Création 2016 (1 h – 7 interprètes) P
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Création 2016 (1 h – 7 interprètes) Photographie © Herve Tartarin Revue de presse JOB délibéré, prologue Les Hivernales, entre heures sup et licen... http://delibere.fr/hivernales-serafini-licenciement/print/ Les Hivernales, entre heures sup et licenciement Posted By Marie-Christine Vernay On 17 février 2016 @ 2 h 26 min In Danse | Job © Jacques Roussel Autre registre, plus léger, plus frais avec la compagnie Adéquate. Dans Job, Lucie Augeai et David Gernez décryptent non sans humour la condition du danseur-interprète. Selon les ambiances d’extraits musicaux bien choisis, qui vont de la boîte de nuit à la musique de ballet, les sept danseurs complices, sur un plateau nu, se livrent à mille jeux, en se moquant d’eux-mêmes, de leurs manies (le danseur est celui au monde qui s’habille et se déshabille le plus), de leurs défauts (jamais dans le rythme), de leur propension à créer de l’image inutile, faussement esthétique… Ils s’amusent beaucoup et nous aussi, surtout lorsqu’ils passent en revue décalée les exercices d’improvisation chers à nombre de chorégraphes. Ils tiennent le plateau, ils tiennent la route, ils suent comme il convient, ils passent de la technique classique aux danses libres des dancings, ils mettent du cœur à l’ouvrage… Bref, nul doute qu’ils aient le job ! Ce ne pourrait n’être qu’amusement, divertissement anodin mais le groupe a la capacité à lâcher prise et à se laisser gagner par une danse collective où tout reprend sens: le plaisir de bouger ensemble sans se soucier du paraître ou de la place de chacun. Marie-Christine Vernay 38ème édition des Hivernales d’Avignon, jusqu’au 20 février, 04 90 39 06 76 Lire le communiqué d’Emmanuel Serafini. 1 sur 1 17/02/2016 11:43 Page 2 / 13 Toutelaculture Soyez libre, Cultivez-vous ! http://toutelaculture.com Le good « Job » de Lucie Augeai et David Gernez aux Hivernales A Avignon, on y danse, on y danse, pas seulement sur le pont, et pas seulement en juillet. Du 3 au 20 février Les Hivernales permettent de jeter un œil à la fois sur la jeune création et sur les grandes filiations. Hier, Lucie Augeai et David Gernez présentaient leur création Job. Le mot est à entendre de façon anglaise et non biblique. Quoi que... le travail est une injonction divine non ? [gallery ids="449417,449418"] A la première image, celle de cette troupe de 7 danseurs ( chorégraphes compris) venant saluer un pas un, inlassablement, au cœur de cet espace blanc ponctué de part et d'autres de portants sur lesquels des costumes sont pressés d'être mis en mouvement, des références viennent : Platel,Bel, Pina... Il y a déjà là, dans cette première image, de l'humour, de la théâtralité et une présence au plateau forte. Mais de quel "job" parlent-ils ces chorégraphes encore inconnus ? Leur taf, c'est la danse, leur danse, leur échauffement, leurs blessures, les concurrences, leurs impossibilités à se mouvoir, leurs pas de de deux, leurs solos, leur autorité... Pour ce faire, le spectacle se pense quasiment comme une série de punchlines. Les saynètes sʼenchaînent, cherchant souvent le rire. La chorégraphie est volontairement simple, faites de balancés de hanches, de sauts, de courses. Les portés sont rares tout comme les complexités. ici seule l'endurance compte, et on pense aux rebonds fous et délicieusement obsessionnels de Jan Martens qui récemment épuisait ses danseurs au Théâtre de la Ville. Le point commun est dans Page 3 / 13 Toutelaculture Soyez libre, Cultivez-vous ! http://toutelaculture.com le rythme fou, c'est tout, car, dans Job, il n'y a aucune notion de jeu du cirque. Augeai et cherchent pas lʼépuisement. Ils ne cherchent pas non plus la faille. Job est Gernez ne bienveillant, attachant et frais. Alors bien sûr, on aimerait une bande-son plus subtile, on aimerait des transitions plus soignées et une fin plus radicale. Tout cela ce sont des détails. Pour cette jeune compagnie repérée en 2011 et aux danseurs bien formés ( les chorégraphes et danseurs ont évolué chez Pedro Pauwels), la base est là solide. En proposant un spectacle au fil conducteur net : le travail, et qui ne casse jamais, ils interrogent avec des images simples et des idées brillantes ( la journée d'un danseur par le speed des changements de tenues est un bijou d'intelligence tellement l'idée est géniale). Deux noms à retenir et un travail à suivre. Visuel : ©Herve Tartarin Page 4 / 13 Le Job festif de Lucie Augeai et David Gernez 14 février 2016/dans À la une, A voir, Avignon, Danse, Les critiques /par Stéphane Capron photo Jacques Roussel Lucie Augeai et David Gernez, deux noms à retenir, ils sont les chorégraphes de la jeune compagnie Adéquate créée en 2010. Aux Hivernales à Avignon ils ont présenté Job, spectacle festif qui célèbre le métier de danseur. Des cris, des spasmes, des danseurs qui tentent de parler, mais pas trop, parce que ce n’est pas leur métier. Alignés face au public, les sept interprètes tente d’exprimer leur passion par des mots. Mais il faut se résigner, leur langage, c’est le mouvement. Alors ils se lancent dans une course effrénée sur le plateau. Ils effeuillent leurs corps, ôtent les différentes couches de vêtements dans une chorégraphie qui frise la frénésie. Le rythme est envoûtant et endiablé, presque tribal. Les danseur rampent et tournoient sur le sol. Un homme en tutu traverse le plateau au milieu d’une forêt de pieds. Images accélérées, images au ralenti, Lucie Augeai et David Gernez utilisent tout le vocabulaire de la danse pour raconter leur passion. Job est une autopsie du métier de danseur. Celui qui « fait plus de lessives que la moyenne ! » Il y a beaucoup d’humour et de dérision dans ce spectacle simple et joyeux. Une belle découverte. Stéphane CAPRON – www.sceneweb.fr Page 5 / 13 Curiosités du spectacle vivant et autres découvertes Vu : JOB de Lucie Augeai et de David Gernez – Cie Adéquate Publié le 15 février 2016 par Laurent Bourbousson Lucie Augeai et David Gernez aiment leur métier et lui font une déclaration d’amour à travers leur dernière création JOB. Quand danser devient une raison de vivre. Retour. — JOB de Lucie Augeai et de David Gernez ©JacquesRoussel Ils sont 7 sur le plateau lorsque le public entre dans la salle. Ils sont 7 et chacun mime ce qu’ils répéteront à la fin du spectacle. Leurs gestes remercient la technique, le public de l’accueil qu’il leur réserve (ce geste de prendre les applaudissements pour les mettre sur le cœur), leurs expressions témoignent aussi de leur émotion d’entendre les applaudissements (Lucie Augeai, notamment) et tous s’accordent à faire montre de leur satisfaction d’avoir procurer du plaisir au spectateur durant le spectacle. Du spectacle justement, il en est question ici. Lucie Augeai et David Gernez ont eu l’idée de mettre en scène le danseur, cet être étrange, aux yeux de certains, qui vit de son art. Les 7 interprètes vont donner de leur corps durant l’heure. Ils vont transpirer, répéter les gestes, improviser, danser, tantôt dans une énergie folle, tantôt dans une lenteur presque irréelle (on notera le passage en tutu d’Alexandre Blondel). 1 sur 2 15/02/2016 14:20 Page 6 / 13 Vu : JOB de Lucie Augeai et de David Gernez – Cie Adéquate | — http://ouvertauxpublics.fr/vu-job-de-lucie-augeai-et-de-david-gernez-cie-a... JOB de Lucie Augeai et de David Gernez ©HervéTartarin Tout commence avec des mots, des cris, des bruits de bouche. Quiconque a déjà pénétrer dans une salle de danse comprend : un simple sifflement ou un simple mot signifie au danseur, un geste. Ici, on entend flèche, câlin (mot lancé par Claire Lavernhe qui procure des rires), et autres rrrlllll, ou ahhhh. Et tout se met en état de marche. Ces sons réveillent les corps et le phrasé chorégraphique se met en place. Et la compagnie de danse se met en mouvement. Ils sont 7 mais paraissent être bien plus tant les gestes, les chutes au sol, s’enchaînent sur la composition musicale originale du musicien APPART. Chorégraphie et musique sont d’une efficacité implacable et l’effeuillage des danseurs commence. Ils n’en finissent pas d’enlever des couches et des couches d’habits, témoignages de la multiplicité de chorégraphes pour lesquels le danseur travaille. Il sera aussi question du corps du danseur, maltraité par le rythme de ses interprétations multiples. Tous seront rassemblés autour de Marie Rual pour l’ausculter, reprenant des gestes d’ostéopathe. Un moment suspendu comme pour signifier la fragilité de ce corps et non dénué de poésie. Lucie Augeai et David Gernez laissent aussi entrevoir la porosité de leur art à l’image du corps de Jean Magnard recouvert d’habits et transporté tel un gisant qui rappelle l’univers de la peinture, ou encore des emprunts de langages chorégraphiques à d’autres chorégraphes, car pour se construire, un danseur se nourrit de ses expériences. Ils croquent aussi ces moments d’improvisation demandés par certains chorégraphes (le fameux I feel love de Dona Summer qui peut s’étendre un peu). Ce pari, de leur première pièce de groupe, est une réussite. L’écriture de la pièce est telle que le public assiste à la plus grande audition jamais dansée sur un plateau, laissant à chaque interprète le soin de s’exprimer. Lucie Augeai, Alexandre Blondel, Smaïn Boucetta, David Gernez, Claire Lavernhe, Jean Magnard et Marie Rual ont en commun cela : le plaisir de danser et de le partager. JOB a été vu lors de la 38e édition du festival les Hivernales. Les prochaines dates : 25 février – l’Atelier à Spectacle, Scène Conventionnée – Vernouillet (Dreux) (28), 10 et 11 mars – 3T Théâtres de Châtellerault (86), 7 avril – Scènes de Territoire, Bressuire (79). Laurent Bourbousson Ce contenu a été publié dans Vu, lu et entendu par Laurent Bourbousson, et marqué avec David Gernez, HivernalesAvignon, JOB, Lucie Augeai. Mettez-le en favori avec son permalien [http://ouvertauxpublics.fr/vu-job-de-lucie-augeai-et-de-david-gernez-cie-adequate/] . 2 sur 2 15/02/2016 14:20 Page 7 / 13 Date : 14 FEV 16 Journaliste : Jessica Chaine P Périodicité : Quotidien OJD : 124580 Page 1/1 LES HS La compagnie Adéquate fait bien plus que le "Job" "Job" de Lucie Augeai et David Gernez était jouée pour la première fois en France, hier, aux CDC. /PHOTO HERVE TARTARIN Première réussie, hier, au Centre de chorégraphie (CDC) Les Hivernales, pour "Job", de la compagnie Adéquate, fondée en 2010 par Lucie Augeai et David Gernez. Avec cette création, les sept danseurs de la troupe ont complètement embarqué le public dans l'univers de la danse. Un monde où chaque mouvement peut être répété une fois, deux fois, cinq fois, cent fois, mille fois... Un monde où il faut se fondre dans les pas du choré graphe, jusqu'à atteindre l'idéal recherche. Et puis s'habiller, se déshabiller, s'habiller encore et tout recommencer. Sur un plateau nu, les vêtements servent d'accessoires. Ils permettent aux danseurs, de jouer l'engagement quotidien que leur impose leur métier, mais aussi ses joies. Des rôles de composition interprétés à la perfection. Ils ont fait le "Job", et bien plus encore. Jessica CAINE 2 2 2 Tous droits réservés à l'éditeur HIVERNALES3 1145696400501 Page 8 / 13 L !"# $ %#$" & DAVID %#G&#'( « JOB O LES )*&+++ http://inferno-magazine.com/,-./0-,0,10345ie-augeai-david-... LUCIE AUGEAI & DAVID GERNEZ, « JOB » OU LES SYNDROMES Posted by infernolaredaction on 27 février 2016 · Laisser un commentaire Lucie Augeai et David Gernez, compagnie Adéquate : JOB / Le 25 février 2016 / L’Atelier à Spectacle, Scène Conventionnée de Vernouillet. Comme le précisent les chorégraphes, JOB n’a rien à voir avec la Bible et ce pauvre dont il est fait mention. Non, là, il est question du travail et pas de n’importe quel travail mais celui de danseur… Comme un contre-pied à « Vers un protocole de conversation » de Georges Appaix (cf article V. Marin sur INFERNO) plus mature et plus désabusé dans sa vision que ne le sont Lucie Augeai et David Gernez, il ressort de cette essai chorégraphique une vision plus joviale, plus ludique certes, mais qui n’épargne aucun des syndromes du métier. Pendant une heure tout y passe… Du fameux tutu à l’impro, du soin intensif au danseurs perclus de douleurs… Rien ne manque et les séquences se succèdent jusqu’à ce descriptif, lancé à toute vitesse, des caractéristiques du danseur qualifié alors « d’être humain qui se change le plus sur la planète » (humour !) vu que, logiquement, dans toute sa journée de répétitions ou de performances il sue, il porte des costumes, il n’arrête pas de couvrir sa peau pour entrer dans les différentes phases de son métier. Du reste JOB commence par la fin et par les tics des artistes lors des saluts… sept danseurs figés à la face font et refont ces baisers de la soliste et ce geste incluant toute l’équipe technique… Suivra une course-poursuite de chutes de vêtements qui prendra tout son sens au moment d’un bref mais jubilatoire texte – au débit encore trop rapide à la scène conventionnée de Vernouillet où nous étions – mais qui permet de comprendre clairement le propos des artistes. Moment clé qui apporte tous les éclairages nécessaires… Les chorégraphes nous baladent volontairement dans tous les clichés liés la danse le tutu, le Faune… Même la boîte de nuit où un furieux « it’s so good » lié au tube de Donna Summer « I feel love » finit 1 sur 2 07/-60,-./ ./707 Page 9 / 13 89:;< =9><=; & DAVID ><?@<AB « JOB D9 LES EF@III http://inferno-magazine.coJKMQRTKQMKMUKlucie-augeai-david-... de planter le décor quelque peu mouvementé. Cette pièce passe aussi par un moment d’une grande beauté où l’on retrouve le phrasé des gestes qui ont fait connaître la compagnie dès 2011 avec leur duo « Noeuds ». Après l’épisode du corps supplicié de vêtements, ce moment en silence rappelle la nécessaire répétition des mouvements que s’impose le danseur pour atteindre la perfection et son besoin d’entrer dans la profondeur d’un geste, de le scruter, de le creuser pour arriver à le faire sans effort, détaché de son exécution… Ainsi JOB – courageux septuor au moment où les moyens de production manquent dans la danse – est à la fois une pièce chorale, de groupe, en groupe et un moment d’individualité ou des artistes comme Alexandre Blondel – vu à Avignon en 2015 dans son solo 3949, veuillez patienter – ou Jean Magnard entre autres apportent une finesse présente tout au long du je de cette compagnie découverte en 2011 lors du plateau libre Les HiverÔclites, initié alors par Emmanuel Serafini lors des Hivernales à Avignon. JOB est donc un témoignage réussi, un médium destiné à un large public pour faire comprendre, sans le dire ou le souligner avec insistance, le métier de danseur passant de notions simples à montrer tel ce tutu légendaire à des métaphores plus allégoriques qui jalonnent le spectacle imaginé par ces deux jeunes artistes, leur danseur et toute leur dynamique équipe. E. Spaé *en tournée le 27/2 festival Jouvence/Roubaix – les 10, 11/3 3T Chatellerault – le 7/4 Bressuire Photo Jacques Roussel INFERNO · Magazine Arts & Scènes contemporaines : IL N'Y AURA PAS DE MIRACLE ICI 2 sur 2 07/QVKMQRT RTW07 Page 10 / 13 Job à XYZ[\]]\^_`][ : un spectacle attendu - abcadceafgh XYZi.. http://www.lanouveller\j`k]lm`\in^cpl\qq\cXrss`q\tcXYZ[\iii En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies qui permettent notamment de vous proposer contenus, services, et publicités liés à vos centres d'intérêt. > en savoir plus et paramétrer les cookies. MES FAVORIS . Tours – Poitiers Vienne - Châtellerault - Danse " Job " à Châtellerault : un spectacle attendu 05/03/2016 05:35 Jeudi soir, la compagnie Adéquate présente « Job » au Nouveau Théâtre, dans le cadre de la saison culturelle des 3T. Danseur, ce n'est pas un métier comme les autres : épuisement, anonymat, chutes, changements vestimentaires incessants, acharnement, vieillissement, trac… Cette talentueuse compagnie poitevine interroge son métier et en dévoile les codes cachés. Tout juste créé (1), « Job » a reçu de très bons échos dans la presse nationale ces dernières semaines. " Beau à voir " « C'est un spectacle attendu, confirme le directeur des 3T, Jérôme Montchal. Pour plusieurs raisons : Adéquate est une compagnie qui a une certaine réputation nationale. Elle n'avait fait jusqu'ici que des petites formes (trois maximum). Sur " job ", ils sont sept sur scène ; c'est un beau challenge. L'idée de parler de leur propre métier est plutôt amusante. Et le rendu est très intéressant : c'est un spectacle grand public, avec un certain nombre de moments agréables ("humoristiques "), plusieurs tableaux, une musique sympa, de très belles images… C'est beau à voir ! » « Job » met l'accent sur l'audition, l'entraînement quotidien, le travail de création, le rapport à la scène, au « Job », la nouvelle création de la compagnie poitevine Adéquate, a été en partie préparée à Châtellerault. C'était en octobre 2015. - (Photo DR, Hervé Tartarin) public, au chorégraphe… mais aussi le rapport au corps, aux maux, à l'image, aux attentes… Une vraie danse de notre temps, légère et mordante. (1) Le spectacle a été en partie créé à Châtellerault en octobre 2015. La fin du processus de création a eu lieu le mois dernier à Avignon. Jeudi 10 mars, 20 h 30, au Nouveau théâtre. Durée : 1 h. Tarifs : de 6 à 17 €. Contacts : 05.49.854.654, contact@ 3t-chatellerault.fr Suivez-nous sur Facebook A lire aussi sur La NR L'hôpital condamné après le vol de ses bijoux Éric Bouniot, mon coiffeur est écolo Mort d'un nouveau-né : l'hôpital condamné Qui a frappé Yvonne à la maison de retraite ? Partie de billard automobile : un drame évité sur l'A 10 Recommandé par Le reste de l'Actualité en vidéo : Les Calaisiens lundi à Paris pour faire entendre 1 sur 2 07/03/2016 16:eu Page 11 / 13 Page 12 / 13 Facebook facebook.com/cieadequate Twitter @cieadequate Inscription à la newsletter adequatecie.com/contact Jessica Fouché Production et diffusion ELEKTRONLIBRE Relations Presse Olivier Saksik assisté de Delphine Menjaud-Podrzycki Lucie Augeai David Gernez Direction artistique / Chorégraphie La compagnie Adéquate est soutenue par la DRAC Poitou-Charentes – Ministère de la Culture et de la Communication, au titre de l’aide à la compagnie et est conventionnée par la Région Poitou-Charentes. Design graphique : Benoît Cannaferina Compagnie Adéquate Danse contemporaine 37, rue de la Roche 86 000 Poitiers Site Internet www.adequatecie.com