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Grèce Claude Hervé-Bazin SOMMAIRE 3 Cap sur la Grèce 7 Scènes du passé 15 La Grèce continentale 15 39 69 83 91 Athènes Le Péloponnèse Le centre L’Epire Le nord 5 104 152 158 185 188 Intermèdes Archipels grecs Un peu de culture Vénus Idoles cycladiques Promesses tenues Le fils du tonnerre 18 40 44 54 64 71 79 Plans des sites Acropole (Athènes) Corinthe, cité antique Acropole de Mycènes Mistra Sanctuaire d’Olympie Delphes Les Météores 212 214 216 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 Cartes et plans (îles et villes) Athènes Corfou Corfou-Ville Chios Karpathos Kos Lesbos (Lesvos) Mykonos et Délos Naxos Paros et Antiparos Patmos Rhodes: ville moderne Rhodes: vieille ville Rhodes Samos Santorin Skiathos Thessalonique Tinos 109 Les îles grecques Emblème de la Grèce 109 117 121 161 Les îles Ioniennes Les Sporades Les Cyclades Les îles de la mer Egée orientale 173 Le Dodécanèse 195 Les achats 199 Les sports 203 A table 206 Le côté pratique 234 Index Carte dépliante La Grèce Péloponnèse Cyclades et Dodécanèse Histoire et culture Religion orthodoxe 3 C AP SUR L A GRÈCE Le pays offre plusieurs visages bien différents, mais inséparables. Deux éléments l’ont façonné: la terre et l’eau. Un cinquième de son territoire est maritime: mer Egée, Ionienne, de Crète… avec plus de 2000 îles (près de 10000 si l’on compte tous les rochers). Le reste s’éparpille en côtes si découpées, en si nombreuses péninsules et presqu’îles que même le Péloponnèse, berceau de la Grèce historique, semble avoir largué les amarres pour voguer au loin. Partout, des montagnes, avatars méridionaux des Balkans, se dressent, souvent très près de la mer – ne dit-on pas qu’aucun village du pays ne se trouve à plus de 100 km du littoral à vol d’oiseau? Elles occupent près des deux tiers du territoire national (131957 km2). Les chaînons entremêlés, à l’orographie complexe, dessinent une multitude de vallées, de plateaux, de bassins et de plaines, tantôt fort peuplés, lorsque les terres se révèlent fertiles, partout ailleurs délaissées par l’homme. Athènes et sa région immédiate concentrent ainsi à elles seules le tiers des 11,3 millions d’habitants de la Grèce. Leçon de géographie Athènes, la capitale, occupe le flanc sud de l’Attique, une péninsule délimitée de part et d’autre par des golfes. A son extrémité, le cap Sounion, site d’un temple dédié à Poséidon, marque le début de son territoire: au-delà gonflent les vagues de la mer Egée. A l’ouest, un isthme étroit relie l’Attique au Péloponnèse; le canal de Corinthe, qui le coupe, fait désormais de la plus grande péninsule grecque une île. Tantôt montagneuse, tantôt semée de vergers, celle-ci a vu naître, vers le XVIe siècle av. J.-C., la première des grandes civilisations continentales grecques, celle des Mycéniens. Sparte s’y affirma plus tard, parallèlement au sanctuaire d’Olympie. Au nord d’Athènes et de l’Attique, la Béotie, une grande plaine agricole, mène aux contreforts du mont Parnasse, près duquel siège Delphes, sanctuaire d’Apollon qui s’affirma dès le VIIe siècle av. hemis.fr/Guiziou Les nombreuses terrasses disséminées à travers la ville invitent au farniente. 15 L A GRÈCE CONT INENTALE Tout commence et se termine généralement par Athènes: veillée par l’Acropole, la cité éternelle entrouvre aux visiteurs les portes des richesses antiques, comme pour mieux les inviter à parcourir le reste du territoire. De l’Attique tout proche, on gagne le Péloponnèse, siège des héros et des premières grandes cités de la Grèce continentale. Au nord du golfe de Corinthe, voilà Delphes, sanctuaire d’Apollon. Et déjà le royaume des églises et des monastères byzantins se dessine: Ossios Loukas, Pélion, Météores. Le nord, Epire, Macédoine et Thrace, est le royaume des montagnes; un monde entre deux mondes, balkanique déjà. Athènes Athènes (Athina) est une ville à part: aucune autre capitale européenne ne peut s’enorgueillir d’un tel patrimoine historique et culturel. Berceau de la démocratie et de la civilisation occidentale, la cité s’organise toujours autour de celle qui l’a vue naître et prospérer, l’Acropole, l’une des sept collines qui ponctuent sa cuvette, incroyable navire de pierre sur lequel s’ancre le Parthénon. Le déclin de toute une civilisation, les guerres antiques et modernes, les séismes, les appétits de matériaux des bâtisseurs, les outrages du temps qui passe, rien, finalement, n’est parvenu à entamer la gran- deur du site. Et pourtant… Après son âge d’or sous la tutelle de Périclès au Ve siècle avant notre ère, Athènes sombra peu à peu dans une torpeur dont elle ne se releva pas. Elle fut pendant des siècles une simple cité de province de l’Empire byzantin, puis ottoman, pour ne devenir capitale de la Grèce que dans les années 1830, une fois l’indépendance consacrée. A compter de ce moment, Athènes connut une expansion stupéfiante. Au nord de l’Acropole, une ville nouvelle, néo-classique et bourgeoise, imaginée par des architectes germaniques, sortit de terre pour accueillir le roi Otton. Puis, en 1923, le nombre 174 LES ÎLES GRECQUES Une superbe collection de monnaies, vases, bijoux et statues raconte l’histoire de l’île depuis le IXe siècle av. J.-C. L’une des pièces les plus étonnantes est la statue de marbre grandeur nature Le colosse de Rhodes. Erigée en 280 avant J.-C., la gigantesque statue d’Hélios, dieu soleil, divinité tutélaire de Rhodes, fut reconnue comme l’une des Sept Merveilles du monde antique (au même titre que les pyramides de Gizèh, le phare d’Alexandrie ou encore les jardins suspendus de Babylone). Pour financer la construction du Colosse de bronze, symbole de la victoire des Rhodiens sur les Macédoniens, les marchands de l’île vendirent l’armement pris à ces derniers. Haut de 32 m, le Colosse signalait de sa torche allumée l’arrivée sur Rhodes aux navires croisant dans les parages. Contrairement à une croyance développée au Moyen Age – et entretenue par des cartes postales – il ne se tenait pas à cheval au-dessus de l’accès au port de Mandraki, les bateaux passant entre ses jambes, mais à l’entrée du golfe de Rhodes. Œuvre du sculpteur Charès de Lindos, qui y consacra douze ans de sa vie, la statue fut renforcée après sa mort à l’aide de fer et de pierres; ce qui ne fut pas suffisant pour résister au séisme de 225 avant J.-C. Abandonnés sur les quais, les vestiges du Colosse y restèrent durant 800 ans. En 653, les envahisseurs arabes les expédièrent en Syrie, où ils furent revendus à un marchand juif. La légende raconte qu’il fallut à ce dernier 900 chameaux pour transporter son chargement. 90 semble plus probable mais cela n’en reste pas moins… colossal! commons.wikimedia.org. Gravure de Martin Heemskerck (1498–1574) quelque 50 ans plus tard. Les fraîches arcades entourant la cour intérieure reposent agréablement de l’agitation de la rue. Au premier étage de l’hôpital se trouve le Musée archéologique de Rhodes. LE DODÉCANÈSE 175 d’Aphrodite, la Vénus marine. Perdue durant deux millénaires, elle fut déposée sur le rivage en 1929, prise dans des filets de pêche. Dans la même salle, la petite statue agenouillée d’Aphrodite, la «Venus de Rhodes», étale sa chevelure bouclée à sécher après sa sortie de l’eau. La tête sculptée d’Hélios, dieu du soleil, est percée de trous d’où devaient jadis jaillir des «rayons» solaires en métal. Reposez-vous un instant dans le petit jardin parsemé de vestiges archéologiques. En quittant le musée, flânez sur Odos Ippoton, la rue des Chevaliers, soigneusement restaurée par les Italiens. Les membres de l’Ordre vivaient ici dans des hôtels particuliers appelés auberges et regroupés selon leur provenance géographique: Angleterre, Allemagne, France, Provence, Auvergne, Espagne et Italie, sous la férule d’un prieur désigné. La plupart de ces résidences abritent aujourd’hui des bureaux, mais on peut pénétrer dans l’auberge de France et faire une pause dans sa paisible cour intérieure. La façade de l’auberge est la plus richement décorée de toutes. Plus loin sur la rue, la chapelle, avec une statue de la Vierge à l’Enfant dans une niche, porte les armoiries de Raymond Béranger, Grand Maître de 1365 à 1376. Au bout de la rue, l’imposant palais des Grands Maîtres, long- temps négligé par les Turcs, fut gravement endommagé en 1856, lorsqu’un stock de poudre à canon oublié explosa. Les Italiens le restaurèrent aux ordres de Mussolini et il devint la résidence de vacances des dirigeants italiens. Ses vastes salles ouvrent largement sur la vieille ville et le port. Plusieurs après-midis par semaine, une partie des remparts est ouverte au public, qui peut se promener sur le chemin de ronde de la porte d’Amboise à la porte Koskinou. C’est de loin le meilleur moyen d’admirer les massives fortifications et de jouir d’une perspective unique sur le fouillis de maisons qui constitue la vieille ville. On y accède par la cour du palais des Grands Maîtres. Au temps des chevaliers, leurs quartiers étaient séparés de ceux du commun des mortels par le mur du Collachium, s’étirant de la tour de l’Horloge jusqu’au port. Des vestiges de cette muraille ont été mis au jour et on peut en suivre le tracé depuis Panetiou en descendant les rues Theofiliskou et Agisandrou. Européens, Grecs et juifs vivaient de l’autre côté du mur, dans le Bourg. Ce quartier, avec son labyrinthe de ruelles, son fouillis d’échoppes et de tavernes et ses mosquées branlantes porte le nom de quartier turc. A côté de la tour de l’Horloge (aujourd’hui un café), la mosquée 204 À TABLE est divin, en steak ou en brochettes avec des poivrons verts. Le poulpe (chtapodi) est souvent servi en hors-d’œuvre, émincé et frit, comme les kalamarakias (petits calmars). Les viandes Porc, veau (moschari), agneau (arni), poulet (kotopoulo) se déclinent de toutes les façons. A toute heure de la journée, commandez des gyros, rôtis à la broche et débités en tranches, des souvlakia (brochettes) ou les savoureuses keftedes ou biftekia, des boulettes de viande relevées. Les kokoretsi sont des brochettes d’abats d’agneau – foie, rognon, ris et cœur. La célèbre moussaka consiste en couches alternées d’aubergines et de bœuf ou de mouton haché, recouvertes de béchamel gratinée (à Patmos, elle est servie froide). Le pastitsio, similaire, remplace les aubergines par des macaronis. Autre plat très apprécié: le cochon de lait au barbecue. Le ragoût (stifado) de bœuf, de veau ou de lapin, cuisiné avec beaucoup d’oignons et du vin, est excellent. Préparé avec du porc, au vin rouge et à la coriandre, on parlera alors d’afelia. Le mouton est le plus souvent servi en côtelettes, délicieuses grillées, ou cuit à l’étouffée dans un pot d’argile avec des légumes (kleftiko). Choux, tomates, courgettes et aubergines peuvent être farcis (gemista). Les légumes incluent en outre poivrons, haricots blancs et betteraves rouges. Les fromages L’éventail des fromages va des pâtes molles plutôt fades (anthotiro et manouri) aux pâtes dures comme le graviera. Mizithra est un savoureux mélange de fromage frais et de miel. Les fromages de Naxos sont les plus renommés. Les desserts N’hésitez pas à quitter la taverne pour la pâtisserie (zacharoplasteion). On y trouve un grand choix de baklava (feuilletés au miel, avec noix ou amandes) et autres douceurs collant aux doigts, comme les kataifi (amandes mondées enrobées de blé concassé et de miel ou de sirop), loukoumades (beignets à la mélasse) et daktyla (aux amandes), tous d’origine turque. Le miel, dénominateur commun de la plupart des desserts, accompagne aussi très bien le yaourt, onctueux et riche. Ne manquez pas le galaktoboureko, un pudding à la vanille et à la crème couronné de pâte. A signaler encore, quelques spécialités propres à certaines îles: le khalvadopitte (nougat) et les loukoums de Siros – dont la recette a été amenée par les réfugiés de l’île de Chios. Les menus proposent en outre tarte aux pommes, tiramisu, rizo- Quelques-uns des délices de la cuisine grecque: feuilles de vigne farcies, feuilleté aux épinards, poulpes grillés et poulet grillé servi avec riz et pain pita. istockphoto.com/Tate istockphoto.com/Novoselic istockphoto.com/Johnson Les boissons Avec les hors-d’œuvre, les Grecs commandent un ouzo, rappelant le pastis; ils le boivent pur ou avec un glaçon (Chios). Le meilleur ouzo de Grèce provient de Plomari. La retsina est un blanc au goût particulier. Si son petit relent de térébenthine vous dissuade, essayez plutôt un rouge Mavrodaphni ou Naoussa, ou un blanc sec du Péloponnèse, d’Arcadie ou des îles; voyez aussi l’Embonas rouge, le capiteux Cava (rouge) ou le Villaré (blanc sec). Le muscat, vin plutôt doux, est incontournable sur Samos. Les amateurs de boissons non alcoolisées choisiront le vrastiko, un thé aux herbes très aromatique. Les buveurs de café auront le choix entre l’expresso à l’italienne ou le café grec, noir et corsé (elleniko), variante du café turc. Si vous ne précisez pas, il se peut que l’on vous serve un instantané (Nes). Vous pouvez commander le café sans sucre (ena sketo), avec sucre (ena metrio) et même très sucré (ena vari gliko). Le café frappé est très apprécié. istockphoto.com/Dennis galo (gâteau de riz), glaces et, en saison, toutes sortes de fruits. 234 INDEX Agia Triada 81 Agio Oros 101 Agios Nikolaos Anapafsas 80 Agios Stefanos 81 Alonissos 119 Amorgos 140–143 Chora 141 Egiali 443 Katapola 140–141 Anakassia 77 Andros 121–123 Apikia 122 Batsi 122 Chora 122 Gavrio 121–122 Korthi 123 Lamira 123 Mélidas 123 Messaria 123 Paleopolis 122 Panachrantou, monastère 123 Stenies 122 Zagora 122 Antiparos 137 Antipaxi 112 Arachova 74 Arcadie 51–52 Architecture 104 Aréopolis 59 Argos 46 Arta 89 Art byzantin 104–105 Astypalaea 190–191 ATHÈNES 15–34 Acropole 17–21 Agora 22–23 Agora romaine 24 Anafiotika 28–29 Aréopage 17 Bibliothèque d’Hadrien 24 Colline de la Pnyx 25 Colline des Muses 25 Erechthéion 20 Gazi 30 Halles 31 Jardin national 29–30 Kerameikos 24–25 Kolonaki 33–34 Mont Lycabette 34 Monument de Lysicrate 28 Musée archéologique 31 – Benaki 32 – byzantin et chrétien 33 – d’Art cycladique 32–33 – d’Art populaire 27 – de l’Acropole 21–22 – de l’Agora 24 – des Instruments de musique populaire 29 – Frissiras 27 – Kanellopoulos 29 – national d’Histoire 32 Odéon d’Hérode Atticus 21 Olympieion 26 Panepistimiou 32 Parlement 30 Parthénon 19–20 Pinacothèque nationale 33 Place Monastiraki 30–31 – Omonia 30 – Syntagma 29–30 Plaka 26–29 Porte Beulé 17 Porte d’Hadrien 25 Propylées 17–19 Psiri 30 Stade Panathinaiko 26 Station de métro Akropolis 22 Temple d’Athéna Niké 17–19 Théâtre de Dionysos 21 Ville basse antique 22–26 Athos, mont 101–102 Barbares 105 Byzantin, art 104–105 Cap Sounion 35–36 Céphalonie 113 Chalcidique 99–102 Chalkidia 75 Chania, col 77 Chios 165–168 Chlémoutsi 66–67 Chorefto 77 Corfou 109–112 Achilleion 111–112 Corfou-Ville 109– Kanoni 111 Paleokastritsa 112 Corinthe 39–42 – , canal de 42–43 – , golfe de 74–75 Cyclades 121–159 Cythère 57–58 Dafni, monastère 36–37 Délos 129–131 Delphes 70–74 Diakofto 67 Dieux 105–106 Dimitsana 51 Dion 91–92 Dirou, grottes 59 Dodécanèse 173–193 Dodone 85–87 Egine, île 37 Epidaure 49–50 Epire 83–89 Erétria 75 Eubée, île 75–76 Evia 75–76 Florina 93–94 Folegandros 150–151 Galataki 76 Galaxidi 74 INDEX 235 Geraki 56 Géroliménas 59 Glifada 35 Gythion 58–59 Homère 106 Hydra 51 Igoumenitsa 87 Iles ioniennes 109–115 Ios 148–149 Ioannina 84–85 Isthmia 43 Ithaque 113–114 Kalamata 60 Kalambaka 78–80 Kalavrita 67 Kardamili 59 Karistos 75–76 Karitena 51 Karpathos 191–193 Kassandra 99 Kastellorizo 193 Kastoria 94–95 Kastro 66–67 Kavala 102–103 Kéa 159 Kefallonia, voir Céphalonie Kessariani, monastère 36 Kimi 76 Kimolos 154–155 Kithnos 157–159 Kiparissia 63 Koita 59 Kolona 37 Komito 76 Koroni 60–61 Kos 183–186 Asfendiou 186 Asklepeion 184–186 Embros Thermae 186 Kardamena 186 Mastichari 186 Paleopili 186 Tigaki 186 Koskaras, défilé 60 Kosmas 56 Larissa 78 Le Pirée 34 Lefkada, voir Leucade Lefkadia 93 Lemnos 161–162 Léonidion 56 Lesbos 162–165 Leucade 112–113 Limni 76 Litochoron 91 Loutra Aidipsou 76 Magne, péninsule 59–60 Magne messénien 59–60 Makrinitsa 77 Mantinée 52 Marathon 36 Matapan, cap 59 Mega Spileo, monastère 67 Megalo Meteoron 81 Megalopoli 52 Messène 60 Messénie 60–63 Météores 78–81 Methoni 61 Metsovo 83–84 Miliés 77–78 Milo 151–154 Filakopi 154 Klima 153–154 Papagraga, gorges 154 Plaka 153 Plages 154 Sarakino 154 Mistra 52–56 Monemvasia 56–57 Mycènes 43–46 Mykonos 126–128 Ano Mera 128 Chora 127–128 Plages 128 Naoussa 93 Naupacte 74–75 Nauplie 47–49 Navarin 62 Naxos 137–140 Apollona 139–140 Chora 138 Filoti 139 Mélanès 140 Plages 140 Villages 138–139 Necromanteion 88 Nemée 43 Nestor, palais 62–63 Nikopolis 88–89 Nomia 59 Olivier 106–107 Olympe, mont 91–92 Olympie 63–66 Orthodoxes 107 Ossios Loukas, monastère 69–70 Paliachora 37 Parga 87–88 Parnasse, mont 74 Paros 133–137 Ampela 136 Kolympithrès 136 Lefkes 136 Longovarda 136 Marathi 136 Marpissa 136 Naoussa 136 Parikia 134–135 Prodomos 136 Petaloudes 137 Plages 137 Patmos 186–190 Apocalypse, monastère de 187–190 Plages 190 Skala 186–187 Patras 67 Paxi 112 Pélion 77–78 Pella 92 Péloponnèse 39–67 236 INDEX Pérama, grotte 85 Péristéria 63 Phidias 21, 65 Philippi 103 Pilos 61–62 Poros 51 Portaria 77 Porto Kagio 59 Prespa, lacs 93–94 Prévéza 88 Prokopi 76 Pythie 72 Rhodes 173–181 Embonas 181 Ialissos 179 Kamiros 180–181 Lindos 179 Monolithos 181 Petaloudes 180 Vieille ville 173–176 Ville moderne 176–178 Roussanou 80–81 Samos 168–171 Samothrace 162 Santorin 143–148 Akrotiri 146–147 Fira 145 Ia 145 Kaméni 147–148 Pirgos 145 Plages 146 Profitis Ilias 145–146 Red Beach 147 Théra 146 Thirasia 147–148 Saronique, îles 50–51 Sérifos 156–157 Sifnos 155–156 Sikinos 149–150 Simi 181 Siros 131–133 Chalandriani 133 Ermopouli 131–132 Finikas 133 Direction éditoriale Barbara Ender Galissas 132 Kastri 133 Kini 133 Plages 133 Posidonia 133 Sithonia 101 Skiathos 117–118 Skiros 119 Skopelos 118 Sparte 52 Spetses 50–51 Sporades 117–119 Stemnitsa 51 Steni 76 Tegée 52 Thassos 103 Thèbes 69 Thessalonique 95–99 Tinos 123–126 Chora 124–125 Exobourgo 125 Kechrovouni 125 Pirgos 125–126 Plages 126 Tirynthe 46–47 Tripoli 51–52 Tsangarada 77 Varkiza 35 Varlaam 81 Vassés, temple 63 Vathia 59 Vergina 92–93 Veria 92 Vikos, gorges 87 Viros, gorges 60 Vizitsa 78 Volos 76 Voula 35 Vouliagmeni 35 Vouraïkos, gorges du 67 Xorichti 77 Zagora 77 Zagoria 87 Zante 114–115 Rédaction Agnès Curchod Chantal Schindler Marie Jampy Conception Karin Palazzolo Mise en pages Luc Malherbe, Matias Jolliet Crédits photographiques P. 1: Claude Hervé-Bazin (Olympie) P. 2: istockphoto.com/Yagci (chat), –/AnnaKaterina (cloche), –/Toutoudaki (branche d’olivier) –/Martinez (mer, Lefkas); –/Eliason (colonne temple de Zeus) Cartographie JPM Publications Mathieu Germay Copyright © 2009 JPM Publications S.A. 12, avenue William-Fraisse, 1006 Lausanne, Suisse [email protected] http://www.jpmguides.com/ Tous droits, en particulier de reproduction, de diffusion et de traduction, réservés. 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