Relevé de décisions Réunion du lundi 14 mai 2012 à Maisse

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Relevé de décisions Réunion du lundi 14 mai 2012 à Maisse
Relevé de décisions
Réunion du lundi 14 mai 2012 à Maisse
Cette réunion est organisée par l’association « Les Élus de la ligne D du RER »
Thème : Bilan de l’enquête sur l’expérimentation « Regroupement des Voyageurs en heures
creuses » sur l’axe Corbeil/Malesherbes.
Etaient présents :
Mesdames Anne Delaleu, Sophie Desmartin, Caroline Parâtre, Isabelle Pichard, Madeleine
Vuillemey,
Messieurs Patrick Baldy, Laurent Béteille, Jean-Claude Berrier, Marc Caremantrant, JeanSébastien Couvret, Charles De Bourbon-Busset, Denis Denibas, Christian Leclair, Alain
Krakovitch.
I Sophie Desmartin présente le bilan de l’enquête sur l’expérimentation « Regroupement des
Voyageurs en heures creuses » sur l’axe Corbeil/Malesherbes.
Des annonces sont diffusées sur les quais de gare depuis le 24 octobre 2011, entre 10h et 16h avant
l’arrivée du train, dans les deux sens. En complément, le même message est affiché sur les écrans
infogare des gares de descente entre Corbeil et Malesherbes.
150 affiches ont été apposées dans les communes et sur les quais des gares concernés.
Début janvier une grande campagne de communication a été organisée avec la distribution de
13 000 flyers sur les parvis des gares, et dans les trains, par les agents « d’Escorte » et les élus
locaux.
Une enquête a été réalisée 6 semaines après la campagne de communication de début janvier.
200 questionnaires de 17 questions et enveloppes T ont été distribués par les agents des gares et de
l’Escorte dans les trains.
Total des réponses exploitables : 94
Il en ressort :
- Parmi les personnes interrogées,
* 63% ont vu les affiches/flyers et ont entendu l’annonce,
* 18,6 % ont changé leurs habitudes,
* 45% ressentent un sentiment d’insécurité sur cette ligne lorsqu’ils voyagent seuls,
- Parmi les personnes ayant entendu l’annonce et/ou vu les affiches/flyers
* 70% ont jugé compréhensible les annonces,
* 90% ont jugé compréhensible les affiches/flyers,
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II Sophie Desmartin explique ensuite que :
- 2 réunions de groupe de réflexion de 6 à 8 clients de la ligne D (Nord et Sud) ont eu lieu en mars
2012,
- Dans le sud de la ligne, il en ressort que le sentiment d’insécurité se situe essentiellement entre
Grigny et Corbeil.
- 2 types d’attente forte:
* la présence humaine dans le train (force de l’ordre, patrouilles de police, etc.),
* la mise en place d’outils contribuant au sentiment de sécurité : vidéosurveillance, 3117 - Borne
d’alarme reliée à une personne humaine, annonces dans les trains, …
Alain Krakovitch précise que les trains commencent à être équipés par des caméras de
surveillance.
Il est donc décider :
- De poursuivre le dispositif,
- Que l’Union des maires rédige un article sur le bilan de l’enquête et de l’expérimentation, et
l’adresse à toutes les communes concernées, afin qu’elles puissent si elles le souhaitent le publier
dans les bulletins municipaux,
- Que la SNCF se charge de rédiger un Communiqué de Presse.
- De monter des réunions spécifiques à la sûreté sur le secteur (1 à 2, à définir) avec les
intervenants des communes, de la police et de la SNCF concernés.
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