Soutien à nos forces de sécurité victimes de leur devoir ou

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Soutien à nos forces de sécurité victimes de leur devoir ou
Soutien à nos forces de sécurité victimes de leur devoir ou décédées suite à la cruauté, la
monstruosité et l’inhumanité des manifestants du 19 et 20 décembre.
6 tués et plus d’une centaine blessés dans les forces de l’ordre pour les seules journées du 19
et 20 septembre à Kinshasa ; il faut rendre hommage à nos vaillants policiers qui ont payé un
lourd tribut en plein exercice de leur fonction.
Comment le congolais peut atteindre de tels sommets dans la cruauté et la barbarie ? Notre
pays a connu le massacre de makobola, la marche des chrétiens réprimée dans le sang par le
régime de feu le maréchal Mobutu, les martyres de l’indépendance, les conflits ethniques et
les massacres à l’est. On s’est dit il existe un « effet d’expérience », l’humanité progresse,
s’améliore et avance.
Avec ce cortège d’horreurs, le peuple congolais devait se battre pour que jamais plus ces
atrocités du passée ne reviennent ; mais non l’humanité est toujours la même, avec à
l’identique sa capacité de nuisance, de lâcheté, son sadisme infini, son fanatisme, son attitude
à engendrer la mort et la souffrance par bêtise et par perversité. Elle ne cesse de
redécouvrir sur d’autres formes, les moyens de porter la terreur ; ce qui s’est passé à Kinshasa
le 19 et le 20 septembre dernier continue à nous donner le vertige.
Il y a t- il un précèdent à un tel niveau d’horreur ? Massacrer froidement des agents de
l’ordre venus encadrer les manifestants dans le seul objectif de se venger de la ceni pour
n’avoir pas convoqué le corps électoral ; que dire, que penser après de telles abominations.
Et que croire et qu’espérer quant à l’avenir de la jeunesse congolaise. Le remède est à la fois
dans une réconciliation de l’homme avec son créateur et dans le renoncement à toute forme
de vengeance.
Sur ces images interdit aux âmes sensibles, vous pouvez voir la barbarie de certains
manifestants qui se sont pris violemment sur un agent de l’ordre en le molestant jusqu’à ce
que mort s’en suive ; dans un autre cliché un policier tué amputé de ses organes génitaux,
RK

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