au cinéma le 13 avril - Page d`acceuil Bossa nova

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au cinéma le 13 avril - Page d`acceuil Bossa nova
METROPOLITAN FILMEXPORT PRÉSENTE
EN ASSOCIATION AVEC STX ENTERTAINMENT
Écrit et Réalisé par
Ilya Naishuller
Produit par
Timur Bekmambetov
Avec
Sharlto Copley, Danila Kozlovsky, Haley Bennett
Durée : 1h34
AU CINÉMA LE 13 AVRIL
Notre portail est à votre disposition.
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Distribution :
METROPOLITAN FILMEXPORT
29 rue Galilée - 75116 Paris
Tél. 01 56 59 23 25
Fax 01 53 57 84 02
[email protected]
Programmation :
Tél. 01 56 59 23 25
www.metrofilms.com
Relations presse :
BOSSA NOVA - MICHEL BURSTEIN
32 boulevard St Germain - 75005 Paris
Tél 01 43 26 26 26
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www.bossa-nova.info
Partenariats et promotion :
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Tél. 01 56 59 66 66
SYNOPSIS
Attachez votre ceinture. Hardcore Henry est certainement l’expérience la plus intense et
la plus originale à vivre au cinéma depuis bien longtemps!
Vous ne vous souvenez de rien.
Votre femme vient de vous ramener à la vie. Elle vous apprend votre nom : Henry.
Cinq minutes plus tard, vous êtes la cible d’une armée de mercenaires menée par un
puissant chef militaire en quête de domination du monde. Vous parvenez à vous
échapper mais votre femme se fait kidnapper. Vous voilà perdu dans un Moscou hostile.
Ici tout le monde semble vouloir votre mort. Vous ne pouvez compter sur personne. Sauf
peut-être sur le mystérieux Jimmy. Pouvez-vous lui faire confiance ? Arriverez-vous à
survivre à ce chaos, sauver votre femme et à faire la lumière sur votre véritable identité?
Bonne chance Henry, vous allez en avoir besoin.
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PRÉSENTATION
Avec "Bad Motherfucker", clip intégralement tourné en caméra subjective pour le
groupe Biting Elbows, Ilya Naishuller avait créé un véritable phénomène sur le web et
dépassé les 40 millions de vues. Il repousse encore les limites de ce tour de force visuel
avec son premier long métrage, là encore réalisé en caméra subjective. Accompagné par
une équipe de directeurs de la photo et de cascadeurs intrépides, Naishuller réinvente le
cinéma d'action en redéfinissant les codes du genre.
À Moscou, une vie entière peut basculer en moins d'une minute. C'est ce qu'on découvre
dans HARDCORE HENRY, thriller qui adopte le regard du protagoniste. Ramené à la vie,
Henry est un super-soldat cybernétique. Sa mission : sauver sa femme, la brillante
Estelle (Haley Bennett) des griffes d'un chef militaire psychopathe doté d’étranges
pouvoirs, qui cherche à dominer le monde. Aidé par l'excentrique Jimmy (Sharlto
Copley), Henry est prêt à tout pour repousser ses assaillants. Qu'il se serve de ses
poings, qu'il manie le revolver ou le couteau ou qu'il utilise un lance-flammes, on colle en
permanence à son point de vue.
Alors, attachez vos ceintures, enfilez votre casque et préparez-vous à vivre une
expérience renversante. Car HARDCORE HENRY est un pur film d'action, un roller
coaster shooté à l’adrénaline, qui ne laisse aucun répit au spectateur. Et surtout, dès
l'instant où on s'embarque avec le héros, plus question de faire machine arrière !
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NOTES DE PRODUCTION
Du clip au long métrage
En 2013, le réalisateur d'origine russe Ilya Naishuller réalise le clip "Bad Motherfucker"
pour le groupe Biting Elbows, intégralement tourné en caméra subjective. D'une
violence inédite qui lui vaut d'être comparé à Quentin Tarantino, ce petit film dépasse
les 40 millions de vues. Très vite, de nombreux fans adressent des messages de
félicitations au jeune réalisateur et lui demandent quand il compte passer au long
métrage. Timur Bekmambetov, qui a signé WANTED : CHOISIS TON DESTIN, avec James
McAvoy et Angelina Jolie-Pitt, fait partie de ses admirateurs : "Il m'a proposé de produire
mon premier long métrage qui, comme mon clip, épouserait le point de vue du
protagoniste", raconte Naishuller. "Au départ, j'ai refusé car je me disais que ce dispositif
ne pouvait pas être transposé pour le grand écran. Et puis, Timur m'a dit : 'S'il y a bien
quelqu'un qui peut s'y prendre avec efficacité, c'est toi'. Cette phrase a été un vrai
déclencheur et en une semaine le concept du film était né".
Comme pour son clip, Naishuller savait qu'il allait utiliser une caméra GoPro, capable
d'offrir des images d'immersion avec des angles de vue exceptionnels. Seule difficulté :
déterminer la bonne hauteur pour que le point de vue de la caméra se confonde avec
celui du malheureux protagoniste. "On a fait plusieurs essais, et on constaté que lorsque la
caméra est placée au niveau de la bouche, on est vraiment à hauteur du regard d'un être
humain", reprend le réalisateur. Un casque sur mesure a donc été spécialement conçu
pour pouvoir installer les caméras et ainsi retranscrire de manière naturelle et intense
l’expérience du héros.
Le jeune cinéaste considère son film comme une déclaration d'amour à la musique, au
cinéma et aux jeux vidéo. "Je voulais rendre hommage à des jeux comme 'Half-Life', sans
pour autant être dans la parodie", dit-il. "Par exemple, je trouvais inutile que l'un de mes
personnages se balade avec un pied de biche [outil emblématique de 'Half-Life', NdT]
comme cela avait pu m’être suggéré au moment de l’écriture. Car, pour moi, tout le film
s'inspire indirectement de 'Half-Life'. Je trouvais beaucoup plus cool que la première
victime se fasse trucider à coup d'essuie-glace que de pied de biche !"
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Un casting sur mesure
À partir du moment où Naishuller était convaincu que l'intrigue était déterminante, audelà du seul dispositif de mise en scène, il savait qu'il lui fallait des comédiens de
premier plan. Le réalisateur a immédiatement songé à Sharlto Copley (DISTRICT 9,
ELYSIUM, MALÉFIQUE) : "Par chance, Timur [Berkmambetov] le connaissait déjà", confiet-il. "Je l'ai appelé via Skype et on a parlé pendant trois heures ! Je lui ai envoyé un synopsis
très rudimentaire qui n'avait rien à voir avec le scénario finalisé et je lui ai expliqué le
concept du film et la manière dont je souhaitais m'y prendre. Au bout de ces trois premières
heures de conversation, il ne m'a pas donné son accord ferme et définitif, mais j'ai senti
qu'il serait des nôtres"
"J'ai fini par écrire un rôle sur mesure pour lui, ce qui m'a éclaté !", reprend Naishuller. "Au
final, il s'est donné à fond dans le film et j'adore sa prestation. Avec le recul, je ne vois
personne d'autre qui aurait pu camper le rôle".
Quelques règles à ne pas transgresser
Si le style du film est très libre, il ne faut pas croire pour autant que le tournage n'était
pas minutieusement préparé. D'ailleurs, alors que l'équipe testait le matériel de prise de
vue et les véhicules, le réalisateur a rédigé dix règles à suivre pour la mise en scène. "J'en
ai écarté deux au moment de l'écriture du scénario, et trois autres au début du tournage,
mais j'en ai conservé cinq qui posaient un cadre de travail précis", constate Naishuller.
Selon la règle la plus importante, le protagoniste ne devait jamais s'exprimer. En effet,
pour le réalisateur, s'il parlait, le spectateur risquait de ne plus s'identifier à lui puisqu'il
était susceptible de tenir des propos que lui n'aurait jamais tenus. "Et même s'il dit
quelque chose auquel souscrit le public, on ne voit jamais son visage de toute façon, si bien
qu'il nous manque toute la dimension émotionnelle qui passe par le regard et les
expressions", analyse-t-il. "C'est tout le problème de LA DAME DU LAC (1947) de Robert
Montgomery, tourné en caméra subjective, dont je sentais le procédé. Et c'est exactement
ce que j'ai cherché à éviter".
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Les deux premières semaines de tournage ont été particulièrement éprouvantes. En
effet, le réalisateur a commencé par des séquences complexes sur le plan technique. Il
s'est alors souvenu des conseils de Timur Bekmambetov : "Il m'avait dit : 'Tu trouveras
que tes premiers rushs sont épouvantables et tu auras envie de tuer tout le monde !'", se
rappelle-t-il. "Il n'avait pas tort, mais il m'a aussi encouragé à ne pas trop en tenir compte
et à continuer de tourner sans relâche". Le film a ainsi été façonné en grande partie
pendant le tournage. Il y avait beaucoup d’improvisation, d’essais et d’erreurs qu’il fallait
ensuite améliorer, jusqu’à obtenir un résultat qui époustouflait toute l’équipe. Résultat :
Naishuller constate que le plan de tournage initial n'est pas viable et qu'il lui faut
repenser entièrement le calendrier. "Au lieu de boucler le film en 2013, on l'a prolongé
jusqu'à l'été 2014. On a décidé de répartir le tournage sur trois périodes, chacune séparée
de quelques mois", reprend-il. "C'est ainsi que la troisième phase n'a repris que cinq mois
après la précédente, ce qui nous a laissé le temps de visionner les rushs, de réfléchir à la
cohérence du film et de retourner certaines scènes. Ce projet a demandé beaucoup de
réflexion".
Scènes d'action au cordeau
Grâce au dispositif de prise de vue unique en son genre, les caméras fixées au casque sur
la tête du cascadeur filmaient l'intégralité de l'action. Autant dire qu'il n'était pas
possible de la placer à un angle choisi de sorte à dissimuler – par exemple – l'impact
d'un coup de poing. "Tous nos cascadeurs ont dû réapprendre leur métier pour ainsi dire",
affirme le réalisateur. "Ils ont passé pas mal de temps à s'entraîner en salle de sport,
caméra sur la tête, et ils m'envoyaient ensuite les rushs de leurs essais et de ce qu'ils
envisageaient de faire. Cela s'est avéré un très long processus".
En réalité, Naishuller a fait appel à trois chefs-cascadeurs différents qui se sont répartis
sur les trois périodes de tournage. C'est au cours de la troisième et dernière phase que
l'équipe a tourné l'une des scènes d'action les plus difficiles. "C'est une séquence de
course-poursuite de trois minutes sur l'autoroute, mobilisant motos et voitures roulant à
tombeau ouvert. On sautait de véhicule en véhicule au milieu des explosions et j'avoue que
je ne sais toujours pas comment on en est venus à bout : on disposait de cinq jours pour
mettre la scène en boîte, et on s'est en acquittés en quatre jours et demi".
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Au total, 80% des journées de tournage ont été consacrées à des acrobaties et des
cascades, dont certaines étaient extrêmement dangereuses. "Je m'étais dit qu'avec une
fracture de la jambe ou du bras, on pouvait s'estimer chanceux", souligne-t-il. "Au final,
deux cascadeurs ont eu cinq points de suture sur le crâne sans commotion cérébrale, et une
cascadeuse s'est légèrement blessée au poignet après être tombée dans une cabine
d'ascenseur sur les mains. On s'en est remarquablement bien tirés au vu des scènes d'action
qu'on a tournées".
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DEVANT LA CAMÉRA
SHARLTO COPLEY (Jimmy) :
Né en 1973 en Afrique du Sud, Sharlto Copley fait ses premières armes en tant que
réalisateur amateur pendant ses années au lycée de Redhill. A l'époque, le jeune cinéaste
en herbe n'a pas peur de repousser les limites et s'affiche dans des projets de cinéma et
de théâtre audacieux. Un an après avoir quitté le lycée, il co-fonde une société de
production médias appelée Channel 69 Studios et rencontre Neill Blomkamp, alors âgé
de quatorze ans, qu'il engage comme graphiste et designer informatique. Channel 69
devient très vite populaire et remporte le permis de diffusion de la première chaîne de
télé privée d'Afrique du Sud. Copley diffuse alors un programme consacré à la musique
et au divertissement pour un public jeune nommé Deadtime, tout en réalisant des spots
publicitaires, des clips musicaux et des courts-métrages.
En 2005, il se lance dans l'industrie cinématographique en produisant le premier court-
métrage de son collaborateur et ami Neill Blomkamp, Alive in Joburg, dans lequel il fait
une apparition. La même année, il co-écrit et co-réalise deux des plus célèbres courtsmétrages d'Afrique du Sud, tous deux présentés au Festival de Cannes en 2005: 2001: A
Space Oddity, une comédie mettant en scène le crash d'une navette spatiale à Cape Town,
puis Hellweek, parodie mettant en scène un camp militaire pour former les artistes sud-
africains. Son passage vers le long-métrage s'opère avec l'aide de Simon Hansen, avec
qui Copley co-écrit, produit et réalise le thriller surnaturel Spoon en 2008.
L'acteur est propulsé l'année suivante sur le devant de la scène avec District 9, à nouveau
réalisé par Neill Blomkamp et produit par Peter Jackson, dans lequel il interprète le rôle
principal de Wikus Van De Merwe. Véritable outsider, cette fable futuriste et fantastique
sur l'apartheid, unanimement saluée par la critique à sa sortie, est nommée pour l'Oscar
du Meilleur film en 2010. Révélation du film, Sharlto Copley se voit offrir l'un des rôles
principaux dans l'adaptation cinématographique de la série à succès L'Agence tous
risques aux côtés de Liam Neeson et Bradley Cooper.
Sharlto Copley enchaine ensuite les rôles de méchants dans des productions efficaces.
Ainsi, il est un mercenaire sadique, l’agent Kruger, dans Elysium, qui marque sa
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troisième collaboration avec Blomkamp, puis le manipulateur Adrian Pryce dans le
remake d’Old Boy par Spike Lee. Du méchant au gentil il n’y a qu’un pas, que saute
habilement Sharto Copley en incarnant le roi Stéphane, le père de la princesse Aurore
alias la Belle au bois dormant, dans Maléfique des studios Disney, avec Angelina Jolie et
Elle Fanning.
HALEY BENNETT (Estelle) :
Né à Fort Myers en Floride, Haley Loraine Keeling à l'état civil, déménage régulièrement,
de l'Ohio à Naples en passant par Los Angeles. Au cours de ses déplacements, elle
fréquente la Stow-Munroe Falls High School et la Barron Collier High School et étudie la
musique et le théâtre.
Ses premiers pas de chanteuse et d'actrice se font simultanément dans la comédie
romantique Le Come-Back (2007), dans laquelle elle joue Cora Corman, une pop star
dévergondée, mélange de Britney Spears et de Christina Aguilera réunies, qui se
trémousse et pousse la chansonnette en duo avec Hugh Grant. Puis elle décroche un petit
rôle dans une autre comédie américaine, Marley & moi (2009), aux côtés de Jennifer
Aniston et Owen Wilson. Suivent des films pour ados : La Malédiction de Molly Hartley,
dans lequel elle tient le premier rôle, celui d'une fille de dix-sept ans confrontée aux
névroses de sa mère, la teen comedy College ou encore le film fantastique The Hole de
Joe Dante.
En 2010, elle tient l'un des premiers rôles de la comédie débridée Kaboom, où elle
incarne l'insolente Stella, meilleure amie de Thomas Dekker (Smith), qui charme le
colocataire de la fille avec qui elle passe ses nuits. Elle rentre ensuite dans la cour des
grands, faisant ses premiers pas dans un film d'action, le thriller Equalizer (2014)
d'Antoine
Fuqua,
porté
par
Denzel
Washington.
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DANILA KOZLOVSKY (Akan) :
Né à Moscou, et formé à l'Académie des arts du théâtre de Saint-Pétersbourg, Danila
Kozlovsky est un des jeunes acteurs le plus en vue en Russie, sur scène et au cinéma.
En 2006, le talent de Danila Kozlovski est récompensé par l'obtention de « L'Éléphant
Blanc », décerné au Lauréat du « Prix de la critique du film russe ». Son interprétation
de Nikolaï dans Garpastoum est ici remarquée. Plusieurs films et rôles ont suivi,
notamment The Target, Crimes et Temps, Raspoutine, Soulless, La légende 17 et Vampire
Academy.
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DERRIÈRE LA CAMÉRA :
ILYA NAISHULLER (Réalisateur) :
Ilya Naishuller est un musicien et réalisateur Russe. Il est plus connu pour la réalisation
de clips pour son groupe “Bitting Elbows” notamment “The Stampede” (2011) et la
sensation internet « Bad Motherfucker » (2013). Hardcore Henry est son premier long
métrage.
TIMUR BEKMAMBETOV (Producteur) :
Après des études à l'Institut des Arts et du Théâtre de Tachkent, Timur Bekmambetov se
lance dans la publicité où il se forge un savoir-faire solide en travaillant pour plus de 500
marques. Cette expérience l'amène vers le cinéma en 1994 avec Peshavarskiy Vals, un
premier long-métrage plongeant le spectateur au cœur du conflit afghan qui lui permet
de remporter le Prix du Meilleur Réalisateur au Festival de Karlovi Vari. Le cinéaste
Roger Corman le remarque alors et produit son second film, Gladiatrix, remake du film
de 1974 qui met en scène des combats de gladiatrices.
Il se lance alors dans un projet plus ambitieux, Night Watch, adaptation d'un best-seller
fantastique russe où s'opposent les Forces du Bien et du Mal dans le Moscou
d'aujourd'hui. Malgré un budget modeste de 2 millions de dollars, le film fait un carton
au box-office russe, se payant le luxe de rapporter plus d'argent que Le Seigneur des
anneaux : la communauté de l'anneau. Fort de ce succès, il enchaîne avec la suite, Day
Watch, dans laquelle il confirme son style décomplexé en s'appuyant sur les effets
spéciaux.
Ces deux films lui ouvrent inévitablement les portes d'Hollywood où il applique ses
méthodes à Wanted : Choisis Ton Destin, en s'entourant cette fois de comédiens de renom
comme Angelina Jolie, James McAvoy et Morgan Freeman. Aux États-Unis, il s'associe
également à Tim Burton pour produire le film d'animation Numéro 9 en 2009. En
matière de production, il compte aussi à son actif des films comme Apollo 18 et The
Darkest Hour. En 2012, il réalise un nouveau film fantastique américain, Abraham
Lincoln : Chasseur de Vampires, un long métrage qui voit l'illustre président des ÉtatsUnis transformé en digne héritier de Van Helsing.
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FICHE ARTISTIQUE
Jimmy
Sharlto Copley
Estelle
Haley Bennett
Dominatrix
Dasha Charusha
Akan
Danila Kozlovsky
Slick Dmitry
Andrey Dementyev
Dominatrix
Sveta Ustinova
Tim Roth
FICHE TECHNIQUE
Ecrit & réalisé par
Ilya Naishuller
Producteurs
Timur Bekmambetov
Ilya Naishuller
Inga Vainshtein Smith
Ekaterina Kononenko
Producteurs exécutifs
Sharlto Copley
Will Stewart
Karina Sinenko
Alex Ginzburg
Tony Lee
Directeurs de la photographie
Seva Kaptur
Feodor Lyass
Pavel Kapinos
Chef Décorateur
Margarita Ablaeva
Son
Sean McCormack
Kami Asgar
Kevin O’Connell
Musique
Dasha Charusha
Montage
Steve Mirkovich
Vlad Kaptur
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