DP Claudie Gallay - Saint Jean de la Ruelle

Transcription

DP Claudie Gallay - Saint Jean de la Ruelle
cop. Caroline Chevalier
Dossier de presse
Coup de cœur des lecteurs 2009
Rencontre avec l’écrivaine Claudie Gallay
le samedi 26 septembre 2009 à 15h30
à la Médiathèque de Saint Jean de la Ruelle
Contact presse : Samuel Attia, pôle communication et citoyenneté
02 38 79 33 07
[email protected]
www.ville-saintjeandelaruelle.fr
SOMMAIRE
Page 3
Communiqué de presse
Page 4
«Le coup de cœur des lecteurs» de la Médiathèque
Anna Marly
Page 5
La lauréate : Claudie Gallay
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«Les déferlantes»
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Communiqué de presse
Le 15 septembre 2009
Rencontre avec l’écrivaine Claudie Gallay
le samedi 26 septembre 2009 à 15h30
à la Médiathèque de Saint Jean de la Ruelle
Dans le cadre de la rentrée littéraire 2009,
la Médiathèque Anna Marly propose une rencontre
avec l’auteur lauréat du «coup de cœur des lecteurs 2009»
Claudie Gallay a été élue «coup de cœur des lecteurs» en 2009 pour son
roman «Les déferlantes». Choisie par des lecteurs assidus parmi 6 titres
proposés, elle est invitée à Saint Jean de la Ruelle pour une rencontre à la
Médiathèque.
« Les déferlantes » : une fiction où la nature et les hommes se confondent,
s’opposent et se cherchent sans fin. La narratrice est à la Hague depuis six
mois lorsque commence le récit. Elle travaille pour un centre ornithologique,
vient observer les oiseaux, étudier les cormorans et les migrateurs, surveiller
les œufs et les nids dans les falaises. Elle a laissé en ville un amour perdu et a
trouvé à la Hague le gîte, le couvert et les silences nécessaires pour continuer
son deuil.
Les lecteurs ont unanimement salué ce portrait de la condition humaine dans
toute sa fragilité et sa beauté, tout en se laissant emporter par l’atmosphère
de ce petit village maritime.
Le roman sera adapté au cinéma pour une sortie prévue pour 2010.
La rencontre est organisée en partenariat avec la librairie «Les Temps
Modernes», qui proposera une séance de signature à l’issue de la rencontre
Si vous souhaitez rencontrer Claudie Gallay pour lui poser vos
questions,
contactez
Samuel
Attia,
pôle
communication
et
citoyenneté
02 38 79 33 07 pour un rendez vous
[email protected]
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«Le coup de cœur des lecteurs»
de la Médiathèque Anna Marly
Le principe du «coup de cœur des lecteurs» proposé par la Médiathèque
est le suivant :
Les bibliothécaires choisissent chacun un livre «coup de cœur», la
contrainte est qu’il ait été écrit par un auteur français ou francophone, qui
puisse être invité par la Médiathèque.
Puis les usagers de la Médiathèque qui veulent participer au prix ont 6
mois pour lire les romans de la sélection.
La participation au « coup de cœur des lecteurs » est libre, il est
simplement demandé d’être inscrit à la Médiathèque.
Ce temps de lecture individuel se clôt par un vote à bulletin secret, dans
lequel chacun défend son livre préféré.
Enfin, l’auteur lauréat est reçu à la Médiathèque pour une rencontre
ouverte à toutes et à tous.
En 2008, l’auteur lauréat était Jean Teulé, reçu à la Médiathèque en
septembre 2008 pour son ouvrage «le magasin des suicides» paru en
2007 aux éditions Julliard.
Le coup de cœur éditions 2008-2009 a été lancé le 29 novembre 2008,
avec la présentation des 6 romans en lice, dont voici la liste :
-
«Passage du désir» de Dominique Sylvain - Editions Viviane Hamy,
2004
«Le complot des papillons» de Patrice Lanoy – Editions Seuil, 2007
«Où on va papa» de Jean-Louis Fournier– Editions Stock, 2008
«Les déferlantes» de Claudie Gallay – Editions du Rouergue, 2008
«Les années» d’Annie Ernaux – Editions Gallimard, 2008
«La porte des enfers» de Laurent Gaudé – Editions Actes Sud, 2008
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La lauréate : Claudie Gallay
Claudie Gallay est née en 1961, à Bourgoin-Jallieu, dans l’Isère. Elle est
actuellement institutrice à mi-temps dans un village du Vaucluse. Elle
passe le reste de son temps à écrire. Quand elle n’écrit pas – ce qu’elle
fait depuis une dizaine d’années – elle peint.
Elle lit aussi : Charles Juliet, Paul Auster, Albert Cossery. Claudie Gallay
est un des auteurs majeurs de la collection La Brune, aux Editions du
Rouergue, depuis 2001.
Le succès de son sixième roman, Les Déferlantes, va lui permettre bientôt
de se consacrer entièrement à l’écriture.
Elle a publié :
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L’Office des vivants, Editions du Rouergue, collection La Brune, 2001
Mon amour, ma vie, Editions du Rouergue, collection La Brune, 2002
Seule Venise, Editions du Rouergue, collection La Brune, 2004
Les années cerises, Editions du Rouergue, collection doAdo, 2004.
Dans l’Or du temps, Editions du Rouergue, collection La Brune, 2006
Les Déferlantes, Editions du Rouergue, collection La Brune, 2008.
« Seule Venise » a obtenu en 2005 le prix du livre CE 38, décerné par les
lecteurs des comités d'entreprise.
Elle écrit tous les matins, entre 5h30 et 7 h, et dit « Ecrire, c’est creuser
au même endroit », et admet que son travail se bâtit sur les silences du
passé. Il faut revenir sur son enfance en Dauphiné, un monde étroit où les
livres ressemblent à des dangers. Elle écrit aussi le silence et les non-dits
qui peuvent ravager des vies.
Elle excelle à créer des atmosphères denses et singulières, des
personnages à vif, des histoires prenantes que l’on garde longtemps en
soi. Comme toujours chez Claudie Gallay, les existences prennent sens en
se frottant les unes aux autres. Son écriture est toute en suspension, en
non-dit et en silences complices entre les personnages.
« Ce que j’aime dans l’écriture, c’est l’épuration. Trouver le mot juste.
Comment quelques mots peuvent avoir la force d’une page entière. Je
voulais une respiration qui soit proche de celle de la mer, avec les marées,
le ressac. Les personnages se sont collés au rythme de La Hague, ils sont
montés de cette lenteur, à l’ennui, parfois, des jours tous tellement
semblables. »
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«Les déferlantes»
Claudie Gallay a choisi la Hague, «un endroit
comme au bout du monde», battu par les flots,
pour
situer
son
nouveau
roman
« Les
déferlantes ». Une fiction où la nature et les
hommes se confondent, s'opposent et se cherchent
sans fin.
Sa narratrice est là-bas depuis six mois lorsque commence le récit. Elle
est arrivée à l'automne avec les oies sauvages, travaille pour le centre
ornithologique de Caen, vient observer les oiseaux, les compter, étudier
les cormorans et les migrateurs, surveiller les œufs, les nids dans les
falaises.
Parfois, elle s'assied en haut d'un grand rocher et dessine un oiseau
sentinelle, une aigrette ou un pluvier pour un album qu'elle ne finira sans
doute jamais. Elle a laissé en ville un amour perdu, a trouvé à la Hague le
gîte, le couvert et les silences nécessaires pour continuer son deuil. Cette
femme d'une quarantaine d'années n'a pas de prénom, les habitants
l'appellent la Griffue comme la maison qu'elle partage avec Morgane et
Raphaël, frère et sœur, absents eux aussi du monde des vivants.
Dès les premières pages, la première tempête, tous les protagonistes sont
aux aguets, comme dans un minuscule théâtre : Lambert, l'homme qui
revient chez lui après des années d'absence, la vieille Nan qui perd la tête,
les habitués du bistrot de Lili, son père Théo et, surtout, la mer qui prend
les bateaux et leur équipage, ne les rend pas toujours, empêche les
familles d'enterrer leurs morts et les oblige à espérer un miracle, un
retour impossible.
L’histoire de Lambert, et l’homme aussi, attire la narratrice, en veut-il à la
mer ou bien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent,
chacun semble avoir quelque chose à taire …
C’est un gros livre, mais il ne doit pas rebuter : les scènes sont brèves,
l’écriture limpide et les phrases courtes.
Les lecteurs ont unanimement salué ce portrait de la condition humaine
dans toute sa fragilité et sa beauté, tout en se laissant emporter par
l'atmosphère de ce petit village maritime. Le roman sera adapté au
cinéma pour une sortie prévue pour 2010.
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Claudie Gallay réussit à faire aimer une histoire où il pleut d’un bout à
l’autre.
Le Nouvel Observateur- 25 septembre 2008
Claudie Gallay a mis en scène, avec des phrases courtes et un grand sens
du suspense, une sombre histoire de famille où, peu à peu, les pièces du
puzzle trouvent toutes leurs places…
Le Télégramme - 15 mars 2009
La magie de l’écriture nous embarque dans cette tempête de sentiments
qui bat à l’unisson avec celle qui dévaste la région
Elle – 30 mai 2009
L’ombre de Prévert plane sur ce texte de plus de 500 pages qui se lit
d’une traite.
La tribune de Genève - avril 2008
Les Déferlantes a été récompensé par de nombreux prix, entre autres
-
Le
Le
Le
Le
Le
Grand Prix des Lectrices de « Elle » 2009
Prix littéraire de la ville de Caen 2009
Prix Livre & Mer Henri-Quéffelec 2009
Prix littéraire des Rotary clubs français 2009
Prix Culture et bibliothèques pour tous 2009
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