F PRAT COM - Vins Porto Madère A Bruxelles, le 3 octobre 2012
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F PRAT COM - Vins Porto Madère A Bruxelles, le 3 octobre 2012
F PRAT COM - Vins Porto Madère A MH/EDJ/JP 686-2012 Bruxelles, le 3 octobre 2012 AVIS sur UN PROJET D’ARRETE ROYAL ABROGEANT L’ARRETE ROYAL DU 18 AVRIL 1927 CONCERNANT L’IMPORTATION DE VINS DE PORTO ET DE MADERE Conseil Supérieur des Indépendants et des PME WTC III (17ème étage) - Boulevard Simon Bolivar 30 - 1000 Bruxelles Tél. : 02 277 90 16 - Fax : 02 277 90 28 [email protected] - www.csipme.fgov.be Le Ministre de l’Economie, Mr. Johan Vande Lanotte, a demandé le 31 juillet 2012 l’avis du Conseil Supérieur des Indépendants et des PME sur un projet d’arrêté royal du 18 avril 1927 visant à abroger l’arrêté royal concernant l’importation de vins de Porto et de Madère. Après avoir consulté les organisations professionnelles concernées de la commission sectorielle n° 1 (Alimentation), le Conseil Supérieur a émis le 3 octobre 2012 l’avis suivant. CONTEXTE GENERAL La proposition d’arrêté royal abrogeant l’arrêté royal du 18 avril 1927 a pour objectif de simplifier la législation belge. La réglementation européenne relative au secteur des vins et la loi du 6 avril 2010 relative aux pratiques du marché et à la protection du consommateur ont rendu l’arrêté royal du 18 avril 1927 concernant l’importation de vins de Porto et de Madère désuet. Les règlements européens n° 1234/2007 et 558/2008 stipulent en effet que tout produit viticole importé au sein de l’UE doit être accompagné d'un document VI 1 qui certifie, entre autres, que les produits vinicoles importés sont munis d'une attestation de l’indication géographique. En outre, les dispositions de l'arrêté royal du 18 avril 1927 concernant l'utilisation des dénominations sont rendues obsolètes par les dispositions reprises dans la loi sur les pratiques du marché et la protection du consommateur qui prévoient des règles spéciales en ce qui concerne les dénominations d'origine. REMARQUES GENERALES Sur le contenu technique du projet d’arrêté royal, le Conseil Supérieur n’a pas de remarques de fond à formuler. CONCLUSION Le Conseil Supérieur des Indépendants et des PME émet un avis favorable sur ce projet d’arrêté royal. ___________ 2