M agazine A lternatif G ratuit

Février 2004
Magazine Alternatif Gratuit
# 2
E
ED
EDITO
O
E
6
BD > Ecran Blanc
7
La chronique du F.L.E.A.U.
Artworks
Photoshoot
LAST MAG # 2... Un numéro très frais pour ce mois de fevrier (enfin... à part pour Barbie, victime de nos
penchants sadiques et pyromanes...)
8
Boîtes aux lettres
9
LASTreet
Donc, merci pour vos Bof, Pas Mal et vos "Yes !!!", vos coups de pouces, vos coups de gueule, parfois les
deux mélangés ;) et rendez vous en Mars...
Le team LM
Event
16 -
Zoom
10 -
Intergirlactik
12 -
Hors Piste
Interview > Doriane Vidal
14 -
Maman, c'est quoi les Psykopits ?
On ne sait toujours pas si l'herbe repousse après le passage de ces pro
riders. Eux, c'est sur, ils font peur aux mémés.
18 -
L'airboard
C'est la luge extreme, un sport emergent qui va en allonger plus d'un !
20 -
JAVA
On ne présente plus ce groupe qui sillone la France pour deverser des
flots d'accordéons, de bière et de poésie. Interview de Fixi et erwan
entre deux poses fraises Tagada.
22 -
Angoulême
L'industrie de la BD, 100 balles.
24
L'Oeuf au plat
Un peu barbant, me direz vous...
Mais c'est Barbie qui met la barre haut.
26
Shopping
28
Agenda
30 -
Ours
© photo > Alfredo Escobar
De la poudre aux yeux, on a aimé en avoir sur les pistes de Saint Lary, en couvrant l'Intergirlactik. La neige
est au final une des dernières choses que l'on aprécie artificielles.
JP Carrere a entrepris le kicker de Saint Lary avec Method(e)... A Snowboard, quand tu nous tiens !
Janvier 2004 > On a aimé silloner la France pour présenter notre MAG. L'occasion de recueillir des
critiques (positives & négatives... quoi qu'il en soit constructives)
Sommairee
S
SOMMAIRE
E
Ecrit par Walkmindz
ci contre >>
BLANC
Art Triste d autiste… Reading - Instruction : Immaculée incarcération,
syndrome du Tableau Blanc,
prisonnier de cases, sans inspiration
La peinture se structure, épousant un huis clos de couleur,
La création une sépulture, divorçant d'un mode de valeur…
Cette page est asujetie à un concept > www.last-mag.com/fleau
ARTWORKS
par Truk ci dessous
Dégât collatéral de Clair/Obscur
A chaque couche…
Chronos se superpose à Hadès,
mon art mur
Palpitation en une touche
Hors de l'ère de je,
L'instinct simule le désir sous le pinceau
Les démons nous langent,
Du rien naquit le sens sceau
La toile selle, une empreinte sur l'âme,
Sous l'exposition,
Du voile libérant les feintes de l'homme,
Le martyre cicatrisant les émotions,
Le silence se distingue du recul,
Quand cette sensation d'infini s'exhale…
Acrylique se pense, blessé, depuis le crépuscule
Mosaïque, d'une lâcheté nocturne qui se relate
Un delay (delay, delay), d'une vague écumant la matière,
Formant le fond de ces paroles picturales
Un relay qui s'élague se vouant à hier…
Un allez-retard, entre bien & mal…
Rapport manichéen sous couvert de nuance,
Comme traité esthétique…
Chirurgie en voix d'expansion, quand elle se fait glace,
Reflet statique
D'un monde en mouvement impressionniste,
Dans une secte moderne
Made in, industrie, le système s'esquisse,
L'idéal en berne…
Drapé d'impact, civilisant les douleurs primaires,
Anesthésie
D'icône clouée sur vitrail,
L'artère véhiculant le culte de l'hérésie
Autoportrait sans visage,
Des larmes bénissant le naufrage
Ebauche d'écorché vif sans âge,
Plaie béante dans l'encéphale
L'histoire se froisse sous un mythe anthropophage,
Misérabilisme sans sevrage
L'image se falsifie en gravant les hommages,
Car l'heure file…
Caricature d'une écriture d'estampes,
D'ombres chinoises, se psychanalysant
Face au triptik, passé, présent, futur, le temps estompe,
Une réalité monochrome, se réalisant…
>> Walkmindz
Sans l'identité, pixélisé sous photoshop,
Où chacun se dévoile aux travers de la fresque
Vision décalée, d'une photo noir & blanc
Le cliché développe un neg' hâtif qui se voûte…
Flashback s'accouchant sur l'écran vivant,
Où l'héros in, fait son coming out…
Black-line émission Hip-hop & cultures urbaines >> 99.3 FM (69)
www.radio-rct.com
Du lundi au vendredi 18 h 30 à 20 h Le samedi de minuit jusqu'à ce qu'amour s'en suive…
Le dimanche de 18 h à 19 h
LA CHRONIQUE DU FLEAU
ECRAN
L'écran
blanc dessiné
PHOTOSHOOT
Renouard de Vellayer est à
l'initiative de l'invention d'une
boite à usage postal. Waouh !
Les premieres boites aux lettres furent disposées à
Paris en 1653, sous le règne du Roi Louis XI. prés de
350 ans avant nous, les vandales s'empresserent de les
emplir de detritus, de souris vouées à se régaler de
missives... La première boite aux lettres de couleur
jaune apparut en Suède en 1918. Ces mêmes
receptacles sont omniprésents de nos jours.
Bien souvent empreinte de marques de poska ou de
stickerz en tous genres, la boite à lettre est à la fois
interface et support de communication.
Pendant que les boites aux lettres électroniques
subissent le SPAM, les boites aux lettres jaunes se
pament...
LASTREET
Elle est à eux, ou à moi, ou encore à celui là ! On se l'arrache, on se revendique tous de celle-ci ou de celle-là, on l'aime
parce qu'elle est un bout de vie de chacun d'entre nous... Oui rendons hommage aujourd'hui à la street, celle sur laquelle
tu laisses glisser le bout de tes petits mocassins tressés, ou celle sur laquelle ton repas mal digéré vient finir de se
répendre... Parce que nous sommes tous les enfants d'un bout de coin de quartier, faisons lui mimi sur chaque joue, et
continuons de la piétiner, en pensant un instant à ceux qui vivent au creux de son intimité...
Boris Moscarola
Street
a - Abbr. St. A public way or thoroughfare in a city
or town, usually with a sidewalk or sidewalks.
b - Such a public way considered apart from the
sidewalks: Don't play in the street.
c - A public way or road along with the houses or
buildings abutting it: lives on a quiet street.
EVENT
L'intergirlactik 2004 à Saint-Lary (Pyrénées) est la première édition d'un
nouveau type de contest mettant les filles à l'honneur et à l'épreuve...
Plein de cadeaux et un gros price money pour cet événement qui va
vraisemblablement rentrer dans le circuit pro dès l'année prochaine.
Des rideuses de toute l'Europe sont venues chauffer les rails et la station de Saint-Lary
Soulan, ainsi que les esprits des gars qui n'en veulent.
Une telle réunion de toutes ces nanas qui envoient du gros, ça se prépare... La
manifestation était accompagnée de soirées déjantées : Gogo danseurs de la capitale
face à la Truskool section DJ. Le crew de breakeurs Etat d'Esprit de Toulouse était
également présent pour rhabiller les strip-teasers.
Bref du show sur la neige et hors piste. Vous en saurez plus e, tournant la page, mais
admirez d'abord les photos de ces drôles de dames...
© np
Cheryl Maas
Virginie Faivre
© np
Marie Martinod
© np
Audrey Achard (© photo Ugo Richard)
Snowboard
ntergirlactik s'est déroulé sur 3 jours... Comble d'une certaine malchance, les conditions
étéo n'étaient pas au beau fixe pour le premier jour de compet'... Qu'importe, il y a
ujours quelque chose à faire pour occuper des rideuses motivées... Session hors piste !
Princess of the event
Vendredi 9 Janvier, début des hostilités ? Nous quittons Saint Lary village
pour rejoindre la station et couvrir ce début de compet'. A vrai dire, on est
arrivé trempés aux oeufs conduisant au Snowpark. Et le snowpark était
fermé...
Guests
On imagine la déception des rideuses de ne pouvoir s'adonner à leur
passion... Mais bon, on aura beau faire la danse du soleil, se rouler par
terre, hurler notre rage à un ciel déprimé... Cela ne servirait à rien. Dans les
manifestations sportives (non couvertes) le seul boss, c'est le ciel.
Cheryl Maas (Holland)
Marie Martinod (France)
Virginie Faivre (Switzerland)
Camille Imbert (France)
Marie Andrieux (France) > Half-pipe
Le Vendredi soir, c'est parti assez fort avec les Gogo danseurs
venus spécialement de Paris pour se la péter grave.
Le Samedi, Toulouse en force aux platines (Dj Kimfu & Dj
Colonel Douchafleur), à la danse (Le crew Etat d'esprit), avec
des toasters (Mr Lezard et Mad Max) et la remise des
récompenses... Le tout ponctué de défilés folkloriques pour
présenter dignement les sous vêtements PULL IN. Un défilé à
haute teneur en hormones et en alcools en tous genres.
Qu'à cela ne tienne, Laurie et July ont la bonne initiative de convier les
rideuses à une journée chill out aux thermes.
Heuuu... Nous fûmes ravis d'apprendre qu'une telle alternative soit initiée :)
Pour tout savoir sur l'Intergirlactik en coulisse >
www.lastsession.com rubrique event... ;)
Donc, c'est avec délectation que l'on enfile des petits chaussons afin de suivre toutes ces beautés dans leur séance
de "relaxation"... Relaxation n'est pas le terme, ce serait plutôt "animation thermale"... Car elles ont un peu boosté
l'ambiance de cet établissement où les gens viennent, à priori, kiffer la vibe avec la tranquillité. Des agitateuses se
sont même faite expulser sous les huées des touristes qui aimaient bien cet arrivage de fraîcheur en définitive ;o)
Vous n'avez qu'à voir la tête de pépé.
Il se faisait chier dans son Jacuzzi et d'un coup d'un seul, 10 petites nanas
débarquent avec enthousiasme. Coquin va... Sur les 45 photos qu'on a fait
auprès de ce jacuzzi, t'as la même bouille.
Ski Freestyle
Anne-Flore Marxer (Switzerland)
Christel Thoresen (Norway)
Doriane Vidal (France)
Cécile Alzina (France)
Valérie Bourdier (France)
Rita Comi (Italy) > Half-pipe
Zako (Spain) > Half-pipe
L'Intergirlactik, c'était aussi (et évidemment) des soirées...
© np
EVENT
Intergirlactik results 2004 (Slopestyle)
Hors Piste ?
SMILEY
DORIANE VIDAL
" Pouvoir me faire plaisir et oublier tous les soucis
de la vie en montant sur ma board, faire la fête avec
mes amis, voyager... "
Tels sont les préceptes de Doriane Vidal que nous avons rencontrée à Saint
Lary. Entre deux sourires et trois grimaces, notre aspirante au titre
olympique nous répond
L'histoire de ta première planche ?
On a été en Andorre avec Julie et Matthieu Justafré, ce
que l'on faisait souvent à l'époque. C'était beaucoup
moins cher, on avait acheté une planche Nitro fusion,
quelque chose comme ça. Je l'ai gardée un mois et
demi et je l'ai cassée, Au Shop ils avaient beaucoup de
Look, c'était un des sponsors. En payant un peu plus,
ils m'en ont filé une et à partir de la j'ai rencontré les
gars de Look Snowboard et ils m'ont sponsorisé.
(Premier sponsor) Première bonne planche que j'ai
kiffé SDX
Pourquoi le snow ?
C'est un peu bizarre, petite j'habitais à Limoges et des
que je voyais du surf ou du snow à la télé, j'étais
comme une folle, je voulais absolument en faire mais
on allait pas souvent à la montagne, les planches
étaient chères. C'était mon rêve. Dès l'age de 10 ans
je demandais un planche de snow à Noël. A 16 ans j'ai
déménagé à Perpignan et j'ai pu monter ts les weekends avec le lycée avec des copines…
Le snow c'est un lifestyle… Quel est le tien ?
Quand j'ai commencé, on s'est retrouvé avec un
groupe de 15 riders, tous les matins on faisait des
bosses, le midi on faisait des piques niques ensemble,
le soir on se douchait et on repartait faire l'apéro, la
fête… Cette ambiance de groupe qui s'éclate et
partage une passion, de surcroît un sport donc
quelque chose de sain au milieu de la nature… C'est
des choses qui apportent vachement au jour le jour. Le
fait d'être pro ça permet de voyager avec plein de
jeunes, tu vois des pays magnifiques, des gens
supers, des mentalités différentes. Nature, gens,
snow… le cocktail terrible quoi.
Les + de ton métier ?
Pouvoir me faire plaisir et oublier tous les soucis de la
vie en montant sur ma board, faire la fête avec mes
amis, voyager
Les - ?
Changer d'hôtel tous les 3 jours, faire 15 heures de
voiture pour aller d'un endroit à un autre, être fatigué
et jamais avoir le temps de se reposer et pas avoir le
temps de passer du temps avec les gens que t'aime
car ta vie est a 10 000. Tu t'éclates dans ce que tu fais
mais pas le temps de faire autre chose.
Quelle est l'ambiance entre rideuses ?
Avant je faisais de la gym et de l'athlétisme, y'a
toujours eu une certaine concurrence si ce n'est avec
les filles de l'équipe, avec les filles des autres clubs,
dans le snow c pas important pareil, on ride tous
ensemble. Par exemple, le pipe, des jours il est nul,
des jours il est bien… Quand il est bien, on va pas dire
" Waaa, elle ride mieux que moi, il faut qu'elle
tombe… " Elle ride bien, le pipe est bien, ça me
motive, il faut que je fasse mieux … qu'on progresse
ensemble. Il y a une super ambiance, on voyage
ensemble, on apprend à se connaître… C'est pas
l'ambiance concurrence qui éxiste déjà plus dans le
ski.
Préparation spéciale pour les JO ?
2 ans à l'avance, tu prépares les runs que tu veux
rentrer, les figures. Il faut faire des compets avec les
meilleures. Tu fais attention à ce que tu manges et tu
te prépares bien physiquement pour avoir la patate
nécessaire.
Et avec les mecs ?
Chui assez surprise… Il y a une grosse différence de
niveau, des fois je me sens nulle quand je vois les
mecs passer… Et quand tu discutes avec eux, ils
trouvent ça génial, ils respectent vachement, ce n'est
pas une ambiance macho, on ride toujours avec des
mecs et ça se passe super bien, ils nous donnent des
conseils. Je ne trouve pas qu'il y ait de clivage.
La Figure que tu te régales à rentrer ?
Celle que je kiffe le plus en ce moment Alley oop
La question qu'on ne t'a jamais posée à laquelle tu
souhaiterais répondre ?
En fait, j'ai toujours voulu m'exprimer, réagir sur la
nature. Le fait de passer mon temps sur les pistes et
dans des paysages magnifiques partout sur terre, ça
donne une conscience écologique. Et je suis dégoûtée
de voir les gens passer un week-end et jeter leurs
clopes et détritus n'importe où, pas respecter la
beauté de la nature qui l'accueille… La nature est en
train de morfler et ça échappe à un grand nombre de
gens...
© np
SNOWBOARD(EL)
" Alors, vois-tu, dans le milieu du
Snowboard, il y a des monsieurs qui
sont fous complet... Je ne souhaite
pas que tu t'en approche Kevina "
Aujourd'hui on peut trouver notre film avec le nouveau Snowsurf hors
série, c'est plutôt fou, on a du mal a vraiment comprendre ce qui se
passe, tu vois c'est chaud de se retrouver avec son film dans un mag
comme ça, car quand on était pillon, ce genre de mag, c'était la
référence, alors notre première paru dedans c'était déjà la folie mais là,
c'est l'apothéose!
On prépare une vidéo pour septembre prochain, une tous les deux
ans, c'est ce qu'on a un peu toujours fait, bien que celles d'avant
personne n'en ai jamais entendu parlé!
Dixit Pépé >
és débilos, du genre trois events regroupés
Psykopit a permis de relancer un peu la dynamique dans le milieu, les
crew commencent a faire de même avec de la vidéo, des sites via leurs
activités et aussi de la wear,
éo qui a permis de
étonnement a tous car le
était de faire une vidéo pour nos potes et nous. Il n'y
ès peu d'exemplaire en circulation. A
C'est important qu'il y aie des petits labels dans le milieu, cela génère
une force créative... et ça pousse notre sport dans le bon sens.
On propose aux gens de suivre le délire depuis le site, mais souvent on
se prend des grosses bâches, genre le site n'est pas assez réactualisé,
ce genre de choses. On s'en fout, on a pas de contrat avec qui que se
soit et on ne doit rien a personne, on fait ça pour s'éclater...
Quand je vois un kids avec un t-s psykopit ça me fait trop
plaiz et ça donne un sens à ce qu'on fait >>
Laurent Perraud, dit "Pépé", fait partie de ce crew de
pros sponsorisés pour briller sur les pistes et dans un
Lifestyle des plus... alternatifs.
O n
vous invite
tous à partir en
sucette aux Grosses Veines
Bleues organisées par ces pros de la
descente (de pistes, d'alcool, d'organes...)
www.psykopit.com
© Psykopit
LUGE EXTREME ?
" Ca à l'air dangereux,
mais c'est vraiment
easy d'en faire "
Vous vous souvenez, étant petit, vous dévaliez les
pentes avec votre bob rouge et votre luge en bois
sans freins ? Là c'est la même sauf qu'au lieu d'être
les pieds devant c'est la tête qui y passe !
Un peu plus extrême pour donner du piquant à la
nouvelle luge, le tout sur coussin d'air !
Déjà propagé en suisse ce nouveau sport arrive en
force dans nos stations Française cet hiver.
Nous avons questionné l'un des créateurs de ce nouveau type de
missiles que vous verrez peut être dans votre station...
D'ou vient l'idée ?
Un matelas pneumatique existait déjà à l'époque, mais
dans une matière différente qui ne résistait pas
beaucoup. Lorsque l'entreprise a décidé d'arrêter la
fabrication de ce matelas gonflable, Joe Steiner de Zoug
en Suisse a décidé de construire un type de glisse avec
un matériel adéquat et des carres pour contrôler la
trajectoire. Cela lui a pris 10 ans pour arriver jusqu'à
aujourd'hui. Les modèles devenaient, année après
année, plus précis dans son utilisation et plus résistant.
Il y a trois ans, Joe Steiner a fabriqué 3'000 pièces et a
commencé à les distribuer en Suisse-allemande.
C'est technique ou on s'amuse très vite ?
Contrairement à d'autres types de sport d'hiver,
l'airboard peut s'apprendre très vite et facilement de 7 à
77 ans. Ainsi, les personnes qui ne font pas ou peut de
sport d'hiver peuvent piloter l'airboard après une courte
introduction et avoir immédiatement du plaisir. Il est
donc pour toute la famille, les jeunes qui veulent des
fortes sensations (la tête en avant) et les adultes.
Comment on s'arrête ?
Il y a des carres sur le dessous de l'engin. En les
mettant perpendiculaire à la piste, on s'arrête.
Ce sport peut remplacer le ski ou le snowboard ?
Non, je ne pense pas. C'est effectivement un sport, mais
aussi et surtout un loisir. C'est parfait avec des amis. Le
fait d'avoir la tête en avant procure une sensation que
l'on a pas en ski ou en snowboard. C'est excitant d'être
à 30 centimètre de la neige !
Le plus qui fait la différence, en comparaison avec la
luge ?
C'est un corps élastique qui amortit les iinégalités de la
piste. On peut en faire dans la poudreuse, passer des
big air, c'est très facile de faire des virages et de trouver
sa trajectoire. Ca a aussi l'avantage de se plier et de
prendre peu de place dans le coffre d'une voiture.
On peut découper ce sport en plusieurs disciplines comme le Snowboard ?
Oui, vraiment à part dans le half pipe, et bien sur avec les trails.
Freeride : L'Airboard est tellement léger qu'on vole sur la neige fraiche, je dirais que ce sont les meilleurs
conditions.
Boardercross : A plusieurs, c'est vraiment excitant, d'ailleurs 6 compétitions sont déjà agendées dans les
stations françaises avec Europe 2.
Freestyle : Les barres, trails et halp pipe, pas trop, par contre on peut faire des figures dans les sauts. Etant
donné que c'est un nouveau sport, tout les tricks sont encore à réaliser.
Combien de Airboarders sur les pistes aujourd'hui ? Et dans 20 ans ?
1% aujourd'hui et 10% dans 20 ans avec un bon 40% sur les animations d'après ski
Où trouver et tester le Airboard cet Hiver ?
Nous sommes distribués, pour l'instant, dans une dizaine de magasins en France. Nous sommes aussi
référencés dans le guide achat des magasins " Sport2000 ". Nous avons commencé notre tournée dans les
magasins de montagnes pour la distribution de notre gamme pour cet hiver. La liste des endroits où l'on peut
en acheter et en louer se trouve sur notre site (www.airboard.com). Une piste va être créer à l'Alpe d'huez,
Chamrousse, 2 alpes, Valmorel, Courchevel,…
On peut aller chercher des œufs avec sans les casser ?
Ca à l'air dangereux, mais c'est vraiment easy d'en faire. Si tu va sur une
piste à ton niveau, comme tous les autres sports. Tu n'as pas
besoin d'aller très vite pour avoir déjà des sensations...
(Merci à Marcel Hofer pour ces réponses)
LIVE
" Les gens savent ce qu'on fait, et qu'il n'y a pas trop
de mots pour caractériser le truc... "
JAVA, c'est une histoire, c'est une friandise à observer, à écouter, à savourer... Quand on goute à la saveur
délicatement acidulée de leurs concerts et aux arômes ambrés de leur musique cosmopolite... On ne peut
s'empecher de s'exalter. Comme après avoir vidé une pinte de sa mousse preferée. Avant d'emporter le
Rockstore dans leurs langueurs alcoolisées, Fixi et Erwan répondent à nos questions...
Vous semblez engagés contre les fléaux modernes,
pourquoi le chihuahua et pas le Yorkshire ??
(Rires) Le York c'est plus dur à faire sonner dans une
chanson… Chihuahua ça fait rêver desuite, Yorkshire
ça t'emmène en Angleterre, c'est plus froid.
Vous avez conscience d'avoir mis une "boîte" a DJ
Bobo bien avant la sortie de son "tube" Chihuahua ?
Ouais… En même temps les gens se sont penchés sur
le morceau. En live, quand on disait qu'on allait chanter
une chanson sur les chihuahuas, les gens faisaient
Ouééééééé… On la joue plus, on fait un blocus… C'est
quand même une vieille chanson, on passe à autre
chose, le Yorkshire justement... :)
Etes vous ouverts à l'élargissement du groupe ?
On se pose souvent la question, on a des envies… Il
est intéressant de savoir ce que les gens attendent
d'autre sur scène pour compléter le tableau. Ca pourrait
être un DJ, des percus… toute une troupe, une
chanteuse, un autre accordéoniste, des cuivres… Le
problème reste de l'ordre financier pour payer tout le
monde… On a souffert d'être 4 sur scène : Dans le
mélange accordéon - contrebasse - batterie et voix
plus rappée que chanté, tu peux avoir peur qu'il y ait
des trous, des espaces sonores que de nouveaux
instruments pourraient combler… En même temps
c'est un challenge, et quand on y arrive, ça a plus
d'impact encore que des groupes où tu as 12
personnes sur scène comme pas mal de groupes
festifs actuels… On est moins dans ce courant, c'est
casse gueule et difficile mais c'est une force d'être peu
nombreux. Ca nous empêche pas d'avoir des invités
sur certains concerts…
Pourquoi n'y a-t-il pas de featurings sur vos albums ?
On a plein de potes et de groupes avec qui on avance.
Plein de gens viennent jouer avec nous en studio et sur
scène. On fait souvent des buffs avec les artistes du
coin, c'est important pour nous. Mais le featuring en
tant que tel, quand ça s'y prête pas artistiquement…
C'est toujours un peu une pression, une envie de la
maison de disque pour que t'aies un pti nom écrit sur
ton album… Ca nous a toujours fait chier. En même
temps, on a fait que 2 disques pour le moment, peut
être que ça va changer, qu'il y a aura des trucs
intéressants à faire.
Avec Yvette Horner par exemple ?
Ouais voila, pourquoi pas ? Mais au début, ce genre de
trucs on n'en avait pas forcement envie parce qu'on
voulait pas faire trop "guignols". Notre image est
difficile à défendre : Prendre des vieux trucs
d'accordéon, mélanger avec du rap... C'était à l'époque
de Manau "Dans la valléeeeeee", ils ont fait une bonne
opération Marketing qui a rapporté plein d'argent... Pas
pareil.
Il y a eu des amalgames ?
Certains journalistes nous disaient "Ouais alors Java
c'est quoi ? C'est le nouveau Manau ?" On avait
confiance en ce qu'on faisait. On fait attention à ce
qu'on propose. Faire des gros featurings, comme avec
Yvette Horner (ce qui pourrait être marrant), ça aurait
carrément brouillé les pistes à l'époque. Maintenant on
pourrait plus se permettre de le faire car on a installé
notre style, les gens savent ce qu'on fait, et qu'il n'y a
pas trop de mots pour caractériser le truc...
Vous avez une position sur le piratage assez souple
dans la mesure ou vous vivez plus de la scène que de
la vente de disque. Est-ce difficile d'être signé en
major sans être une vache à lait à notre époque ?
En ce moment c'est le bordel, toute l'organisation de la
production et de la consommation est tordue. Les gens
échangent des choses par Internet c'est normal, ils ont
envie de connaître de nouveaux trucs, c'est un moyen
de communication… C'est vrai que ça fait vendre
moins de disques mais en même temps, les disques
sont super chers. Les maisons de disque arrivent plus à
travailler sur des petits projets, sur les trucs en
développement, elles veulent de la rentabilité, des
énormes chiffres. Elles font des gros blocs qui passent
à la télé & à la radio, qui se déclinent en fringues, en
tout ce que tu veux… Tout est un peu bancal… On a
une position intermédiaire, on marche bien en scène
mais on a pas le droit de vendre des CD aux concerts
(pour ne pas court-circuiter les circuits de distri) On est
dans une major, on peut pas faire tout ce qu'on veut, ils
prennent beaucoup d'argent sur les ventes de disque
mais ils sont un peu flippés. On est pas sur un créneau
qui leur facilite le travail, où on leur donne des trucs
tous mâchés qui passent a la radio.
On serait indépendants, ça marcherait
beaucoup mieux, on vendrait nos CD
directement aux gens on aurait un rapport
vraiment direct avec les gens qui écoutent et
veulent acheter nos disques…
La vie chez SMALL ?
Le marché du disque s'est pas mal déglingué
depuis quelques années. Quand on est rentré
chez Sony, c'était une époque où il y avait
encore un peu d'argent pour faire des trucs.
C'était un peu plus généreux leur manière de
travailler, d'essayer quitte à se planter…
Est ce que vous débordez sur d'autres
domaines artistiques ?
En fonction de notre musique et des textes
d'Erwan qui sont assez imagés, des amis et des
mecs qu'on ne connaît pas nous proposent des
idées de clips, de courts-métrages, de bandes
dessinées sur les morceaux… C'est assez lié.
Y a-t-il une influence Grolandaise sur Les
Zombile ?
(Rires) On a demandé nos cartes de citoyens
Grolandais…
Les concerts et l'intermittence vous
permettent de vivre, avez-vous manifesté
contre les mesures engagées sur ce statut ?
En tournée cet été, on a eu l'occasion d'utiliser
la scène comme tribune pour s'exprimer sur ce
sujet et sensibiliser les gens. Beaucoup de
savent pas ce qu'est l'intermittence. Par contre,
le coup de faire la grève... de parler comme des
syndicats, on adhère pas. Au lieu de faire des
discours, il aurait été plus intéressant que les
artistes débarquent plus spectaculairement
foutre le bordel avec des cracheurs de feu et
des guitares par exemple...
www.javasite.com
© np
Loisel
DESSEINS
Constate les dégâts > Angoulême 2004...
Angoulême. Un nom magique pour les amateurs de Bande
Dessinée. Et ces derniers sont tous d'exigeants esthètes. Là où
l'amateur de comics apprécie les hommes en justaucorps et les
héroïne à gros seins, le lecteur de franco-belge préfère les
histoires de Trolls et les filles se baladant nues dans la forêt. Par
contre, le fan de mangas est meilleur public puisque, quelle que
soit l'histoire, il apprécie simplement les dessins d'écolières en
petites culottes.
Vu sous cet œil, le Festival annuel de la bande dessiné ressemble
surtout à un grand rassemblement de lubriques. Certes, mais pas
uniquement. Car Angoulême est comme Cannes. C'est une ville
qui jaillit du néant pour seulement quelques jours par an et attire à
elle médias, visiteurs et gros billets avant de disparaître à nouveau
de l'inconscient collectif.
Ainsi, durant quatre jours, cette ville devient la capitale de la
bande dessinée. Durant cette période, la passion des habitants
pour le neuvième art envahit toute la ville et se répand sur toutes
les vitrines. La population tout entière adresse à la bande
dessinée un immense cri d'amour qui n'a d'égal que le bruit du
tiroir-caisse de ses commerçants. Si, si. Même que les salons de
coiffure mettent en vitrine des portraits de Tintin et que les
magasins de lingerie fine placent une gigantesque affiche "
Angoulême 2004 " à côté d'un string en promotion. On passera
sur les Maisons de la Presse qui vont jusqu'à faire des stands
devant leurs boutiques pour écouler leurs vieux invendus (comme
l'album " Pilou & Footix gagnent la coupe du monde 98 ") ou leurs
Picsou Magazine du mois dernier. Tant de passion désintéressée
pour la bande dessinée en devient émouvant. Les mauvais esprits
pourront insinuer qu'il s'agit avant tout d'une tentative assez
ridicule pour extorquer quelques deniers au flot de visiteurs
parcourant la ville. Mais on fera comme Passi et ses copines, on
laissera parler les gens. Et nous nous dirigerons sans plus
attendre vers les chapiteaux abritants les stands des exposants.
Mais précisons d'abord que le naïf visiteur qui croyait pouvoir
discuter avec son dessinateur préféré aura l'occasion de tomber
des nues à chaque stand. Car en fait, foin de contact humain !
A Angoulême, chaque stand ressemble à une machine
commerciale imparable : Les dessinateurs sont avant tout là pour
pondre à la chaîne des dessins dédicacés sur les pages de garde
des albums. Mais pour avoir leur album dédicacé, les visiteurs
doivent à tout prix l'acheter sur le stand de l'éditeur. Et ce dernier
vend ses albums avec autant d'amour qu'un boucher vend sa
viande le samedi matin sur un marché. Certaines offres frisent le
foutage de gueule comme une jaquette de livre soi-disant
exclusive " offerte " contre 30 Euros d'achat. Et, à moins
d'acheter, n'espérez pas discuter avec un des responsables des
grosses maisons (Soleil, Glénat, Tournon) vu que, de toute façon, il
n'est pas là pour ça. Et vu que l'attention du dessinateur est
occupée par les dessins en page de garde qu'il réalise pour les
lecteurs (dont certains spéculateurs en puissance qui revendront
bientôt l'album aux enchères sur E-Bay), n'espérez pas non plus
lui parler.
Durant ce festival 2004, la mode était donc plus au rendement
qu'à l'art. Pour plus de chaleur humaine, certains éditeurs avaient
instauré, comme à la CAF, un système de ticket permettant au
visiteur de ne pas faire la queue en attendant sa dédicace.
Pratique, n'est-ce pas ? Panini France (qui édite en France les
comics Marvel) ne s'était pas encombré de telles précautions
puisque son espace ressemblait à un mini-Prisunic : le client
passait de rayon en rayon pour se servir en BD avant d'arriver à la
caisse et de se faire souhaiter bon vente et, accessoirement,
bonne lecture.
Alors, plutôt que d'entrapercevoir Jim Lee (X-Men, Batman)
inabordable car débordé ou Alain Janolle (Nemesis), occupé à
dédicacer des albums par paquet de douze, on pouvait toujours
aller voir les stands des associations, bien plus disponibles. Car
ces dernières n'étaient pas venues à Angoulême pour exploser la
concurrence ou en mettre plein la vue aux visiteurs mais
simplement pour présenter leurs activités et favoriser un certain
échange. C'était le cas notamment de l'association Saga qui édite
le pro-zine Scarce depuis maintenant vingt ans. Ou encore de
Climax, studio publiant des BDs amateurs au format comics.
Même si leurs stands étaient moins luxueux et leurs dessinateurs
moins connus, l'échange y était beaucoup plus facile qu'avec les
fameux gros vendeurs, trop occupés à vendre, justement.
A une époque Angoulême a peut-être ressemblé à une célébration
de tout ce qui fait la richesse de la BD. Mais aujourd'hui, ce n'est
plus qu'une foire qui peut éventuellement donner envie à certaines
personnes d'acheter des albums. Mais qui ne donne certainement
pas envie d'en lire. Dommage.
Yacine
BONNE BOUFFE
Barbie
Barbie
L'Oeuf au Plat
,
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o
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A
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¢ Un œuf cru
¢ Un peu d'huile
¢ Une poile
¢ Une plaque chauffante
¢ Une pincée de poivre
¢ Un zlip ou une culotte
Avant une session ou à 4 heure, l'œuf au plat peut combler le
petit creux qui va faire toute la différence en pleine amplitude !
Se mettre en culotte
(ou en zlip) et casser
l'œuf dans un bol
Mettre sous tension
la plaque chauffante
sans se cramer les
cheveux
Ajouter un peu d'huile
dans la poile
Déposer l'œuf dans la
poile chaude
Patienter 4 minutes
Une pincée de
poivre et PAN !
C'est prêt
N'oubliez pas d'éteindre la plaque chauffante, Barbie à oublié, ben c'est pas beau à voir >>
La
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B ar
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CHOPE !
L'ami Kenny porte un superbe Masque " Pro
modèle Candide Thovex" (Disponible en Black/
Red Palm, PVTTC : 134,20 euro)
Tee-shirt Starsky et Elvis
Disponible en S/M ou L/XL
Casquette PONG et Starsky
(brodée, s'il vous plait ! )
Il ne porte pas une côte de maille moyen ageuse,
mais le "Protection Multisport Jacket Plus
de Dainese" (PVTTC: 192 Euros)
Liste des points de vente
au 01 46 58 90 69
Amanite LTD d'APO
Il vous présente le Tee-shirt " Skully " de
Quiksilver, disponible en 3 couleurs : Red,
Black et Kaki (PVTTC: 29.90 Euros)
REEF fait aussi dans le old school avec le modèle CLUTCH
Très représentatif d'une gamme légère à l'image de la tenue des
miss Reef. Liste des points de vente au 05 59 42 23 12 et
www.reef.com
NEWS
> Alis, une marque à l'esprit
street, hip hop, graff... issue du
quartier mythique de Christiana à
Copenhague. Pour en savoir plus
>> www.alis.dk
> Série DVD Génération glisse :
Skate, Ski et Snowbaord... sont
traités au cas par cas dans
cette collection !
> Une bonne vidéo du
Snowcrew 2004 VUARNET est
à consulter gratuitement sur
www.vuarnet.com
> Florent BAVOUZET ouvre un
shop à Clermont-ferrand : N˚4
Skateboard !
Vous pourrez y trouver toute la
gamme NINE YARDS >
www.nine-yards.net
> Des TAXIS VANS dans Paname,
bientôt les BUS LAST Mag ??? ;o)
> DVD Battle Of The Year
Un collector puisqu'un mois
après après avoir gagné ce
BOTY France, les Pockemons
devenaient champions du
monde ! Revivez ce Battle Of
The Year 2003 avec les
meilleurs breakers Français.
Lunettes " ZEUS "
Disponible en Black, Tortoise, Tortoise Black
Verres : Green / Brown / Green (PVTTC: 88 Euros)
Amanite 160 d'APO !
Elle n’est pas le pro-model de DV,
mais une planche shapée par DV !
Sortie pour l'hiver 2004 / 2005
AGENDA
Viking Banked Tour
15 Février 2004
Web link> www.moonpark.net
Location : Méribel
Intercrew slopestyle invitational
19 et 20 Février 2004:
Location : Super Devoluy
Wheels of God / Contest de BMX Flat
21 et 22 Février 2004 :
Web link> www.wheelsofgod.fr.st
Location : Limoges
Rossignol Air Tour
du 31 janvier au 26 février 2004
Web link> www.rossignolairtour.net
Braun Flatground 04
10.000 de prize money
27-29 Février 2004 :
Web link> www.braunflatground.com
Location : Amsterdam (Hollande)
Championnats de France de ski freestyle
> Master à l'Alpe d'Huez
9 février : Big Air (finale en nocturne)
10 février : Slope Style
> Master à Courchevel
13 février : Bosses
> Master à La Clusaz
18 février : Slope Style (finale en nocturne)
19 février : Half Pipe
> Master à Vars
24 février : Big Air (finale en nocturne)
25 février : Slope Style
Taravana Freestyle
> Location : Les 2 Alpes 3600
> 13 au 16 Avril
Basé sur un concept novateur autour, de Tahiti, du
snowboard & du ski, de la compétition, du freestyle,
de la real tv, de guests-stars, du spectacle, de la
fête…Le mélange offre tout simplement un cocktail
détonant !
Sous l’égide de Gary Zebrowski, cet événement de fin de
saison s’annonce déjà comme incontournable.
Sont annoncés : Doriane Vidale, Marie Andrieux, Jonas Emery,
Laurent Péraud, Guillaume Chastagnol, Mathieu Crepel, Olivier Cluzel,
David Vincent, Candide Thovex et plein d'autres invités ! Une place
aussi pour les amateurs qui pourront se qualifier pour se mesurer aux
pros.
Prize : voyages à Tahiti !
Web link> www.2alpes.com
OURS
LAST Mag - Magazine Alternatif Gratuit
Numéro 2 / Février 2004
Edité par la société LAST ACTION SARL au capital de 7500 euros
PIT Pompignane IBM (Bat T2) - Rue de la vieille poste - 34055 Montpellier Cedex 1
Tél : 06.87.03.64.26 ou 06.82.94.78.67
Parution : 30.000 exemplaires
Distribution dans plus de 400 shops en France.
Copyright 2004
Dépot légal : ISSN en cours
Directeur de la publication : Nicolas Pinelli
([email protected])
Rédacteur en chef : Bruno Giordano
([email protected])
Contact Publicitaire
[email protected]
Tel : 06.87.03.64.26 ou 06.82.94.78.67
Envoyez vos news et articles à la rédaction :
[email protected]
Infographie / Graphisme / Dessins : Truk
Chroniqueurs :
PhotoShoot > Boris Moscarola
La chronique du F.L.E.A.U. > Walkmindz
Photos : Boris Moscarola, Psykopit, Airboard, Ugo Richard, Alfredo Escobar (couv), Nicolas Pinelli
Imprimeur : SIGNE & CARACTERES - 78, Grand rue Mario
Roustan - B.P. 137 - 34202 Sète Cedex
Merci à tous ceux qui ont participé de près ou de loin à ce LAST Mag numéro 2 :
Tous les shops qui distribuent le mag, DJ Akwel ;o), JP Carrere, Christelle chez Reef, Arnaud (Vans), Marcel d'Airboard, Pépé des Psykopits,
Marin, Thierry (IsesWorld), Ugo, Otake (Lolo, Didou,Seb, Boze et LCM), Kostia (Eastpak), Bertrand (Golden Events), Valérie (Plan B), Camille et
Nicolas (Quiksilver),Pochette et Bobo, Bébé, Eauliv, Christian et Annie, Koralie + SupaKitch + Yuko, AttitudeAsso (Aurélie, et Thomas), Chrisitine
(2Good), Captain Crunch dog, Le No More Empty Fridge Posse (NMEF Represent'), Yacine Badday, Chakra, le staff du Who's Next et du SIG,
Manu et Jordane, Kott et Pauline, David et Aude pour le SIG, Caro et le CSG38, Barbie, Kenny, Wendy, la poule qui a pondue l'œuf qui a fini à la
poile, Marianne et Olivia (Olympic Tour), Fixi et Erwan du groupe JAVA, Aymeric (CornerDesign), Mélisande (Dainese), Xtophe (Génération Glisse),
La Ronce, les boites aux lettres et leurs tagueurs, Walkmindz, Dieg'Bass, Stan, les cousins Paca et David, July et Laurie de l'Intergirlactik et
toutes les rid2zs présentes, les Gogos et toi pour avoir lu jusque là !
La marque, le logo "LAST MAG" sont des marques déposées et protégées. Les manuscrits et documents envoyés ne sont pas rendus. En aucun
cas le magazine n'est responsable des documents qui lui sont
confiés. Toute reproduction, même partielle des articles et illustrations parus dans ce numéro est interdite, sauf autorisation préalable et écrite
de la direction. Les articles insérés n'engagent que la responsabilité de leurs auteurs. Ne peut être vendu ; Ne pas jeter sur la voie publique.
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