FAC: le Commissaire Colonel Davy NIAMENE, pillard en chef du

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FAC: le Commissaire Colonel Davy NIAMENE, pillard en chef du
FAC: le Commissaire Colonel Davy NIAMENE, pillard en chef du trésor public
Écrit par Jules CESAR
Mercredi, 02 Avril 2014 15:07
« Je sais, quand il le faut, quitter la peau du lion, pour prendre celle du renard » Napoléon
Bonaparte
L’histoire récente du Congo Brazzaville démontre à suffisance que le pétrole et les revenus
conséquents qu’il procure ne cesse d’aiguiser les convoitises obscures.
Souvenons- nous de la frénésie avec laquelle les fonds vautours ont picoré sur notre rente
pétrolière tels des « vrais miliciens de la finance internationale », selon la belle formule de
Francis Laloupo.
Dorénavant, les observateurs attentifs ont forcément remarqué que le Congo a plutôt des
ennemis intérieurs, ceux qui ont fait le choix de dévaliser sans retenue les coffres de la
République. Toujours plus voraces au jour le jour, leur appétit pour les deniers publics est
gargantuesque, incommensurable. Ils se sont constitués en réseaux quasi mafieux pour tisser
leur toile d’araignée autour des finances publiques du Congo.
L’argent public ainsi détourné est ensuite recyclé dans des activités plus ou moins licites à l
effet de lui donner une virginité et une légitimité toutes nouvelles. Cette façon de procéder a un
nom connu des limiers de l’anti-corruption et des brigades financières : la lessiveuse ou le
blanchissement d’argent.
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L’ampleur du phénomène est telle que c’est devenu un vrai cancer pour la société. Se taire ou
fermer les yeux devient un impossible exercice. Alors, comme Lionel Jospin « nous nous
brisons la carapace »
dès à présent. Nous inaugurons une campagne d’investigation et de dénonciation qui ira
crescendo pour révéler à l’opinion l’ampleur des crimes économiques de ces nouveaux riches
qui font tant de mal aux populations et au pays.
En effet, pour illustrer cette gangrène, nous avons opté de vous présenter un modèle dans le
genre. Monsieur Etienne Davy NIAMENE, Commissaire Colonel des Forces armées
congolaises, assume les fonctions de directeur des services financiers de l’armée. Du haut de
cette position il a patiemment, depuis qu’il était passé Capitaine, de construire en toute impunité
l’une des formes la plus aboutie de captation de la richesse nationale, structurée avec soin et
qui ne laisse pas de place à l’improvisation. Ce qui permet au bec trop prompt de NIAMENE de
picorer jusqu’à ce que mort s’ensuive. Tout y passe, des ressources destinées à la ration des
soldats du rang, en passant par les séminaires fantaisistes, les marchés bidouillées au profit de
sociétés personnelles ou amies - ce qui lui est interdit par le code des marchés publics-, les
livraisons fictives qui permettent d’empocher la totalité du montant du marché, sans oublier les
ressources générées par les festivités du 15 août à l’occasion de la municipalisation accélérée
tournante et tutti quanti.
Depuis un temps indéterminé, le produit de ses colossales rapines lui a déjà permis de se
constituer un très important patrimoine mobilier et immobilier qui s’étend dans tous les
arrondissements de Brazzaville. Ignié, l’ile mbamou, PK rouge, Yié, Massa, Boundji, Pointe
Noire et sa côte ne sont pas en reste. Tout cela sur le dos de l’Etat Congolais.
Tenez ! Ses dernières réalisations en date s’étalent au grand jour dans le voisinage immédiat
du stade Ornano, à un jet de pierre du CHU de Brazzaville. La concession abrite une boite de
nuit baptisée avec narcissisme le JET SET c'est-à-dire la haute société. Boite de nuit gérée par
le quatrième ou cinquième bureau. D’accord si vous voulez dire haute société du pillard du
trésor, autrement dit il n’existe ni d’aristocratie, ni de noblesse au Congo et encore moins des
héritiers de grosses fortunes de grosses fortunes, au sens fiscal. La société congolaise,
héritage du colonialisme repose principalement sur le salariat.
Dans ce lieu de débauche par excellence, il est organisé dans les sous sols, à deux niveaux s’il
vous plaît, des parties fines. A côté Berlusconi et son bounga-bounga passe pour un amateur.
Le champagne acquis avec les deniers publics coule à flots : voilà la haute société à la sauce
de ce Colonel, tigre en papier, qui n’a jamais fait le coup de feu pour défendre la patrie en
danger de toute sa vie.
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Du reste, dans ladite concession, acquise dans des conditions irrégulières, nous le savons
parce qu’il s’agit d’un terrain public, s’élève un imposant immeuble qui grandit à une allure
révélatrice de la boulimie financière du petit monsieur qu’est le DSF et de la cadence de son
l’enrichissement illicite. Voilà donc comment de l’argent sale est recyclé afin de lui donner un
visage humain. Pour se faire une idée sur le volume financier de ce hold-up, il vous suffit de
prendre le cinquième des budgets cumulés de la défense nationale de 2010 à 2013.
Nous devons à la vérité de vous dire que sous le masque du taciturne et le vernis de la tenue
militaire, ô combien républicaine et donc prestigieuse, se cache un voyou de la pire espèce, un
vampire pour les caisses de l’Etat. Ses méthodes mafieuses n’ont rien à envier au célèbre
Cappo de tutti Cappi, Al Capone, le célèbre mafieux qui sévit dans l’Etat de New York dans les
années trente.
De plus, au lieu de cultiver la discrétion, la modestie, l’humilité au regard de son statut de
braqueur du trésor public chaque fois qu’une séquence financière se présente a lui, il se montre
arrogant, orgueilleux, suffisant vis-à-vis de ses supérieurs hiérarchiques et de ces concitoyens.
Chacun sait que c’est le propre des incompétents, mais aussi la preuve que ce type est
malheureusement doté que d’un cerveau d’occasion, d’une intelligence d’épicier.
Sans éthique, sans envergure, sans allures, sans charisme, sans vertus, sans élégance, M.
NIAMENE, dopé par ses détournements permanents, trouve de l’esthétique et du charme,
depuis fort longtemps d’ailleurs, au dangereux métier de briseurs de rêves existentiels de ses
semblables, de casseurs de projets de vie, d’acheteur de consciences. Son leitmotiv, son violon
d’Ingres est celui d’écraser, d’humilier les autres au nom de l’argent sale, l’argent qui pue le vol,
qui achète et pourrit les consciences, l’argent qui avilit et qui tue pour paraphraser François
Mitterrand, ancien Président de la République française lors des obsèques de son ami Pierre
Bérégovoy.
Comme pour se défendre et mieux abuser des faibles d’esprit et des semi-analphabètes, il n’a
de cesse de brandir la bannière étoilée de la franc- maçonnerie, pourtant au service des valeurs
de fraternité et d’humanisme, comme le label qui légitime toutes les dérives financières, la
sublimation des les anti- valeurs ainsi que la célébration de toutes les forfaitures aux antipodes
des idéaux maçonniques universellement connues.
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Écrit par Jules CESAR
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A la vérité, le sieur NIAMENE n'est qu’un imposteur parce que, afin d’organiser son exil
financier, il a beau jeu de planquer ces deux épouses en France, évidemment deux domiciles
fiscalisés, de telle sorte qu’il se donne les coudées franches à l’effet d’abord d’ organiser son
terrorisme sexuel dans la ville, ensuite d’assurer et de gérer ses transferts de capitaux publics
vers la France. Sait-on jamais, se dit-il. Il a déjà sonné, avant l’heure, le glas de notre exercice
du pouvoir. En privé, sa langue est fourchue quand il s’agit de critiquer le système qui l’a
enfanté, qui le nourrit et qui, passivement, lui permet de prospérer : quelle ingratitude !
Enfin, chers compatriotes, au moment où le pays a besoin des capitaines d’industries, nous
avons, à l’instar de ce Colonel, des industriels du vol, du pillage des caisses de l’Etat. A nos
yeux, ce sont que des fossoyeurs alors que le Président de la République a tracé « les chemins
escarpés »
qui devraient nous conduire à l’émergence en 2025. Pourquoi cet énergumène ne peut- il
goûter aux délices des geôles de la République ? Il est des Commissaires Colonel embastillés
pour moins que les ravages de NIAMENE, n’est ce pas du deux poids, deux mesures?
Enfin, chers compatriotes, au moment où le pays a besoin des capitaines d’industries, nous
avons, à l’instar de ce Colonel, des industriels du vol, du pillage des caisses de l’Etat. A nos
yeux, ce sont que des fossoyeurs alors que le Président de la République a tracé « les chemins
escarpés » qui devraient nous conduire à l’émergence en 2025. Pourquoi cet énergumène ne
peut- il goûter aux délices des geôles de la République ? Il est des Commissaires Colonel
embastillés pour moins que les ravages de NIAMENE, n’est ce pas du deux poids, deux
mesures?
En tout état de cause, la race, la nôtre, celle des patriotes qui disposent encore d’une capacité
pleine, entière et intacte à se rebeller a la vive intention de rester vent debout aux fins de
débusquer, dénoncer et défenestrer ces corrompus, ces voleurs, ces médiocres, oiseaux de
mauvaise augure qui se réfugient encore dans nos rangs. Le colonel NIAMENE ne mérite que
l’épitaphe suivante : « ci-gît M. Davy NIAMENE, pillard en chef du trésor public ».
Vous avez aimé et adoré le coup de Jarnac ? Alors, nous vous opposerons le coup d’état
permanent, au nom d’une certaine et haute idée du vivre ensemble et de la République.
« Ce n’est pas parce que tu charges d’or un mulet qu’il remportera la course devant les
chevaux » Proverbe africain.
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Prochaine livraison : NIAMENE volume 2 ; révélations et inventaire exhaustif des biens mal
acquis, numéros de comptes en France, photos et vidéos
Rennes, le 27 mars 2014
Jules CESAR, le Conquistador
ASSOCIATION ANTICOR/CONGO
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