VIANDES DE FRANCE ET RESTAURATION cOLLEcTIVE
Transcription
VIANDES DE FRANCE ET RESTAURATION cOLLEcTIVE
VIANDES DE FRANCE ET RESTAURATION COLLECTIVE, AGISSONS ENSEMBLE - Actes du colloque - Développer une alimentation de proximité en Restauration collective est un objectif clairement affiché au sein du nouveau Programme National pour l’Alimentation (PNA). Initié par le Ministère de l’Agriculture il a pour mission de veiller à la justice sociale, l’éducation alimentaire, la lutte contre le gaspillage ainsi qu’au renforcement de l’ancrage territorial de ses actions. Les filières d’élevage français apportent des réponses concrètes pour accompagner cette mobilisation, tant au niveau de la qualité nutritionnelle et sanitaire de ses produits, que du rôle clé qu’elles jouent dans le développement durable des territoires. La restauration collective, relais du Programme National pour l’Alimentation Assurer une mission sociétale : La mission première de la restauration collective est d’apporter à ses nombreux publics des aliments de qualité, aux valeurs nutritives avérées. L’autre fonction, essentielle, est sociale puisque la restauration collective permet d’offrir à certaines couches de la population, principalement dans les écoles, le seul repas complet de la journée. Elle leur apporte alors les nutriments indispensables à leur équilibre alimentaire. Eduquer les plus jeunes aux bonnes habitudes alimentaires La restauration collective participe à l’apprentissage du goût, notamment chez les plus jeunes et contribue à la transmission de bonnes pratiques alimentaires. Participer à la vitalité des territoires en renforçant l’ancrage territorial des actions Pour répondre aux attentes des consommateurs citoyens et pour renouer les liens entre le consommateur et son alimentation, il s’agira de remettre les produits locaux au cœur des territoires et de favoriser l’approvisionnement de proximité. La restauration collective est une des priorités du ministre car elle cristallise les quatre enjeux de la politique d’alimentation. Issu du discours d’introduction de JG BRETENOUX - Conseiller du Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. es Viandes de France, L partenaires de la restauration collective pour répondre aux enjeux du PNA Né en 2014 grâce à un travail collectif associant l’ensemble des opérateurs des filières viande et le Ministère de l’Agriculture, les Viandes de France répondent à ce besoin de réassurance des consommateurs et des convives sur l’origine et les modes de production des produits. La production des Viandes de France est une activité économique et sociale majeure qui contribue à alimenter les populations mais participe également directement à l’aménagement et l’animation des territoires, à la protection de l’environnement et au rayonnement culturel de la France. Outre les centaines de milliers d’emplois qu’il représente – éleveurs, abatteurs, transformateurs, bouchers… - et qu’il génère, ce secteur est à l’origine de « services rendus », directement liés au « modèle d’élevage et alimentaire » français. La garantie de l’origine, la qualité sanitaire Les viandes bovines françaises sont soumises au système de traçabilité le plus évolué au monde, rigoureusement contrôlé, reposant sur un système d’identification des animaux garantissant un transfert ininterrompu, de la naissance de l’animal jusqu’au lieu de distribution, d’informations de nature réglementaire ou volontaire à destination du consommateur. Fleur des services rendus par l’élevage Alimentation humaine É Emplois de filière TE Vitalité agro-économique VI RO APP IALE E DE VI ITÉ R AL ON Qualité de l’eau NE QU VI Séquestration du Carbonne Vitalité rurale OR EN Maintien de la biodiversité Illustration fleur des services rendus de l’élevage herbivore. Source : atlas de l’élevage herbivore en France. *Etude GIS élevage demain. CIV – Emplois liés aux filières d’élevage. LIT TÉ Renouvellement fertilité VITA ENT IT Production d’énergie ON M NE RR Coproduits d’abattage SI Coproduits d’élevage QUALI Les professionnels du secteur ont récemment souhaité, de surcroît, outrepassé la réglementation européenne en proposant aux consommateurs la signature « Viandes de France », derrière laquelle se trouve un cahier des charges interprofessionnel – contrôlé par des organismes indépendants - garantissant une viande issue d’un animal né, élevé, abattu, puis transformée en France. ME NTA LE PATRI MO I E NE T Valeur imaginaire ajoutée Gastronomie Typicité du paysage Valeur récréative L ’élevage français, respectueux du bien-être animal et acteur de la protection de l’environnement Le respect du bien-être animal constitue un devoir et un gage de qualité pour les éleveurs français, qui ont la volonté de protéger les animaux et de les préserver de toute douleur ou situation de stress évitables. Leurs pratiques (suivi sanitaire, conditions d’hébergement, ration alimentaire, transport, …) sont strictement encadrées sur le plan réglementaire. Sur le plan environnemental, si l’élevage de ruminants est souvent pointé du doigt pour ses émissions de gaz à effet de serre – tout particulièrement de méthane « entérique », naturellement produit par la digestion des ruminants -, il possède également de nombreux atouts et contribue pleinement à la lutte contre le réchauffement climatique, ainsi qu’à la protection de la biodiversité et de la qualité de l’eau, tout particulièrement grâce aux 13 millions d’hectares de prairies, véritables puits de carbone et infrastructures agroécologiques, qu’il a façonné et contribue, aujourd’hui, à entretenir. Garant du dynamisme des territoires ruraux Le maintien des exploitations d’élevage et de l’activité économique directement produite ou induite par les entreprises du secteur est garant de la non-désertification de nombreux territoires ruraux. En effet, au-delà des emplois directs créés par la filière, c’est l’attractivité du territoire tout entier – ouverture des paysages, tourisme, maintien des commerces de proximité, … - qui est directement lié au sort de ces entreprises. > L’apport en nutriments essentiels La viande apporte de nombreux nutriments essentiels à notre équilibre alimentaire. En restauration scolaire, il est obligatoire de servir au moins 4 repas sur 20 à base de viande non hachée de bœuf, veau ou agneau. Le saviezvous ? la filière viande en France génère prés de 600 000 emplois Mais… près de 60% des viandes vendues en restauration, notamment collective, proviennent d’autres pays que la France. Un élevage français familial et herbager…. En France, 80% de la ration moyenne d’un bovin de race à viande est composée d’herbe, sous forme pâturée ou de foin, accompagnée de maïs, céréales et protéines végétales. Au total, ce sont 90% des aliments du troupeau qui sont produits sur l’exploitation. L’élevage bovin français se distingue également par son caractère extensif : chaque vache, en France, dispose en moyenne d’un hectare pour se nourrir ! Et ce modèle n’a pas été rattrapé par l’industrialisation : les petites exploitations familiales restent très largement majoritaire, sur notre territoire : sur 56 000 élevages de plus de 20 vaches allaitantes au niveau national, seulement 6 000 comptent plus de 100 vaches, 1 400 plus de 150 et 400 plus de 200. pprovisionnement national, A de proximité et contraintes réglementaires Ce qu’il faut savoir… Renforcer l’ancrage territorial est un des objectifs du PNA dont la mise en œuvre passe par l’organisation d’un approvisionnement national ou de proximité ; Une attente forte voulue par les français, soucieux de consommer des produits de qualité, irréprochables d’un point de vue sanitaire. Des exigences techniques peuvent figurer dans les cahiers des charges et ainsi favoriser l’approvisionnement en viandes de France : Circuit de proximité ne veut pas dire circuit court L’approvisionnement de proximité est un approvisionnement en produits conçus et transformés dans un espace géographique restreint, bénéficiant de circuits les plus directs possibles. Il induit de ce fait un produit dont le périmètre de production est le plus proche possible des bassins naturels de production. Les produits doivent bénéficier d’une traçabilité si possible informatisée et s’appuyer sur une logistique adaptée. Florent Moulis Parole de pro Acheteur national viandes SODEXO « La principale limite aujourd’hui est la définition du mot « local », il faut discuter avec le client sur son évaluation du local. Cela peut être du cantonal, du régional, et aussi du national. En fonction de la réalité de production des filières, cela peut varier. » Concilier approvisionnement national ou de proximité et respect de la règlementation Des règles strictes encadrent la commande publique pour garantir un accès égal à tous les fournisseurs, sans discrimination. C’est la raison pour laquelle elles interdisent l’indication, dans le cahier des charges, de critères d’attribution fondés notamment sur l’origine du produit. Par exemple, commander une viande d’origine française est considéré par le droit européen de la concurrence comme une pratique discriminatoire. Pour un achat conforme aux attentes du législateur, il convient de mentionner des caractéristiques propres qui répondent à des objectifs d’intérêt général tels que la qualité des produits (fraicheur, saisonnalité) ou de développement durable (limitation des transports…). • Exiger une race précise sous réserve que celle-ci soit suffisamment répandue géographiquement. • Réaliser un allotissement raisonné pour favoriser la réponse d’entreprises de plus petites tailles. • Exiger une durée de maturation pour les morceaux à cuisson rapide en viande bovine avec précision de la date d’abattage • Exiger la traçabilité de la viande auprès du fournisseur (origine, catégorie et type racial pour la viande bovine) • Exiger des viandes sous signe officiel de qualité : AB, Label Rouge, AOC. >E n savoir plus sur www.interbev.fr/RHD éussir son approvisionnement R national ou de proximité Mise en place d’une démarche globale Si la mise en place d’un approvisionnement national ou de proximité en restauration collective est un enjeu important, il est directement confronté à deux freins majeurs : le coût et le code des marchés publics. Ces freins peuvent être en partie levés par la mise en place d’une démarche d’achat anticipée par les différents acteurs. Avant de formaliser le cahier des charges, dans le cadre d’un appel d’Offre, des étapes clés doivent être préparées en amont, avec une condition préalable, celle de l’adhésion de l’ensemble des personnes concernées sur le terrain - élus, personnels d’établissements, gestionnaires, chefs et convives - à une démarche participative globale. Annick BIOLLEY-COORNAERT, fin de faciliter l’approvisionnement A de produits français dans les restaurants collectifs, le ministère de l’agriculture a travaillé à la rédaction d’un guide pratique diffusé à tous les maires de France, aux présidents de région et de conseil général pour leur donner les outils en particulier juridiques pour servir cet objectif. > www.agriculture.gouv.fr/ approvisionnement-localrestauration-collective Parole d’élu Parole d’expert Ministère de l’Agriculture, Sous-directrice, Secrétariat général, Sous-direction du droit de l’administration, de la concurrence et des procédures juridiques communautaires « Le code des marchés publics intervient en fin de parcours de l’approvisionnement. En amont, il faut que les différents acteurs sachent quel type d’approvisionnement ils veulent mettre en place, forment leurs cuisiniers, forment leur personnels, sensibilisent leurs convives. Une fois ces différentes actions faites en amont, on arrive à définir précisément ce que l’on veut acheter, on peut alors orienter ses achats. » Jacques REBILLARD, Conseil régional de Bourgogne, Vice-président du Conseil régional de Bourgogne en charge de l’agriculture et du développement durable « Ces démarches sont un parcours d’obstacles permanents et il faut luter tous les jours pour ramener la proximité dans les restaurants. » Paroles de pros Les étapes clés Une impulsion politique La clé d’un approvisionnement national ou de proximité réussi repose sur une véritable impulsion politique locale. Les décideurs devraient être particulièrement sensibles aux enjeux économiques liés aux approvisionnements de proximité en Viandes de France et à leur incidence sur l’emploi et le développement des territoires. Alexandre LEPENNEC, 1001 repas, responsable régional Haute-Savoie « C’est une gymnastique intellectuelle du chef que d’organiser la gestion de ses approvisionnements, la gestion de sa production et la gestion de ses services. Parmi les contraintes fortes, forcément il faut du personnel formé. » Florent Moulis Adapter l’offre aux besoins La première étape d’une bonne méthodologie d’achat passe par la parfaite définition des besoins d’approvisionnement impliquant d’une part une bonne connaissance du produit et des filières par les donneurs d’ordre et les acteurs de la restauration collective (notamment le binôme incontournable intendant-cuisinier), d’autre part une meilleure définition de l’offre par les fournisseurs. Ces échanges entre acheteurs et fournisseurs permettront la mise en place d’achats optimisés, répondant à 2 objectifs clés sur le produit viande : • A cheter un produit correspondant aux attentes en matière de qualité et d’utilisation culinaire • A cheter au meilleur prix en favorisant l’utilisation de plusieurs muscles pour un même plat Bien compris, ces paramètres et ces échanges permettront d’optimiser l’équilibre matière, d’appréhender les contraintes réciproques, d’adapter l’offre aux besoins et de maîtriser les coûts. Former les personnels pour mieux gérer les approvisionnements et conserver la qualité du produit jusque dans l’assiette Pour mieux intégrer les Viandes de France et des produits de proximité en général dans la restauration collective, le personnel doit disposer d’une vision globale : pourquoi ce produit ? Comment gérer l’approvisionnement, quelle sélection pour quelle utilisation ? Acheteur national viandes SODEXO « Pour un approvisionnement de proximité pérenne, Il faut un partenariat fort avec tous les maillons puisqu’il faut que tout le monde se comprenne, se connaisse, pour comprendre l’ensemble des contraintes. » Eric LEPECHEUR, Président de Restau’co « Quand on achète une viande de qualité, ce n’est pas le prix d’achat que l’on regarde, c’est le prix du coût une fois la viande cuisinée. Et c’est vrai que quand on a la possibilité d’avoir des cuisiniers de qualité, avec une formation adaptée, on s’aperçoit que l’on peut économiser beaucoup dès lors qu’on a bien cuisiné le produit. » Parole de pro Formaliser l’approvisionnement de proximité, par l’écriture du cahier des charges. Celui-ci doit prendre en compte l’adéquation entre l’offre et la demande pour répondre à l’exigence du code des achats, incluant les aspects de proximité, de traçabilité, de qualité en faisant référence notamment aux Signes Officiels de qualité. Les fournisseurs se doivent d’accompagner les collectivités dans cette démarche lourde et technique, en leur apportant les conseils les plus appropriés pour finaliser ce document. Un travail de dialogue est recommandé, dans tous les maillons de la chaine. Accompagner les convives Les convives sont aussi concernés par le choix d’un approvisionnement de proximité et de qualité. Pour qu’ils puissent apprécier les produits qui leur sont servis, la restauration collective et les filières ont une mission importante d’information du convive, et pour les plus jeunes d’éducation au goût. Ce travail d’éducation au goût a l’avantage de contribuer activement à la lutte contre gaspillage alimentaire en incitant les plus jeunes à goûter, en leur apprenant à apprécier les produits ce qui permet un retour des assiettes consommées en cuisine. L’autre point important est de préserver les jeunes de mauvaises habitudes alimentaires en leur apprenant les bienfaits d’une alimentation équilibrée. Stéphane CARREL Parole de pro Dirigeant de Carrel viandes « En restauration collective aujourd’hui, il y a de nombreuses différences selon le profil des convives, selon qu’on serve une école, une entreprise ou une maison de retraite. Il faut donc impérativement que nous ayons un dialogue avec nos clients sur le cahier des charges et leurs besoins » Michel BEJOT, Ville de Chalon-sur-Saône, Directeur de la restauration de la ville de Chalon-sur-Saône « La restauration collective est un métier très spécifique, très compliqué. Et actuellement, dans les collectivités, nous n’avons pas toujours les professionnels pour acheter le produit, pour acheter la matière, pour savoir faire la différence. Donc, je crois que c’est un véritable partenariat, une confiance réciproque entre le prestataire et la collectivité, qui peut aussi être un gage de réussite sur une restauration collective. » POUR VOUS AIDER à mettre en place un approvisionnement en Viandes de France Les acteurs de la filière viande sont à votre écoute pour vous accompagner et vous conseiller dans l’identification de vos besoins. De nombreux outils pédagogiques sont à votre disposition : Les R PRO ôtis COM MAN DE DE DUITS • Rôti s qua (tendret litatifs é ***) MUS VIAND CLES 1 ou UTILISÉ plusi au choix eurs musc S - Cœur du fourn les de la liste - Tend de Rums isseur ci-de teck ssou - Rond e de Tranc s, de Tranc he he • Rôti s stan (tendret dards é **) 1 ou plusi au choix eurs musc du fourn les de - Tend la liste - Plat e de Tranc isseur ci-de de ssou - Macr Tranche he s, euse • Rôti s écon (tendret omique s é *) • Rôti s spéc ifi dans le filet ques (tendret • Rôti é ***) s spéc ifi dans le faux ques -filet (tendret é ***) Niveau d’éla Voir les nivea boration matu ux d’éla des mus ration de de cles 1 ou plusi au choix eurs musc du fourn les de - Tend la liste - Rond e de Tranc isseur ci-de ssou - Gîte de gîte he s, noix VIAN DE FIC EN E DE HE TECHNI RHD GROS QUE BOVIN S COT - Vach ATIONS e - de (cœur de - Vach 3Kg UE sous Rumsteck) e prêt + de (cœur de vide à déco uper - Vach 3Kg UE sousRumsteck) prêt vide - Vach e (Tende à déco e (Tran tranche) uper che grass semi- Vach e) semi-paré UE e sous paré UE sous(Boule de UE sous vide macr vide euse vide ) prêt à déco uper - Vach - Vach e (Semelle) e (Rond semide gîte) paré UE sous prêt vide à déco uper UE sous filet vide - Vach - Vach e (Filet) semie (Filet ) semi- paré – de 2.8 Kg paré + de 2.8 Kg UE sous vide - Vach UE sous borat cond - Vach e (Faux-fi : itionn 7 jours minim ion vide dans let) semi- Vach e (Faux-fi le cas ement sous um proposés après e (Faux let) semi- paré - de du rôti au verso vide. abatt 5 -filet) spéc paré . Prévo ifique Cette matu age ou 5/7 KgKg UE sous semiConditio de prépa paré ir une UE sous vide + de ré dans ration n’est 10 jours nnemen Niveau 7 Kg Sous le filet. pas néceen cas UE sousvide vide, de prép t: Le cond sous Selon vide ssaire PRO aration itionn film ou papie DUITS • non. la demande, emen : Dans r alime Escalo t sous les rôtis une mêm tous ntaire pes vide COMM peuv est le qua.lita e livrais les cas le ent être plus ANDE on pour diamètre RECOMM couratives une meill des rôtisficelés ou mme (*** DE VIA AND GEM nt utilis ) non, eure ATIO RCN MU Etat bardé é. NDE maîtr doit être FIC NS de consSCL s homo ise de EN RH 1 ou gène ou la cuiss Nouri Frais ervaES 1 VIA HE TECHN UTILIS ssons plus Gram D on des sur tion cong NDE au cho ou ieur mage de moins : ÉS Jeune rôtis. elé. cuite ix du s mus s enfan DE IQUE de 18 (et en par convive, - Noix four cles de mois viand VEAU de plus ts niss e crue 2 en viande la liste - Noix eur de 18 Enfan ) Fréqu ci-de mois ts ence - Sou pâtissiè 20 (25) ssou mate en des viand de distri re rnelle Enfan s s, butio 3 - Qua tsnoix de boeuf es non n COTA 30 (38) si en classe éléme En frais , veau, hachées • Esc Adole - Nerv TIO ntaire scent agnea eux alo : NS s, et u ou abats adult - Sou 40 (50) - (Noi perso de sous pes sta es nnes s Perso 4 repas nda/ âgées - Carr noix sans noixsi portage nnes - (Noi x pâtissiè rd20(**) âgées é à domic re) minim nerv VALEUR sem ou struc- (Souenx)instit - Bave 60 (75) um ile eux i-par semi-par ture de tte d’alo S s noix ution NUT é é 80 U.E. U.E. (Qua soin) sem Déjeu RITI à 100 sous yau ner si) (100 à EN VIAN ONNELLE i-par -vide sous-vide 4 125) (référ 1 ou En surg semi-par é DE CRU S ences repas Dîner plus / 20 é U.E. U.E. sous Lipide elé 80 (100) Pas au cho règlemieur s E -vide sous s minim de cota : mus um ix duentai -vide res cles De 2 - Epau tion four pour lede 60 (75) à de réfé niss la liste Proté selon 6 g / 100 - Aigu le ou pale eur scola ire) Cota ines renc les musc g 4 repas ci-de tions e - Bave illette baro tte les ssou / Niveau De 21 ? Cota s, minim 20 tte deEstima nne à 2 repas tions um d’é selon 23 g / 100g tions moyen flanch Voir de référ unité En frais minim / 20 les musc les nive labora : et nes sur de morce conc le Kg, Bœu ence : Cons um les tion : rôtis non aux erné, aux et d’aprè - (Épa des d’éla voir le f. www.rnm ulter Cota www.lessen Pour en savoir ule sans s les bardés tenant muscle bora table tion tion au ci-de .fran plus sur sources ADIV, compteEn tieldes os) sem prop s: de lasurg Conceagrimernationale viande ssus, elé grande osés des ditionn .fr – s-pro.orgcertains muscleCIQUAL, CIV,- Rôti i-par : par variété au é U.E. produem ou webc viandes s, consul INRA,deIDELE. Sou et www. fraîch verso. its. Dans s 1 sous ter les sites veau, épau ansesp ot.fr Le convide, sous ent Cette menti -vide ro.fr/TableCI (pour es ou réfrig : le cas : le bas 2 ditio des calcu où il érées Pour tenir on peut QUAL/ de carr nne film ou exist du RNM PH01.htm men pap e plusie ls de é UE ADIV, CIV, compte du utilement être t sous ier alim urs cotatmoyennes , Parution rendem Niveau remplacée 3 enta vide hebd Ces fréqueINRA, IDELE, ent de de prix ions ire. est omad de pré pour nces sont RESTAU’CO. cuisson autourpar « frais n’ayan le plus aire, un produpar pério Une foisRung paratio REC applicables de 80% cou t it, en de : par élabisorés ram OM (mais le subi aucune mois viande déso chois en France men n: GEM MA congé rendem …). les mus ssée ir une t utilis métro RCN NDATI ent peut lation » comp seule Pour chois politaine. ON é. cles (gros) varier de pour sont Etat S en facilitir le produ 75 à 85%),te-tenu des tran Gram de con it er le Nour quel que pratiques possib Frais 1 suivi. chés en isson cuite mage par soit le type ou con servati esca de moin s les. (et en conv lope on : Jeun de cuisso gelé ive, en vian de 18 PR s s. es enfa . de n : vian mois classiq crue Fréq OD de 2 de ue, basse uenc ) UIT plus nts des de 18S température vian e de Enfa mois 20 (24) de boeu des nondistribu ou sous nts en vide, d’aprè mate f, veau hach tion 3 rnell COMM • Sau , agne ées s les source Enfa 30 (35) e nts au ou s ANDE té qua abat élém en clas VAL s EUR MUentaire se Adolesce 4 repalita DE 40 (47) NUTRI S tif (** SCL VIA s / 20 et pers nts, ES NDE TIO FIC EN adul mini *) UTsiILI VIA NN HE mum EN port onnes âgéetes NDE ELLES Pers Agn 60 (71) age SÉS onne eau CAT Moy CRU VIAN TECHNIQRHD à dom s • Sau s enne (<12 ÉGORIE E icile ou struâgées en 1 ou s selo DE moi té sta 80 à plus n les insti s) DE L’AN ctur au OVINUE (réfé 100 4 repa tutio Estim e de mus nda Déje cho ieur n Mou IMAL (94 à 118) cles soin uner ix es s mus s / 20 (ave renc rd Esca E Pour ations moye ton c indi du règle fou mencles mini lope Lipid (**) en savo (>12 nnes CO Dîne s qual Gigo cat rnis es tairede mum 80 (94) moi seu tena la ir plus ion TATIO t, carr itati r s) de la r s pourliste ci-d sur certa nt comp ves De 2 é le cou NS cat à4% scola ess ins musc te de la vert égo 1 ou (AG 60 (71) ire) ous gran • les , carr rie plus , Sau NEAU auProt 4 repa constéulter de varié é filet. de l’an cho ieurs té des ) ima éco ix du En (ave éine mus lesnom s minifrais / 20 l) sites : morceaux mum De 21c indi fournis cles s 2 : www Culo Cotatio repa Coll à 22% cat ique.lesse et d’apr seu de la liste tte ion ier, r (*)ntieldesv ès les (en mél En surg U.E. mini s / 20 épa de ns ? Esca Cot ci-d mum atio lope - Nav elé iande sources ADIVang ule, carr la catégo Lipidess ns de s stan arin : (gro es ous s-pro e). é déc rie de , CIQU s) , dard ou 1.org ouv seuet www AL, De con unité : référenc l’an sau ert, cern té d’ag En frai (ave l mus .anse CIV, INRA poit 2 à 6ima é, voirle Kg, Vea eNiv : Con rine % l) c indi cle spro. , nea - Epa s : sult le tabl u. wwweau fr/TableCIIDELE. u san Poit cat Prot er Cota ion rine eau Voir .rnm d’é - Coll ule U.E. éine s os QUAL/PH de la . s ci-d les .franlab tion ier U.E. essu De cat nati n’es 01.htm En surg nive ceaora 21 à égo tion onale t pas s, paraux grim 22% rie de - Nav elé 1 des d’él er.frdes néc prod Cette l’an – vian abo arin : ess uits ima 2 ratio oumu aire . Dan webscl des ou sau Con l) Pour mention peut sn pou es fraîc té d’ag En frai cas cot. tenir ditionn 3 r ce leau où il fr :(pour hes ou Ces fréqu comp utilemen type vers Sou nea - Poit s : o. exis réfri des ement La mat de mor u san ences te du rend t êtreLeremps vide, géré te plus calc rine uls es s os conlacée sou sont appli emen En surg U.E. urat cea : s film scié ux et ieur ions cota de moy du RNM cable t de cuiss ditiopar . - Nav elé ou pap , Paru de cuis de la tion ennes frais n’aya s en Franc on autonne« men arin : de prix tion pou t sount ier alim ou sau son viansde e métr ur de 85% heb r un s subi . REC té d’ag ent prod par opolitain péri domada (maisvideaucu aire estne cong uit, Niv ode nea GEM OMMA ire, le rend . e. en eau le : u san emenplusélatio RCN NDATI Selochoisir depar mois Run n » comp s os t peutcouram unepré …). gis vian ON scié Pou de déso os et n la dem seulpar varier mente-te S . r atio Gram de 75 t utilinu des and e pou mis n choi Nou en cub e, les r en à 90 %), : sir le ssée sé. pratiques cuit mage risso e (et par mus faciliter produit es. d’après possibles de moin ns Eta en vian conv cles Les le suiv ive, les sourc t de gram Jeun peu de 18 . s de crue i. en vian es enfa con mag vent es ADIV Frais 1 mois 2 de ser es en être ) de plus nts ou , CIV, INRA, congelé vation usa présent de Vian 20 (33 ge son Fréq 18 mois MÉ IDELE des : és ave . Enfa uen hach , LA non à REST t de dist 36) NG mat nts en AU’CO. ribu ce de boe ées de 40, c ou san PR ES ernelle tion 3 60 ou 30 (50 OD uf, veau Enfa agn DE UITà 55) 80g s , eau nts . PLUS S ou aba élém en clas 4 repa 50 (83 ts Plat IEU entaire se Ado s / 20 s lesc à 90) RS avec et pers ents min VALEU ES PÈ COMM P/L , adu imu ≤1 m 70 (117 NU CE si portageonnes âgé ltes Pers AN TRI RS à S, CO à dom es Pro EN DE onn CO 127) por VIA TIONN es DE Déc MP NT icile - ave tion ND ELL ou struâgées ons VIA OS 100 à 120 E CRU EN Moy ES eillé • Pré FIC 4 repa 51%rencde vian ND - ave c(réfé ctur en inst ITI enn E ituti e de E HE es selo de ON (167 à AN T Déjeune parat - ave c 60% de es vian règl s: / 20 soin on TECHEN RH 218 PLUS r Moy n les de ) 100 enn - ave c 70% de vian deementai minimu ion via mus es du NIQU D m DE res cles (167 ha Saundes - ave c 80% de vian de pou mél Estim Lipid chéeté qua à 182 50 Dîner E cX de ang r le de es scol e ) 70 % ?% 2vian s litatif Pour ations moy aire) de de repa De 4 (117 DE VIA en savo vian s / enne Don à à de 20 max 20% 127 4 repa ir plus s tena t Prot ND (sup ) De 10 éine - Bœ espèce sur certa nt com ES érie imum min s / 20 suf à 14% s (%) ur à imu HA De 18 ins mus pte de la Vea m 51% 2 repa CH : Sau CO à 22%- Por u Cot cles cons grande ) té stan ÉE s TA / atio Lipid c min De 19 S TIO - Ovin ulter variété des imu 20 2 repa dard es ns ? Cot m NS à 20% les sites atio De 4 mor max s / 20 dés ns : www ceaux à 30% oss imu Prot 4 repa ée de réfé .lessentieet d’ap Ingr m par De 16 éine (gro édie moi rès ren s s les s) ldesvian doitsour nts s…). une max / 20 à 18% Niv En De 17 unit ce seu Pou imu être Sau cesinfé eau des-pro.o le pou r cho é : : Consult m à 22% té éco- Bousurgel ADIV(nature Sel le de é: , CIQU et Lipid isir r en er on nom le rg et rieu De 19 pré %) es faci le prod Kg, Agn 15%iquede bœ wwwre àAL, 45g Cotlaatio : Si par à 20% dem CIV, INRA 30% liter uit De , .ans pro MG eau 1 50g uf n ati and le suiv con - Pau 5à espro.fr/du , IDELtéin 70% VBF Cette on , 65g nate,iona 30% cern . ww piet Prot 2 i. : min E. es w.rn Tablpoid , 80g leslepro é, De 25 - Bou Pour mention tes éine imu tota végéta eCIQsUAL duit des tenir peut Cond voir le tabm.f, 100 3 m de le à ran des à 30% les, l. vea De Ces fréqu utile com /PH0 g, 120 svian 17l’ag vian u san leau cea itio grim peudes 1.htm la propor à 22% nea ven fraîc Sou de ence pte du rendment être ci-d g et s por u hac s vide nnem s sont tion ess er.f De 17 r – t êtrehes remp c UE hée us, 150 ent applicabement de lacée pour le , sou ou présen à 18% ou par g. Ils web tés réfr prod peu les en cuisson par « frais frais ou s atm : igér uits vencot France autour .fr en porées en osp n’aya . Dant éga (pou tiondu nt subi sac pouhère, sou métropo de 55 s le lem cas entr dess deRNM aucu s r RECO litain - 60%, où il être calc diff , Paru d’après ne cong les surg film ou e. exis pré ulsérents tion MM GE sen de les sour élation elés papier te plus M RC AN poid hebdom tés DA alim ces ADIV » com . ieuren moyenn s N TIO s cota ent ada bou dan , CIV, pte-tenu aire NS lett ess ce tion de ire, Run INRA ses.pou cas prix , IDEL des pratiques gis les r un Nou plus E, REST par vian Gra riss prod mm de péri cou AU’C possibles Pou par de moi ons age Eta ode uit, ram O. . con en cho me t de Jeu : de VHr prép de 18 ns vian vive arat enfa nes Frai isir nt util moi (et de cuit , en veau) (bœuf ion s ou conser nts isés s en surg ou son vation plus de crue 1 vian e elé. t: Pou de 18 de Enfa ) r : bou moi de prép mat nts en 0 lett s erne VH Enfa arat es lle vian (bœuf ion de en nts Fréq 0 (30g de) à ou aut élém classe dist uence ent l’un l’unité re aire Ado ité) 50 (55 lesc app ribution de Ave 0 ent licab Adu ) c en Fran le , s ltes de 70%plus 70 (78 âgé et pers mét ce de vian 0 es si ) onn Ave pou ropolitai de à dom portage es Pers 2 unit r ne, de c moi 100 prép onn icile és (111 70% ns 60 es ) de vianarations (67 de vian ou struâgées ) 3 unit Ave hac des de ctur en inst c P/L és hée Déc 90 100 e de Déje itut 4à (100 s ons (111 ≤1 une 5 soin ion eillé ) ) r Ave 120 unités c Déc Pas Déc (13 à 150 de lipidplus de ons de 3à Dîne VA ons 100 4à eillé reco 10% 167 es LEU r eillé (111 5 unit mm ) EN ) 120 Déc and és VIA RS NU Déc ons atio (13 à 150 ND TR 3 rep 70 (78 ons eillé ns par 3à E CR ITION eillé 2 as / 167 ) ticu UE rep ) NE 20 max 4 unit lière LLE ma as / 20 s dan és 120 imu S Cela xim (13 Cotat m s le um 3) GEM 3 unit ion 2 rep Pour dépend Cot RCN s? és en savo de la 90 as / atio 4 rep (100 (gro 20 ns ir plus composi as ) ma s) de ma Pou unit xim , cons tion des Pas réfé xim / 20 é um r de ulter um en facchoisir : le Kg, rence reco les sitesproduits 2 rep mm ilite le pro Bœuf, : Con and : ww comman r le sult max as / 20 atio suiv duit con Veau, w.an er Cot dés. imu ns par i. Agn sesp Se m 6 rep 2 rep cer 1 ticu né, ro.fr/Tab référer eau ation Pour voir lière , max as / 20 ma as / 20 tenir leCIQUAaux étiq xim le tabPorc. nationa s dan imu um com m 4 rep s le leau www.r le des L/PH uettes prod pte du GEM nm ci-d 01.h ma as / 20 uit. .fra viandes rend RCN ess tm xim nce eme us, um fraî agr par nt de ime ches pro cuisson duit r.fr s. Dan – ou ou réfr auto ur de s le webcot igérées 90% cas , d’ap où il .fr (po du RNM rès les exis ur , Par te plus des sour calc utio ces ADIV n heb ieur uls s cot de , INRA atio moyen domada , IDEL ns pou nes ire, E, RES r un de prix Rungis TAU’CO. pro duit par pér viande , en cho iode : désoss par isir une mo ée seu is…). le pou r - Filet - Faux- Les esca lope s Les ou morc à sa eau ute x à r (n bra ava rin) iser Former au produit Les fiches techniques Elles recensent les différents plats à base de viande permettant de mieux définir les besoins, avec une approche par le plat et non par le muscle, de faciliter les échanges entre les différents opérateurs (acheteurs, fournisseurs, chefs, intendants) mais également de guider le responsable des achats dans la rédaction des spécifications techniques de l’appel d’offre. Préparer le cahier des charges Le de s prép via ara nde tio s h ns ach ées Le cahier des clauses particulières (CCP) Il présente les procédures d’achat public de viandes de boucherie réfrigérées ou surgelées, piécées ou hachées et de produits tripiers, dans le respect de la réglementation. Le vadémécum Un outil mis à la disposition des personnels responsables des marchés publics dans les établissements de restauration collective qui apporte des éléments de réponse sur ce qu’il est possible de faire ou pas pour l’achat de produits carnés en restauration collective, dans le respect des principes fondamentaux du code des marchés publics. Des réunions d’information sont proposées dans les régions par les professionnels des Viandes de France et s’organisent autour de thèmes tels que la nutrition (GEM RCN, PNA), le juridique (code des marchés, rédaction des cahiers des charges) et la connaissance des viandes (préparation du produit, muscles, destination culinaire…) > R etrouvez l’ensemble de nos outils en téléchargement sur le site www.interbev.fr/RHD > L es coordonnées de nos comités régionaux sur www.interbev.fr/interbev/comites-regionaux www. interbev.fr www. la-viande.fr Ce document a pu être réalisé grâce aux propos des intervenants du colloque « Viandes de France et restauration collective, agissons ensemble » organisé par les interprofessions des viandes, Restau’Co et le SNRC, le 26 janvier 2015 dans le cadre du SIRHA. INTERBEV 2015 - Crédits photos : Interbev, Fotolia. Informer