Dossier spectacle Dhoad - Le Trident
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Dossier spectacle Dhoad - Le Trident
© Langueux DHOAD Les gitans du Rajasthan Théâtre de la Butte Mardi 15 et mercredi 16 mars I 20h45 I Musique et danse du monde Ouverture de billetterie 20 novembre Tarif B I Passeport jeune Un événement du festival des 20 ans des Scènes nationales Saison 2010.2011 © Véronique Doric DHOAD Les gitans du Rajasthan Direction artistique et tablas Rahis Bharti. Tablas Teepu Khan.Chant et harmonium Mohammed Bundu. Dholak Ameer Khan. Kartels Arif Khan et Sanjay Khan. Danse Sapera Laxmi. Fakir Munshi. www.sonsdumonde.com Durée 1h20 Le programme Dhoad Les gitans du Rajasthan Le concert commence par un solo de guimbarde exécuté par Rahis Bharti, qui va également introduire le spectacle par quelques explications. Il est rejoint par Teepu Khan qui exécute plusieurs solos impressionnants aux tablas et Sanjay Khan aux castagnettes indiennes. DHABI - Chant avec les autres musiciens NIMBUDA --- Variations, performances musicales et improvisations autour du chant du citron, racontant l’histoire d’une femme enceinte qui demande à son mari de lui ramener un citron GHOOMAR : Danse du Rajasthan NUMEROS DU FAKIR sur de la musique --- Danse sur sabre --- Danse sur planche de clous --- Danse des verres --- Danse sur verre cassé --- Danse de la roue --- Numéro de cracheur de feu. KALYO --- Performances musicales et dansées sur l’air du cobra, incluant la fameuse danse des charmeurs de serpent du Rajasthan Dhoad Les gitans du Rajasthan Composé de véritables virtuoses et haut en couleurs, le groupe des Gitans Dhoad du Rajasthan réunit 8 artistes de grand talent, issus de communautés, de religions et de castes différentes qui jouent, chantent et dansent ensemble, unis par leur amour de la musique. Lors de leur spectacle, ils invitent les spectateurs à un voyage hypnotique, à la fois plein d’énergie et de sérénité, qui les mènera jusqu’au pays des maharadjas. Tous ces artistes élégants et majestueux, dont la musique et l’allure reflètent l’environnement somptueux de leur région d’origine, créent une atmosphère magique et fusionnelle emportant le public dans un magnifique tourbillon de couleurs chatoyantes, une expérience magique et authentique. Depuis plus de deux mille ans, l’Inde est l’un des principaux foyers d’influence musicale en Asie. Le désert du Thar, magnifique et sauvage, dans la province du Rajasthan, a inspiré les Maharadjahs qui y firent construire de somptueux palais où se produisaient déjà les ancêtres de Dhoad. Mais il est aussi le berceau originel de tous les gitans du monde, et celui d’une tradition qui a traversé les millénaires grâce aux troubadours, musiciens, danseurs et fakirs qui ont transmis, de génération en génération, leur culture et leur savoir-faire. L’Inde est une terre à forte imprégnation spirituelle, artistique et musicale, sans réelle division entre les expressions artistiques et religieuses. La musique y est considérée comme une voie sûre et respectée vers la réalisation de la divinité. Au confluent des cultures gitane, hindoue et musulmane, la musique et le spectacle de Dhoad, dont l’exubérance est le reflet de cette contrée de passion et de féerie, ont un rythme subtil et envoûtant. © Lignel Rahis Bharti, musicien (Dholak, Tablas) et chanteur, est originaire d’une famille de musiciens de père en fils aux influences culturelles multiples. Il est le directeur artistique de la formation mais aussi un musicien au talent reconnu. Il fait partie d'un orchestre international du monde et joue avec de grands musiciens aussi variés qu’Henri Agnel, Carmin Belgodère (groupe Cinquiso), les gitans de Santino Spinelli (Italie & Roumanie), le groupe Canta u populu corsu (Corse), Antoine Febrier (Espagne) Mustapha Gueye (Afrique)… Il est accompagné de musiciens exceptionnels, tous gitans originaires du Rajasthan : Arif Khan et Sanjay Khan aux Kartels, Ameer Khan au Dholak, Teepu Khan aux tablas, et Mohammed Bundu chanteur à la voix envoûtante et musicien à l’harmonium. Laxmi, danseuse sapera exécute sur leurs musiques les plus belles chorégraphies du Rajasthan, souvent des danses à thèmes mythologiques, telle la danse du Cobra, considéré comme gardien des vérités spirituelles, et Munshi, fakir impressionnant, qui exécute sur la musique des Dhoad des magies extraordinaires : cracheur de feu, acrobaties sur verre brisé, équilibre sur tapis de clous... © Thierry Seni Pour en savoir plus L'Inde est une mosaïque de peuples aux multiples facettes, un pays fascinant qui conjugue les images les plus contrastées : croissance exceptionnelle, traditions colorées, parfumées, tout à la fois gardienne des rites ancestraux et une terre de grande modernité. L’inde est un pays où la magie ne cesse d'opérer… Laissez-vous aller à la découverte des parfums des épices, des couleurs des saris, découvrez les spectacles flamboyants venus tout droit du Rajasthan sans oublier de vous initier à la danse. Le paysage du Thar au Rajasthan (pays des rois) est connu comme le désert le plus coloré du monde. De cette terre sèche, plombée par le soleil, est née une musique belle et émouvante, pleine de couleurs et de lumières, enivrante par ses rythmes effrénés. Ses interprètes, imprégnés depuis la plus tendre enfance, accompagnés de leurs instruments dholaks, kartals (castagnettes), harmonium, tablas, bapang, guimbardes, chantent à la gloire des dieux, de l’amour et de la vie. Les musiques, les danses et les vêtements éblouissants de ses habitants ont transformé cette terre aride en un bassin fertile vibrant de teintes anachroniques et fécondes. Les gitans, troubadours et musiciens, y allaient autrefois de ville en ville divertir les princes et les courtisans. Dans cette région aux grandes traditions musicales et spirituelles, la transmission de l’art s’enseigne de père en fils, de génération en génération. Rahis Bharti, après de nombreuses expériences musicales dans le monde entier, avec des musiciens de toutes origines, a décidé de renouer avec ses racines et sa propre tradition. Les danses vibrantes, vigoureuses et gracieuses, dont la mythique danse du cobra, évoquent le désert dans tous ses états. Comme pour les autres castes de musiciens, la transmission de l'art des danseuses et des fakirs se fait de père en fils depuis des générations. Il y a plusieurs types de danses en Inde. Chez les Gitans Dhoad du Rajasthan, la danseuse illustre la tradition des danses Kalbeliya. Les Kalbelias appelés aussi Saperas sont nomades et charmeurs de serpents de tradition millénaire. La danseuse vous présentera les plus belles danses du Rajasthan, interprétant des chorégraphies à thèmes mythologiques comme celui du cobra, gardien des vérités spirituelles, et également la danse des courtisanes des Maharadjas (Danses GHOOMAR). Quant au fakir, c'est quelqu'un qui développe un art également fréquent en Inde. L’Inde reste pour l’Occident le pays de la magie, de l’illusionnisme, des fakirs d’antan qui peuplent les livres illustrés de nos ancêtres voyageurs. La magie est une manière de s’approprier un peu de la puissance des dieux. C’est par l’ascèse et la méditation que Shiva obtient ses pouvoirs magiques à l’image des jogi. Dans les villages, le fakir accompagne souvent les formations musicales, et charme les habitants par ses magies extraordinaires : Il peut marcher sur une planche de clous, avaler un sabre ou danser sur des sabres, porter une grosse cruche remplie d’eau sur la tête en dansant, faire des acrobaties sur du verre brisé, ou debout sur des verres placés sous ses pieds. Il est également cracheur de feu. Les extraits de presse L’Essor 74, le jeudi 30 octobre 2008, C.B.M. Les gitans Dhoad nous envoûtent dans un spectacle hypnotique Une musique venue du palais des maharadjas, des artistes élégants et majestueux, des regards sombres et envoûtants, les Dhoad, gitans du Rajasthan, nous proposent un spectacle subtil au confluent des cultures gitane, hindoue et musulmane. Le Rajasthan reste le berceau originel de tous les gitans du monde. L’Inde est une terre à forte imprégnation spirituelle, artistique et musicale dans une réelle division entre les expressions artistiques et religieuses. Rahis Bharti, leader charismatique de la formation est accompagné de musiciens, d’une danseuse aussi belle que talentueuse qui tournoie dans la transparence des voiles et d’un fakir cracheur de feu, acrobate sur verre brisé et équilibriste sur tapis de clous. Les Dhoad invitent les spectateurs à un voyage hypnotique plein d’énergie mais aussi de sérénité. Un spectacle haut en couleur qui puise dans notre imaginaire et dans des rythmes envoûtants. De la couleur, du rythme et de dépaysement. […] Le Télégramme, le 16 mai 2009 Armor India Un final haut en couleur Si la plupart des spectacles proposés durant le mois provenaient d’Inde du Sud, celui-ci puisait ses racines à des milliers de kilomètres de là, au Nord-Ouest, dans l’Etat du Rajasthan. Témoin, s’il en faut, de la diversité culturelle du continent indien. Dans une salle comble, les huit musiciens chanteurs et danseurs du groupe Dhoad, de renommée internationale, ont convié les spectateurs enthousiastes à une véritable fête indienne. « Vous êtes les maharajahs ce soir » L’évidente filiation avec les gitans européens transpirait dans les intonations de voix, les instruments --- deux joueurs de castagnettes particulièrement dynamiques --- et la gestuelle de danseurs peu avares en déhanchements et frappements de pieds. Carrefour d’influences multiples, le Rajasthan a été dominé par les dynasties musulmanes, comme en ont témoigné certains des chants interprétés, d’inspiration soufie. Sans oublier ceux ancestralement donnés lors des fêtes de mariage des maharajahs. Ce temps-là ayant désormais laissé la place à la démocratie… « Vous êtes, vous, les maharajahs ce soir » déclarait Rahis Bharti, joueur de tablas et leader du groupe, à destination du public. Issue de la caste des chasseurs de serpent, la danseuse de Dhoad s’est chargée de charmer la salle, tandis que le fakir multipliait ensuite les prouesses acrobatiques et faisait frissonner tout le monde en marchant sur du verre ! Ne manquait plus en fait, pour couronner cette soirée que la chaleur de plomb du Rajasthan. .. La Liberté de l’Est, le 19 mai 2006 Le Rajasthan et sa musique céleste […] Dépaysement total dès l’arrivée de trois musiciens et chanteurs, qui font corps avec le public, à qui ils enseignent leurs méthodes d’apprentissage des sons pour donner une musique originale, forte, rythmée et envoûtante. Le groupe s’agrandit progressivement, transplantant la salle dans les palais des maharadjahs aux sons d’instruments originaux, tels l’harmonium, le tambour horizontal à deux peaux, les kartels --- sorte de castagnettes indiennes -, à l’image de leurs ancêtres gitans Dhoad. Venus du désert du Thar, en Inde, terre à forte imprégnation spirituelle, artistique et musicale, sans division de culture et de philosophie, ils perpétuent, par leurs costumes hauts en couleurs, leurs positions sur scène, assis sur leurs talons ou en tailleur, la tradition de troubadours, musiciens, mais aussi fakirs et danseurs. Au rythme de cette musique, évolue Munshi, qui danse en portant sur sa tête soit une jarre remplie d’eau posée sur quatre verres, soit une roue de 40 kg, tout en « reposant » ses pieds sur un tapis de pointes, de verres brisés ou de lames de sabre ! Après la fascination de ces exploits, la grâce en personne entre en scène avec la fine, souple et talentueuse danseuse Leela, vêtue d’une robe colorée rayée de noir et d’un long voile de tulle bordée de sequins. Elle nous emmène aux confluents des sources gitanes hindoues et musulmanes par sa souplesse, son exubérance, soutenue par les musiciens passionnés. Les costumes et turbans sont magnifiques […] La Nouvelle République du Centre-Ouest, le jeudi 26 mai 2005 Le plaisir des sens Les gitans Dhoad font de la musique indienne une fête aux accents universels. Les artistes qui forment le groupe traditionnel Dhoad sont issus du Rajasthan, cette région de l’Inde magnifiée par les palais des maharadjahs. Tous y ont appris la musique, la danse ou l’art d’être fakirs, dès le plus jeune âge, dans le respect d’une tradition qui se transmet de génération en génération. Rahis Bharti est joueur de tablas (percussions aux sonorités multiples) et directeur artistique des Dhoad : après avoir joué avec les plus grands musiciens traditionnels internationaux (notamment au sein de l’orchestre interculturel de Piazza Vittorio, en Italie), il souhaita réunir autour de lui les plus doués de ses amis rajasthanis. Ainsi naquit Dhoad. Parce que « la musique, comme l’air, ne connaît pas les frontières », Rahis et sa tribu parcourent l’Europe (jeux Olympiques d’Athènes, Paleo festival 2005 en Suisse, etc.) et le monde afin d’initier nos oreilles et nos yeux à la subtilité des arts de la scène indienne. Et il est effectivement difficile de rester insensible devant tant de charme déployé : Leela exécute ainsi l’ensorcelante danse du cobra royal tandis que le fakir Munshi crache le feu. Rahis et kutle Khan, aux kartels (sortes de castagnettes faites de plaques de tek), se lancent dans des joutes rythmiques, accompagnés dans leur accélération par l’harmonium de Ghuliam Ali. Shahid Khan, Dashrat Singh et Anwar Rursain brodent cette trame de leurs voix harmonieuses. Lors de leurs concerts, se succèdent musiques folks, chansons d’amour traditionnelles et même humoristiques. Habillés de leurs costumes princiers, ils invitent petits et grands à un voyage aux saveurs relevées. […] Ici ou ailleurs, les gitans du Rajasthan réussissent un tour de passe-passe unique : faire vibrer à l’unisson les spectateurs de toutes origines et de toutes cultures. Le Télégramme, le 14 août 2005 Les gitans Dhoad mettent le feu au cabaret Cabaret décalé. Sous son chapeau bleu nuit, le feu. Poumons gonflés à plein, Munshi, fakir, gitan du Rajasthan, l’a craché puissamment. La tête enrubannée et babouches aux pieds, les pittoresques Gitans, au doux nom de Dhoad, avaient, agenouillés sur scène, étonné le public. A deux doigts d’envoûter le p’tit festivalier. Des Gitans envoûtants « Armés » de tambours à deux peaux, de tablas, de kartel (les castagnettes de là-bas), ils ont rythmé ce show à forte connotation indienne. Musical et très visuel. Placé devant ses musiciens jouant à même les planches, visage concentré, et parfois crispé, Munshi, le fakir, a marché sur la scène avec des verres au pied. Tout aussi simplement, il s’est joué de lames de couteaux acérées et de pointes d’acier. Puis, Kamia, la danseuse de charmeur de serpent (métier peu couru par ici), a dansé son pays, concluant joliment cette prestation unique. En conférence de presse, Rahis porte-parole au sourire enjôleur, l’avait dit avec l’accent de chez lui : « Notre but est d’être assis dans le cœur du public ». Un pari réussi. Sortir, novembre 2007 Les Gitans Dhoad du Rajasthan Imaginez un étrange désert vaste comme un pays d’Europe, le Thar, au Nord-Ouest de l’Inde. La diversité des paysages n’y a d’égales que l’ampleur et la richesse des fabuleux palais des maharadjahs. Lors des grandes cérémonies, de mariage ou de naissance, les troubadours, danseurs, musiciens et fakirs enflammaient les mille et une nuits pour le plus grand plaisir des princes. Les Dhoad sont issus de cette région, berceau originel de tous les gitans du monde. Ils ont reçu en héritage une culture musicale unique, subtile association des arts et de la religion. La musique y est, en effet, considérée comme une voie vers la divinité, comme la plus haute expression des émotions et des sentiments. A travers ses voyages, ce peuple nomade s’est enrichi de la culture des pays traversés. Un périple qui les mènera de l’Andalousie au Moyen-Orient jusqu’à l’Europe de l’Est. Cette troupe offre aujourd’hui un étonnant brassage culturel où se mêlent les influences hindoues, arabes ou orientales. Réunissant des artistes de très haut niveau, issus de communautés, de religions et de castes très différentes, les Dhoad chantent et dansent, unis par leur amour de la musique et du spectacle. Laissez-vous envoûter par la magie du Rajasthan, ses fakirs et charmeurs de serpents. La danseuse Leela interprétera pour ce spectacle la sapera, une danse traditionnelle d’improvisation rythmée par la frappe du pied, un déhanchement sensuel et une gestuelle tournoyante à l’image des mouvements du cobra, gardien des vérités spirituelles dans la mythologie indienne. Le Bien public, mars 2007, J-M. P. Voyage en Inde avec les gitans Dhoad Les gitans Dhoad du Rajasthan ont donné un titre de noblesse au public beaunois, lors du concert qu’ils ont présenté au théâtre. Comme au temps où les gitans n’étaient que les troubadours des maharadjahs, princes de fiefs en Inde, les huit gitans Dhoad ont amusé et diverti les 300 spectateurs. Ils les ont amusés en début de spectacle, en montrant ce qu’ils savaient faire avec leurs tablas, dholak, harmonium, kartels, bhapang ou autre guimbarde, puis enthousiasmé de leurs musiques et chants sortis du plus profond d’eux-mêmes et du plus loin des temps, envoûtés, enfin, avec les prouesses du fakir et de la danseuse sapera. Exotisme fleurant le vrai Le spectacle était un voyage aux racines des gitans d’Europe venus d’Inde. C’était une odyssée remplie des émotions portées par une musique spontanée, brute et sensible à la fois, une traversée des cours de princes indiens. Les chants profonds, déchirants, stridents, qui accompagnaient des musiques rythmées en percussions démultipliées, ont d’abord retenu l’attention avant de passer au second plan derrière les exploits d’un fakir portant en dansant une cruche pleine d’eau ou une roue de quarante kilos sur la tête, écrasant des verres de ses pieds nus, marchant sur des clous ou les lames de sabres. Ils ont accompagné la jeune danseuse dans ses contorsions, longue performance en superbe conclusion d’un spectacle progressif et bien construit. Un grand moment de musique du monde, d’humour de danse et de cirque. Un art total, un spectacle venu d’ailleurs et à l’exotisme fleurant le vrai. La joie de vivre induite par la couleur, la musique, et le mouvement était dans toutes les bouches et sur tous les yeux à la sortie du théâtre. Un voyage rare… la magie des grands spectacles. Autour de Dhoad salon de musique Musique soufie du Rajasthan Grand salon --- Hôtel de Ville, le mercredi 16 mars I 18h45 Ouverture de billetterie 20 novembre Voix, dholak, tablas Rahis Bharti. Avec les musiciens de l’ensemble Dhoad. Présentation Jean-Claude Lemenuel, ethnomusicologue. Au lendemain du concert des Dhoad, cette petite forme nous permettra d’approcher de plus près l’art musical virtuose de Rahis Bharti. Tous les musiciens sont originaires du désert du Thar, dans la province du Rajasthan, qui est, dit-on, le berceau d’origine des Gitans. La culture musicale des Gitans s’est répandue bien loin de l’Inde, en Europe centrale ou en Espagne, sous l’effet des mouvements migratoires des populations nomades. La spiritualité de l’Inde, la grande richesse de ses musiques sont des faits connus. En revanche, le répertoire de musique soufie, est rarement interprété. Ce second rendez-vous nous permettra de découvrir la richesse musicale et l’ornementation vocale de ce répertoire. En partenariat avec Archipels Maison des Cultures du Monde en Normandie Le Trident, Scène nationale de Cherbourg-Octeville Place du Général de Gaulle, BP 807 50108 Cherbourg-Octeville cedex T +33 (0)2 33 88 55 50 F + 33 (0)2 33 88 55 59 Location +33 (0)2 33 88 55 55 [email protected] www.trident-scenenationale.com Relations publiques T +33 (0)2 33 88 55 58 Isabelle Charpentier [email protected] Nadège Henry [email protected] Relations Presse & Médias T 06 82 75 30 21 Bérengère Bressol [email protected] Relations avec les comités d'entreprise T +33 (0)2 33 88 55 50 Valérie Pinabel [email protected] Informations & communication T +33 (0)2 33 88 55 50 Murièle Bosse-Platière [email protected] Geneviève Poirier [email protected]