UNE JOURNÉE A LYON - université populaire montelimar
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UNE JOURNÉE A LYON - université populaire montelimar
VISITE Jeudi 17 novembre Rendez vous à 7h30 Parking sud Palais des Congrès www.up-sael-montelimar.fr Repas libre UNE JOURNÉE A LYON Organisation pratique : 7h45 : départ du car (parking du Palais des Congrès), merci d’arriver ¼ d’heure avant 10h15 à 12h15 : 1ère visite au Musée des Tissus, 34 rue de la Charité 69002 Lyon Après cette visite le car nous transportera dans le quartier de la Croix Rousse où nous pourrons déjeuner (déjeuner libre) 14h00 à 16h30 : 2ème visite à la Maison des canuts, 10-12 rue d'Ivry 69004 Lyon et promenade des traboules dans le quartier des Canuts. Le car nous reprendra à 17h45 Quai Jean Moulin (niveau place des Terreaux) pour un retour vers 19h à Montélimar. Ces deux visites se feront en deux groupes simultanés. MUSÉE DES TISSUS (Extraits du site www.mtmad.fr) Conserver, enrichir, étudier, transmettre, telles sont les missions de ce musée dont le sort est actuellement incertain. En 1856, la Chambre de Commerce de Lyon fonde le musée d'Art et d'Industrie (tissus et arts décoratifs) dans le but de renouveler la création contemporaine par les meilleurs exemples du passé. Dès son ouverture en 1864, l'objectif est clair : constituer une collection de référence dans le domaine des Arts appliqués à l'industrie, qui permette d'inscrire la création contemporaine dans l'histoire de l'innovation, de la stimuler pour la propulser au rang d'art et de témoigner de l'évolution du goût. En 2002, avec les autres musées classés et contrôlés par le ministère de la Culture, le MTMAD reçoit le label "musée de France", qui est effectif depuis 2003. Les collections sont donc inaliénables et imprescriptibles. Elles ont vocation à être préservées dans les meilleures conditions de conservation possibles, pour être transmises aux générations futures, à être enrichies en fonction d'une politique d'acquisition structurée et cohérente, à être étudiées par des équipes scientifiques, à être valorisées par des actions de médiation envers les publics les plus divers. Le musée se veut un lieu de contemplation, de découverte, mais aussi un lieu de ressources scientifiques, documentaires, culturelles et pédagogiques. Il est aussi un pôle de collaborations institutionnelles, avec les autres musées en région, en France ou à l'étranger, avec d'autres équipements culturels, avec des écoles ou des universités, avec des fondations, des associations, des organismes professionnels ou des industriels. Les collections, très importantes, sont présentées au public par roulement, dans des expositions thématiques. Actuellement l’exposition « Le Génie de la Fabrique » est un hommage à la ville de Lyon et à ses habitants qui ont su, par leur incroyable exigence et leur inventivité, élever le tissage des étoffes façonnées non plus seulement au rang d’un artisanat remarquable, mais à celui d’un art véritable. Cette conquête, qui a duré près de trois siècles, a déterminé l’histoire de la ville et préparé son avenir. L’exposition présente plusieurs pièces inédites et des acquisitions récentes, ainsi que les exemplaires les plus prestigieux des étoffes réalisées pour l’ameublement des résidences royales ou impériales et pour la haute couture. LA MAISON DES CANUTS : ouvriers de la soie (extraits du site http://www.maisondescanuts.fr/) La COOPTISS (Coopérative de tissage) créée en 1960 par Lucien Berger a imaginé cet établissement qui a ouvert ses portes en 1970. Ce lieu historique (siège du Syndicat des Ouvriers Tisseurs et Similaires au XIXème siècle), appartient à la ville de Lyon et abrite un centre d’interprétation du patrimoine qui témoigne de la grande aventure de la soierie lyonnaise : cinq siècles d’avancées artistiques, sociales, architecturales et techniques. La région Rhône-Alpes, première région textile de France et pôle de compétitivité dans le domaine des tissus techniques, trouve aujourd’hui sa légitimité dans ce passé prestigieux. LES TRABOULES DE LA CROIX ROUSSE, en descendant jusqu'à la place des Terreaux Les traboules sont des passages piétons à travers des cours d'immeuble qui permettent de se rendre d'une rue à une autre. À la Croix-Rousse, elles constituaient des chemins permettant aux ouvriers et artisans de transporter les pièces de textile (principalement de la soie) à travers la ville en restant à l'abri en cas de précipitations. Ces chemins de traverse permettaient aussi de se déplacer dans la ville à l'abri des autorités, souvent ignorantes de leur configuration exacte. Certaines traboules, utilisées par les canuts lors de leurs révoltes et également par les résistants lors de la deuxième guerre mondiale sont devenues des lieux de mémoire. Contacts : Contact : Nicole CALMET tel 06 87 66 47 23