisé dans
le cas où on dispose de peu de temps ou si la
personne éprouve des difficultés à rester assise
ou allongée un certain temps. Elle est donc plus
adaptée aux personnes âgées.
Ensuite il y a le traitement complet : il dure
environ une heure, il peut être réalisé en position assise ou couchée.
P.c.: Peux-tu nous
expliquer comment se
déroule une séance ?
S.A.: Tout d’abord la
personne doit enlever ses chaussures,
bijoux et autres objets
métalliques et se laver
les mains.
Ensuite, la personne s’assied sur un
fauteuil ou se couche sur
une table de massage.
J’explique alors au
patient comment la
séance va se passer. Je
l’aide à se détendre en
lui expliquant que je ne vais pas la toucher.
Il est par contre préférable pour le patient de ne
pas bouger ni parler pendant la séance.
Le soin commence alors et dure entre 30 et 60
minutes.
Une séance de Reiki a, en général, un effet
calmant et apaisant, ce qui entraine régulièrement l’endormissement du résident. Il faut
donc parfois les réveiller après la séance. Ceci
se fait bien sûr en douceur.
P.c. : As-tu besoin de beaucoup de matériel ?
S.A.: Non, une chaise, un fauteuil, un lit ou une
table de massage peuvent faire l’affaire. Tout
dépend bien sûr du soin et de la situation du
patient.
P.c.: Y a-t-il des contre indications, des personnes qui ne sont pas réceptives ?
S.A.: Il n’y a pas de contre-indication, tout le
monde peut recevoir du Reiki, les enfants, les
adultes et les personnes âgées. Il est probable que certaines personnes ne soient pas
réceptives au Reiki cependant je n’en ai pas
encore rencontrée.
P.c. : Qu’est-ce que cela t’apporte personnellement ?
S.A.: Cela me fait du bien de voir que j’apporte quelque chose de positif aux patients et
d’arriver à soulager leurs douleurs. Cela me
permet également de créer un lien de
proximité avec les résidents.
P.c.: Utilises-tu régulièrement cette méthode
et « sur » qui ?
S.A.: Oui, sur mes
proches, sur les résidents quand on me le
demande et bien sûr
sur moi-même.
P.c. : Et avec les
résidents souffrant de
démence ?
S.A.: Oui bien sûr, il faut
cependant être plus
prudent dans l’explication du soin afin qu’il ne
soit pas mal interprété.
P.c. : Quels résultats
as-tu déjà observés ?
S.A.: Les personnes
traitées ressentent toutes une amélioration
dans le problème traité. Ils redemandent régulièrement pour continuer le traitement car les
patients se sentent soulagé et remarquent des
changements en eux et sur eux.
P.c.: Peut-on se faire une séance de Reiki à soi
même ?
S.A.: Oui bien sûr, de façon régulière cela permet
de me ressourcer et surtout je dirais «si vous ne
pouvez pas vous guérir vous-même, comment
pourriez-vous guérir les autres».
Un peu d’histoire : Le fondateur du Reiki est
Mikao Usui. Il nait le 15 août 1865 dans un petit
village du Japon et il décède le 9 mars 1926.
Il appartenait à une grande famille de Samouraïs. Il entra dans les ordres bouddhistes où il
étudia pendant des années sous la supervision
d’un maître Zen.
Quelques citations à méditer :
« Connais-toi toi-même… » Socrate.
« Etre sage, c’est savoir écarter l’accessoire… »
William James.
« Celui qui cherche la sagesse est un sage, celui
qui croit l’avoir trouvée est un fou… »
Sénèque.
bien-être aux saules
Nous connaissons tous les bienfaits
du toucher auprès de nos résidents.
Nous avons souvent l’occasion d’en
faire profiter nos patients désorientés pour les apaiser ou tout simplement pour communiquer.
Mais peu de personnes orientées
osent nous demander une petite
caresse et nous, thérapeutes, nous
ne savons pas toujours comment nous y prendre.
Aux Saules, nous avons innové avec des après-midi « soins du visage ».
Au programme, une gamme de soins comme on en propose chez
l’esthéticienne (massage facial, masque hydratant, gommage,...), dans une
ambiance calme et décontractée.
L’occasion, aussi, pour certaines résidentes de
parler librement de ce qui les tracasse, de leur
passé, de la façon dont elles se perçoivent.
Après la séance, les commentaires se font
positifs et encourageants (« que c’est doux »,
« ça fait du bien », « je n’avais jamais pris le
temps de faire ça »,..), les visages se détendent et
deviennent sereins.
Et le lendemain matin, un petit clin d’oeil
complice, souvenir d’un moment privilégié.
kermesse aux orchidées
Dimanche 26 août: première édition
de la Kermesse des Orchidées.
Sur un thème début de siècle, nous
avons été heureux de vous accueillir
si nombreux !
Le magicien a sculpté des
ballons pour le plus grand plaisir des
enfants, avant
de nous faire découvrir son spectacle de prestidigitation.
La dame qui faisait les grimages a eu autant de petits
que de grands clients !
L’équipe de réactivation avait préparé des jeux d’adresse
pour faire gagner de jolis lots à nos petits visiteurs !
Nos stands sucrés-salés laissaient échapper de bonnes
odeurs de préparations maison !
Des frites ou des pâtes ?
Une barbe à papa ou des pop-corn ?
Des sirops ou un mojito avec la menthe du jardin ?
Une après-midi intergénérationnelle très agréable qui
nous laisse penser que l’on pourra compter sur une
seconde édition...
Kyung Caroline Dochain,
ergothérapeute
Sarah Awouters, ergothérapeute
17
Point commun
documentation
18
Soins Cadres suppl. au n° 82
Le planning, jeu de pouvoir ou histoire de
partage ?
Le planning, outil révélateur de la qualité du
contrat social.
Le planning, révélateur du fonctionnement de
l’équipe.
La mutualisation pédagogique.
La gestion des risques à l’hôpital, quel
engagement ?
L’observatoire national de la démographie des
professions de santé.
Soins Cadres, n° spécial Formation infirmière et
cadre de santé
Qualité des soins et développement professionnel continu.
Un cadre juridique spécifique pour un développement professionnel continu.
Préparer la mise en oeuvre du développement
professionnel continu pour les agents des
établissements de santé.
Partage d’expérience autour d’un projet
expérimental de développement professionnel
continu.
Mettre en pratique le développement professionnel continu: un défi pour les professionnels.
Les infirmières libérales et le développement
professionnel continu.
ARCAND M./ BRISETTE L. Prévenir l’épuisement
des soignants. Gaétan Morin éditeur 1994
Soins en gérontologie n°95
Art soignant et contexte d’eficience: un enjeu
pour le cadre de santé en gériatrie.
Le projet de vie individualisé: de la théorie à la
pratique.
Dépistage et prévention de la maltraitance des
personnes âgées.
Etre soignant en gériatrie.
Alzheimer, le malade, la souffrance et l’exclusion.
L’équipe spécialisée Alzheimer à domicile.
Ergonomie et manutention: anatomie et
physiologie du rachis.
Dossier: vivre en mouvement.
En pleine mouvance.
L’impact de l’alitement chez la personne âgée
démente.
L’activité physique adaptée en Ehpad.
A la recherche d’ « un corps de bonne humeur »
quel que soit l’âge !
Mobilité cognitive et mouvements physiques,
une importance capitale.
Point commun
Le centre de documentation des secteurs B et C d’ISoSL se trouve dans
la médiathèque située à côté de l’accueil au rez-de-chaussée du Pèrî.
On peut y trouver livres, revues, K7 vidéo, DVD, concernant la médecine, le nursing,
l’éthique, les problèmes sociaux, la diététique, la gestion hospitalière, la psychologie,
la kinésithérapie, l’ergothérapie, la logopédie...
Ces documents ne sont pas en libre-accès.
Pour effectuer une recherche, contactez-moi par courrier interne, par mail ou par
téléphone, je vous préparerai les ouvrages qui peuvent vous intéresser ou je vous
fixerai un rendez-vous..
Les agents d’ISoSL peuvent emprunter gratuitement, les étudiants consultent sur
place.
Jeanine MALCHAIRE Pèrî 04/2258711, 04/2258783, [email protected]
Les sommaires de Soins
en gérontologie, Soins Cadres, la Revue de
Gériatrie, NPG, sont envoyés dans chaque unité et MR/MRS. Si vous désirez un
ou plusieurs articles, il vous suffit de me les demander par mail ou par courrier
interne.
L’activité physique de 55 à 75
ans, analyse.
Bibliographie.
Soins en gérontologie n° 96
L’infirmier coordinateur en
Ehpad.
Bain thérapeutique et maladie d’Alzheimer.
Troubles du langage et
pathologies neurodégénératives.
« Comme les personnes
âgées, je suis amateur de
vieilles chansons françaises... ».
Soin relationnel et patient
dément.
Ergonomie et manutention: pathologies
rachidiennes.
Dossier: les pathologies du poumon.
Le poumon de la personne âgée dans tous ses
états.
Spécificités de la prise en charge du cancer
bronchique du sujet âgé.
Insuffisance respiratoire chronique et personne
âgée.
La pneumonie du patient âgé.
La tuberculose du patient âgé.
Encombrement bronchique et kinésithérapie
chez la personne âgée.
Bibliographie.
NPG n°68
Quelle place en Ehpad pour les 60-75 ans ?
Gliomes du sujet âgé.
Gliomes de haut grade du sujet âgé: place de la
chirurgie.
La compréhension des gestes pseudo-linguistiques dans la maladie d’Alzheimer.
Etude des formes de rupture entre le soma et la
psyché dans l’âge avancé à la lumière du concept
de Spaltung.
Valeur pronostique péjorative du temps
passé au sol après une chute au domicile ayant
entraîné une hospitalisation: étude chez 47
patients hospitalisés en court séjour gériatrique.
Infection à VIH chez le sujet âgé: à propos d’un
cas.
NPG n°69
L’immunothérapie dans la maladie d’Alzheimer.
Se faire vacciner après 60 ans: pourquoi et
comment ?
Vaccination anti-pneumococcique: état des lieux
et perspectives.
Efficacité
des
vaccins
antigrippes
chez
la
personne
âgée.
Echelles d’évaluation de l’effet anticholinergique
des médicaments.
Dispositifs médicamenteux transdermiques chez
le sujet âgé.
Les nouveaux anticoagulants oraux.
Soins Cadres n°83
Dossier: bientraitance et management.
Placer la bientraitance au coeur des pratiques.
Bientraitance managériale ou comment
manager autrement à l’hôpital.
Le management bientraitant, progrès ou
paradoxe ?
La bientraitance en management, point de vue
d’un coach.
Bientraitance, responsabilité sociale et chaîne
managériale.
Pratiquer la bienveillance en management.
La bientraitance managériale du cadre de santé.
La bientraitance, une démarche sous condition.
La bientraitance, un projet managérial qui donne
sens aux valeurs du « prendre soin ».
Une clinique de la fonction cadre.
Du management bienveillant en institut de
formation à la bientraitance du patient.
Savoirs et pratiques.
Un nouvel outil au service du raisonnement
clinique.
Un collectif cadres de santé en biologie.
L’accompagnement des étudiants par les
documentalistes.
Les mots du management.
Le formateur sur la voie du changement.
NPG n° 70
Douleurs neurogènes du sujet âgé.
Données récentes sur les traitements à visée
neuropathique.
Douleurs zostériennes: une prise en charge
adaptée à la personne âgée.
La fragilité: mythe ou réalité?
L’immunoscénescence.
Les aidants familiaux, le chronic care model et la
dignité de la dépendance.
Un hématome sous dural qui n’en est pas un chez
la personne âgée.
Healthcare Executive n°65
Dossier patient informatisé et empowerment du
patient: de multiples questions.
Impact de la réforme de l’Etat et financement des
soins de santé.
Attractivité et rétention du personnel hospitalier:
autonomie et valeurs !
Une analyse de génome personnelle par
internet.
The impatient patient.
Réconciliation médicamenteuse: la sortie se
prépare à l’admission.
Distribution des médicaments dans les maisons
de repos: les atouts du robot.
Job étudiant
une expérience
«Tu travailleras dans la cellule communication du Valdor ! ». Voilà
tout ce que je savais sur mon job de vacances. C’est donc remplie de
curiosité que je suis arrivée le 26 juillet afin que l’on m’explique ce
que j’allais devoir faire. Et j’allais devoir en faire des choses ! J’allais
aussi avoir des responsabilités, des vraies et ça me changeait de mes
jobs d’étudiants du passé. Bien entendu, avoir des responsabilités
c’est excitant mais également un peu stressant.
Mais tout ça je ne le savais pas encore…
Les premiers jours, j’avais peur de mal faire mais l’impression de
m’améliorer chaque jour et le fait de boucler certains dossiers me
rassurait.
J’apprenais énormément de choses grâce aux précieuses
explications : ça allait de généralités sur la communication à de tous
petits détails.
Arrivant à la fin du mois d’août, force est de constater que j’ai appris
plus sur le métier de la communication en un mois qu’en trois ans
d’université…
J’ai découvert que celui-ci était encore plus varié qu’il n’en avait l’air
: organiser des événements, des conférences, s’occuper des affiches,
des invitations, être en contact avec des gens externes et internes à
l’entreprise,…
J’ai également pu voir que ce métier, comme tous les autres, n’est
pas parfait : il comporte une série de risques qui vont de paire avec
un stress quasi permanent. C’est un boulot qui nécessite une grande
implication comme tous les métiers passionnants.
J’ai remarqué que j’aimais réellement ce métier et que si je l’aime
dans une clinique, je l’aimerai dans tous les cas.
Puisque l’une de mes tâches durant ce mois fut de trouver
365 citations, quoi de plus naturel que de conclure cet article avec
l’une d’elles :
« Ce que l’on sait le mieux, c’est ce que l’on a deviné, puis ce que l’on
a appris par l’expérience. » Chamfort.
Jutine Rossius – jobiste 2012 – Etudiante à l’IHECS
Remise
en forme
journal
d’une joggeuse débutante
Dimanche 16 septembre: 8h00, le réveil sonne.
L’esprit embrumé je peste d’avoir oublié de le désactiver.
On est dimanche tout de même !!!
Il me faut quelques minutes pour réaliser qu’aujourd’hui c’est un grand jour;
celui de mon premier jogging officiel !
L’histoire commence en fait au mois d’avril lorsqu’une amie me demande si je
n’aurais pas envie de me mettre à la course à pied avec elle. Mes souvenirs de
courses remontent à l’école secondaire où on tournait en rond dans la cour de
récré sous les regards moqueurs des garçons.
Souvenirs mitigés mais bon pourquoi pas.
Et c’est ainsi que tous les dimanches, nous partons toutes les deux courir sur
le Ravel. Nos débuts sont laborieux entre crampes et points de côté mais on
décide de s’accrocher et d’y aller (très) progressivement !
« Hé Chou ! On a couru 5 minutes sans s’arrêter ! ». Nos hommes nous félicitent le sourire en coin. Puis de dimanche en
dimanche on y a pris goût, on s’est améliorée au point d’aller courir 2 fois par semaine.
C’est en surfant sur le net que j’ai découvert le jogging « La forme du coeur », 7 ou 10 km au profit des enfants cancéreux.
Je n’ai pas réfléchi et j’ai cliqué sur inscriptions: pour moi ce sera les 7km !
Après tout c’est pour une bonne cause !
Mais voilà devant mon petit déjeuner ce dimanche, je suis moins sûre de moi. Dans quelle galère je suis encore allée me
fourrer ? Mon homme me rassure: « Tu en es capable et puis si ça ne va pas tu peux toujours marcher ». Les enfants sont
excités; « Tu vas gagner maman ! » Euh ! Mes chéris, maman elle va d’abord essayer de finir la course !
Il est 9h15 lorsque j’arrive sur place, je me sens perdue. Je trouve le stand « préinscriptions payées » où je reçoit le T- shirt
de l’événement et une enveloppe brune; c’est mon premier dossard. Je porte le n°7039. Je cherche un visage connu mais il
y a trop de monde, je m’isole dans un coin pour m’échauffer. L’heure du départ approche, tous les coureurs se regroupent
derrière la ligne de départ.
Du haut de mon 1m57, je me sens toute petite dans cette masse compacte.
Le signal du départ est donné et il faut quelques secondes avant que la foule massée devant moi se disperse et que je puisse
démarrer doucement à mon rythme. Les premiers km sont difficiles, je suis dépassée de tous les côtés par des joggeurs
avertis, des membres de club de running et même par des mamies joggeuses. J’ai les mots de David Collard (coach pour
l’occasion) dans la tête: « Démarre doucement, garde ton rythme et
surtout essaye de ne pas te faire aspirer par la foule ! ». Je suis ses conseils et les
kilomètres défilent; je me sens bien. Pas de crampes, pas de point de côté, j’ai
même assez d’énergie pour terminer par une petite accélération !
Ça y est ! J’y suis arrivée; j’ai couru mes 7km !!! J’ai un sourire béat, j’ai
l’impression de rayonner de partout ! Je m’hydrate et je m’étire vite rejointe par
ma famille. « Maman on est fière de toi ! »
Moi aussi je suis fière de moi, j’ai terminé ma course… Et je ne suis pas la
dernière ! (NDLR: 43’19’’, 258ème/433, félicitation Aurore)
Aurore Costales, Secteur B
19
Point commun
ISoSL
un peu de tout...
cinéma
Ciné-club au Parc le 10 octobre 2012 :
Journée Mondiale de la Santé Mentale
théâtre
Et c’est reparti pour un tour !
Pour ceux qui ne l’ont pas vue et/ou ceux
qui voudraient la revoir, vous êtes tous les
bienvenus.
Antoine Mordant
À l’occasion de la Journée Mondiale de la Santé Mentale, le mercredi 10 octobre 2012, le
secteur Santé Mentale d’ISoSL, en collaboration avec les Grignoux, la Plate-Forme Psychiatrique Liégeoise (PFPL) et «ImagéSanté» organisera un ciné-club (projection d’un film suivi
d’un débat).
Lieu : Cinéma LE PARC
Heure : 20h00
Participation : 5,00 € sur réservation auprès de Michèle Blockx, 04 254 79 49
ou [email protected]
Prix habituels aux caisses des cinémas Le Parc, Churchill et Sauvenière.
Film - documentaire : « Les voix de ma sœur », documentaire de Cécile Philippin.
Ce documentaire de 49 minutes est un portrait et un témoignage.
Il prend la forme d’un journal intime à plusieurs voix :
- celle d’une patiente, Irène Philippin, décrivant avec lucidité sa pathologie,
- celle de sa famille combattant la culpabilité et le déni,
- celles de ses soignants de l’hôpital Sainte Anne à Paris.
avec Paulette, Valérie et Hélène Philippin, Professeur Jean-Pierre Olié, Odette Forestier,
SHU Sainte Anne, Unafam 92, Gem des 4 Communes. Tournage : février - octobre 2011
Ce document a vocation de déstigmatiser les
personnes souffrant de troubles psychiques et de
sensibiliser au travail de soutien des familles et
des soignants.
La projection sera précédée de la possibilité de
visiter différents stands portant sur le sujet
* de la santé mentale au sens large : services d’aide
aux jeunes, aux adultes et à leurs proches,
* de la psychiatrie : services d’aide aux
patients schizophrènes, bipolaires, toxicomanes,
alcooliques ainsi qu’à leurs familles.
20
Point commun
La santé mentale vous intéresse ?
Vous avez des questions ?
Venez nous rejoindre le 10 octobre 2012 dès 19h
au cinéma Le Parc, à Droixhe.
La projection du documentaire sera suivie par
un débat «Changeons notre regard sur la santé
mentale»
expo déco
Chers collègues,
A l’approche des fêtes de fin d’année 2012, c’est avec grand plaisir que je
prépare une nouvelle exposition de meubles peints, porcelaines décorées,
notamment, pieds de lampes, assiettes, bijoux et boules de Noël, tout en
pensant que je pourrais vous recevoir... En vous offrant le verre de l’amitié.
L’exposition se déroulera :
Vendredi 9 novembre de 16 h à 22 h,
Samedi 10 novembre de 14 h à 20 h
Dimanche 11 novembre de 10 h à 18 h
Un petit cadeau à acheter ou simplement pour admirer...
J’espère vous y rencontrer nombreux.
Si vous désirez d’autres informations, n’hésitez pas à me contacter.
Merci de diffuser l’événement à vos amis et connaissances qui seront également
les bienvenus.
Au plaisir de se rencontrer,
Michèle Blockx
Secrétaire à la Direction nursing secteur A.
0497/07.64.46
[email protected]
Adresse : rue Falise, 15 à Olne (passer devant le domaine de Wégimont, au feu
rouge à Soumagne bas, prendre à droite, Olne 3Km, route principale, traverser
le village et à la fin de celui-ci à la station Total tourner à droite en épingle à
cheveu, au parking sur la droite, vous pouvez y laisser votre véhicule.
A pied vers le cul de sac, c’est la première maison à gauche).

Point Commun n°21

Transcription

Documents pareils

Direction Générale Renaud DOGIMONT

Consulter l`annonce

Plaquette EMG

psychomotricité et gériatrie

Préparation concours infirmier - auxiliaire de puériculture et/ou aide

Infirmier HV Médecine Gériatrique et Palliatif AC septembre 2012

La Lettre du site Se Former A la Gériatrie.org - u

le comite de lutte contre la douleur et les soins palliatifs

Organigramme de Direction du Centre Hospitalier de Mâcon

Télécharger DIU Onco-gériatrie