La COMPAGNIE SEBASTIEN AZZOPARDI et

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PREMIERS EXTRAITS PRESSE
Comme cela fait du bien de rire !
Comme cela fait du bien de rire ! du texte à l’interprétation, en
passant bien sûr par la mise en scène, tout est réussi dans ce spectacle.
Sébastien Azzopardi et Sacha Danino signent une adaptation finaude
de la pièce des Américains Sam Bobrick et Ron Clark. En bons
experts en comédie, Azzopardi et Danino ont le sens des dialogues, des
situations et du rythme. Dans l’air du temps, connaissant leur époque,
ces joyeux compères ont dynamisé cette pièce…Toujours juste dans
l’émotion comme dans le comique, Daniel Russo est extraordinaire
dans le rôle de Victor. L’acteur a vraiment l’étoffe des grands
interprètes. Entouré d’une belle brochette de comédiens, il se
déchaîne. La délicate Anne Jacquemin campe une touchante
courageuse qui refait sa vie avec bonheur. David Talbot, en jeune
amoureux peu stressé, est impayable comme toujours, dans le
personnage du meilleur ami qui se laisse vivre, préférant le golf au
bureau, on trouve l’épatant Xavier Letourneur et dans celui de a
meilleure amie nymphomane, la pétillante Jessica Borio. La mise en
scène de Sébastien Azzopardi, jouant sur des changements de décors
étonnants (œuvre de Juliette Azzopardi), est des plus alertes. Bravo !
Pariscope (Marie-Céline Nivière)
Digne héritier de Louis de Funes !
…Daniel Russo en digne héritier de Louis de Funès , n’a pas peur
d’en faire des tonnes, et ça marche : le public rit dès qu’il ouvre la
bouche. Il est le moteur de la pièce, même si ses partenaires font aussi
sourire… Le décor ingénieux, passe en quelques secondes de la
chambre luxueuse des Pelletier à l’appartement défraîchi du serveur.
Du pur divertissement. Sans rancune aucune !
Le Parisien (Thierry Dague)
Alors oui « sans rancune » merci pour ce moment !
…Ici, pas spécialement de portes qui claquent mais néanmoins, selon
les code du trio classique, l’épouse, l’amant et le mari trompé s’y
retrouvent sur un tel piédestal que d’emblée la caricature s’affiche
comme la bienveillante compagne d’un voyage en mauvaise foi si bien
partagée par l’ensemble d’une famille recomposée en fonction des
intérêts de chacun. Donc au cœur de cette fusion décapante, une sorte
de Monsieur Jourdain qui découvrirait, éberlué , la liaison amoureuse
de son épouse adorée mais totalement instrumentalisée par son
standing de vie… Bref cette « Terreur » au cœur d’Artichaut, c’est
bel et bien le royaume de Daniel Russo qui s’y vautre avec un plaisir
non dissimulé…Bref, comme à la parade, Daniel Russo emmène ses 5
partenaires en un train délirant dont la vitesse humoristique ne
cesserait d’accélérer sans que quiconque n’ait l’intention d’arrêter ce
vent de folie…ce dont, à l’évidence, le public lui ait totalement gré !
Alors oui « sans rancune » merci pour ce moment !
Site theothea.com
On y va pas, On y court !
Plus la vie de Victor Pelletier, empereur du CAC 40 et de la muflerie,
vole en éclats et plus les rires font vibrer le théâtre du Palais-Royal.
Sa femme va le quitter le jour du mariage de sa fille ! Avec une
jubilation qui rappelle un certain Louis de Funès, Daniel Russo et sa
troupe électrisent cette comédie aux bienfaits providentiels en ces
temps agités. On y va pas, on y court !
Journal Télé Poche (I.D.)
On rit ferme !
… O rit ferme devant l’homme riche enfin dépossédé et Daniel Russo
y est épatant de mauvaise foi et de misogynie imbécile. Comme ces
partenaires lui renvoient la balle avec talent, pourquoi pas un bon
vaudeville ? Sans rancune !
Télérama (Fabienne Pascaud)
Vent de folie !
Suite à sa collection de succès inénarrables « Le Tour du Monde en 80
jours », « Mission Florimont », « Dernier coup de ciseaux », voici que
le duo chic et choc Azzopardi-Danino s’essaye aujourd’hui à la
réadaptation d’une comédie ayant eu l’énorme avantage de séduire
l’adolescent Sébastien découvrant les ressorts du rire grand Public…
Ici pas spécialement de portes qui claquent mais néanmoins, selon les
codes du trio classique, l’épouse, l’amant et le mari trompé s’y
retrouve sur un piédestal… Bref comme à la parade , Daniel Russo
emmène ses cinq partenaires en un train délirant dont la vitesse
humoristique ne cesserait d’accélérer sans que quiconque n’ai
l’intention d’arrêter ce vent de folie…ce dont, à l’évidence, le public
lui ait totalement gré !
Alors oui « sans rancune » merci pour ce moment !
Site AGORAVOX
Cela fonctionne parfaitement !
La comédie, le vaudeville, appartiennent à ces soirées suspendues où
l’on oublie la réalité pour plonger dans des existences loufoques, qui
ne sont bien souvent, au reste, que des caricatures de la vraie vie.
Aussi , si l’envie vous prend un soir d’aller au Palais-Royal pour rire,
et qu’on vous le reproche, répondez simplement « Sans rancune » !
c’est le titre de la pièce Britannique signée Sam Bobrick et Ron Clark,
déjà jouée dans cette même salle il y a un quart de siècle, adaptée ici
(à l’actualité notamment) et mise ne scène par le nouveau patron de la
salle Sébastien Azzopardi (avec son complice de toujours Sacha
Danino). On sait l’efficacité du duo dans la visualisation
cinématographique d’une œuvre sur les planches. Une nouvelle fois
cela fonctionne parfaitement.
Site bernardthomasson.com (Bernard Thomasson)
Contact : Marc GUILLAUMIN
THEATRE DU PALAIS-ROYAL
tel : 01 42 97 12 23 - port : 06 13 26 08 06
fax : 01 42 97 12 27 - mail : [email protected]