Un repas dans un salon de thé (A Meal in a Tea House) Joanne Tse
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Un repas dans un salon de thé (A Meal in a Tea House) Joanne Tse
Un repas dans un salon de thé (A Meal in a Tea House) Joanne Tse 82-304: The Francophone World La culture d’un pays peut être représentée par les chefs, les peuples, et les événements qui affectent la réputation du pays autour du monde. Il y a aussi les symboles tangibles comme les drapeaux, les statues, et les bâtiments, et les symboles métaphoriques comme les devises et les proverbes. Cependant, ces emblèmes centrés et stationnaires représentent l’esprit, le respect pour l’histoire du pays et parfois la fierté de la nation, mais sont trop étriqués et spécifiques pour couvrir tous les aspects de la mentalité des citoyens dedans. Seulement dans les interactions quotidiens on peut trouver la mentalité vraie d’un peuple. Les salons de thé en Chine, qui ont des origines cantonais, sont très fréquentés par les citoyens de Hong Kong et de la province de Guangdong. Maintenant, ils deviennent des restaurants du dim sum, et sont une partie intégrale des quartiers chinois autour du monde, où les convives peuvent se faire plaisir en mangeant les petits plats des amuse-gueules qui complètent le thé. Néanmoins, les chinois les appellent toujours les salons de thé, et c’est une tradition pour les familles et les amis de se rassembler pendant le fin de semaine dans un salon local pour déjeuner et se prendre de leurs nouvelles. Même si le dim sum est le type de nourriture chinoise qui ressemble le plus au «fast-food» américain, la manière avec laquelle on a un repas dans un salon de thé est plus tranquille et décontractée. Traditionnellement, les gens allaient aux salons de thé après l'école ou le travail pour se détendre et se faire plaisir avec les amis, et cette atmosphère est réfléchi dans les restaurants du dim sum aujourd’hui. Le serveur primaire ne donne jamais l’addition jusqu’à elle est demandé, et alors les convives peuvent prendre leurs temps en mangeant et se parler. Les serveurs poussent autour le restaurant les charrettes entassé haut avec une variété de plats dans les paniers vapeurs, laissant les convives à choisir n’importe quel et quand ils veulent manger. En prenant un repas dans un salon de thé, on peut voir comment les chinois expriment euxmêmes dans leurs habitudes qui sont prévalantes des temps quand les premiers salons de thé sont établi. Puisqu’il y a souvent plus de convives que les morceaux pour les plats comme les brioches du porc ou les boulettes à la vapeur, on les couperait en deux ou plus de morceaux pour partager avec les autres, alors personne ne rate un met délicat. Quand on remplit le thé dans les tasses, on toujours remplit pour les autres avant pour lui-même pour montrer le respect, et le personne qui reçoit le thé tapote deux doigts sur la table pour signaler leur remerciement. En plus, quand le théière devient vide, on dispose le couvercle sur le manche de la théière pour signaler au serveur une recharge du thé. Les origines de cette habitude viennent de cette histoire: Un étudiant pauvre mais ingénieux qui avait un repas dans un salon de thé a méchamment caché un oiseau dans la théière. Quand le serveur a pris le théière pour la remplir, l’oiseau s’est envolé quand le serveur a soulevé le couvercle. Puis, l’étudiant a commencé une agitation, disant que l’oiseau est de grande valeur et exigeant que le restaurant lui donne la compensation. Depuis cet incident, le restaurant a décidé d’attendre les convives soulèvent les couvercles des théières pour sauver eux-mêmes de la gêne et des dépenses plus profondément, et cette notion est devenue l’habitude pour tous les salons de thé. Alors, l’affection silencieuse et le caractère indirect parmi les chinois sont observés dans les rapports entre le salon de thé et les convives et entre les convives eux-mêmes. De tapoter les doigts sur la table et de soulever le couvercle de la théière sont les manières polies et simples pour envoyer un message, et les chinois communiquent souvent dans une manière non verbale, laquelle qui s’est mépris pour un manque d'émotion. C’est pourquoi les chinois ne disent pas souvent «je t’aime» aux membres de famille comme chez les américains, ni les parents félicitent leurs enfants directement. L’amour pour l’un l’autre est un émotion supposé dans une famille, et alors il n’est pas nécessaire pour toujours dire ce phrase. À la fin d’un repas dans un salon de thé, les convives, particulièrement ceux des générations aîné, commencent une querelle aimable à propos de qui acquitte l’addition. C’est leur manière d’affection qui est indirecte, mais en ayant telle dispute, ce signifie que l’amitié est estimé, et on doit ne pas toujours prendre mais aussi donner aux amis. Si on n’offre jamais à payer pour le repas ou ne divise pas assez les morceaux pour tout le monde à manger, on pouvait «perdre la face» pour cette raison. En plus, même si le salon de thé deviennent trop rempli, et les convives potentiels attendaient longtemps, les serveurs n’exclurent jamais les convives qui mangent en ce moment, parce que cette action impoli peut causer les serveurs à «perdre la face», la honte qui peut être réfléchi sur la salon de thé dans l’ensemble. Puisque les chinois considèrent l’idée de «la perte de face» très grave, ils essayent de l’avertir en suivant ces manières modestes et discrètes pour la convenance de tout le monde en général. Même dans une activité quelconque, on peut voir en dessous une personnalité derrière les habitudes et les comportements d’un peuple. Les monuments en souvenir d’une caractère historique existent autour du monde, mais ces gens peuvent seulement représenter les valeurs spécifiques soutenu complètement par ses adeptes fidèles et successeurs, pas nécessairement ceux du peuple commun. On ne peut pas voir comment un peuple s’exprime leur gratitude, leur modestie, ou leurs réactions dans une situation défavorable de ces sculptures. Les pays peuvent insister qu’ils ont beaucoup des qualités admirables dans leurs cultures, mais les aspects qui brillent aux yeux sont ceux qui sont prévalent dans leur forme de dialogue.