A votre service - Théâtre de l`Odéon

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A votre service - Théâtre de l`Odéon
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T H E A T R E
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GRANDE
SAISON
oDeoN
D E
L ´ E U R O P E
2000/2001
la lettre
n°32
SALLE
D U 2 7 A V R I L A U 1 ER J U I N 2 0 0 1
L’Avare
de MOLIERE
mise en scène
ROGER PLANCHON
décor : Thierry Leproust
costumes : Emmanuel Peduzzi et Jacques Schmidt
lumières : André Diot
son : Stéphane Planchon
avec Anémone, Elisabetta Arosio, Denis Bénoliel, Farouk Bermouga,
Thomas Cousseau, Paolo Graziosi, Jean-Christophe Hembert,
Claude Lévêque, Roger Planchon, Alexia Portal, Véronique Sacri,
Frédéric Sorba, Ulrike Barchet (violoniste),
et Ramon Bertrand, Stéphane Cavallini, Georges Egler, Christophe Jaillet,
Denis Manin, Christophe Michelot, Jean-Marie Roques, John Smith.
production : TNP-Villeurbanne. En coproduction avec Theater der Welt 99 Berlin.
Avec le soutien du Conseil Général du Rhône, de l’AFAA et de la SPEDIDAM.
Spectacle créé au Festival Theater der Welt 99 Berlin au
Deutsches Theater à Berlin, le 18 juin 1999.
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ATELIERS
BERTHIER
DU 11 MAI AU 31 MAI 2001
(en espagnol, surtitré)
Gemelos
LA TROPPA
d’après le roman Le Grand cahier d’ AGOTA KRISTOF
dramaturgie et mise en scène
scénographie, costumes, masques : Eduardo Jimenez Cavieres,
Rodrigo Bazaes et La Troppa
musique : Juan Carlos Zagal / son : Eduardo Jimenez Cavieres
lumières : Juan Cristobal Castillo
avec Laura Pizarro, Jaime Lorca, Juan Carlos Zagal
production : La Troppa, avec l´aide de FONDART, Département de la Culture du Ministère
chilien de l´Education, l´Ambassade de France au Chili ( Institut Culturel Français ), le
Centro Cultural Estación Mapocho et le Ministère chilien des Affaires Etrangères, avec
soutien de l´ONDA. Producteur délégué : Centre Dramatique National de Normandie /
Comédie de Caen.
Spectacle créé à Santiago du Chili en janvier 1999.
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GRANDE
elles sont justes à l’égard de tous les personnages : Harpagon, ridiculisé et condamné, est
compris de l’intérieur. “Compris” est un mot
faible, “pris en compassion” serait plus juste.
Mais c’est un sentiment difficile à définir, proche
de la pitié sans la nuance péjorative : un sentiment généreux. [...]
Les grands auteurs dramatiques parviennent à
cette “bonté, contrée énorme où tout se tait”
(Apollinaire), n’ayant pas hésité à chercher la
monstruosité de leurs personnages en euxmêmes.
Comme tous les héros des pièces comiques,
Harpagon se prend au piège que, pour les
autres, il a tendu. Mais les grands personnages
de Molière, devant la cruauté des rapports
humains, sont saisis d’un plus grand vertige. Ils
découvrent alors, au plus profond d’eux-mêmes,
l’attitude, la phrase vraie et incongrue qui, à la
fois, dissimulent la blessure et nous font rire.
Pour capter ces réactions vraies et incongrues,
Molière s’est jeté sans réserve, avec ses héros,
dans des situations et des pièges fictifs aussi
cruels, sinon plus, que ceux dans lesquels nous
tombons dans nos vies. C’est parce qu’il a accepté de se mettre en danger - courant le risque de
vivre démuni - qu’il est parvenu à la bonté
envers tous et que la vibration électrique du réel
circule encore entre ses répliques.
Roger Planchon
SALLE
L’Avare
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Notes sur l’Avare
Molière ne peint jamais un caractère, il raconte une histoire : un homme d’affaires veut se
débarrasser de ses grands enfants, balayer sa
maison et refaire sa vie. Une histoire, c’est-àdire un réseau de conflits. L’avarice n’est pas le
moteur de l’intrigue, et les péripéties n’en sont
pas l’illustration. [...]
L’avarice n’est ni la donnée ni le moteur du
personnage, mais une compensation : c’est, à la
fin, sa consolation. Lorsque le rideau tombe, et
pas avant, l’homme d’affaires est devenu un
avare, c’est-à-dire le contraire d’un homme
d’affaires. Ce n’est plus l’Harpagon du début
qui expliquait à son fils que l’on doit faire “travailler” l’argent, c’est un homme qui, par compensation, trouve son plaisir à lécher, solitairement, des louis d’or. Et nous avons pour finir
ce que le titre nous promettait : un avare. [...]
Des critiques ont fait observer que les plaisanteries sur le corps du héros étaient trop nombreuses : “Comment me trouves-tu ?... Je viens
à vous avec des lunettes... Ma fluxion qui me
prend...”, etc. On les juges faciles et répétitives
si l’on ne voit pas que, autant que son or, l’âge
et le désir d’être aimé - ou du moins accepté tel
qu’il est - obsèdent Harpagon. Une fois cela
bien saisi, ces répétitions ne gênent plus.
Mieux, elles font apparaître un homme de
désir et une histoire au déroulement implacable : l’avide devient l’avare. [...]
Un vieux financier s’achète une jeune femme.
Une jeune femme, avec son corps pour monnaie d’échange, tire sa mère - et elle-même - de
la pauvreté.
Parce qu’il a le goût du vrai, Molière décrit,
avec nuances mais sans trembler, sans tricher,
comment vivent ceux qui signent par avidité
un contrat de mariage sans amour. Grâce à un
chantage et à une série de miracles, l’accouple-
ment n’aura pas lieu. Heureusement, car l’histoire serait alors trop banale : nous ne pourrions que pleurer sur ces pauvres êtres à la
dérive aux prises avec leur cupidité, traînant
l’un et l’autre leur coeur blessé. [...]
Cette pièce a deux visages. On peut rire d’un
avaricieux. Mais ses ridicules cachent le lieu où
l’avidité trouve son origine : un coeur sec.
Poussé au ridicule, l’appétit financier est
risible ; l’avarice de coeur ne l’est pas. De là, les
choix divergent : les interprètes tirent le personnage vers le drame ou vers la farce débridée. Mais, drame ou farce, la cruauté est sousjacente. Ainsi, à la fin, derrière la rage d’obtenir une dérisoire compensation, nous pressentons l’humiliation d’Harpagon :
“Etes-vous satisfait ?
- Oui, pourvu que, pour les noces, vous me fassiez faire un habit.”
Nous pouvons alors, en riant, condamner ce
héros. On peut aussi dire que, s’enfonçant dans
la dérision, il reste cohérent. Il éloigne la douleur de l’humiliation et, ainsi, préserve un peu
sa dignité.
Le personnage est vainqueur, jusqu’à la fin.
Molière, par honnêteté, montre que puissance
et richesse, liées à un coeur sec, triomphent
toujours. Pour abattre Harpagon, il faudra le
chantage de Cléanthe : “la bourse ou la vie” ; la
cassette ou Mariane ; plus une suite de
miracles.
Introduire des miracles pour dénouer l’intrigue, de la part de Molière, c’est avouer son
désespoir devant la monstruosité de notre
monde, et c’est refuser le désespoir. [...]
Le succès va aux oeuvres vulgaires, sentimentales, bien ficelées. Le temps révèle leur niaiserie écoeurante. Les grandes oeuvres, tel cet
Avare, n’ont aucune ombre de sentimentalité et
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Roger Planchon donne à entendre la tragédie
d’un homme amoureux que son âge a banni
des terres de l’amour. Sa performance d’acteur donne encore plus de force à son parti
dramatique.
Olivier Schmitt, Le Monde, 26-06-1999
Roger Planchon est un Harpagon qui ne s’en
laisse pas compter. Chez Molière, il est chez
lui. C’est un bonheur que de le retrouver en
chef de troupe entraînant à sa suite une jeunesse prompte au désir et non moins prompte
à l’apprentissage de l’hypocrisie. (...) Quand,
dans la tenue d’Adam, Harpagon dévoile son
corps vieillissant, quand il caresse sa cassette
comme on le ferait d’un enfant, la gorge se
serre devant cet homme rusant avec ses
peurs. Il y a là toute la beauté d’un classique,
et sa profonde humanité.
Odile Quirot, Le Nouvel Observateur, 13-01-2000
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ATELIERS
BERTHIER
Gemelos
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(en espagnol, surtitré)
Une piété d’enfance
Avec le récit noir et désenchanté d’Agota
Kristof, La Troppa a fabriqué pour la scène un
conte moral où l’espoir affleure fragilement au
pays des ombres et des inquiétudes, entre
Guignol et Adolf Hitler, comme si le pire était
non pas nié mais surmonté, comme si le malheur (de grandir) était un préambule à la joie
(de vivre).
De l’inconvénient d’être né orphelin dans un
monde cruel : deux enfants de la ville, des
jumeaux, sont confiés à leur grand-mère, une
vieille paysanne, illettrée et avide, qui les maltraite et les réduit en esclavage. Elle les injurie
de sa voix de rogomme : "Hijos de perra !" ("fils
de chienne !") – une expression inusitée dans la
bouche des mamies-gâteau. Une vraie sorcière
de la forêt, une épouvantable, une ogresse,
mais qui ne sera pas un si mauvais maître après
tout – y en a-t-il de bons ? Abandonnés au
froid, à la faim, à la solitude, les Petits Poucets
vont devoir s’endurcir, résister, apprendre.
Qu’est-ce qu’un acteur ? Un pantin dont les
tempes palpitent. Une figure peinte avec un
gros nez. Du mécanique plaqué sur du vivant.
Ceux-là sont trois : ils sont mimes, comédiens,
conteurs, bruiteurs et s’enchantent de dessiner
un monde avec de gros crayons de couleur :
ciel, nuages, moulins, clochetons, vaches,
champs de blé. Un joli monde qui a tué à
jamais l’idée même de la douceur. Nous
sommes dans une contrée d’Europe de l’Est
qui pourrait être la Hongrie sous l’occupation
allemande : dans ce pays, la persécution des
Juifs fut tardive, mais d’une brutalité inouïe.
Avec trois sous de chandelle, des casques en
carton et des wagons de bois, ces Chiliens tentent de dire l’innommable : l’enfance volée, la
guerre, la Shoah, dans l’intimité d’un conte
miniature. Pour cela, ils utilisent les faibles ressources, les ressorts sensibles, de la pantomime
et du théâtre de marionnettes. On sort de
l’aventure ému comme devant un jouet brisé,
au bord des larmes, un peu bête mais régénéré.
Frédéric Ferney, Le Figaro, juillet 1999
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Brève histoire de La Troppa
En espagnol comme en français, «la tropa»
ou la troupe est un terme qui s’applique
aussi bien à une armée qu’à une bande d’acteurs. De fait, la compagnie de Jaime Lorca,
Laura Pizarro et Juan Carlos Zagal a été fondée à Santiago du temps de la dictature militaire. Compagnons d’études à l’Ecole de
Théâtre de l’Université Catholique du Chili
au début des années 80, leur association
s’appela d’abord Los que no estaban muertos , “ceux qui n’étaient pas morts”.
L’expression désignait à leurs yeux leur
propre génération, celle des Chiliens pour
qui la démocratie n’était qu’un souvenir
d’enfance, et qui, parvenant à l’âge adulte, se
débattaient dans l’étouffant climat répressif
imposé par la junte.
En 1987, leur première création collective,
El santo patrono, ne met aucun corps en
scène : à eux trois, ils manipulent simplement un escalier et quelques cubes noirs. De
cette expérience, ils sortent convaincus qu’il
leur faut se remettre eux-mêmes en jeu en
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tant qu’acteurs, quitte à se rebeller contre
une certaine conception du “théâtre pauvre”
inculquée à l’université. Se proclamant
désormais “sans maîtres”, le trio décide de
prendre en main lui-même sa formation, à la
recherche d’un théâtre “qui nous plaise,
nous émeuve, nous passionne, nous amuse”.
Un an plus tard, avec Salmon-Vudu (qui
raconte la quête par un mystique espagnol
d’un continent perdu où se situe le paradis),
ils transforment une grande chaise à bascule en galion voguant dans les tempêtes entre
Europe et Amérique, et apprennent à cette
occasion une leçon qu’ils n’oublieront plus :
l’accessoire, actionné, transformé, poétisé,
s’il fait corps avec l’acteur et le pousse à
prendre des risques, est source de magie
dramatique et visuelle. Après ces deux créations collectives, El rap del Quijote marque
en 1989 leur première tentative d’adaptation
d’un texte littéraire.
Dans les années 90, dès le retour à la démocratie, la petite bande ne tarde pas à se
rebaptiser La Troppa. Le nouveau nom de
cette “trouppe”, avec sa lettre de trop qui fait
discrètement déraper le mot vers l’italien (“la
troppa” ou “l’excessive”), maintient l’allusion
au régime militaire et sa mise à distance, tout
en multipliant ironiquement les effectifs de la
troïka à laquelle se résume toujours la compagnie. Aux yeux de La Troppa, “faire du
théâtre est une guerre spirituelle”, qu’il faut
mener sur tous les fronts : non seulement ses
trois membres jouent à eux seuls tous les
rôles, mais ils conçoivent ensemble les canevas, les décors, les masques, les costumes,
les marionnettes et les accessoires, tandis
que Zagal écrit les musiques de scène.
Poursuivant leur recherche à partir d’oeuvres
non théâtrales, Lorca, Pizarro et Zagal créent
un Pinocchio d’après Collodi (1990), Lobo (sur
une nouvelle de Boris Vian - 1994) et un
Voyage au centre de la terre très librement
inspiré de Jules Verne (1995). A chaque fois, le
groupe gagne en cohésion, en conviction, en
discipline.
Leur dernière création, Gemelos, a voyagé
dans le monde entier. En l’inscrivant dans sa
saison, l’Odéon accueille pour la première
fois à Paris le travail de La Troppa.
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Prochains spectacles
JARDINS DES TUILERIES
DU 5 AU 17 JUIN
Les Cantates
FRANÇOIS TANGUY
et du Théâtre du Radeau
un spectacle de
Les spectacles du Théâtre du Radeau ont pu faire songer à Kantor, à Bob Wilson. Quelques échos de Kafka,
Hölderlin ou Büchner y résonnent parfois. Mais avec le
temps, il apparaît que ce théâtre ne ressemble qu’à luimême. Son but : nettoyer le regard, le reconduire jusqu’à
son seuil énigmatique. Chaque création renvoie le spectateur à son propre théâtre, “lieu d’où l’on voit”.
Comme nous vous l’annonçions dans la précédente
Lettre de l’Odéon, le spectacle Les Cantates a été
reporté à la demande du Théâtre du Radeau. Les
représentations auront finalement lieu du 5 au 17 juin,
sous chapiteau, dans les jardins des Tuileries.
Renseignements 01 44 41 36 33.
L E T T R E
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Vos rendez-vous
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Autour de L’Avare
Cartes Odéon, Abonnements Individuels :
01 44 41 36 38 / [email protected]
Cartes Complice Individuelles et Cartes J :
01 44 41 36 84
Abonnements et Cartes Complice Groupe,
Comités d’entreprise, groupes d’amis :
01 44 41 36 37 / [email protected]
Teatrio, groupes scolaires et universitaires,
associations d’étudiants : 01 44 41 36 39 /
[email protected]
Rencontres les mercredis 9 mai et 30 mai,
à l’issue de la représentation, en présence de
Roger Planchon et de l’équipe artistique.
Renseignements 01 44 41 36 88
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Autour de Gemelos
Rencontre le mercredi 23 mai,
à l’issue de la représentation, avec
l’équipe artistique.
Renseignements 01 44 41 36 88
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Renseignements par téléphone au
01 44 41 36 36, du lundi au samedi de 11h à 19h.
Aux guichets de l'Odéon-Théâtre de l'Europe,
du lundi au samedi, de 11h à 18h30.
Avec James Ellroy
Samedi 31 mars, à 15h :
Les Inrockuptibles et
l’Odéon-Théâtre de l’Europe vous
proposent une rencontre avec
James Ellroy, à l’occasion de la
sortie de son dernier livre
American Death trip,
aux Editions Rivages.
Renseignements 01 44 41 36 44
Odéon-Théâtre de l’Europe
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GRANDE
SALLE
DU 6 JUIN AU 10 JUIN
Presque
Don
Quichotte
CERVANTÈS
chorégraphie JEAN-CLAUDE GALLOTTA
d’après
avec Solange Cheloudiakoff, Ludovic Galvan,
Ximena Figueroa, Yannick Hugron,
Benjamin Houal, Céline Remy, Thierry Verger,
Béatrice Warrand
Une chorégraphie de Jean-Claude Gallotta s’invente
comme le roman de Cervantès : à mesure qu’elle
s’écrit. Celle-ci s’inspire des élans, des toquades, des
chimères de Don Quichotte. Mais ici, le vieux chevalier
s’est effacé devant ses songes... Sans illustrer la fable,
huit danseurs découvrent en eux-mêmes la même
folie vitale que l’hidalgo mythique. Ils pourraient lui
emprunter nombre de ses aphorismes. Celui-ci, par
exemple : "La plus grande folie que puisse faire un
homme en cette vie, c’est de se laisser mourir".
To u te co r re s p o n d a n ce e st à a d re ss e r à :
Odéon-Théâtre de l'Europe
1 place Paul Claudel - 75006 Paris
Tél. 01 44 41 36 00 / Fax 01 44 41 36 01
www.theatre-odeon.fr
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(tout public et toutes représentations)
-
Théâtre-contemporain.net
Dans le cadre des Chantiers Contemporains,
l’Association théâtre-contemporain.net, en collaboration avec l’Odéon-Théâtre de l’Europe, propose une
carte blanche à deux metteurs en scène :
du 15 au 19 mai, à 18h :
Couples, Variations
par Eugène Durif et Catherine Beau.
du 29 mai au 2 juin, à 18h :
Spaghetti’s Club - Le Point de vue de la Femme
parJean Lambert-wild.
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GRANDE SALLE
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27
AVRIL
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ATELIERS BERTHIER
Tarifs : 120 F (18,29€) (série unique)
Représentations : du mardi au samedi à 20h,
le dimanche à 15h.
/
A votre service
- Pour faire garder vos enfants : afin de faciliter
votre sortie au théâtre, Babychou et l’Odéon-Théâtre de
l’Europe vous proposent un tarif préférentiel : 160 F le
forfait de 4h ou 244 F le forfait de 6h. Réservation le jour
même avant 13h au 01 42 79 80 02 ou par télécopie au
01 42 79 80 04.
- Où se restaurer après le spectacle :
sur présentation du billet du spectacle
ou de la carte d'abonné :
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15 % de réduction. Au Bouillon Racine,
3, rue Racine 75006 Paris / tél : 01 44 32 15 60
>
10 % de réduction. A la Chope d'Alsace,
4, carrefour de l'Odéon 75006 Paris / 01 43 27 67 76
Petit Odéon. Entrée libre.
Réservation obligatoire au 01 44 41 36 68.
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AVRIL
Tarifs : 180 F (27.44€), 140 F (21.34€), 80 F (12.20€),
50 F (7.62 €), 30 F (4.57€) - (séries 1, 2, 3, 4, 5)
Représentations : du mardi au samedi à 20h,
le dimanche à 15h.
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Gemelos
Au Studio Théâtre de la Comédie Française :
Pluie de cendres de Laurent Gaudé, mise en scène
Michel Favory, du 14 mars au 29 avril à 18h30.
Un tarif préférentiel est réservé aux abonnés
(consultez votre supplément).
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L’Avare
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Petit Odéon. Entrée libre.
Réservation obligatoire au 01 44 41 36 68.
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Ouverture de la location
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Autoportraits d’auteurs
Du mardi 24 avril au vendredi 27 avril, à 18h :
Laurent Gaudé - La soif d’écrire...
avec Jean-Yves Dubois (sociétaire de la Comédie Française),
Hubert Gignoux, Laurent Gaudé … (distribution en cours)
Mardi 24 avril
Mon antiquité
Mercredi 25 avril Le voyage
Jeudi 26 avril
Le cri
Vendredi 27 avril Derniers mots :
"Gramercy Park Hotel"
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Les Ateliers Berthier
36 Boulevard Berthier, 75017 Paris
Rer C, Métro ligne 13 - Porte de Clichy, bus PC.
Textes dits
Mardi 3 et mercredi 4 avril, à 18h :
La Langue d’Olivier Rolin, lu par Céline Betton,
Marc Betton et Georges Claisse.
Mercredi 11 avril, à 15h :
Le Chat de Schrödinger de John Paul Jones,
lecture proposée par l’auteur.
Avec Patrick Pineau et Isabel Otero.
Petit Odéon. Entrée libre.
Réservation obligatoire au 01 44 41 36 68.
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Grande Salle et Petit Odéon
Entrée du public : Place de l’Odéon - 75006 Paris
Métro : Odéon - Rer : Luxembourg
Bus : 21, 27, 38, 58, 63, 84, 85, 86, 87, 89, 96
Parkings : rue Soufflot, rue de l'Ecole de Médecine,
Place St Sulpice
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L’Odéon Pratique
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photos : Rodrigo Gomez/IMA (Gemelos) / Christian Ganet et Agence Enguerand (L’Avare) / Mario Giacomelli (Les Cantates) / Tristan Valdès (Presque Don Quichotte)
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