EIS-AFRICA

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EIS-AFRICA
EIS-AFRICA
A NETWORK FOR THE CO-OPERATIVE MANAGEMENT OF
ENVIRONMENTAL INFORMATION IN AFRICA
Association incorporated under Section 21 of the South African Companies Act (Act 61, 1973)
SIE NOUVELLES
Edition 51
Août 2006
Editorial
Chères lectrices, chers lecteurs,
ème
bulletin d’informations de SIE NOUVELLES du mois dernier, bon nombre de nos lectrices et de nos lecteurs ont
A la réception du 50
fait une remarque au sujet de cette étape importante. C’est vrai que nous avons atteint une borne importante ! Je dois admettre que ce
fait a échappé à l’attention de Sonja et de moi-même. Je suppose que nous travaillons tellement, qu’il nous manque le temps de nous
applaudir… D’ailleurs, c’est tout d’abord envers vous – nos lectrices et nos lecteurs – que nous avons une dette de reconnaissance.
Sans vos contributions et votre soutien, nous n’aurions pas pu atteindre cette étape. Nous tenons donc à vous remercier pour les
articles et les contributions diverses ainsi que pour les suggestions que vous nous envoyez : ceux-ci nous aident à améliorer et à rendre
ème
bulletin d’ici quelques années.
nos services et nos produits encore plus professionnels. Il nous tarde déjà d’atteindre la barre du 100
ème
bulletin a également marqué la prise d’une décision de revoir de toute urgence la forme de distribution du
Malheureusement, le 50
bulletin. Pour des raisons financières, SIE AFRIQUE n’est plus en mesure de vous envoyer des bulletins séparés en langue française et
en langue anglaise. Les coûts de la traduction professionnelle sont très élevés. Il nous faut trouver une aide financière supplémentaire
de toute urgence pour pouvoir continuer à vous offrir un service bilingue. A défaut, à partir du mois prochain, nous publierons un seul
bulletin comprenant un mélange d’articles en anglais et en français.
Si, en revanche, de nouveaux fonds sont mis à la disposition de SIE AFRIQUE, nous nous engageons d’ores et déjà à continuer à faire
publier les deux versions du bulletin. Par ailleurs, nous arrivons à l’époque de l’année où les membres de SIE AFRIQUE ont l’occasion
de proposer des membres au Conseil d’administration. Les pages qui suivent fournissent des informations relatives à cet événement.
Enfin, vous trouverez parmi les différents articles très intéressants et informateurs de ce bulletin un appel lancé au sujet de
l’organisation de la Conférence AARSE 2008. En effet, nous vous invitons à soutenir cette organisation sœur en proposant votre pays
comme organisateur potentiel de l’un des tous premiers événements géo-informatiques ayant lieu sur sol africain.
Bonne lecture, et au mois suivant !
Sives Govender
APPEL D’OFFRES : ORGANISATION DE LA 7ème CONFERENCE DE L’AARSE 2008
Fondée en 1992, l’Association africaine pour la télédétection de l’environnement (AARSE) a été reçue en tant que membre
régional de la Société internationale pour la photogrammétrie et la télédétection (ISPRS) en 1994. L’objectif principal de l’Association
est de sensibiliser les gouvernements africains, le secteur privé ainsi que le grand public à travers l’Afrique aux avantages que
présentent le développement, la mise en application et l’utilisation responsable des produits et des services offerts par les systèmes
d’observation terrestre ainsi que par la technologie de l’information géographique.
En sus de diverses activités conçues dans l’objectif de sensibiliser les parties mentionnées ci-dessus et d’augmenter les capacités en
Afrique, l’AARSE organise une conférence internationale en Afrique tous les deux ans. Ainsi, les cinq premières conférences AARSE
ont eu lieu à : Harare (Zimbabwe) en 1996 ; à Abidjan (Côte d’Ivoire) en 1998 ; au Cap (Afrique du Sud) en 2000 ; à Abuja (Nigeria) en
2002 ; à Nairobi (Kenya) en octobre 2004. Les thèmes respectifs de ces conférences ont été :
L’utilisation de données télédétectées et des Systèmes d’information géographique (SIG) au service d’Evaluations des ressources
environnementales en Afrique ;
La télédétection et les SIG au service du développement durable en Afrique : les leçons apportées par le passée et la direction future
du développement intégré ;
L’information au service du développement durable ;
Les informations géographiques au service du développement durable en Afrique ;
Le rôle des Technologies de l’information géographique (TIG) dans le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique
(NEPAD).
En général, les conférences AARSE attirent plus de 600 participants et d’exposants internationaux.
ème
conférence aura lieu du 30 octobre au 2 novembre 2006 au Caire. Elle aura pour thème : les sciences géo-informatiques et de
La 6
l’observation terrestre au service du développement africain (voir http://www.narss.sci.eg/aarse2006).
L’AARSE lance un appel d’offres à des membres institutionnels nationaux et d’autres organisations ou agences implantées en Afrique
ème
Conférence de l’Association en 2008, ou encore par des éditions futures de
qui sont intéressés par l’accueil ou l’organisation de la 7
cet événement. La Conférence a normalement lieu au mois d’octobre de toutes les années paires.
Evènements à venir
Symposium de la Commission VIII de l’ISPRS, à Haïfa, en Israël, organisé du 3 au 7 septembre 2006. Voir :
http://www.commission8.isprs.org.
FOSS4G2006 est une conférence de quatre journées conçue pour rassembler toutes les communautés actives dans le domaine des
Logiciels gratuits et à source ouverte ayant pour objet les informations géographiques (FOSS4G). La conférence comprendra la
Conférence OSGIS, une réunion des utilisateurs de serveurs de cartes, la conférence des utilisateurs GRASS, la FOSS4G pour Java,
les ateliers EOGEO. Elle aura lieu à Lausanne, en Suisse, ce qui en fera la première réunion sol européen pour la plupart des groupes.
Elle est la suite logique de la conférence très réussie des Informations géospatiales à source ouverte, qui a été organisée en 2005 à
Minneapolis, aux Etats-Unis. Il s’agit d’une occasion très intéressante tant pour les utilisateurs que les gestionnaires pour nouer des
liens, pour faire la connaissance de nouveaux produits et services, ou pour développer leurs capacités techniques et gestionnaires en
matière des technologies à source ouverte. L’événement devrait attirer plus de 500 personnes d’un peu partout, tant des représentants
de communautés existantes d’utilisateurs et de développeurs que de gouvernements, d’organisation non-gouvernementales,
d’institutions académiques ou encore du secteur industriel. Enfin, au vu de la récente création de la Fondation géospatiale à source
ouverte, la FOSS4G2006 présentera aux participants une occasion intéressante de faire la connaissance de membres de cette
Fondation ou encore de nouveaux projets. Dates : à partir de 08h00 au 12 septembre 2006 jusqu’à 18h00 au 15 septembre 2006.
Lieux : Lausanne (Suisse). Pour de plus amples renseignements, voir : http://www.foss4g2006.org/
Symposium de la Commission III de l’ISPRS : “La vision photogrammétrique d’ordinateur”, organisé à Bonn du 20 au 22 septembre
2006. Voir : http://www.commission3.isprs.org.
L’Institut international pour la gestion de l’eau (IWMI) organisera un Atelier international sur la représentation cartographique
internationale des zones irriguées (GIAM) du 25 au 27 septembre 2006 à Colombo, à Sri Lanka. Veuillez vous inscrire en ligne
(méthode préférée) à : http://www.iwmidsp.org/iwmi/giam-workshop/.
Symposium de la Commission V de l’IFPRI : “ingénierie de l’image & la vision métrologique”, organisé à Dresde, en Allemagne, du
25 au 27 septembre 2005. Voir également : http://www.commission5.isprs.org.
Symposium de la Commission IV de l’IFPRI : “Les bases de données géospatiales au service du développement durable”, organisé à
Goa, en Inde, du 27 au 30 septembre 2006. Voir également : http://www.commission4.isprs.org.
ère
1 Conférence est-africaine d’utilisateurs d’ESRI (EAUC), organisée à Nairobi du 5 au 6 octobre 2006. Oakar Services Ltd., le
distributeur de l’ESRI en Afrique de l’est, vous invite au rencontre des actuels et des futurs utilisateurs de logiciels d’ESRI ainsi que des
membres de la communauté régionale de données spatiales lors de la toute 1ère Conférence est-africaine d’utilisateurs d’ESRI. Le
programme de pré-conférence – organisée du 2 au 4 octobre 2006 – consistera : (a) en des sessions de formation en SIG présentées
par un assistant de l’ESRI ; (b) en un séminaire sur l’utilisation des SIG en matière de maintien de l’ordre et de la sécurité nationale.
L’EAUC comprendra la présentation d’exposés, une exposition d’affiches, des stands commerciaux, des ateliers techniques ainsi qu’un
programme très intéressant destiné aux étudiants chargés de travaux dirigés. Nous vous invitons à soumettre des résumés d’exposés
traitant de l’une des questions suivantes : (a) les ressources environnementales et naturelles (b) la planification, la gestion des sols, le
développement économique (c) les sciences des SIG, la technologie, l’éducation, les services commerciaux (d) la transportation, les
services et les travaux publics (e) la santé, la sécurité publique. La date limite de dépôt des résumés a été fixée au 30 juin. Pour des
informations plus détaillées sur la conférence, veuillez envoyer un courriel à : [email protected]
SARETI : Symposium 2006 sur l’éthique en matière de la recherche médicale en Afrique. L’Initiative sud-africaine pour la
formation en matière de l’éthique de la recherche (SARETI) est un programme de formation financé par le Centre international Fogarty
des Instituts américains pour la santé. Créée il y a quatre années, la SARETI compte plusieurs étudiants de niveau BAC + 5 et des
er
boursiers près d’obtenir leurs diplômes. En octobre de cette année, la SARETI organisera le 1 Symposium sur l’éthique en matière de
la recherche médicale en Afrique (AHRES). La réunion aura lieu du mercredi 11 au vendredi 13 octobre 2006 à l’hôtel Méridien de
Dakar, au Sénégal. La langue de communication sera l’anglais. Nous invitons les parties intéressées à nous envoyer des exposés et
des présentations à faire lors du symposium. L’AHRES mettra l’accent sur la présentation de recherches récentes et les connaissances
en matière de problèmes liés à l’éthique en Afrique, ou effectuées par des chercheurs et des spécialistes africains. On donnera la
préférence à des étudiants ou à des boursiers des programmes bioéthiques de Fogarty International. Nous aurons plusieurs
intervenants éminents, tous spécialistes en recherches sur l’éthique, plus particulièrement au niveau de l’Afrique, mais également
effectuées dans des pays en voie de développement situés hors du continent africain. Le reste du programme sera consacré à la
présentation d’exposés touchant à des aspects divers de la recherche sur l’éthique en Afrique. Malgré le fait que l’accent sera sur
l’Afrique, nous invitons également des délégués en provenance d’autres continents à nous envoyer vos demandes de contribution. Les
collègues intéressés par le symposium devraient s’adresser à Mme Debbie MARAIS ([email protected]), qui vous tiendra au
courant du développement du programme. Au cas où vous souhaiteriez présenter un exposé, merci de nous en envoyer un résumé
(vingtaine de lignes). Pour de plus amples renseignements, voir : http://shsph.up.ac.za/sareti/sareti.htm
6ème Conférence de l’Association africaine pour la télédétection de l’environnement (AARSE), organisée au Caire du 30 octobre
au 2 novembre 2006. Thème : Les sciences géo-informatiques et de l’observation terrestre au service du développement africain. Pour
des informations plus détaillées, voir : http://www.narss.sci.eg/aarse2006. Pour de plus amples renseignements sur l’AARSE, voir :
http://www.itc.nl/~aarse/. La Conférence de l’AARSE est le plus grand événement africain destiné plus particulièrement à la
communauté des utilisateurs des SIG et des technologies de télédétection. La conférence se veut un forum rassemblant les
scientifiques, les praticiens, les éducateurs, les développeurs, les vendeurs et les décideurs pour discuter des progrès réalisés (les
dernières nouvelles), des applications, du renforcement des capacités et de la promotion des technologies de l’information au service
du développement durable de l’Afrique. Il s’agit d’un forum où les participants pourront apprendre et échanger des idées sur les derniers
progrès réalisés en matière de technologies et de leurs applications diverses. On abordera également les stratégies de promotion et
d’utilisation des technologies en Afrique. La date limite de dépôt d’exposés a été fixée au 15 avril 2006. Plus de 1000 participants sont
attendus.
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Appel d’expression d’intérêt
Le Programme de Nations unies pour le développement (PNUD) a entamé un processus d’identification de cabinets conseils
susceptibles de participer au développement d’un Système d’informations environnementales (SIE) du Botswana.
Le projet est du ressort du Programme PNUD de soutien à l’environnement (PSE) du gouvernement du Botswana. Le but est de
développer un Système national d’informations environnementales qui comprendra une série d’indicateurs environnementaux
essentiels. Le système inclura plusieurs groupes de données et d’indicateurs environnementaux qui serviront de base aux décisions
ayant trait à l’environnement et qui contribueront à la rédaction du nouveau Rapport sur l’état de l’environnement (SoER).
Cette annonce à trait au Développement d’un Système national d’informations environnementales (SIE). Une documentation
complète peut être obtenu auprès de : The Operations Manager, UNDP-Botswana, #22 Khama Cresent, Gaborone, Botswana.
Le PNUD Botswana lance un appel à des cabinets conseils qualifiés d’exprimer leur intérêt à la prestation des services mentionnés cidessus. Les expressions d’intérêt devront spécifier « Development of a National Environemental Information System (EIS) ». Elles
devront être reçues par le PNUD Botswana au plus tard à 17h00 (GMT °+ 2 heures) le jeudi 31 août 2006. Les soumissions
électroniques seront acceptées pourvues qu’elles soient faites sous format PDF non-révisable.
Seront prises en considération uniquement les cabinets conseils à même de fournir les services requis et qui pourront faire preuve
d’expériences similaires dans la région.
Les expressions d’intérêt devront être accompagnées de la documentation suivante :
Un profil de la société indiquant son nombre d’employés, ses principales disciplines d’expertise et d’expérience, le nombre
d’années qu’il est / a été actif dans le domaine de la prestation de services de conseil ;
Les rapports financiers certifiés des trois dernières années ; ces rapports devront inclure les bilans faisant état des chiffres
d’affaires annuels, les bénéfices annuels, le capital social ;
Les expériences réussies (noms des projets, personnes à contacter, pays) de prestations du même genre de services consultatifs ;
Une indication des connaissances locales ou des capacités à opérer dans la région.
La date limite de dépôt des expressions d’intérêt sera communiquée à une date ultérieure aux candidats sélectionnés. Il est à noter que
le PNUD Botswana ne sera obligé d’inviter à participer au processus futur d’appel d’offres aucun candidat spécifique ayant participé au
présent appel d’expressions d’intérêt.
Les cabinets conseils intéressé par cet appel devront envoyer leurs expressions d’intérêt accompagnée de la documentation indiquée
ci-dessus à l’adresse suivante :
The Operations Manager
Tél : +267 395 2121
Courrier électronique : [email protected]
Stage de 3ème cycle (16 semaines)
Les applications de l’observation terrestre et des SIG en matière de la gestion intégrée des ressources en eau. Dates : du 8 janvier au
27 avril 2007. Lieux : Nairobi et Njoro, au Kenya.
Organisé par :
- L’Institut international pour les sciences de l’information géographique et pour l'observation de la terre ;
- Le Centre régional pour la représentation cartographique des ressources en vu du développement, Nairobi, Kenya ;
- L’Université d’Egerton, Njoro, Kenya ;
- L’Université d’Addis-Abeba, Ethiopie.
Adresser vos demandes de renseignements à :
http://www.itc.nl/itc_worldwide/kenya_brochure.pdf
http://www.itc.nl/itc_worldwide/kenya_brochure.pdf
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Sites intéressants :
Geosoft a lancé un nouveau système d’exploitation appelé Dapple. Il s’agit d’une nouvelle méthode pour rechercher et afficher des
quantités massives de données géoscientifiques et terrestres dans un environnement de globe. Dapple n’est pas la première
technologie de ce genre. En effet, d’autres, telles que World Wind de la NASA ou encore Google Earth, l’ont précédé. Mais Dapple est
unique en ce sens qu’il a été conçu spécifiquement pour gérer les flux de travail et pour satisfaire les besoins en données de la
communauté géoscientifique. Nous sommes convaincus que les explorateurs terrestres mondiaux constitueront la nouvelle norme en
matière d’affichage des données spatiales. Ainsi, Dapple est notre contribution personnelle à la communauté des applications
géoscientifiques à source ouverte. Dapple a été dérivé de World Wind, une technologie à source ouverte élaborée par la NASA.
Vous pouvez télécharger Dapple gratuitement à partir du site : http://dapple.geosoft.com.
Offre d’emploi à l’intention des consultants
PROJET : LES TERRES MARECAGEUSES et LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE
Les meilleurs pratiques et les leçons apprises : les problèmes liés à la pauvreté et à l’environnement dans les régions
marécageuses
Financé par le Ministère néerlandais des affaires étrangères (DGIS) à hauteur de 6,2 millions d’euros et confié à Wetlands International
(WI – la Société internationale des terres marécageuses), le Projet : les terres marécageuses et la lutte contre la pauvreté (WPRP)
vient d’être lancé par la WI. Le projet devrait être terminé d’ici quatre années. Son but est d’influencer les politiques et les pratiques sur
tous les niveau et de renforcer la reconnaissance des relations entre le bien-être humain et la gestion des terres marécageuses.
Pour contribuer à cette fin ainsi qu’au développement continu des programmes de la WI, la WI souhaite embaucher un/des
consultant(s) pour mener à bien une étude destinée à dresser le bilan des meilleures pratiques et des leçons apprises par les
programmes de développement chargés de questions liées à l’environnement et la lutte contre la pauvreté dans des régions
marécageuses. L’étude aboutira à la définition d’un cadre d’évaluation et de conseil à utiliser pour évaluer les cinq projets de
démonstration actuellement financés par le Projet : les terres marécageuses et la lutte contre la pauvreté. La WI exigera que le(s)
consultant(s) reste / restent engagé(s) vis-à-vis des projets de démonstration tout le long de la période de financement (jusqu’à fin
2008) pour en pouvoir mesurer l’efficacité sur la base du cadre d’évaluation.
Pour de plus amples renseignements, voir http://www.eis-africa.org.
Le Ghana encouragé à augmenter la production agricole
Le Ghana devrait introduire des mesures innovatrices pour résoudre les problèmes liés à la préparation des sols, aux cultures à faible
rendement, au bétail, à la gestion des ressources en eau a fait savoir M Sylvester Adongo, le directeur de la région du Nord auprès du
Ministère de l’alimentation et de l’agriculture (MOFA), lors d’une allocution prononcée devant des agents agricoles au cours d’une
réunion organisée sur deux jours.
« Notre pays importe 100% de ses besoins en blé. Selon des estimations conservatrices, les chiffres correspondants se montent à 90%
pour le sucre, 66% pour le riz, 50% pour la viande rouge, 33% pour le poulet, 15% pour le lait. Cela montre qu’en fait nous ne
mangeons pas chez nous, mais bien chez les autres ! Pour combien de temps dépendrons-nous encore des autres pour nous
nourrir ? », a-t-il demandé.
Pour lire des rapports traitant du sujet, voir : http://allafrica.com/stories/200608150629.html et http://www.accramail.com. Pour de plus
amples renseignements, vous mettre en rapport avec Daniel Otunge du Centre d’information biotechnologique de l’Afrique de l’Est et du
Centre (ECABIC) à [email protected].
Source : Crop Biotech Update, 18.08.06
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Le Conseil de Kampala reçoit 15,6 milliards de shillings pour la gestion de l’environnement
Le Conseil de Kampala s’est récemment vu octroyé une somme de 6,6 millions d’euros (quelques 15,6 milliards de shillings) à
l’amélioration de l’environnement de la ville. Mise à disposition par le gouvernement belge, la somme sera investie au titre du Projet
pour la gestion environnementale intégrée de Kampala (KIEMP).
Bidonvilles
Lors de la cérémonie de lancement du projet tenue à la mairie de Kampala le 14 août, le maire, Nasser Sebaggala, a fait remarquer que
le KIEMP avait pour principal objectif la planification et la gestion de l’environnement dans les bidonvilles de Kampala.
« Kampala est confrontée avec des problèmes de gestion de l’environnement principalement dans les communautés vivant dans les
bidonvilles. Celles-ci manquent une alimentation en eau adéquate ou encore des installations sanitaires », a constaté Sebaggala. « Je
suis confiant que grâce à ce projet, nous ferons beaucoup de progrès dans le domaine de la planification et de la gestion de
l’environnement dans les quartiers pauvres et que nous parviendrons à une ville plus propre et plus moderne. »
Bénéficiaires
Les trois bidonvilles sélectionnés pour bénéficier du projet sont Bwaise III, Katwe I et Kisenyi II. Sebaggala a fait remarquer que ces
bidonvilles avaient été sélectionnés car ils se trouvaient dans les conditions environnementales les moins bonnes.
Les activités financées par le projet comprendront la mise en place de gazon et de fleurs, l’amélioration des rues, le drainage des sols,
la gestion des déchets et la construction d’installations sanitaires.
Le projet vient au moment où le Conseil de Kampala lance la démolition de bâtisses délabrées situées le long des autoroutes de la ville
à l’approche du sommet du Commonwealth – ce dernier aura lieu dans la ville en novembre 2007.
Source : Daily Monitor
Reconnaissance du rôle important que jouent les ONG dans la protection de l’environnement
Abubakar Rajabu, le secrétaire permanent du bureau du vice-président tanzanien, a récemment souligné le rôle important que jouent
les ONG dans la protection de l’environnement.
D’après Rabaju, les ONG occupent une position de première importance dans la lutte contre la destruction de l’environnement ou
encore contre la pollution des zones de captage des eaux.
Le Secrétaire Permanent se prononçait à la cérémonie d’ouverture d’une réunion d’une journée organisée à Dar es Salaam à la fin de
la semaine dernière. La réunion a rassemblé une quinzaine d’ONG engagées dans le secteur de l’environnement.
« Le gouvernement souhaite organiser des réunions entre les représentants du gouvernement et des ONG dans l’objectif de mieux faire
face aux défis environnementaux et de trouver ensemble de meilleurs méthodes pour aborder les problèmes environnementaux, le tout
au nom des intérêts nationaux », a-t-il déclaré.
Rabaju a ensuite promis que son bureau continuerait à coordonner les activités mises en place pour donner suite aux directives du
gouvernement au niveau de la protection de l’environnement.
Ces activités comprenaient, entre autres, la protection des ressources en eau et en terre, a-t-il fait remarquer, précisant que son bureau
travaillait étroitement avec les différents ministères, les institutions et les autres partenaires engagés dans ce secteur.
De même, a-t-il rappelé, le gouvernement était très activement engagé dans la mise en place d’une stratégie environnementale pour la
protection des ressources en terre et en eau qui avait été annoncée voilà quelques mois.
Réitérant l’engagement qu’a pris le gouvernement vis-à-vis de la protection de l’environnement, il a précisé qu’un comité ministériel
spécial avait été formé pour surveiller la mise en place des politiques concernées.
Ce comité est dirigé par le vice-président, le docteur Ali Mohamed Shein, et le secrétaire-permanent en chef, Philemon Luhanjo.
Enfin, Rabaju a tenu à remercier les ONG qui, malgré des ressources limitées, participent activement à la protection de
l’environnement.
Pour sa part, le docteur Hermann Mwageni, président d’un réseau d’ONGs, s’est félicité de la volonté du gouvernement de coopérer
avec les organisations civiles au niveau des problèmes environnementaux.
Il a dit que les membres de son réseau aimeraient rencontrer régulièrement des dirigeants gouvernementaux à des niveaux divers pour
discuter de programmes environnementaux, y compris des progrès faits dans ce secteur.
Source : GUARDIAN
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GLCN AFRIQUE DE L’OUEST
Phase pilote de démarrage lancée cette semaine au CSE, Dakar, Sénégal
Le Programme “Global land Cover Network (GLCN)” pour l’Afrique de l’Ouest est entré dans sa phase opérationnelle le
lundi 28 Août 2006, avec le lancement de son programme pilote de démarrage intervenu au siège du Centre de suivi
écologique (CSE) à Dakar au Sénégal.
Le Programme GLCN Afrique de l’Ouest a été initié par l’Organisation des Nations-unies pour l’Agriculture (FAO) et le
Programme des Nations-unies pour l’environnement (PNUE), avec l’appui du Gouvernement Italien et l’Instituto
Agronomico per l’Otremare (IAO) en novembre 2003, lorsque vingt six (26) experts originaires d’Afrique de l’ouest et du
Centre ont pris part à un atelier d’éveil des consciences et de formation sur le Global Land Cover Network à Dakar au
Sénégal, peu après la conférence-exposition AfricaGIS2003.
Le programme GLCN Afrique de l’Ouest est une composante sous-régionale de la coalition mondiale conduite par la
FAO et le PNUE visant à "améliorer la disponibilité d’une information globale sur le couvert végétal et sa dynamique, à
harmoniser la cartographie et la surveillance du couvert végétal aux niveaux national, régional et mondial. Le
Programme GLCN génèrera les données essentielles nécessaires au développement durable, à la protection de
l’environnement, aux programmes de sécurité alimentaire et humanitaires des Nations-unies et à ceux des autres
institutions internationales et nationales. L’initiative GLCN rassemblera le personnel technique des pays dans les
secteurs de la télédétection et des systèmes d’information géographique, de l’agriculture, de la foresterie, des pâturages,
de l’environnement, et de la sécurité alimentaire pour développer un réseau aux échelles régionale et mondiale en vue
d’adopter une standardisation des méthodes de mesure du couvert végétal et développer des produits du couvert
végétal au niveau régional et mondial. La collaboration touchera non seulement les fournisseurs de données mais
également les utilisateurs des données et les décideurs politiques" (actes de l’atelier d’éveil des conscience et de
formation de Dakar, 10-14 Novembre 2003).
En accord avec cette vision, des équipes nationales GLCN interdisciplinaires impliquant les institutions clés productrices
et utilisatrices des données sur le couvert végétal dans chaque pays sont en cours de mise sur pied dans la sous-région.
Un échantillon de ces équipes nationales, sélectionné au Burkina Faso, en Gambie, et au Sénégal, est représenté au
lancement à Dakar de la phase pilote de démarrage du programme GLCN Afrique de l’Ouest. Sept (7) experts sont en
cours de formation sur la méthodologie et les outils GLCN, y compris le Land Cover Classification System (LCCS). A
l’issue de cette formation, ils seront chargés de la production de la base de données nationale sur le couvert végétal de
leurs pays respectifs. Le Centre de suivi écologique a été retenu pour jouer le rôle d’incubateur GLCN pour la sousrégion.
L’auteur exprime sa gratitude au Coordonnateur du programme GLCN à Rome, aux Représentants de la FAO au
Burkina, en Gambie et au Sénégal pour leur assistance au cours de la phase de préparation et de mise en œuvre de cet
atelier. Sincères remerciements au CSE pour la disponibilité de son personnel et les facilités offertes et à l’équipe des
formateurs.
Pour plus d’information, veuillez contacter
• André Bassolé, Coordonnateur Régional, Programme GLCN Afrique de l’Ouest ([email protected]) ou
• Gianni Pinucci, Coordonnateur Régional, Programme GLCN pour l’Afrique ([email protected])
• John latham, Coordonnateur, Programme GLCN ([email protected])
Article proposé par André Bassolé, Coordonnateur régional du Programme GLCN Afrique de l’Ouest
Exploitation d’une plante particulière à l’Ethiopie
D’après Business in Africa, une société britannique, Vernique Biotech, commencerait bientôt l’exploitation commerciale d’une plante qui
se trouve uniquement en Ethiopie.
La vernonia, une plante produisant des semences noires brillantes, sécrète une huile sous la pression qui contient des composés
d’epoxys, une substance qui à l’heure actuelle n’était dérivée que des produits pétrochimiques.
A ce jour la plante déplaît aux paysans éthiopiens, qui la considèrent comme une mauvaise herbe, a fait remarquer le réseau, précisant
par ailleurs que la vernonia se trouve dans les vallées de l’Ethiopie de l’est.
Au cours des trois dernières années, des spécialistes ont mené à bien des études impliquant la cultivation de la vernonia un peu partout
en Ethiopie. D’après Business in Africa (section les nouvelles en ligne), à l’heure actuelle, on est prêt à entamer la cultivation à l’échelle
commerciale de la vernonia en tant que culture oléagineuse.
En juillet dernier, le gouvernement éthiopien a signé un accord avec Vernique Biotech aux termes duquel cette dernière
commercialiserait de l’huile de vernonia comme produit chimique « vert ». D’après le gouvernement, l’huile servirait de base « verte » à
la création de peintures, de matières plastiques, de colles. L’huile de vernonia présente également des possibilités pharmaceutiques.
Selon Monsieur McClory, homme d’affaire spécialisé dans l’environnement, l’huile de vernonia ne produirait pas les composés
organiques volatils responsables de la pollution que l’on rencontre dans l’industrie de l’extraction pétrochimique. « Une fois qu’elle sera
cultivée à l’échelle commerciale, la vernonia sera rentable économiquement », a-t-il fait savoir.
Le marché a été conclu selon les termes de la Convention des Nations unies sur l’Accord sur l’accès à la diversité biologique et sur le
partage des bénéfices, l’un des rares accords de ce genre.
L’entente bénéficiera au gouvernement éthiopien ainsi qu’à des centaines de paysans locaux qui seront payés pour cultiver de la
vernonia sur des sols trop pauvres pour produire de bonnes récoltes de cultures vivrières.
Le docteur Tewolde-Berhan Gebre-Egziabher, directeur général de l’Autorité éthiopienne pour la protection de l’environnement, a fait
remarquer que l’accord sur la vernonia était le deuxième à être négocié par son pays.
Signé en 2004 avec la société néerlandaise Health and Performance Food International, le premier concernait l’exploitation du teff, une
céréale éthiopienne
Source : Ethiopian Herald
SIG GRASS, version 6.1.0, disponible depuis le 11 août 2006
Une nouvelle avant-première version de GRASS GIS devient disponible au grand public aujourd’hui. La sortie présente est faite en vue
de la mise au marché de la prochaine version de référence, GRASS 6.2. La présente sortie (version 6.1.0) améliore l’ancienne version
stable de GRASS grâce à l’addition de centaines de nouvelles fonctions ainsi que par la possibilité de traiter les derniers formats de
données SIG.
Le Système de soutien à l’analyse des ressources géographiques, mieux connu sous le nom de GRASS, est un Système d’information
géographique qui combine en un seul logiciel intégré des moteurs très puissants de traitement de rasters, de vecteurs et de données
géospatiales. Le GRASS comprend des outils permettant la modélisation spatiale, la visualisation de rasters et de vecteurs, la gestion
et l’analyse de données géospatiales ainsi que le traitement d’images satellitaires ou aériennes. Il permet également la production de
graphiques ou de cartes très sophistiquées.
A l’heure actuelle, le GRASS s’emploie dans le monde des académiciens et des entreprises, ainsi que par un grand nombre d’agences
gouvernementales ou par des cabinets conseils actifs dans le secteur de l’environnement. Il fonctionne sur plusieurs plateformes
constituées par des matériaux informatiques populaires. Il s’agit d’un logiciel gratuit à source ouverte selon la définition du License
publique générale de la GNU.
La version 6 de GRASS ajoute un nouveau moteur vecteur topologique 2D / 3D au moteur rasteur déjà bien ancré des versions
antérieures. La version 6 permet désormais l’analyse de réseaux vecteurs ainsi que la gestion DMBS basée sur le SQL d’attributs liés.
De même, la nouvelle version améliore l’intégration et la fonctionnalité des moteurs rasters et vecteurs. Par ailleurs, elle facilité
énormément le traitement du rasteur (voxel) 3D.
Tout en gardant l’ancien gestionnaire d’affichage GUI et en améliorant le traitement des héritages, la nouvelle version comprend un
nouveau gestionnaire SIG graphique ainsi qu’un nouveau système de menus. L’outil de visualisation NVIZ a également été amélioré : il
peut désormais afficher des données vectrices à 3 dimensions ainsi que des volumes de voxels. L’outil permet également la création
d’animations MPEG dites ‘on the fly’. D’autres améliorations comprennent la traduction de messages conséquents (i18n), le traitement
de fontes FreeTypes (y compris les caractères asiatiques à octets multiples), ainsi que des outils permettant la création automatique de
nouveaux emplacements de projet à partir de données d’entrée ou de code EPSG.
Cette version de GRASS constitue sa première sortie en tant que projet fondateur de la nouvelle Fondation géospatiale à source
ouverte. Pour appuyer les efforts faits dans le sens de la consolidation des logiciels géospatiaux à source ouverte, le GRASS est
étroitement intégré avec les dernières bibliothèques GDAL / OGR, ce qui facilite l’accès à une série très étendue de formats rasters et
vecteurs, y compris les OGC conformal Simple Features. Enfin, le GRASS permet l’utilisation de PROJ.4 – une gamme de logiciels très
applaudie –, la projection de la plupart des cartes connues et une définition simple de nouvelles ou de rares projections de cartes grâce
à la paramétrisation personnalisée.
Pour l’annonce complète, voir :
http://grass.itc.it/announces/announce_grass610.html
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Evènements à venir (suite)
Symposium international sur les systèmes d’innovation agricoles en Afrique, organisé à Kampala, en Ouganda, au mois de
novembre 2006. Les chercheurs et les praticiens sont invités à soumettre des résumés traitant des bonnes pratiques en matière de
l’étude et de la promotion de la recherche, du développement et de l’éducation agricoles. Il n’est pas nécessaire que les exposés
traitent directement de la gestion des ressources agricoles et naturelles. On lance également un appel à des contributions (posters,
vidéos, diapositives, photographies, sites Internets, cartes, réunions, théâtre participatif …) de type interactif présentant les recherches
faites en Afrique et ailleurs sur les systèmes interactifs. La date limite de dépôt a été fixée au 15 août 2006. Pour de plus amples
informations, voir : http://www.ciat.cgiar.org/africa/eri_symposium06_fulltext.htm
Conférence 2006 des jeunes scientifiques sur les changements mondiaux, organisée à Beijing du 2 au 8 novembre 2006.
Candidatures : http://www.start.org/links/announce_oppo/YSC_Application%205.doc. Tous les coûts (y compris de voyage et de
logement) des participants dont les exposés / posters auront été admis seront couverts (partout où il sera possible).
ème
CONFERENCE ArcSIG OUEST-AFRICAINE A L’INTENTION DES UTILISATEURS (AWAUC 2006), organisée du 8 au 9
2
novembre 2006 à La Palm Royal Beach Hotel d’Accra, au Ghana. Cette deuxième conférence ArcSIG aura pour thème : « Libérer le
potentiel des Systèmes d’informations géographiques (SIG) en vue d’atteindre les objectifs de développement en Afrique de l’Ouest ».
La conférence fournira une occasion tant aux utilisateurs des ArcSIG qu’aux novices en la matière de rencontrer des collègues et des
professionnels SIG et de prendre la mesure des avantages qu’offrent les SIG ainsi que de l’accroissement de l’utilisation des SIG en
Afrique de l’Ouest. A cette occasion, les exposés et les présentations de posters devraient être consacrés à l’industrie et les diverses
disciplines d’application des SIG, et plus particulièrement aux trois thèmes secondaires de la Conférence :
Les informations géospatiales : le fondement d’un environnement durable
Faire progresser le commerce : libérer le potentiel des SIG en matière de planification des services
Rencontrer nos objectifs de développement millénaires : les transports, l’agriculture, etc.
Il sera également organisés des ateliers techniques, une galerie de cartes, une tombola et bien d’autres. Pour en apprendre plus, visiter
le site Internet de la Conférence à www.sambus.com.
L’Association mondiale des infrastructures de données spatiales (GSDI) invite la communauté internationale d’utilisateurs de
ème
conférence internationale organisée à Santiago du Chili. Les sessions principales auront lieu du lundi au
données spatiales à leur 9
vendredi 6 à 10 novembre 2006. L’objectif de l’Association et d’encourager le développement d’infrastructures de données spatiales
afin de satisfaire aux besoins importants en ce domaine au niveau international. Le thème de la GSDI-9 est « L’information spatiale :
outil de réduction de la pauvreté. » La conférence aura lieu au Centre des conventions Diego Portales situé au cœur de la très belle
ème
conférence sera sans doute la meilleure dans la série très réussie de conférences GSDI. Pour de plus
ville de Santiago du Chili. La 9
amples renseignements, voir : www.gsdi9.cl
Conférence ESSP sur les sciences ouvertes, organisée du 9 au 12 novembre 2006 à Beijing. Appel à contributions : Nous invitons
les scientifiques, décideurs, praticiens, spécialistes, membres du secteur privé et journalistes à participer à la Conférence ESSP sur les
sciences ouvertes et à déposer des résumés en ligne (présentations de posters ou des sessions parallèles) via le site Internet de l’OSC
(http://www.essp.org/ESSP2006/CallPapers_index.html). Veuillez noter que cet appel aux contributions concerne principalement les
posters et que les sessions posters feront partie intégrante de la Conférence. Les sessions posters seront également liées directement
aux sessions parallèles OSC. Une liste du titre des sessions et des mots clés / abrégés des sessions se trouvent au formulaire
d’inscription présent sur le site Internet (voir lien ci-dessus) de la Conférence. Veuillez noter que nous ne pourront accepter des
er
inscriptions faites après le 1 mai 2006, et que les résumés ne devront pas dépasser les 250 mots. Nous vous remercions de votre
intérêt à ESSP OSC.
Symposium international sur l’emploi de la géoinformatique dans les régions de protection de la nature, organisé à Dresde, en
Allemagne, du 13 au 14 novembre 2006. Pour de plus amples renseignements, voir : http:www.natureprotection-gis.de.
ème
Conférence annuelle internationale de l'Initiative de développement de l'Académie africaine pour les sciences (ASADI), sur
2
le thème « Prioritiser les politiques de sécurité alimentaire comme soutien à la santé et au développement en Afrique », organisé par
ème
conférence consistera en
l'Académie camerounaise des sciences à Yaoundé, au Cameroun, du 12 au 16 novembre 2006. Cette 2
ère
une 1 journée de sessions mixtes et exécutives du Réseau d’académies de sciences africaines (NASAC) et du Conseil du
Développement de l’Académie africaine pour les sciences (BASAD) ; ensuite, organisé sur les 2 journées suivantes, le lancement public
d’un évènement scientifique sur l’emploi des sciences et des technologies en vue de l’amélioration des processus décisionnels relatifs à
la sécurité alimentaire comme soutien à la santé et au développement en Afrique ; enfin, organisée sur les 2 dernières journées, une
session mixte d’apprentissage plus particulièrement à l’intention des dirigeants et du personnel des académies de sciences africaines, y
compris une session d’un jour à l’intention de représentants des médias de tous les pays du continent africain. Des fonds détenus par
les Académies nationales des Etats-Unis ont été alloués au profit de l’Initiative de développement de l'Académie africaine pour les
sciences (ASADI), et plus particulièrement en vue d’un symposium annuel mixte afro-américain d’apprentissage. Les fonds couvriront
les dix années que durera le projet. Les objectifs de cet événement annuel comprennent : la promotion des académies africaines de
sciences et du rôle informateur potentiel qu’elles pourront jouer dans les processus gouvernementaux décisionnels dans des domaines
très variés ; l’établissement et l’épanouissement de relations à long terme entre les Académies nationales des Etats-Unis et les
académies africaines de sciences ; le renforcement des partenariats africains ; l’organisation de formations à l’intention plus
particulièrement des académies de sciences africaines. Voir également : http://www.assaf.co.za.
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Evènements à venir (suite)
L’atelier australasien sur l’ontologie (AOW 2006), organisé du 4 au 5 décembre 2006, dans la ville de Hobart, capitale de l’île
australienne de Tasmanie, conjointement avec la Conférence jointe australienne sur l’intelligence artificielle (AI 2006).Site Internet de la
Conférence AI 2006 : http://www.comp.utas.edu.au/ai06/. La direction de l’atelier vous invite à déposer des exposés sur des enquêtes
originales, non-publiées, et touchant à tous les aspects de la recherche ontologique, y compris (mais pas limités à) :
* modèles et théories ontologiques ;
* les ontologies et la toile sémantique ;
* l’interopérabilité entre les ontologies ;
* les systèmes à agents multiples et les ontologies ;
* les logiques descriptives au service des ontologies ;
* raisonner avec les ontologies ;
* récolter des ontologies sur la toile ;
* l’ontologie d’agents et d’actions ;
* la visualisation ontologique ;
* l’ingénierie et la gestion ontologiques ;
* l’extraction et la récupération des informations ontologiques ;
* le fusionnement, le positionnement et l’intégration ontologiques ;
* les langages ontologiques sur la toile ;
* les ontologies et l’analyse formelle de concepts.
Les auteurs d’exposés sélectionnés à l’atelier seront invités à soumettre des versions plus étendues de leurs recherches pour
publication dans une édition spéciale du Journal of Knowledge Engineering (Journal de l’ingénierie des connaissances) qui sera
consacrée aux avances faites en matière des ontologies de systèmes d’experts, qui est publié par Blackwells
(http://www.blackwellpublishing.com/journal.asp?ref=0266-4720&site=1). L’édition spéciale publiera des exposés traitant de tous les
aspects de la recherche ontologique, y compris les fondements théoriques, la conception, la mise en place et les problèmes liés au
développement de prototypes, les ontologies dans les systèmes à agents multiples et la toile sémantique, les études comparatives, les
applications ainsi que des exposés décrivant les nouveaux défis qui naissent à partir des applications. Chaque exposé passera par un
processus de révision très stricte. L’édition spéciale sera publiée fin 2007. Pour de plus amples renseignements concernant la
soumission d’exposés et les dates concernées, voir : http://www.comp.mq.edu.au/conferences/aow/EXSY_CFP.html.
ème
Conférence Internationale : « La Terre depuis l’espace – les solutions les plus efficaces », organisée du 4 au 6 décembre
3
2006, à Moscou, en Russie. L’objectif de cette conférence est de mettre en avant les expériences acquises lors de l’utilisation pratique
de systèmes à surveillance par satellite dans des branches différentes de l’économie conjointement avec les développements récents
en matière de télédétection, et de présenter cette combinaison comme le pilier de systèmes économiques à bon rapport coût /
efficacité. Pour de plus amples renseignements, visiter le site Internet de la conférence à www.transparentworld.ru/conference.
ème
ème
Conférence spatiale « Options spatiales pour le 21
siècle », organisée par l’ESTEC à Noordwijk aux Pays-Bas du 27 février
2
er
au 1 mars 2007. La première annonce et appel aux exposés se trouvent au site Internet de l’Agence spatiale européenne :
http://www.congrex.nl/06a12/
ème
Congrès mondial
Le Comité national organisateur du Congrès mondial pour l’éducation environnementale 2007 vous invite au 4
pour l’éducation environnementale (WEEC 2007) qui aura lieu en Afrique du Sud du lundi 2 au vendredi 6 juillet 2007 au Centre
international des conventions de Durban.
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SIE AFRIQUE
Postnet Suite No: 156
Private Bag X 15
Menlo Park
0102
Afrique du Sud
Tél. : +27 12 349 1068
Faxe : +27 12 349 2080
Courrier électronique : [email protected]
Un réseau pour la gestion coopérative de l’information environnementale
www.eis-africa.org
Bulletin de septembre
Nous vous invitons à nous envoyer vos contributions pour notre bulletin de juillet à [email protected]. Toute contribution devra
nous parvenir avant le 22 septembre 2006.
Réserve
Les opinions exprimées dans ce bulletin ne sont pas nécessairement celles des rédacteurs ou de la maison d’édition. SIE AFRIQUE
décline toute responsabilité quant à d’éventuelles erreurs, omissions, fautes typographiques ou d’autres imprécisions liées aux sources
d’informations.
Vos commentaires sont les bienvenus !
Si vous voulez commenter le contenu de ce numéro du bulletin SIE NOUVELLES, veuillez vous mettre en rapport avec SIE AFRIQUE à
l’adresse électronique suivante : [email protected]
Abonnement
Pour vous abonner, veuillez envoyer un courriel à l’adresse suivante : [email protected] avec pour sujet le mot “subscribe”.
Pour annuler votre abonnement, veuillez envoyer un courriel à l’adresse suivante : [email protected] avec "unsubscribe" comme
sujet. Vous serez automatiquement rayé de la liste des destinataires du Bulletin.
L’Assemblée générale annuelle 2006-2007 de SIE AFRIQUE : proposition de nouveaux membres au Conseil
d’administration
Lors de notre dernière Assemblée générale annuelle tenue à Pretoria, Afrique du Sud, en novembre 2005, il a été décidé que SIE
AFRIQUE identifierait des mesures pour réduire les coûts associés à la tenue de l’Assemblée générale annuelle.
Par conséquent, on a décidé d’organiser une assemblée générale « virtuelle » cette année, c’est-à-dire une assemblée organisée
électroniquement, par le biais de l’Internet et du courrier électronique.
L’élection de trois nouveaux membres du conseil d’administration aura lieu par procuration en octobre 2006. Toutes les nominations au
nouveau Conseil devront être soumises, par courrier électronique, à [email protected], au plus tard le vendredi 29 septembre
2006. En proposant un(e) candidat(e), veuillez fournir une explication très brève de la raison pour laquelle vous le / la proposez comme
candidat(e) au Conseil. Le secrétariat fera circuler parmi les membres de SIE AFRIQUE une liste de candidats proposés et disposés à
devenir membres du Conseil vers le 10 octobre 2006. Vous aurez jusqu’au 20 octobre 2006 pour voter pour un maximum de trois
candidats.
Rappelez-vous que seulement les adhérents qui sont à jour avec la cotisation annuelle pourrez proposer ou être proposés au Conseil.
Veuillez noter que les membres suivants du Conseil arrivent à la fin de leur mandat :
• Mme BALLANCE Anna ;
• le Dr FOFANA Mamadou ;
• M SANOU Patrice.
Nous vous rappelons que ces personnes peuvent être proposés une fois de plus pour être réélus.
Nous nous réjouissons d’ores et déjà de recevoir vos propositions !

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