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Archives - lsa.fr 21/01/08 15:09 Franchises Distribution Comment Réussir En Franchise ? Lisez Les Conseils De Franchisés www.Toute-La-Franchise.com Votre Crédit avec Sofinco Crédit : calculez librement vos mensualités, réponse en ligne Sofinco.fr/Credit Etude de Marché Pro, Efficace et Rapide Réalisée par un cabinet marketing www.tremplin-createur.fr Crédit à la consommation Jusqu'à 10 000 € disponibles et des mensualités à partir de 20€! www.Meilleur-Rabais.com Actualité de la distribution et de la grande consommation. MON COMPTE | ARCHIVES | S'ABONNER Enquête Conso - Néophytes, zappeurs mais exigeants Toute l'actualité Marchés Produits Magasins Equipements Études Conso Podcast LSA Conso BFM Reportages Vidéos Films Publicitaires Métiers Formations Dossiers Offres N°2027 du 17/01/2008 - Sommaire Editorial Achetez ce numéro Archives Prix (Panel International) Publicité dans la grande consommation (TNS media intelligence) Promotions (Marketing Scan) Ventes (AC Nielsen) Prospectus (A3 distrib) Ventes (GFK) Ventes (IRI) Publicité des distributeurs à la TV (Initiative) IRI Infoscan Census Référenseigne TNS Worldpanel 2007 Les 100 leaders mondiaux de la distribution Les 50 premiers groupes mondiaux de la grande consommation Sous la pression d'un temps compté, et avec une compétence technique défaillante, les jeunes de moins de 35 ans ne sont pas pour autant des bricoleurs au rabais. Leurs exigences sont même extrêmes. Fabricants et distributeurs devront s'adapter. «Les jeunes de 20 ans qui s'installent dans les campus ou les centres-villes sont ceux que j'appelle les Yoyos [youngs yobbos, NDLR]. Ce qui compte pour eux, c'est le fun, l'amusement, l'expression très forte de son individualité ainsi que l'idée d'un bénéfice instantané. » Jean-Luc Excousseau, sémiologue et spécialiste du marketing générationnel, décrit une cible souvent ignorée du marché du bricolage. Pourtant, celle-ci est en train de connaître ses premiè-res expériences de réfection et de décoration. La consommation d'articles et de services de bricolage des jeunes ne se fait pas forcément au rabais, d'autant qu'ils sont souvent « subventionnés » par leurs parents ou leurs grands-parents, et qu'ils se permettent tous les excès ! « Le " Yoyo " va rechercher une plus-value émotionnelle un peu gratuite à sa pratique du bricolage, car il désire des expériences différentes, for-tes, un changement dans son mode d'expression », avance Jean-Luc Excousseau. Comme le raconte Bénédicte, 24 ans, jeune mariée et installée depuis six mois, « c'est vraiment l'achat de l'appartement qui a fait que je me suis mise au bricolage, mais cela a été une véritable jubilation de le faire». Le jeune néophyte va faire de l'expérience du bricolage une pratique sportive, par exemple, ou un projet artistique. Cette dimension créative est un puissant moteur de motivation. « Tous nos copains avaient envie de nous aider, relate Bénédicte. La découverte du bricolage amuse beaucoup. D'ailleurs, autour de moi, l'attrait du manuel est revendiqué. » Dans une société qui réfléchit à réintroduire des cours de travaux pratiques à l'école, après avoir tant dénigré les métiers manuels, le virage saute aux yeux. L'imagination débordante « Aujourd'hui, la culture de l'outil est en perte de vitesse, mais, en revanche, le culte de l'outil s'accroît, note Yves Rambaud, le secrétaire général de l'Union des fabricants d'article de bricolage (Unibal). On est fier de réussir à créer quelque chose. C'est devenu rare, donc valorisé. » Ce besoin s'exprime d'autant plus fortement que cette génération cherche à tout prix à se singulariser. Selon Jolanta Bak, du cabinet Intuition, « dans une société atteinte de jeunisme, c'est une génération très portée sur la création. Ils customisent leurs vêtements, ils font de l'autoproduction sur internet... C'est leur façon d'exister. » Et leur imagination ne connaît pas de limites. « Les jeunes sont dans l'ère du tout-est-possible. Ils ont des projets complexes, et rien ne les étonne en termes de technologies. Tout cela aura un effet sur les produits », prévient Yves Rambaud. Michel Lorenzo, chercheur et animateur du Quality Paint Institute, confirme : « à partir du moment où c'est le consommateur qui peint, il veut pouvoir tout faire. Il n'y a pas de limite à l'imagination d'un client inexpérimenté, car il ne se fixe pas de limite technique. » Cette équation peut être en contradiction avec les fondements du bricolage. La plupart des néophy-tes aujourd'hui ne veulent pas intégrer les règles de l'art, comme de mettre un enduit sur un mur avant de le peindre. « Il faut vraiment que les industriels et les distributeurs travaillent pour faire accepter aux débutants que le brico- lage est aussi un geste », insiste Philippe Devismes, designer et co-fondateur de l'agence Brands at Works. C'est comme la danse : il faut apprendre le pas pour pouvoir danser. Si une enseigne s'investit dans le magasin et dans l'explication du geste, ce sera alors une réussite. » Les industriels essaient déjà de compenser ce refus d'un respect des procédures avec des produits comme les peintures fer direct sur rouille, la peinture Ripolin sur une plaque de plâtre... Pour cet- te génération, le bricolage doit être pratique : pas question de se prendre la tête. Cet état d'es-prit pourrait donner un second souffle à des marques comme Avi, une peinture en phase aqueuse idéale pour un coup de pinceau rapide. La marque a d'ailleurs fortement investi cette année sur son site internet. L'outil est bien intégré dans les pratiques des 20 ans. « Pour la peinture, http://www.lsa.fr/archive/page_archive.cfm?id_article=L188105801&titre=Néophytes,%20zappeurs%20mais%20exigeants VAD ET E-COMMERCE Les stratégies innovantes 20 mars 2008 Matinée débat : Loi Chatel mode d’emploi 24 janvier 2008 Toutes nos conférences Qui sommes-nous ? LA LIBRAIRIE LSA Salon Anuga Salon Beyond beauty 4ème convention du e-commerce Vinexpo 2007 CIES 2007 LSA au salon PLMA LSA au salon Intersélection LSA en direct des salons... Trouvez partout dans le monde le salon professionnel que vous cherchez Page 1 sur 5 Archives - lsa.fr consommation 21/01/08 15:09 com- me nous n'y connaissions rien, nous nous sommes renseignés sur internet. On a pu tester plein de couleurs », relate Bénédicte. Mais s'ils sont adeptes de l'immatériel, les jeunes entretiennent une relation différente au matériel, ce qui peut poser problème au marché du bricolage. Selon Yves Rambaud, il y a « un moindre goût pour la mécanique. Ce manque d'expérience techni-que ne va-t-il pas pousser les jeunes vers des produits à la durée de vie moindre ? D'autant que les jeunes ont clairement un raisonnement différent de la durabilité. » De quoi pousser les fabricants d'outils électroportatifs, comme Bosch, à se pencher sur la question. « Nous ne pouvons pas nous permettre de passer à côté d'une cible, explique Christian Scheidler, responsable du marketing des produits grand public. Nous travaillons donc aussi en direction du jeune célibataire qui s'installe et veut juste fixer une étagère. » En 2003, Bosch a lancé une visseuse exploitant la technique sans fil des batteries lithium-ion, qui, pour la première fois, porte un « vrai » nom : Ixo. En novembre 2004, le groupe récidive avec la Prio, une ponceuse vibrante, dans un packaging différent des standards du marché - une boîte en Plexi -, et avec un soutien publicitaire télévisuel. « De même que la pub de l'Ixo était en rupture avec nos publicités produits classiques - l'histoire d'un Robinson Crusoé -, dans le film sur la Prio, ce n'est plus le produit qui est le coeur du sujet, mais une situation traitée avec humour. En plus, nous allons cibler de nouveaux supports de communication, comme les magazines féminins », ajoute Christian Scheidler. La relation à la durabilité des Yoyos peut donner un espoir de dynamisme au marché, avec un renouvellement plus fréquent des projets. Comme l'avance Laurent-Yves Bourguignon, « la culture zapping des jeunes a un impact sur l'univers de la décoration. Cette cible veut pouvoir changer son environnement très facilement. » La vie n'est plus envisagée comme Un long fleuve tranquille : on déménage, on se marie, on a des enfants, on divorce, on change de travail, on recompose une famil-le... Il faut des solutions qui permettent de modifier le logement vite, et à moindre coût. Du pragmatisme et de la rapidité Le corollaire du penchant zappeur du Yoyo peut être l'abandon des projets au profit d'autres activités. Le principal concurrent du bricolage sera de plus en plus les loisirs. Comme le raconte Bénédicte, « cela prend du temps sur d'autres activités (temps avec mes copains, sur mes courses, pour moi...). Bricoler, ça va quinze jours ; après, je veux faire autre chose de mon temps libre. » Pour Jolanta Bak, « les 15-25 ans sont impatients. La culture du temps réel est la leur. » Cette préoccupation temporelle est partagée par leurs aînés, les trentenaires, même si ces derniers ont une approche plus gestionnaire et économique de la notion de temps. « Notamment avec la mise en place des RTT, le néophyte qui se lance dans des projets a le syndrome " VSD " : combien de week-ends cela va-t-il prendre de faire ceci ou cela, explique Philippe Devismes. Il faut que les industriels travaillent cette unité temporelle. » Ces véritables gestionnaires que sont les trentenaires d'aujourd'hui, JeanLuc Excousseau les appellent les « Momos ». « Ils s'investissent beaucoup dans leur environnement, mais avec une approche plus pragmatique que les Yoyos. Ils sont moins attirés par le lien émotionnel et plus par le gain concret, pratique. Pour eux, l'outil doit servir à simplifier la vie, pas de gadget, avec une attention importante au prix, car c'est la génération des crises. Ils vont faire des équations entre les gains de temps, d'argent, de praticité. » Le trentenaire est un planificateur, un conceptuel. Et ce d'autant que les moins de 35 ans ont de plus en plus de dif-ficulté à accéder à la propriété. Selon une enquête de l'Insee, les moins de 35 ans sont passés de 41 % des accédants récents en 1996 à 36 % en 2002. Ils achètent un appartement ou une maison non fini ou avec des travaux à faire et s'en chargent euxmêmes. Ils représentent donc un énorme potentiel pour les enseignes et les produits, mais leurs exigences en matière de conseils et de services sont très élevées. « Les attentes de ces clients sont nombreuses », constate Philippe Devismes. A-voir une évaluation des coûts par chantier, la liste exhaustive des accessoires nécessaires à cha-que chantier type... Ce que Jean-Luc Excousseau appelle la volonté de « reliance » des Momos. Aujourd'hui, dans les grandes surfaces de bricolage, les vendeurs sont des conseillers par rayon et ne peuvent faire le lien avec les autres éléments d'un chantier. Et quand un consommateur arrive sur son chantier, il lui manque toujours quelque chose, ce qui impose un retour dans le magasin ! Autre priorité des Momos dans leur logique planificatrice : s'informer, avoir du conseil. Cette demande est particulièrement forte chez les femmes, qui s'investissent énormément. « En faisant une enquête pour le packaging des enduits Touprêt, note Philippe Devismes, nous avons découvert que, au contraire d'un packa- ging très épuré, le consommateur veut un maximum d'informations, un discours simple, compréhensible mais bavard, pour trouver la réponse à son problème. » Ce besoin d'informations pousse des néobricoleurs à arpenter les allées des grandes surfaces de bricolage. Patrick, 33 ans, père de 2 enfants et propriétaire d'une maison en banlieue parisienne depuis peu, raconte : « Nous allons en magasin pour avoir des idées. En discutant avec les vendeurs, nous obtenons plein d'informations. Nous avons pris beaucoup de fiches, cela donne quelques repères. J'ai mê-me acheté un livre sur http://www.lsa.fr/archive/page_archive.cfm?id_article=L188105801&titre=Néophytes,%20zappeurs%20mais%20exigeants Page 2 sur 5 Archives - lsa.fr 21/01/08 15:09 l'électricité, pour comprendre et pouvoir discuter avec mon électricien. » De fait, la GSB est l'espace de ven-te privilégié des néophy-tes, mais souvent aussi, justement, là où le bât blesse : connaissance parcellaire des produits et des rayons, manque de dispo-nibilité... Depuis un an, Bosch teste des « Shop in the shop », espa-ces de conseil et de vente. « C'est un élément fort de fidélisation au magasin, explique Christian Scheidler. C'est profitable pour Bosch, mais aussi pour toute la catégorie, notamment les accessoires, si difficiles à choisir pour les néophytes. » Mode d'emploi demandé Le conseil est là pour donner des trucs et des astuces afin d'établir une relation personnelle avec le client. Le modèle du genre est Home Depot, où les vendeurs connaissent les clients, leur demandent des nouvelles du chantier. Encore faut-il vouloir investir dans la masse salariale. « La ficheconseil est un superbe outil de prévente, souligne Laurent-Yves Bourguignon. Home Depot a beaucoup misé sur ces outils, des " How to ", qui sont de vrais arguments de vente et renforcent le niveau de compétences de ses clients. En France, même s'il y a des efforts, on ne peut pas dire qu'une enseigne a véritablement misé sur ce point. Aucune ne peut revendiquer aujourd'hui être dépositaire d'un savoir-faire qu'elle transmet à sa clientèle. » Là encore, les industriels tentent de prendre le relais. En 2005, Ripolin lancera des guides de conseils à emporter. Mais les marques ne maîtrisent pas le merchandising des magasins et l'information sur le lieu de vente est souvent incomplète. « Les enseignes font un travail très " périphérique " de marketing classique, mais, dans le magasin, les derniers mètres sont défaillants. Le produit doit se défendre tout seul, souligne Philippe Devismes. Pourquoi ne pas s'inspirer du remarquable travail de Décathlon dans l'explication des produits et de leurs usages ? En fait, la propension des gens qui veulent se mettre au bricolage évolue beaucoup plus vite que la volonté des GSB de s'adapter à leur demande ! » Pourtant, l'enjeu est de taille. « Le bricolage est une question de con-fiance en soi. Si on se lance dans des projets ambitieux, c'est que l'on a suffisamment confiance en soi pour le faire », analyse Laurent-Yves Bourguignon. Cette confiance est d'autant plus difficile à assumer qu'une grande pression sociale s'exerce sur le bricoleur néophy- te. L'entourage l'observe et juge le résultat. Est-il capable d'« assurer », d'être autonome dans l'aménagement et l'entretien de son foyer ? De la réponse dépendra la progression du marché. Laurent Benveniste, directeur du marketing de Bricorama, conclut : « le nombre de néophytes dans nos magasins a condidérablement augmenté depuis quelques années. C'est donc une cible qu'une enseigne ne peut pas laisser de côté. D'autant que là où le client va faire son premier gros achat et réussir son projet, il va prendre goût au bricolage et recommencer : pendant plusieurs années, il restera très fidèle à cette enseigne. Beaucoup plus qu'un gros bricoleur, qui est très opportuniste, moins fidèle. » Impossible, en effet, de se dispenser de préparer l'avenir. Il faut aussi investir sur la cible des jeunes bricoleurs, car l'influence des comportements des jeunes est détermi- nante sur toutes les tranches d'âge. MARIE-HÉLÈNE NOUGARET LES ENJEUX - L'acquisition d'une habitation est une des clés d'entrée les plus fortes sur le marché du bricolage. - Environ 700 000 accédants à la propriété chaque année en France (source : Fnaim). - Les primo-accédants représentent 45 % des acquéreurs de biens immobiliers (source : Fnaim). - Les femmes, souvent assimilées aux néophytes, prennent de plus en plus de place sur ce marché. - 80 % d'entre elles ont pratiqué le bricolage dans l'année passée, et 89 % des 23-27 ans (source : Ifop-Castorama). - 73 % font de la décoration, mais elles pratiquent aussi le petit bricolage (58 %) et les gros travaux (21 %) (source : Ifop-Castorama). DES TRAVAUX VITE FAITS, FACILES ET FUN Qui sont-ils - Ils vivent en location, en colocation ou parfois dans une première acquisition, grâce à l'aide des parents ou des grands-parents. Leur approche du bricolage - Ils font souvent leur première expérience autonome de bricolage en montant un meuble en kit. - Ils se font prêter les outils. - Ils aiment le « vite fait », et zappent vite s'ils échouent. - Ils se limitent souvent aux travaux de mise à niveau de leur environnement et de petite décoration, avec un souci de personnalisation http://www.lsa.fr/archive/page_archive.cfm?id_article=L188105801&titre=Néophytes,%20zappeurs%20mais%20exigeants Page 3 sur 5 Archives - lsa.fr 21/01/08 15:09 DES PROJETS ÉCONOMES, SANS PLAISIR Qui sont-ils - Ils acquièrent un logement pour une famille qui se forge, souvent avec un premier enfant. Leur approche du bricolage - Ils se lancent dans des projets globaux. - Ils commencent à s'équiper plus fortement en outillage. - Ils sont soucieux des économies d'argent, mais aussi de temps. - Ils s'impliquent intensément dans chaque choix, ce qui fait du bricolage un sujet de tension au sein de la cellule familiale. - Ils attendent une forte reconnaissance de leurs succès en bricolage. PROPOSER DES PRODUITS ADAPTÉS AU ZAPPING Mettre en avant des produits hyper rapides et toujours plus pratiques - Des peintures, des enduits tout prêts, des sous-couches en phase aqueuse et des mono-couches. - Des produits qui ne coulent pas, que l'on peut reprendre sans faire de trace. - De la peinture directe sur plaque de plâtre sans sous-couche. - Des carrés de verre pour monter des murs sans liant, juste par encliquage. - Des outils électroportatifs puissants, légers et qui ne se déchargent pas trop vite. référencer des produits fun - La peinture qui rend les supports magnétiques, ou celle qui les transforme en tableau noir, qui est parfumée, qui change de couleur selon la température ou selon la lumière. - Les carrés de sol PVC ou les adhésifs décoratifs imitant la toile denim. - Les revêtements métallisés. - La peinture à effets en bombe. - Un tournevis avec embouts en forme de cigale. proposer de nouveaux services - Chez Oikos en Italie, à partir d'un plan de pièce, une borne permet d'avoir une visualisation en 3D, avec un calcul des litrages de peinture nécessaires et le budget à engager. - Afficher des check-lists de produits à acheter sur chaque projet : pose d'un bloc WC, installation d'une rampe de spots... POUR EN SAVOIR PLUS Le 9 décembre 2004, l'Unibal présente les résultats d'une enquête sur le thème des juniors et des seniors : quels comportements vis-à-vis du bricolage ? Informations sur www.unibal.org N°1881 le 04-11-2004 << liste résultats http://www.lsa.fr/archive/page_archive.cfm?id_article=L188105801&titre=Néophytes,%20zappeurs%20mais%20exigeants Page 4 sur 5 Archives - lsa.fr 21/01/08 15:09 Aide | Contact | Publicité | Conditions Générales | Usine Nouvelle Network | © 2007 Groupe Industrie Services Info Toute l'actualité de la grande distribution (tendances du marché, magasins, GMS et grandes surfaces, publicité et reportages vidéos, nouveaux produit). LSA place le consommateur au cœur de la relation entre l' industrie et les distributeurs - LSA.fr http://www.lsa.fr/archive/page_archive.cfm?id_article=L188105801&titre=Néophytes,%20zappeurs%20mais%20exigeants Page 5 sur 5