LE SEVRAGE DU TABAC PAR AURICULOTHERAPIE.
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LE SEVRAGE DU TABAC PAR AURICULOTHERAPIE.
LE SEVRAGE DU TABAC PAR AURICULOTHERAPIE. (texte écrit par le docteur Bruno BOUQUET) C’est une méthode originale proposée docteur Bruno BOUQUET par le qui a pour principale caractéristique d’être complètement naturelle et totalement atoxique à l’inverse des sevrages chimiques utilisés aujourd’hui en médecine allopathique: Le patch à la nicotine n’est qu’une substitution trompeuse quant au bupropion (zyban lp*) le nombre de ses contre-indications et son mode d’action sur le système nerveux central (rappelant pour beaucoup les substances anorexigènes retirées du marché depuis maintenant une bonne dizaine d’années du fait des dépendances et des dépressions sévères observées secondairement à leurs utilisations) le rend tellement dangereux qu’on peut se demander pourquoi le corps médical a accepté de l’employer. Sur le plan pratique le sevrage est obtenu dans 75% des cas dés la première séance. Les 25% restant, représentent les cas complexes qui nécessiteront par contre plusieurs séances (2 à 4 étalées sur plusieurs mois). Elles sont rendues nécessaire du fait d’interférences liées à des atteintes structurelles necessitant des traitements concomitants qui demandent du temps pour leur réalisation comme par exemple un équilibrage occlusal ou des traitements de foyers parodontaux ou encore la stabilisation d’un contexte émotionnel trop puissant. Il existe une condition primordiale et incontournable pour obtenir de tels chiffres de réussite: n’accepter que des sujets qui ont une véritable envie d’arrêter de fumer et une motivation sérieusement ancrée en eux. En d’autres termes , on peut toujours essayer de sevrer le «touriste» dont la femme a pris le rendez-vous, et qui vient pour lui faire plaisir, mais il ne faut se faire aucune illusion: on court «devant» 90% d’échecs. Un deuxième corollaire tout aussi important que le précédent, est de faire une étude précise du contexte émotionnel dans lequel gravite le sujet. .A titre d’exemple , je me souviens d’un candidat au sevrage , hypermotivé que je voyais à la séance d’entretien (prélude à tout traitement), qui me relatait être en plein procédure de divorce et subir un contrôle fiscal dans son entreprise . Je lui proposais de remettre à plutard ce sevrage car de mon point de vu, il subissait un trop plein d’agressions qu’il n’était pas nécessaire d’amplifier. Mais il avait par ailleurs de telles motivations de santé qu’il a désiré essayer le traitement de sevrage. Résultat: il me téléphonait un quinzaine plutard pour me dire qu’il avait repris à petites doses mais qu’il reviendrait quand le contexte serait meilleur ce qui fut fait quelques mois après. Depuis enthousiasmé par la méthode, il m’a adressé de nombreuses personnes. L’auriculothérapie est une réflexothérapie developpée par le docteur NOGIER à la fin des années 50. Elle utilise l’oreille comme un écran tactile pour dialoguer avec le cerveau (qui renferme le disque dur , le système d’exploitation et la mémoire). Cette discussion s’effectue par l’intermédiaire du pouls ou plus exactement à travers une différence dans la perception tactile de l’onde de choc créée par la propagation du flux sanguin à travers l’artère radiale(le plus souvent) qui répond à un simple code binaire: la présence d’une différence traduit l’existence d’un élément à corriger; dans le cas contraire, tout va bien. Dans tous les cas , l’onde n’a physiquement aucunement changé ses caractéristiques. Pour l’acte thérapeutique lui-même, on utilise une pointe chaude sans flamme selon le principe de la moxibustion de l’acupuncture chinoise qui sera mise en contact avec la peau de l’auricule quelques microsecondes. La sensibilité cutanée conjuguant les informations véhiculées par le tact grossier à ceux de la chaleur et de la légère douleur, va informer le cerveau sur la nécessité d’opérer un changement. Que peut-on dire sur le déroulement d’une séance d’une manière générale? la première réflexion est que chaque cas est un cas particulier et qu’aucune séance ne ressemble à la précédente mais cela en fait aussi son originalité. En conséquence on ne peut qu’énoncer des principes généraux. Le premier temps forcement le plus long sera le traitement de l’intoxication à la nicotine. La question qui nous vient à immédiatement à l’esprit: Pourquoi un être humain a t-il besoin de la nicotine? non seulement nous sommes en présence d’une puissante drogue stimulante du système nerveux central et nous savons tous la fâcheuse manie que l’Homme a depuis des lustres à s’intoxiquer avec tous les stimulants qui traînent sur la Terre pour améliorer ses performances alors qu’il devrait soigner son hygiène et, en cette période d’olympiade, fréquenter plus les stades, mais aussi d’un toxique puisqu’il donne accoutumance et dépendance au même titre que les «stupéfiants». On peut imaginer qu’une partie de cette intoxication est un plaisir, et qu’il le restera si on ne dépasse pas la quantité de 5 cigarettes par jour. Ce type de consommation intéresse le plus souvent des femmes, avec une notion de mondanité très fréquemment associée. Je l’ai surnommé le «plaisir des dieux» car il associe le plaisir à l’absence de toxicité au sens médical du terme puisque la consommation reste stable au fil du temps. Plusieurs fois , j’ai eu une demande de sevrage de la part de ce type de consommatrices de tabac, et j’ai toujours refusé de les traiter à leurs grands dams d’ailleurs, mais il est vrai qu’il existe fréquemment associée une personnalité de type particulière qui est un problème dont l’abord sort du cadre du sevrage à proprement dit. Maintenant si nous envisageons le problème sous un angle d’énergéticien, la Nicotine se présente (parmi tant d’autres produits ou aliments et pour n’en citer qu’un autre qui occupe une situation tout aussi ambiguë l’Alcool) comme un excellent moyen ponctuel de compenser nos fuites d’énergie ou nos instants de «faiblesse». Sa fourniture sous forme de tabac s’avère relativement simple, facilement reproductible, abordable financièrement mais jusqu’à quant pour le citoyen ?. Pourquoi un sujet se trouve t-il en fuite d’énergie? On ne peut envisager d’aborder cette notion sans énoncer qu’en pathologie auriculaire il existe trois versions indissociables de l’être humain qui permettent de le concevoir dans son intégrale globalité qu’on pourrait nommer l’Homme Structurel (faisant référence plutôt au corps anatomique), l’Homme Fonctionnel (faisant référence plutôt à la physiologie) et l’Homme Energétique (faisant référence plutôt à la structure atomique et à l’organisation spatiale des molécules biologiques génératrices d’ondes de formes et d’ondes de structures qui s’organisent en réseaux énergétiques analysables en réflexothérapie auriculaire entr’autre), toujours étroitement intriqués que seul un médecin possédant les indispensables connaissances scientifiques sera à mène de gérer tout en conservant en permanence à l’esprit les étroites relations qui les rendent indissociables. N.B.: A cet instant il devient nécessaire de remettre en mémoire la notion qui a conduit le corps médical à proposer le sevrage du tabac: prévenir les atteintes structurelles comme par exemple les pathologies cardio-vasculaires ou certains cancers. Aussi pourrait-on dire maintenant peu importe la méthode pourvu qu’elle fût atoxique et la plus naturelle possible du moment que les résultats soient au rendez-vous. La première analyse portera sur la recherche de deux «pathologies» fréquemment associées au tabagisme et trop souvent négligées en médecine traditionnelle qui sont: les pathologies dentaires occlusales consécutives à des dents trop souvent arrachées inutilement qui laissent des vides générateurs des dysocclusions et des égressions, ou encore à des traitements orthodontiques d’adolescents faits actuellement largua manu, mais non parachevés de leurs indispensables réglages occlusaux fastidieux, mal rémunérés et difficiles. Elles sont responsables de fatigue matinale inexpliquée, de courbatures ou même de douleurs de réveil et de dérouillage matinal pénible, trop facilement attribués à de l’arthrose vertébrale sans parler des douleurs nocturnes qui vont interrompre le sommeil du sujet. Il existe d’autres pathologies odontologiques soit au niveau de l’espace parodontal (kyste, granulome fusion de pâte dentaire, etc.) soit au niveau des travaux dentaires portant sur la couronne (les mélanges de métaux quand on multiplie les compositions chimiques incompatibles sur les almagames ou entre les divers composites les coiffes installées en bouche vont avec l’intervention de l’acidité de la salive, générer des échanges ioniques entre les differents composants; ce micro-galvanisme sera responsable de lésions buccales multiples ) mais dans le cadre du tabac elles interviennent avec une fréquence nettement moindre. Cet état de fait est heureux car leurs traitements étiologiques sont complexes, assez onéreux et trouver un spécialiste compétent, apte à les réaliser reste assez difficile même dans les grandes villes comme Marseille. Il faut dire que ce deuxième type de pathologie dentaire est beaucoup moins intriqué à la consommation nicotinique que celle de type occlusal mais qu’elle intervient dans de nombreux blocages structuraux comme par exemple les périarthrites scapulo-humérales aspecifiques et autres douleurs vertébrales considérées comme «inexplicables». Les défauts de convergence oculaire sont à l’origine de nombreux syndromes dystoniques trop facilement étiquetés «spasmophilie» ou «phobie» alors qu’une simple rééducation orthoptique peut résoudre une grande partie du problème en moins de deux mois du point de vue structurel. Ils sont aussi responsables d’innombrables céphalées de la fin de journée trop vite étiquetées «migraine» chez la femme en particulier. Sur le plan énergétique ce sont des «trous» dans le réseau orchestrant un épuisement permanent des ressources du sujet incriminé qui expliquent la consommation nicotinique qui, dans le cadre des troubles de la vision binoculaire, est très souvent accentuée dans l’après-midi ou sur la soirée. La thérapeutique à l’oreille ne fera que les neutraliser et lever les déséquilibres qui leurs sont secondaires avec des actions par moxibustion pratiquées à la face postérieure de l’oreille droite pour la chaîne de decompensation à point de départ dentaire et à gauche pour la chaîne de decompensation à point de départ oculaire. La deuxième partie de l’analyse portera sur une re-équilibration structuro-fonctionnelle de l’ensemble du squelette (en particulier de nombreux blocages fonctionnels vertébraux) et des viscères à travers l’aspect énergétique ainsi que des fonctions propres du réseau énergétique dont les anomalies peuvent induire secondairement des désordres dans les deux autres composantes humaines. Le but recherché est une re-équilibration la plus parfaite possible de l’homme en assurant aux divers systèmes un rendement proche du maximum avec une consommation énergétique la plus basse possible ce qui évitera les phénomènes d’épuisement qui sont à la base de la demande de nicotine. Il s’y associe deux conséquences très importante pour la réussite et le maintien du sevrage de tabac qui sont l’objet de nombreuses questions au moment des prises de rendez-vous: l’absence de manque et l’absence de prise de poids dans les mois qui suivent . Il n’y a pas de boulimies réactionnelles dans l’immédiat mais si on laisse des anomalies structurelles importantes traînées sans traitements étiologiques, les fuites d’énergie reprennent et les recharges alimentaires peuvent apparaître. Il deviendra nécessaire de reprendre une nouvelle re-équilibration d’entretien mais qui correspondra alors plus à un traitement d’attente qu’à un nouveau traitement de sevrage. Le deuxième temps plus court traitera trois tests spécifiques de l’intoxication tabagique: l’envie, le réflexe conditionné, le «bon goût» et le plaisir «olfactif» du tabac. le réflexe conditionné: il est abordé systématiquement par le consultant au cours du sevrage et en effraie beaucoup. En fait il ne représente pas au sens étymologique du terme un vrai conditionnement ou plus exactement une véritable programmation de l’être, c’est-à-dire quelque chose qui se produira systématiquement quoiqu’on puisse faire au même titre, par exemple, que le réflexe rotulien chez l’Homme, étant la jambe quand on percute le tendon rotulien (en l’absence de toute pathologie sous jacente). En fait on se trouve en présence d’une réaction de ré-équilibration consécutive à une fuite d’énergie ponctuelle réactionnelle à une «agression» prise dans son sens le plus large. Ainsi par exemple consommer un certain aliment ou boire quelques gorgées d’un type de vin peut mettre l’individu en fuite énergétique et induire instantanément une consommation de tabac pour rétablir l’équilibre momentanément rompu. Prenons un autre exemple: L’individu qui éprouve quasi-systématiquement le besoin d’allumer une cigarette au lever. C’est en fait un sujet qui a perdu son équilibre énergétique durant son sommeil secondairement à la mise en mémoire du vécu émotionnel de la veille. Il faut se rappeler à cet effet qu’une des grandes fonctions physiologiques du sommeil (trop souvent ignorée en médecine) est le classement comparatif des émotions vécues au quotidien à celles du passé et l’entrée des données dans le «disque dur» de la mémoire profonde. Cette opération s’accompagne d’une résurgence des agressions du passé associée à un stress concomitant puissant qui auront pour conséquence immédiate un serrement réflexe de l’ensemble de l’articulé dentaire avec un effort qui peut se prolonger une grande partie de la nuit. La conséquence immédiate est un épuisement musculaire physiologique alors que le sujet est sensé être en phase de récupération. Pour peu qu’il soit porteur d’un déséquilibre occlusal, l’effort des muscles compensateurs va tracter sur les articulations adjacentes accentuant l’épuisement du réveil et engendrant des raideurs et des douleurs matinales supplémentaires. A cet enchaînement mécanique qui épuise les réserves physico-chimiques physiologiques va se surajouter l’épuisement des ressources du réseau énergétique. Plaisir et envie font parties intégrante de la constitution même de la Personnalité d’un individu. Nul ne peut réellement les changer si ce n’est au cours de conditionnements aliénants comme par exemple ceux instaurés sous hypnose mais alors nous sortons du cadre des thérapeutiques non agressives. Cependant on peut les détourner vers des motivations supérieures comme la santé et la prise de conscience d’arrêter une intoxication majeure responsable de nombreuses maladies cardiovasculaires qui risquent d’hypothéquer durement l’avenir de l’individu. On note ici l’énorme importance qu’on doit attacher à la prise du rendez-vous. Un sujet qui demande à sa compagne de lui prendre son rendez-vous à de plus grande chance de courir vers un échec qu’une personne qui a fait de lui-même l’intégrale de cette démarche car probablement il essaye de lui faire plaisir mais dans son fort intérieur il n’a pas bougé d’un iota et sa motivation n’y est pas suffisamment ancrée. Plaisirs olfactif et gustatif liés au tabac seront traités en dernier lieu par moxibustion de quelques points auriculaires avec pour préoccupation principale de faire éprouver le dégoût originel des toutes premières consommations tabagiques au sujet qui serait tenté de reprendre un tabagisme à doses filées dans les suites du sevrage.