Présentent Un film de Sylvai Archambault et Ian Lauzon Produit par

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Présentent Un film de Sylvai Archambault et Ian Lauzon Produit par
 Présentent Un film de Sylvai Archambault et Ian Lauzon Produit par Lorraine Richard et Luc Martineau Sortie en salle à l’automne 2013 Produit avec la participation financière de Téléfilm Canada, Les Films Christal, Attraction Distribution et
les crédits d’impôt provincial et fédéral.
Synopsis Quand tu aimes il faut partir
Cendrars
Un homme désespéré qui a perdu le droit de voir son fils depuis cinq ans décide de l’enlever pour vivre avec lui une partie de chasse (épisode traditionnel de transmission de savoir) avant de se faire coffrer probablement pour très longtemps. L’homme de 45 ans et son fils de 12 ans se retrouvent loin dans la forêt du Nord du Québec. Le fils est terrifié par son père (au Québec, les drames familiaux qui se terminent par l’infanticide sont malheureusement trop nombreux dans les cas de luttes de garde). Or, lors de cette partie de chasse, le fils réussit à s’emparer de la carabine et fait feu sur son père. Le père est gravement blessé. Le fils fuit. Puis, hanté par la culpabilité, revient sur ses pas. Le fils devra alors, sous les instructions de son père (ambulancier, on l’aura vu plus tôt), apprendre à désinfecter une plaie, à construire un brancard et à transporter un homme sur deux kilomètres de forêt sans fléchir. Mot de l’auteur Ian Lauzon Scénariste Toutcequelepèredefamilleditauxsiensdoitinspirer
l'amouroulacrainte.
JosephJoubert
Sylvain Archambault me mettait au défi récemment de trouver une histoire qui aborde la difficile question des pères privés de la garde de leurs enfants. Un matin l'histoire m'est apparue. Un ambulancier de 45 ans privé du droit de voir son enfant depuis quatre ans en vient à le kidnapper, le temps de vivre une partie de chasse avec lui. L’enfant a 12 ans. Il est bien sûr terrorisé. Convaincu que son père l'amène dans le bois pour le tuer. À un moment le jeune s'empare de la carabine, fait feu et blesse son père gravement. Quand le fils reprend ses esprits, il doit vite apprendre à soigner son père. Il devra le descendre en brancard sur un kilomètre de flanc de montagne. Puis il devra apprendre à conduire la voiture pour l’évacuer de la pourvoirie, avant de le remettre aux autorités. Le premier paramètre dans l'écriture de ce film est un paramètre moral. Il consiste dans l'énoncé suivant: UN PÈRE TROUBLÉ QUI VERRAIT LE FILM DEVRAIT ÊTRE DISSUADÉ DE PASSER À L'ACTE. Autrement dit: La Garde ne sera pas un film qui glorifiera la souffrance du père privé de son fils. Le film s'avance vers cette souffrance jusqu'à une proximité presque insoutenable sans jamais s'apitoyer. Le spectateur doit être maintenu dans une tension digne d'un suspense dès le début: Est‐
ce que cet homme va commettre l'irréparable? Est‐ce que sa souffrance justifie ce qu’il est en train de faire? Est‐ce qu'il sait ce qu'il fait? Est‐ce que le fils va abaisser ses gardes et entrer dans un vrai dialogue avec ce père qu’il ne connaît plus et qui lui fait peur? Ces questions tomberont – d’un coup de feu – en désuétude. À partir du moment où le fils tire sur le père, en état de légitime défense croit‐il (et on peut le comprendre), les questions morales se transforment en UN SEUL PROBLÈME très concret: la survie. Un homme est gravement blessé. Il faut le sortir du bois. La «complicité de force» qui va se nouer ici, encore une fois sans tomber dans le mélodrame, sera réelle et intense par la force des choses. La rencontre entre le père et le fils aura donc lieu. Et elle nous touchera, je répète l’expression, par la force des choses. Mais la fin nous ramène durement les pieds sur terre. Quand le père dit à son fils qu’il le comprend d’avoir eu peur et d’avoir tiré mais qu’il ne lui voulait aucun mal, le fils est très lucide lorsqu’il rétorque: «Comment tu le sais? Comment tu pourrais le savoir? Tu vas pas très bien ces derniers temps…» Le père est alors forcé de se voir de l’extérieur par les yeux du fils: il est un adulte troublé qui a fait peur à son fils. C’est ce qu’il faut réussir dans l’écriture de ce film. Aller au cœur d’une relation parce que la survie entraîne la nécessité de communiquer, la nécessité de ne faire qu’un. Nous, spectateurs, nous oublierons tout de la situation de départ, de notre doute sur la santé mentale du père. On vient de le voir donner un cours de premier soin et de survie en forêt à son fils, pendant qu’il se vidait de son sang sur un brancard. On vient de le voir patient, agonisant, sévère, précis, endurant. On vient, en gros, de voir un père se comporter de manière exemplaire dans une situation exceptionnelle. Pour le fils, même chose. Ils sont nos héros. Jusqu’au réveil final. On ne saura jamais ce qui se serait passé si la partie de chasse avait continué. Est‐ce que le désespoir n’aurait pas pris le dessus à l’heure du retour? On ne le saura jamais. Mais c’est une vraie question. Et c’est cette question qu’il y a dans les yeux du père dans le dernier plan du film. « Est‐ce que j’allais tuer mon fils? Est‐ce que ça aurait fini comme ça? » CITÉ AMÉRIQUE Fondée en 1987, Cité Amérique est une des plus importantes maisons de production au Canada. Plusieurs de ses titres ont obtenu des records d’assistance ou de cote d’écoute et ont été honorés par les jurys de nombreux festivals et événements internationaux. Voici quelques titres de films québécois produits par la compagnie : Séraphin, un homme et son péché, Le cœur au poing et Eldorado de Charles Binamé, L’audition de Luc Picard, Monica la Mitraille de Pierre Houle, Ma Tante Aline de Gabriel Pelletier, Histoire de Famille de Michel Poulette, CQ2 (Seek You Too) de Carole Laure, La rivière aux Castors et La citadelle assiégée de Philippe Calderon, Lost and Delirious et Emporte‐moi de Léa Pool, ainsi que Dans le ventre du dragon d'Yves Simoneau. Cité‐Amérique a également produit plusieurs séries dramatiques pour la télévision, (certaines d’entre elles co‐produites avec la France, le Royaume‐Uni ou l’Irlande) dont voici quelques titres ayant connu d’excellents succès : Les filles de Caleb, Blanche, Random Passage, Marguerite Volant, Dice et Bob Gratton, ma vie, my life (Saison I et II); nommons également les téléfilms Crimson Petal and the White, La trilogie marseillaise et The Last Casino. Cité Amérique a récemment ajouté à ses activités la production de séries jeunesse dont : Doggy Day School I et II, Ludovic, Station X, Dragon et Wumpa’s World. Les productions signées Cité Amérique ont déjà remporté près de 80 prix et distinctions au pays comme à l’étranger; vendues dans plus de cinquante pays, elles auront rejoint un auditoire estimé à 500 millions de personnes. Équipe de production LORRAINE RICHARD Productrice Cofondatrice et présidente de Cité Amérique, elle a produit pour le cinéma : French Kiss de Sylvain Archambault (2010), Babine de Luc Picard (2007), Ma Tante Aline de Gabriel Pelletier, L’Audition de Luc Picard (Grand Prix et Meilleur film canadien FIFM 2005), Monica La Mitraille de Pierre Houle (Best flick award Canadian filmakers’s Festival, Toronto 2004), Séraphin, un Homme et son péché de Charles Binamé (Billet d’Or Jutra 2003 et Golden Reel Genies 2003), Lost & Delirious de Léa Pool (Film s’étant le plus illustré à l’étranger Jutra 2002, Prix du Public Stockholm 2001), Emporte‐moi de Léa Pool (Prix spécial du Jury œcuménique Berlin 1999, Prix spécial Festival International de Toronto 1999, Meilleur film canadien Association des critiques de films de Toronto 1999, Gryphon d’Argent Meilleur film Giffoni 1999) Four Days de Curtis Wehrfritz (Bronze Award Meilleur film de suspense Flagstaff 19999) Eldorado et Le Cœur au poing de Charles Binamé (Chrystal Globe Meilleur film Karlovy Vary 1998 ) Dans le ventre du Dragon de Yves Simoneau (Outstanding film of the year London Film Festival 1989). Durant de nombreuses années, Lorraine Richard a été vice‐présidente et membre du conseil d'administration de l'Association des Producteurs de Film et Télévision du Québec (APFTQ); entre 1995 et 2000, elle était Présidente du Conseil National du cinéma et de la production télévisuelle, et également membre du conseil d'administration de la SODEC. Elle a été aussi membre du conseil d'administration du Canadian Television Fund entre 1997 et 2000. En 1992, Lorraine Richard a reçu le Corporate Achievement Award par le Canadian Film and Television Production Association (CFTPA). Elle a également reçu en 1992 le prix du Canadian Woman Entrepreneur of the year et été honorée en 1999 par l'Association des Femmes en Cinéma et Télévision (Women in Film and Television) pour sa contribution à l'industrie. LUC MARTINEAU Producteur Il a produit pour le cinéma : French Kiss de Sylvain Archambault (2010), Babine de Luc Picard (2007), Ma Tante Aline de Gabriel Pelletier (2006), L’Audition de Luc Picard (Grand Prix et Meilleur film canadien FIFM 2005), Monica La Mitraille de Pierre Houle (Best flick award Canadian filmakers’s Festival, Toronto 2004), Séraphin, un Homme et son péché de Charles Binamé (Billet d’Or Jutra 2003, Golden Reel Genies 2003),), et pour la télévision la série Wumpa’s World I (2001) et II (2003)et le site web Wumpa (Grand Prix Jeunesse, concours Boomerang 2003. Flèche d’Or 2004 de l’AMR) ainsi que la série Bob Gratton, Ma vie, My life I réalisée par Gabriel Pelletier (2005), et Bob Gratton, Ma vie, My life II et III réalisées par Sylvain Archambault (2007‐2008). Depuis 1978, il a été un pigiste actif dans le milieu de la production cinématographique télévisuelle et publicitaire, entre autres pour La Guerre des Tuques de André Melançon, Les Plouffes de Gilles Carle, Bonheur d’occasion de Claude Fournier, Les Filles de Caleb de Jean Beaudin, Marguerite Volant et Le cœur au poing de Charles Binamé. SYLVAIN ARCHAMBAULT Réalisateur Sylvain Archambault est détenteur d’un BFA (Bachelor of Fine Arts) en production cinématographique de l’Université Concordia, promotion 1986. Dès la fin de ses études, il crée Les Productions Wolfpack et s’empresse alors de produire des documentaires, des longs métrages, et des clips vidéo pour de grands artistes québécois tels que Marjo, Paul Piché ou The Box. C’est un peu par accident qu’il tombe dans le monde de la publicité, d’abord à titre de producteur exécutif où il gère la production d’environ un millier de films publicitaires et ensuite comme réalisateur. Il signe plus de 200 réalisations tournées à travers le monde (Afrique du Sud, Mexique, France, États‐Unis...), et réalise de grandes campagnes nationales notamment pour les Jeux olympiques. Il est récipiendaire de multiples prix internationaux dont un Coq d’Argent et un Coq de Bronze du Publicité Club de Montréal et par deux fois, il est finaliste au London Advertising Film Award. En 2004, il passe à la réalisation de dramatiques : Le Négociateur I & II (2004, sur TVA), Le 7e round (2006, Radio‐Canada), Bob Gratton II (2007, TQS), Les Lavigueur, la vraie histoire (2007, Radio‐
Canada), Bob Gratton III (2008, TQS). En 2008, il collabore à l’élaboration du projet et réalise son premier long métrage produit par Cité‐
Amérique, Pour toujours, les Canadiens. Il poursuivra sa carrière en réalisant le très remarqué Piché :Entre ciel et terre, film qui récoltera le plus gros box office parmi les films québécois de 2010. En 2011 il signe la réalisation du film French Kiss, aussi produit par Cité Amérique. Sylvain Archambault siège au conseil d’administration du « Mel Hoppenheim School of Cinema » de l’Université Concordia. Après deux nominations meilleure réalisation : série dramatique aux Prix Gémeaux en 2005 et 2007, il remporte avec la série Les Lavigueur, la vraie histoire le Prix Gémeaux 2008 de la meilleure réalisation pour une série dramatique. Distribution des personnages Luc Bisaillon, 45 ans. (Paul Doucet) Ayant perdu la garde de son fils, Luc sent que sa vie lui échappe. Il n’avait pas planifié sa vie de famille ainsi. L’injustice relative des évènements l’empêche de réagir intelligemment, et l’entraîne vers des décisions lourdes de conséquences. Il se sent perdu, abandonné, ostracisé. Pourtant, au départ, la vie lui promettait une vie sans histoire, avec un emploi, une blonde, un enfant, une maison. Luc est un homme de tradition et de gros bon sens. Un fils doit avoir un père, et un père doit avoir un fils. Les souvenirs qu’il possède, d’une relation idéalisée qu’il avait lui‐même avec son père, deviennent une idée fixe. Il se doit de vivre une relation père‐fils. C’est tout simplement naturel. Si le système judiciaire se met en travers de cette évidence, il se doit d’agir. Qu’importe le prix. Luc est un homme de cœur, troublé, à la limite du déséquilibre mental et impuissant face à une situation qui le dépasse. Samuel Bisaillon, 12 ans. (Antoine L’Écuyer) Samuel ne connaît pas vraiment son père. Il possède surtout quelques souvenirs épars, principalement négatifs, que sa mère se plaît à lui raconter. Pourtant, jusqu’à l’âge de 8 ans, il se sentait en sécurité dans le nid familial. Puis, un beau jour, tout à basculé. Il n’a pas trop compris ce qui s’était passé, et n’a jamais trop posé de questions. Il a simplement compris que sa mère était la personne qui s’occuperait le mieux de lui. C’est un garçon somme toute taciturne, qui se laisse porter par la vague, qui veut plaire à ses amis et qui peut être très influençable. Il aime les jeux vidéo, perde son temps sur facebook, et découvre l’alcool avec ses amis. La mère de Samuel, 42 ans. (Sandrine Bisson) Ni victime, ni manipulatrice, la mère de Samuel a eu terriblement peur lorsque Luc a levé la main sur Samuel. Elle s’est revue, petite, avec son père qui la terrorisait. Elle s’était pourtant juré que cela n’arriverait jamais dans sa famille. Depuis, Luc a perdu toute sa confiance. Il n’existe plus pour elle. Le moins elle et Samuel le voient, le mieux elle se porte. C’est une mère aimante, un peu désabusée (sans être pathétique) et surtout très protectrice. L’avocate de Luc, 64 ans. (Michèle Sirois) Femme douce mais directe, l’avocate connait la lenteur de système judiciaire et demande à Luc de rester patient. Elle veut que son client retrouve son fils, mais elle laisse les choses aller, puisqu’elle préconise une approche qui va avec le système et non contre le système. De toute manière, après sa journée de travail, elle retrouve sa jolie maison de banlieue cossue, et laisse les problèmes au bureau, en s’évadant dans sa grille des Mordus. Empathique, fumeuse, et un peu blasée. L’équipe de création IAN LAUZON Scénariste Ian Lauzon est un scénariste et réalisateur québécois, né le 25 octobre 1966 à Sherbrooke. Après un baccalauréat en littérature à l’Université de Montréal, il se commet sur les scènes du théâtre underground montréalais avant de se consacrer au cinéma. Entre 1990 et 1995, il signe de nombreux textes de théâtre radiophonique et s’implique dans la recherche et la formation en éducation interculturelle à Montréal. Il publie quelques articles polémiques dont De l’altérité honorifique, La place de l’autre dans la politique de Michel Morin et Le Don des forces humanitaires, des monts Groulx à la Somalie. Entre 1995 et 2000, il participe à La Langue à terre (les shows en 20 heures) et aux Auteurs du dimanche. Deux textes de cette période feront partie de la pièce de théâtre Les Monologues mutants qu’il mettra en scène au Patro Výš en 2003. Il réalise ensuite Bobby avec François Blouin, un long métrage psycho‐pulp ultra fauché sur la castration et Confessions des masques, un long métrage documentaire sur les dilemmes éthiques des travailleurs du spectacle qui confine à une réflexion sur l’identité. En 2007, il adapte pour le Québec la télésérie britannique The Office. Il coscénarise ensuite la comédie policière De père en flic avec Émile Gaudreault. Entre 2009, et 2010, il complète l’écriture de la comédie Cabotins, et du film biographique Piché, entre ciel et terre. Il fonde alors les Productions Le Blab Lab, laboratoire d’écriture et plateforme de collaboration et de développement de projets en télévision, cinéma et roman graphique. CARMEN ALIE Créatrice des costumes Formée à l’école de haute couture Cotnoir Caponi, Carmen Alie œuvre dans le domaine du costume depuis 1988.Versatile elle a fait la conception de costumes pour plus de 150 productions scéniques allant de la danse (Les grands ballets canadiens, American ballet theater N.Y., San Francisco ballet, O Vertigo) au théâtre (Macbeth TNM, le Menteur NCT, Lorenzacio NCT) en passant par le rock (Garde robe de Mick Jagger, Voodoo Lounge Tour) pour ne nommer que ceux‐ci. Elle a à son actif plus de 300 publicités télévisées ainsi que les séries Grande Ourse1‐2 (Prix gémeaux du ‘’meilleurs costumes’’ 2004) Ciao Bella, toutes deux réalisées par Patrice Sauvé , François en série 1‐2 ( Jean François Asselin), Les Sœurs Elliot 1‐2 (François Gingras) et une filmographie comprenant L’audition (Luc Picard), La rage de l’ange ( Dan Bigras), Cheech ( Patrice Sauvé ), Nitro (Alain Desrochers)et Tout est parfait ( Yves Christian Fournier). Elle a aussi travaillé plus récemment sur les productions cinématographiques Babine (Luc Picard), ayant gagné le Jutras des meilleurs costumes et 5150 rue des Ormes (Eric Tessier). YVANN THIBAUDEAU Montage Image Une filmographie des plus complètes démontre bien le travail d’Yvann. À la télévision, sont travail fut remarqué sur Les Lavigueur (Sylvain Archambault), Les Boys (Louis Saïa) et Les Invincibles (Jean‐
François Rivard). Au grand écran, il livre un montage raffiné sur Bordeline et Tout est parfait, ainsi qu’un montage efficace sur French Kiss, Piché; entre ciel et terre, Pour toujours les Canadiens (Sylvain Archambault), Funkytown (Daniel Roby), et le savoureux Starbuck (Ken Scott). MICHEL CORRIVEAU Musique originale Michel Corriveau set un compositeur d’inspiration à la fois éclectique et éclatée. Au cinéma, il a mis en musique des drames (Le Survenant), des thrillers (Le Dernier Tunnel) et des comédies (French Kiss, Bon Cop, Bad Cop). À la télévision, il a rythmé l’action de plusieurs séries marquantes comme Answered by Fire, Les Lavigeurs ou The Phantom. À Chaque fois, il a trouvé la note juste. Ses premières compositions, Michel Corriveau les doit au monde de la publicité, qui, durant près de dix ans, lui donnera l’occasion d’explorer tous les sons, tous les rythmes et tous les styles. Au total, il signera pas moins de 500 « 30 secondes » pour de grandes campagnes nationales, récoltant au passage plusieurs récompenses, parmi lesquelles deux Coqs d’or du Publicité Club de Montréal. À l’invitation du réalisateur Érik Canuel, il crée la musique de Hemingway : A Portrait, un documentaire présenté dans les cinémas IMAX en première partie du film Le Veil Homme et la mer d’Alexander Petrov. L’expérience sera une révélation. Pour le public d’une part, qui découvre un artiste capable de décupler le pouvoir des mots et des images. Suivront deux productions américaines puis Nez Rouge en 2003, pour lequel la SACEM lui décerne un «Coup de chapeau» au Festival du cinéma québécois à Paris. Depuis, Michel Corriveau a mis en musique de nombreux longs métrages, alternant entre les ambiances intimistes des films d’auteurs et l’ampleur symphonique des œuvres à grand déploiement. Cette polyvalence tous azimuts et sa signature cinématographique unique lui ont d’ailleurs valu plusieurs prix nomination de distinctions. Fiche technique Un film de Produit par
Sylvain Archambault Lorraine Richard
Luc Martineau Scénario Directeur artistique Directeur photo Ian Lauzon, Daniel Diaz et Ludovic Huot Patrice Bengle Christophe Graillot Réalisation des effets numériques Benoît Brière Costumes Guy Lemieux Maquillage
Danielle Huard
Coiffure
Hanna Yee
Casting Conception sonore et son direct Mixage Montage Musique originale Catherine Didelot Marcel Pothier et Jean‐Philippe Bérubé Yvann Thibaudeau Michel Corriveau Productrice déléguée Martha Fernandez Producteurs exécutifs
Daniel Proulx, Richard Speer Production
Distribution Ventes à l’étranger Cité Amérique
Christal FIlms LA GARDE avec Sam Bisaillon
Antoine L'Écuyer
Luc Bisaillon
Paul Doucet
Sylvie Bisaillon
Sandrine Bisson
Avocate Maître Gingras Yves chez Luc Policière Homme avec bouteille Phil Bern Johanne Le trucker Michèle Sirois Stéphane Breton Nathalie Cavezzali Marc Gourdeau Antoine Desrochers Andrick Sanon Danielle Fichaud Pierre Mailloux Martin Lambert
Policier
et L'infirmier Sébastien Labbé Proulx 

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