a – à – as –ah – ha ?? – CORRIGÉ (1)

a – à – as –ah – ha ?? – CORRIGÉ (1)
à
C'est
2.
Mon patron
3.
A dix lieues
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à prendre ou à laisser.
Il n'y a que quelques pas à faire pour arriver à la fontaine.
Maman a mal à la tête.
Cette dame a une voilette noire à son chapeau.
Le conférencier monte à la tribune, une serviette de cuir à la main.
Jeanne a adressé des vœux à ses grands-parents, à sa marraine, à
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minuit seulement que le guide
a
1.
a
à
longtemps vécu
à
pu atteindre la cabane.
à
Paris et
Rome.
la ronde, les gens nous apportaient leur blé
à
moudre.
C'est
ses
cousins et cousines.
a
à
10.
Médor
rapporté la caille
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Mon camarade
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Cette broderie
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Nous sommes
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Le jardinier
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C'est
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Je le vois d'ici : il
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En voyant le travail que je lui proposais, il m'
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Le forgeron a donné
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Il a plu
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Le notaire lui a vendu un moulin
a
a
à
a
à
a
compris ce problème et l'
à
été faite
pris son sécateur et s'apprête
a
a
son bonnet
à
à
à
la satisfaction du maître.
a
à
fané les dernières fleurs.
tailler les rosiers.
parlé si longtemps.
à
la main.
a
dit : « Ce n'est pas la mer
à
à
vent et
à
farine. Le sieur Daudet déclare trou-
à
sa convenance et pouvant servir
ses travaux de poésie, l'ac-
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24.
Porte tous ces paquets
25.
Mon père se lève chaque jour
26.
As -tu toujours aussi mal à la tête ?
Restes-tu dimanche à la maison ?
Je ne sais pas si mon frère a retrouvé sa plume à réservoir.
Tu as certainement remarqué la nouvelle voiture du boulanger; elle a
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28.
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boire ».
Saint-Cergue, il a neigé.
à
Il y a à
Qui n' a
Tu n' as
cepte
à
ce fer une forme curieuse.
Genève, mais
ver le dit moulin
rédigé
la main.
la fin de novembre; le froid
lui que le directeur
à
son maître.
ses risques et périls.
peine huit jours que je suis installé.
pas vu Avignon du temps des papes n'
a
jamais rien vu.
pas encore terminé ta tâche.
à
la poste.
à
l'aube.
passé deux fois
devant la maison.
à
30.
Le fer
31.
Soudain, un cri retentit: un homme
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repasser de la voisine, le lui
à
as -tu rendu ?
la mer.
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As -tu été content quand tu as su que tu rentrais à la maison ?
Le moteur de notre voiture a des ratés.
Ton livre a de belles gravures.
Qui n' a pas sa gomme ?
Est-ce toi qui as marqué le but de la victoire ?
Le cheval était blessé à la hanche .
N' as -tu pas aperçu mon atlas ?
Le centre-avant n' a pas perdu son temps; il a saisi toutes les occasions.
Tout vient à point à qui sait attendre.
C'est à peine si aujourd'hui mon père a pris le temps de dîner.
Qui l' a mis dans un tel état ?
Il ne faut pas donner à manger des noisettes à celui qui n' a plus de dents.
On se mettait à table à midi.
Albert est venu; il a rapporté le char à pont.
Ah ces pucerons, quelle engeance !
Ce paysage, l' as- tu peint à l' eau ou à l' huile ?
Il a faim, il a soif; n' a-t-il pas ses provisions ?
Ah non, tu ne monteras pas sur la table !
Ah quel fainéant ! Il n' a jamais étudié ses leçons.
Il reviendra à Pâques ou à la Trinité.
Il a fallu de nombreuses démarches pour arriver à le convaincre.
Il a pris le sac, l' a rempli, puis il l' a emporté jusqu' à sa voiture.
C' est à la tête que mon frère a été blessé.
Il arrivera à Lausanne à quatre heures.
Le tournoi a été sans conteste la distraction favorite des châtelains du Moyen Âge.
En «lice», les chevaliers s'affrontaient le plus souvent à cheval.
Parfois, certains combats opposaient des fantassins, guerriers oeuvrant à pied.
La joute collective, où deux troupes se disputaient l'enjeu, a été désignée sous le nom de
«trépignée».
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Mais les tournois «homme à homme», qu'on se livrait au moyen de la lance, et juché
sur un cheval fougueux, étaient de loin les plus prisés.
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Le combat à plaisance», sorte de jeu, ne présentait pas grand danger, les lances
étant émoussées.
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En revanche, les luttes
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L'église d'alors, pourtant sévère,
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En 1241, près de Cologne, un tournoi
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à
outrance» étaient mortelles.
a
toujours toléré ces fêtes sauvages.
a
même fait soixante morts !
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à
Le vainqueur, chaleureusement fêté, eut droit
carcelle bien garnie, et même
à
de riches cadeaux : bijoux, armes, argent, es-
un titre de noblesse.
à
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Nous avions parlé un instant
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Certes,
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Ce pays
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L'accusé, accablé n'avait plus rien
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Le soleil
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a récemment endeuillé et ravagé le Japon.
La cérémonie a duré toute la nuit.
Roland, héros de la légende qui porte son nom, s'est jeté à
corps perdu dans la bataille.
Napoléon avait beaucoup de génie, mais il en a abusé.
Sois bon camarade, surtout lorsqu'on a besoin de toi.
Où allons-nous ? demanda-t-il à brûle-pourpoint.
L'aéroport de Baie se trouve à Blotzheim, en Alsace.
Ce garnement a grand besoin d'une mise au pas !
Le cheval galopait ventre à terre.
Parviendra-t-on un jour à dompter l'énergie atomique ?
Ce vieillard a bientôt droit au vénérable fauteuil du centenaire.
Nous ne pouvions plus nous décider à quitter ces lieux sublimes.
Rien n' a encore été entrepris pour résoudre ce cas compliqué.
André Ampère (1775-1836) a étudié les propriétés des électro-aimants.
Alphonse Daudet a écrit les «Lettres de mon moulin» en 1866.
Tu as obtenu 17 points à ce test.
La peur m' a empêché de courir.
En hésitant trop longtemps cet homme a laissé filer sa chance.
Viens ici, nous avons à parler ensemble.
Il n' a guère d'appétit, ce garçon.
Lorsqu'il a échoué, le faible cherche des excuses.
Il a tort et ferait mieux de tirer la leçon de cet échec.
On ne saurait admettre le mensonge. Veillons donc à ne pas le provoquer.
En montagne, le col a toujours joué un rôle essentiel.
Vaille que vaille, vous aboutirez bien à quelque résultat !
Les défenseurs du château fort luttaient coude à coude.
Il a fallu beaucoup de temps pour arriver chez lui.
Peut-être serions-nous prêts à recommencer ce travail.
L'avalanche a causé des dégâts considérables.
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à
a
a
bâtons rompus.
en croire ce reporter, la situation est confuse là-bas.
de hautes montagnes.
à
déclarer.
longtemps fait l'objet de cultes païens.
Une tornade
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a
100. Le ciel, pourtant gris, n'
rien d'inquiétant.
a fait courir si vite !
à être heureux.
101. C’est l’envie de gagner qui t’
102. On peut aussi apprendre
103. On
a
toujours besoin d'un plus petit que soi.
104. Pourquoi chercher
105. Lucette
a
à
mentir? Nous t'avons bien observé.
entrouvert la porte du grenier mystérieux.
106. Le lièvre s'emploie
à
trouver de quoi survivre.
a pas de honte à être pauvre ou infirme.
Tu n’ as pas à avoir honte de ton prénom.
Il t’ a vraiment insulté avec ces mots ?
Quelle règle as-tu appliquée ?
On a eu le résultat qu’on a mérité.
À vous de voir si il a rempli son contrat.
107. Il n'y
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Copie ces phrases en mettant au présent les verbes soulignés.
113. La vieille guimbarde n'
a
plus une grande course à faire.-
a toujours un coup de torchon à donner, une machine à revoir.
Il n' y a plus que quelques pas pour atteindre la route.
La moindre touffe d'herbe a son ombre.
Qui a bien pu mettre le nez dans sa cabane ?
Il a tout appris, mais je crois qu'il a tout oublié.
Mon père n’ a pas eu la satisfaction de voir son ouvrage mené à chef.
Cet homme m' a chargé de vous dire deux mots.
Le feu a pris à la maison qu' a louée mon frère.
De cette manière, il a réussi à vivre à nos dépens.
Il n' a pas pris garde à ce qu'il a raconté.
Tout a commencé quelques jours plus tôt
C'est lui qui a donné les graines de citrouille au vieux François
Amédée a comment il a remporté la médaille, et comment sa citrouille a
114. On
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été dé-
coupée en mille morceaux
127. Quelle mouche
a
donc piqué le père François ?
a à se plaindre de lui
Josépha a annoncé la bonne nouvelle : elle a gagné au loto !
Seule la ténacité dont il a toujours fait preuve, lui a permis de survivre
Il a beau savoir que ce n'était qu'une illusion, il ne pouvait ignorer ces images
La course effrénée qui m' a amené ici avec la plus grande diligence a pris fin.
128. Mis à part les mauvaises herbes, personne n'
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